Merci Slimane merci Ali - histoire érotique

Quelques jours après le départ de Rémi, je décidais d’aller, après la fermeture du magasin, à la piscine, en nocturne, pour me changer les idées.
Très peu de monde à cette heure là. Je commençais à aligner les longueurs. Slimane, le chef de bassin me fit un grand signe. Pas loin de l’heure de la fermeture, je remonte me doucher. Apparemment, je suis le dernier client. Slimane donne congé à la femme de service qui finissait de nettoyer les douches, lui indiquant qu’il fermera. Connaissant probablement ses penchants homos, elle s’éclipse bien volontiers. Slimane me rejoint dans la douche collective. Aussitôt, il fait glisser son mini slip de bain bleu France et se met à se savonner abondamment, juste à côté de moi. Ne voyant pas pourquoi je resterai couvert, je me débarrasser, moi aussi, de mon slip de bain. Nous voilà tous les deux, côte à côte, entrain de nous shampouiner à outrance. Aucune gêne entre nous car on a déjà baisé ensemble quelques années auparavant, ( voir « Ali, Slimane et moi »). Nos bites décrivent de beaux arcs convexes mais ne sont pas à la verticale non plus. Tout le jeu va être de ne pas en arriver jusque là…Dur, dur !
A la fin, Slimane se rapproche de moi, pose affectueusement sa main sur mon cul et m’invite à prendre un verre avec lui dans un petit bistrot, juste à côté. A la façon dont il a lancé son invitation, j’imagine que ce sera plus si affinités…« -Tu es tout seul ? Où sont tous tes amis ?
-Hé ! Rémi est parti s’installer avec Tim et Paulo est à l’autre bout du monde, comme d’hab…-Oh, merde ! Excuse, je ne savais pas…-Bien sûr, tu ne pouvais pas savoir. » On continue à discuter ainsi un bon moment. On se connait bien avec Slimane, Il est ouvertement homo, affiché, revendiqué. Je lui raconte les dernières péripéties de ma vie. Il me dit qu’il avait été très impressionné par le physique de Tim. Mais qu’il trouve un peu raide le comportement de Rémi. Mais, comme il dit « Inch Allah ! ». De son côté, il m’explique qu’il s’est installé avec Ali - que je connais intimement aussi – et que tout baigne. D’ailleurs, il m’invite à venir chez eux, là maintenant.
Chez lui -chez eux, en fait -, je retrouve Ali qui a l’air très content de me revoir. On discute de tout et de rien, autour d’un verre de vin. Puis, on passe à table où on déguste un fort bon tajine de mouton.
Ali est désolé de ce qui m’arrive et ne sait pas quoi faire pour me faire plaisir. On passe le reste de la soirée à discuter de tout et de rien, autour de plusieurs verres de vin. Sans qu’on s’en aperçoive, l’heure s’avance. Si bien, qu’à un moment, Slimane me propose de rester dormir pour cette nuit.
«-Ca nous rappellera le bon vieux temps ! » Lance Slimane avec un sourire en coin. C’est vrai qu’on avait eu de sacrés bons moments de sexe ensemble, il y a quelques années déjà. Ca veut sûrement dire qu’on peut peut-être remettre le couvert ?
On va vers la chambre où trône là aussi un grand lit - décidément ! -. Slimane déshabille Ali qui le déshabille ensuite. Je les regarde et j’attends qu’ils viennent s’occuper de moi… Ca a été très joyeux et rigolo. Ils m’ont effeuillé comme au spectacle. On a bien ri. Nous voilà tous les trois en slips. D’autorité, je me mets entre eux deux, au centre du lit, comme le faisait…Tim.
Tous les deux commencent à me caresser doucement, légèrement, m’effleurant à peine. Je me laisse faire. Slimane plutôt le visage et le torse, Ali en dessous. Partage des tâches parfait. Ali évite soigneusement la « zone rouge » du slip qui commence à gonfler tout seul. Je me mets à leur caresser leurs slips respectifs qui prennent, eux aussi, du volume. Du coup, Ali me caresse le mien aussi. Je passe mes mains sous le tissu. Je les sens tressaillir. J’ai deux belles bites d’Arabes dans mes mains qui durcissent jusqu’à devenir totalement droites. Idem pour moiJe m’amuse avec le bout de mes doigts à fourrager dans leurs touffes respectives, très bien fournies. Je joue avec leurs boules, je caresse leurs hampes dures comme du bois d’arbre J’arrive sur leurs freins du prépuce, je les titille avec entrain. Mais, en fait de prépuce, ils n’en ont pas vraiment car ils ont tous les deux été circoncis dans leur jeunesse. Ca n’empêche que leurs glands sont bien bien mouillés, synonymes d’une bonne excitation. Je le leur branle légèrement, à trois doigts, par le dessus. La fameuse « pince à sucre » de Rémi…De leur côté, ils ne restent pas inactifs, loin de là. Ils ont plongé tous les deux sous le drap. L’un s’occupe de mes tétons, de mes pecs, de mes abdos, de ma ligne de poils - la dreamline, comme dit Paulo - ; l’autre des cuisses, du bas ventre, de la bite, des couilles. On passe ainsi un bon moment de détente, d’excitation, de plaisir mutuel.
Arrive alors le moment d’être sucé. J’essaie de deviner qui commence à me pomper mais j’ai du mal à le dire. Qu’importe le flacon… Je dois reconnaître qu’il y a beaucoup de savoir faire quand même. Résultat d’une longue pratique, sans doute. Ca fait du bien d’avoir du sexe. Ca permet d’oublier un peu les douleurs de l’âme. Maintenant, ils sont deux à me sucer à tour de rôle. Il y en a même un qui a commencé à me doigter. Je leur propose un petit 69, pour les remercier. Accepté avec joie. Me voilà avec deux belles bites à sucer, moi aussi, à tour de rôle. La droite ou la gauche ? Les deux, mon général ! J’y vais de bon cœur. Ils sont tentés de me baiser un peu la bouche, sous le coup de l’excitation qui monte. J’en profite pour les doigter un peu aussi.
Bientôt, le doigtage sur ma rondelle prend de l’ampleur. Je les sens impatients de me fourrer leur belle bite dans les fesