Merci la vie!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Merci la vie!
Depuis quelques temps Yves s’était approché de moi. Me confiant des tas de choses sur sa vie privée. Comme le fait qu’il n’allait pas tarder à demander le divorce à sa femme.
-Dis Alain, je peux encore me confier à toi ? Me fait-il alors qu’on déjeune au bureau.
-Je t’écoute !
-J’ai une drôle d’allégresse.
Après un instant de silence, il ajoute.
-Non, laisse tomber.
-Non, je t’écoute.
-Voilà, mais je ne veux pas que tu me moque de moi.
-Comme si c’était mon genre !
-J’aime porter des vêtements de femme.
-Les goûts sont dans la nature !
-C’est tout ce que cela te fait ?
-Qu’est-ce que tu veux que ça me fasses. Tu te confesses à moi, pas vrai ? Tu ne me demandes pas mon avis à ce que je sache.
-Va savoir !
-Si c’est mon avis que tu cherches, alors sache qu’il m’est déjà arrivé de faire la même chose.
-Je ne te crois pas. Ce n’est pas ton genre.
-Comme quoi je cache bien mon jeu.
-J’aime aussi gainer mes jambes de nylon.
-Sache, qu’il faut toujours faire dans la vie ce qu’on désire.
-Mais cela ne te choque pas ?
-Ça devrait ?
-Je ne sais pas. Ce n’est pas fréquent d’entendre ce genre de confession.
-Ta femme est au courant ?
-Sûrement pas ! Je compte même sur toi pour garder ça pour toi !
-Fais comme si tu ne m’avais rien dit.
-Quand je suis à la maison, seul et excité, ajoute-t-il, il m’arrive de prendre le vibromasseur de ma femme. Je le pose sur le rebord de la baignoire puisqu’il est muni d’une ventouse et m’assois dessus après avoir gavé mon trou de gel. J’aime sentir ce vibromasseur me remplir le cul pendant que je me branle.
-Mais dis-moi, pourquoi me révéler ce genre de chose à moi ?
-Un besoin chez moi ! Pour avoir ton avis aussi.
Après un court silence, le voilà qu’il ajoute :
-Depuis quelques semaines, je suis obnubilé par l’idée d’être l’esclave d’un mec.
-Eh bien !
-Cette idée m’a tellement excité qu’un jour je suis allé dans un cinéma porno.
-Il y a un temps j’ai pratiqué ces mêmes salles, juste pour me faire la vieille caissière.
-Et tu te l’es faite ?
-Pas qu’un peu !
-Pour ma part, je me suis travesti.
-Non !
-Comme je te le dis. J’ai gainé mes jambes de bas résille, sous une minijupe, escarpins aux pieds. Puis je me suis offert une séance de maquillage poussée devant le miroir de la coiffeuse de ma femme. J’étais méconnaissable. Comme pour me réconforter, à savoir si en allait me reconnaître, j’ai fait même exprès de passer devant la boulangère dont je prends mon pain tous les jours, pour voir. Et bien même, elle, elle ne pas reconnue. Alors encouragé, j’ai pris la route me menant au cinéma. J’étais tremblant d’excitation quand je me suis installé au fond de la salle. Très vite je me suis fait aborder. Comme tout de suite, il est passé aux caresses. Sur mes jambes, sur mes fesses.
-Rassure-moi, il a quand même remarqué que tu avais un outil ?
-Oui, cela ne l'a pas empêchée de m'inviter à le suivre jusqu'aux toilettes. Une fois sur place, il m’a fait entrer dans une cabine. M’a fait m’asseoir sur le siège des WC. Il s’est déboutonné. Dessous, il portait un slip déformé par une forte érection. Tout en me fixant, il a fait tomber son slip, exhibant son pénis à mes yeux. Il s’est agrippé à mon crâne et m’a attiré jusqu’à ce que ma bouche enfourne sa queue. J’ai pris plaisir de l’entendre gémir sous mes coups de langue. Et que dire quand il a poussé un grognement et que j’ai reçu en pleine bouche son éjaculation à grands jets. Une fois chez moi, j’ai du me branler deux fois pour assouvir ma soif sexuelles. Qu’est-ce que tu en penses ?
-T’espère entendre quoi de ma part ?
-Je ne sais pas, moi, que je devrais consulter !
-Consulter juste parce que tu as enfin trouvé la voie de ton bonheur.
-C’est juste pour ça que je me confesse à toi. Parce que tu es le seul à être presque toujours positif. Et tu sais je ne regrette nullement de mettre jusqu’alors confié à toi.
Pris d’une envie sale. Qui tout de suite, a des répercutions sur ce qui se cache sous mon slip. Une érection qui tend le devant de mon pantalon. Voilà que je lui lâche :
-Sache mon cher Yves, que tu viens de m’offrir quelque chose d’agréable.
-Ah oui ! Et je peux savoir quoi donc ?
-Ça ! Fais-je, en sortant ma queue en érection de ma cachette.
-Eh bien ! S’exclame Yves. Je ne m’attendais pas à ça.
-Après ce que tu viens de me dévoiler, tu ne vas pas me dire que cela te gêne.
-Oui….c’est vrai… Balbutie-t-il… Tu t’es déjà branlé devant un mec ? Ajoute-t-il.
-Oui, jadis, un copain de quartier ! Fais-je.
Là je me mets à mon tour de lui confesser mes histoires de cul avec Manu.
-Alors cela ne t'ennuie pas que je mette ma queue…
-À l’air, je le coupe. Bien sûr !
Et sans attendre, le voilà qui défait son pantalon et fait tomber son slip à mi-cuisses. Je ne trouve aucune gêne à scruter sa queue. Il a un appareil génital poilu, rougi, surmonté d'un gland de la taille d'une balle de golf. Je ne ressens aucun dégoût. Tout au contraire, je le trouve beau et je suis même un peu jaloux. Je suis de plus en plus excité.
-Ta queue est plus longue que la mienne. Fais-je en désignant mon pénis qui est toujours au garde au vous.
Tout de suite à cet énoncer, son pénis réagit avec vigueur. Comme il est proche de moi, je soulève son tee-shirt assez haut sur son torse. Avec ma main gauche, je saisis le bout de son sein droit et commence à effectuer un pincement qui l’amène peu à peu à laisser échapper de sa bouche son bien-être.
-À t’entendre gémir, lui fais-je, je pense que je suis sur la bonne voie !
Yves, me regarde de ses yeux clairs et semble exiger une faveur de ma part. Je prends l’initiative de me coller derrière lui. Ma queue trouve tout de suite refuge entre ses fesses, alors que j’agrippe la sienne, à pleine main droite. Elle est incroyablement dure. Son pénis n’a aucune courbe, tout simplement rectiligne, et se termine par un gland pulpeux, et très gonflé. Je branle sa queue et prends plaisir de la masturber encore et encore. Comme si c’était la mienne. Alors qu’avec ma main libre, je lui caresse les testicules. Bien rasées. Les faisant rouler doucement entre mes doigts.
-Oh Alain, c’est bon!…
-C’est qu’elle est très belle ! Comme j’adore, comme tu es raide… Tu aimes ça quand je te malaxe les couilles ?
-Tu vas me faire éjaculer, à cette allure... Continue… marmonne-t-il.
Ses paroles m’excitent de plus belle. Je me concentre sur son gland. J’essaie le plus possible de faire jouer la paume de ma main autour de la crête de sa pine dont la peau si lisse, si tendue est des plus sensible. Mes caresses se mêlent à mes propres fantasmes. J'essaie de savourer chaque instant. Je suis à deux doigts de jouir sans me toucher ! Je me régale du spectacle sans savoir vraiment pourquoi.
Son gland devient brillant. Je surprends ses cuisses se contracter. Il penche sa tête en arrière. J’entends un soupir profond sortir de sa bouche légèrement entrouverte :
-Oh…oh je vais cracher ! Je vais jouir… déclare-t-il, oh, oui… je vais venir…
Je sens ses couilles qui se rétractent. Sa verge devient encore plus dure. Un violent jet de sperme gicle de son méat. Je continue, pour ma part, de le branler. Il m’accompagne de coups de reins. Sous un beuglement, il lâche son plaisir. Un sperme tiède, bien laiteux, épais, qui dégouline le long de ma main.
Très vite, je perçois que le mouvement de branle déclenche chez Yves des sortes de spasmes. Sa respiration s’accélère. J’ai presque l’impression qu’il en veut encore. Mais il m’échappe. Sa jouissance m’a donné une envie de viol incroyable. J’ai la sensation que mon sexe est énorme. C’en est presque douloureux tellement je bande fort.
À son tour, après m’avoir demandé l’autorisation, il commence à jouer avec mes testicules enflé à bloc. Immédiatement, le désir de foutre m’envahit.
-Oui branle-moi Yves… branle-moi fort !
Très vite je sens monté de mes reins, les premiers picotements annonciateurs d’un orgasme tout proche. Je n’essaye même pas de le contrer. Je me laisse aller, jusqu’à ce que mon sperme jaillit avec force. Il semble prendre du plaisir à me faire jouir. Ce fut à la fois une douleur et une incroyable jouissance. J’ai l’impression que l’orgasme dure beaucoup plus longtemps qu’à son habitude. Au moment où Yves lâche la pression autour de ma verge, la jouissance est toujours aussi intense.
Je sais que j’ai vécu ce moment là, quelque chose de formidable. Une relation de complicité masculine privilégiée. Hétéro dans ma sexualité, je ne crache pas à une relation homo. De temps en temps !
Et là, Amélia fait son entrée.
-Alors les gars, on s’amuse bien ?
Elle me sourit, l’œil plein de malice.
-Tu parles de quoi ? Fais-je.
-De ce dont je viens d’assisté, mon beau.
Tout de suite, mon regard glisse sur ses escarpins dont le dessus est tressé de fins fils de cuir et qui laissent voir la beauté de ses pieds et de ses orteils graciles, dont les ongles sont couverts de vernis bleu foncé.
-Je ne te cache pas que je suis toute mouillée du spectacle que vous m’avez offert. J’ai… enfin si cela t’intéresse, mon clito tout dur, tu piges ça salaud ?
- Tu restes une sacrée cochonne. T’aime la bite, et tu le fais savoir. Tu veux la mienne ? Tiens, approche, viens la voir.
Je n’ai pas eu le besoin de répéter l’invite une seconde fois, déjà Amélia s'approchée pour me toucher. Yves, un peu honteux de s'attarder plus que nécessaire, et profite de ce assemblage pour filer à l’anglaise. Je lis encore une fois chez Amélia une folle envie de plaisir. D’ailleurs, elle ne perd pas de temps pour se saisir de ma verge. Elle excite mes sens au-delà de toute limite. Amélia m’implore de lui offrir ce que seul la vie vaut d’être vécue : DU PLAISIR !
Ma raison vacille. J’ai la tête prête à éclater, mais ce n’est pas de migraine à cet instant. Je suis avide de la goûter, de la découvrir.
-Montre-moi ce qui se tient sous ta jupe, sale cochonne.
Elle se plie volontiers à mon caprice, en dévoilant délicatement son intimité en retroussant sa jupe vers le haut, m’exhibant sa petite culotte de couleur rose. Que je m’empresse de le lui retirer. Je peux à présent prendre possession de son intimité. Pour ça, je m’agenouille devant elle, posant mes mains sur les fesses qui frémissent sous mes paumes. J’approche mon nez là de l’entrée de la grotte qui exhale l’odeur prenante du désir.
Depuis mon plus jeune âge, la saveur féminine me transporte aux sommets du plaisir. Rien n’est plus bandant, enfin pour ma part, que de savourer le corps d’une femme avec ses odeurs, de sueur, de mouille, d’urine.
Et c’est pour ça qu’une fois encore je me gave sans modération des odeurs intimes d’Amélia. Et putain que j’aime son parfum et sa saveur forte. Incapable de me retenir plus longtemps, j’ai lâché un premier coup de langue sur ses lèvres intimes acidulées. Puis plusieurs autres avant de m’appliquer à faire connaissance avec son bourgeon. L’emprisonnant entre mes lèvres. Je le tenaille légèrement. Le tiré vers moi avant de le gober. Puis je le pompe régulièrement, toujours avec une grande douceur. Par ses soupirs, elle me fait sentir que je suis sur la bonne voie. Alors je la tourmente longuement, prenant beaucoup de plaisir à la faire gueuler de plaisir.
J’ai attendu que son sexe, rejette ma bouche pour arrêter ma caresse buccale. J’ai le palais empli de sa bonne odeur de chatte. Comme je l’avais plus tard quand je l’ai croisé dans le couloir. Où je me suis permis de lui lâcher :
-Tu… tu… tu es belle et désirable… bien plus que ce que j’ai jamais rêvé…
-Eh bien, devient mon amant ?
Une réponse qui m’a fait bien sourire.
Comme souvent chez moi, il suffit que je ne cherche pas l’aventure pour que le plaisir amoureux me tombe dessus sans prévenir. Et au moment où on s’y attend le moins.
-Dis Alain, je peux encore me confier à toi ? Me fait-il alors qu’on déjeune au bureau.
-Je t’écoute !
-J’ai une drôle d’allégresse.
Après un instant de silence, il ajoute.
-Non, laisse tomber.
-Non, je t’écoute.
-Voilà, mais je ne veux pas que tu me moque de moi.
-Comme si c’était mon genre !
-J’aime porter des vêtements de femme.
-Les goûts sont dans la nature !
-C’est tout ce que cela te fait ?
-Qu’est-ce que tu veux que ça me fasses. Tu te confesses à moi, pas vrai ? Tu ne me demandes pas mon avis à ce que je sache.
-Va savoir !
-Si c’est mon avis que tu cherches, alors sache qu’il m’est déjà arrivé de faire la même chose.
-Je ne te crois pas. Ce n’est pas ton genre.
-Comme quoi je cache bien mon jeu.
-J’aime aussi gainer mes jambes de nylon.
-Sache, qu’il faut toujours faire dans la vie ce qu’on désire.
-Mais cela ne te choque pas ?
-Ça devrait ?
-Je ne sais pas. Ce n’est pas fréquent d’entendre ce genre de confession.
-Ta femme est au courant ?
-Sûrement pas ! Je compte même sur toi pour garder ça pour toi !
-Fais comme si tu ne m’avais rien dit.
-Quand je suis à la maison, seul et excité, ajoute-t-il, il m’arrive de prendre le vibromasseur de ma femme. Je le pose sur le rebord de la baignoire puisqu’il est muni d’une ventouse et m’assois dessus après avoir gavé mon trou de gel. J’aime sentir ce vibromasseur me remplir le cul pendant que je me branle.
-Mais dis-moi, pourquoi me révéler ce genre de chose à moi ?
-Un besoin chez moi ! Pour avoir ton avis aussi.
Après un court silence, le voilà qu’il ajoute :
-Depuis quelques semaines, je suis obnubilé par l’idée d’être l’esclave d’un mec.
-Eh bien !
-Cette idée m’a tellement excité qu’un jour je suis allé dans un cinéma porno.
-Il y a un temps j’ai pratiqué ces mêmes salles, juste pour me faire la vieille caissière.
-Et tu te l’es faite ?
-Pas qu’un peu !
-Pour ma part, je me suis travesti.
-Non !
-Comme je te le dis. J’ai gainé mes jambes de bas résille, sous une minijupe, escarpins aux pieds. Puis je me suis offert une séance de maquillage poussée devant le miroir de la coiffeuse de ma femme. J’étais méconnaissable. Comme pour me réconforter, à savoir si en allait me reconnaître, j’ai fait même exprès de passer devant la boulangère dont je prends mon pain tous les jours, pour voir. Et bien même, elle, elle ne pas reconnue. Alors encouragé, j’ai pris la route me menant au cinéma. J’étais tremblant d’excitation quand je me suis installé au fond de la salle. Très vite je me suis fait aborder. Comme tout de suite, il est passé aux caresses. Sur mes jambes, sur mes fesses.
-Rassure-moi, il a quand même remarqué que tu avais un outil ?
-Oui, cela ne l'a pas empêchée de m'inviter à le suivre jusqu'aux toilettes. Une fois sur place, il m’a fait entrer dans une cabine. M’a fait m’asseoir sur le siège des WC. Il s’est déboutonné. Dessous, il portait un slip déformé par une forte érection. Tout en me fixant, il a fait tomber son slip, exhibant son pénis à mes yeux. Il s’est agrippé à mon crâne et m’a attiré jusqu’à ce que ma bouche enfourne sa queue. J’ai pris plaisir de l’entendre gémir sous mes coups de langue. Et que dire quand il a poussé un grognement et que j’ai reçu en pleine bouche son éjaculation à grands jets. Une fois chez moi, j’ai du me branler deux fois pour assouvir ma soif sexuelles. Qu’est-ce que tu en penses ?
-T’espère entendre quoi de ma part ?
-Je ne sais pas, moi, que je devrais consulter !
-Consulter juste parce que tu as enfin trouvé la voie de ton bonheur.
-C’est juste pour ça que je me confesse à toi. Parce que tu es le seul à être presque toujours positif. Et tu sais je ne regrette nullement de mettre jusqu’alors confié à toi.
Pris d’une envie sale. Qui tout de suite, a des répercutions sur ce qui se cache sous mon slip. Une érection qui tend le devant de mon pantalon. Voilà que je lui lâche :
-Sache mon cher Yves, que tu viens de m’offrir quelque chose d’agréable.
-Ah oui ! Et je peux savoir quoi donc ?
-Ça ! Fais-je, en sortant ma queue en érection de ma cachette.
-Eh bien ! S’exclame Yves. Je ne m’attendais pas à ça.
-Après ce que tu viens de me dévoiler, tu ne vas pas me dire que cela te gêne.
-Oui….c’est vrai… Balbutie-t-il… Tu t’es déjà branlé devant un mec ? Ajoute-t-il.
-Oui, jadis, un copain de quartier ! Fais-je.
Là je me mets à mon tour de lui confesser mes histoires de cul avec Manu.
-Alors cela ne t'ennuie pas que je mette ma queue…
-À l’air, je le coupe. Bien sûr !
Et sans attendre, le voilà qui défait son pantalon et fait tomber son slip à mi-cuisses. Je ne trouve aucune gêne à scruter sa queue. Il a un appareil génital poilu, rougi, surmonté d'un gland de la taille d'une balle de golf. Je ne ressens aucun dégoût. Tout au contraire, je le trouve beau et je suis même un peu jaloux. Je suis de plus en plus excité.
-Ta queue est plus longue que la mienne. Fais-je en désignant mon pénis qui est toujours au garde au vous.
Tout de suite à cet énoncer, son pénis réagit avec vigueur. Comme il est proche de moi, je soulève son tee-shirt assez haut sur son torse. Avec ma main gauche, je saisis le bout de son sein droit et commence à effectuer un pincement qui l’amène peu à peu à laisser échapper de sa bouche son bien-être.
-À t’entendre gémir, lui fais-je, je pense que je suis sur la bonne voie !
Yves, me regarde de ses yeux clairs et semble exiger une faveur de ma part. Je prends l’initiative de me coller derrière lui. Ma queue trouve tout de suite refuge entre ses fesses, alors que j’agrippe la sienne, à pleine main droite. Elle est incroyablement dure. Son pénis n’a aucune courbe, tout simplement rectiligne, et se termine par un gland pulpeux, et très gonflé. Je branle sa queue et prends plaisir de la masturber encore et encore. Comme si c’était la mienne. Alors qu’avec ma main libre, je lui caresse les testicules. Bien rasées. Les faisant rouler doucement entre mes doigts.
-Oh Alain, c’est bon!…
-C’est qu’elle est très belle ! Comme j’adore, comme tu es raide… Tu aimes ça quand je te malaxe les couilles ?
-Tu vas me faire éjaculer, à cette allure... Continue… marmonne-t-il.
Ses paroles m’excitent de plus belle. Je me concentre sur son gland. J’essaie le plus possible de faire jouer la paume de ma main autour de la crête de sa pine dont la peau si lisse, si tendue est des plus sensible. Mes caresses se mêlent à mes propres fantasmes. J'essaie de savourer chaque instant. Je suis à deux doigts de jouir sans me toucher ! Je me régale du spectacle sans savoir vraiment pourquoi.
Son gland devient brillant. Je surprends ses cuisses se contracter. Il penche sa tête en arrière. J’entends un soupir profond sortir de sa bouche légèrement entrouverte :
-Oh…oh je vais cracher ! Je vais jouir… déclare-t-il, oh, oui… je vais venir…
Je sens ses couilles qui se rétractent. Sa verge devient encore plus dure. Un violent jet de sperme gicle de son méat. Je continue, pour ma part, de le branler. Il m’accompagne de coups de reins. Sous un beuglement, il lâche son plaisir. Un sperme tiède, bien laiteux, épais, qui dégouline le long de ma main.
Très vite, je perçois que le mouvement de branle déclenche chez Yves des sortes de spasmes. Sa respiration s’accélère. J’ai presque l’impression qu’il en veut encore. Mais il m’échappe. Sa jouissance m’a donné une envie de viol incroyable. J’ai la sensation que mon sexe est énorme. C’en est presque douloureux tellement je bande fort.
À son tour, après m’avoir demandé l’autorisation, il commence à jouer avec mes testicules enflé à bloc. Immédiatement, le désir de foutre m’envahit.
-Oui branle-moi Yves… branle-moi fort !
Très vite je sens monté de mes reins, les premiers picotements annonciateurs d’un orgasme tout proche. Je n’essaye même pas de le contrer. Je me laisse aller, jusqu’à ce que mon sperme jaillit avec force. Il semble prendre du plaisir à me faire jouir. Ce fut à la fois une douleur et une incroyable jouissance. J’ai l’impression que l’orgasme dure beaucoup plus longtemps qu’à son habitude. Au moment où Yves lâche la pression autour de ma verge, la jouissance est toujours aussi intense.
Je sais que j’ai vécu ce moment là, quelque chose de formidable. Une relation de complicité masculine privilégiée. Hétéro dans ma sexualité, je ne crache pas à une relation homo. De temps en temps !
Et là, Amélia fait son entrée.
-Alors les gars, on s’amuse bien ?
Elle me sourit, l’œil plein de malice.
-Tu parles de quoi ? Fais-je.
-De ce dont je viens d’assisté, mon beau.
Tout de suite, mon regard glisse sur ses escarpins dont le dessus est tressé de fins fils de cuir et qui laissent voir la beauté de ses pieds et de ses orteils graciles, dont les ongles sont couverts de vernis bleu foncé.
-Je ne te cache pas que je suis toute mouillée du spectacle que vous m’avez offert. J’ai… enfin si cela t’intéresse, mon clito tout dur, tu piges ça salaud ?
- Tu restes une sacrée cochonne. T’aime la bite, et tu le fais savoir. Tu veux la mienne ? Tiens, approche, viens la voir.
Je n’ai pas eu le besoin de répéter l’invite une seconde fois, déjà Amélia s'approchée pour me toucher. Yves, un peu honteux de s'attarder plus que nécessaire, et profite de ce assemblage pour filer à l’anglaise. Je lis encore une fois chez Amélia une folle envie de plaisir. D’ailleurs, elle ne perd pas de temps pour se saisir de ma verge. Elle excite mes sens au-delà de toute limite. Amélia m’implore de lui offrir ce que seul la vie vaut d’être vécue : DU PLAISIR !
Ma raison vacille. J’ai la tête prête à éclater, mais ce n’est pas de migraine à cet instant. Je suis avide de la goûter, de la découvrir.
-Montre-moi ce qui se tient sous ta jupe, sale cochonne.
Elle se plie volontiers à mon caprice, en dévoilant délicatement son intimité en retroussant sa jupe vers le haut, m’exhibant sa petite culotte de couleur rose. Que je m’empresse de le lui retirer. Je peux à présent prendre possession de son intimité. Pour ça, je m’agenouille devant elle, posant mes mains sur les fesses qui frémissent sous mes paumes. J’approche mon nez là de l’entrée de la grotte qui exhale l’odeur prenante du désir.
Depuis mon plus jeune âge, la saveur féminine me transporte aux sommets du plaisir. Rien n’est plus bandant, enfin pour ma part, que de savourer le corps d’une femme avec ses odeurs, de sueur, de mouille, d’urine.
Et c’est pour ça qu’une fois encore je me gave sans modération des odeurs intimes d’Amélia. Et putain que j’aime son parfum et sa saveur forte. Incapable de me retenir plus longtemps, j’ai lâché un premier coup de langue sur ses lèvres intimes acidulées. Puis plusieurs autres avant de m’appliquer à faire connaissance avec son bourgeon. L’emprisonnant entre mes lèvres. Je le tenaille légèrement. Le tiré vers moi avant de le gober. Puis je le pompe régulièrement, toujours avec une grande douceur. Par ses soupirs, elle me fait sentir que je suis sur la bonne voie. Alors je la tourmente longuement, prenant beaucoup de plaisir à la faire gueuler de plaisir.
J’ai attendu que son sexe, rejette ma bouche pour arrêter ma caresse buccale. J’ai le palais empli de sa bonne odeur de chatte. Comme je l’avais plus tard quand je l’ai croisé dans le couloir. Où je me suis permis de lui lâcher :
-Tu… tu… tu es belle et désirable… bien plus que ce que j’ai jamais rêvé…
-Eh bien, devient mon amant ?
Une réponse qui m’a fait bien sourire.
Comme souvent chez moi, il suffit que je ne cherche pas l’aventure pour que le plaisir amoureux me tombe dessus sans prévenir. Et au moment où on s’y attend le moins.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je me suis bien branlé en te lisant. Superbe description de la montée de l'orgasme. merci

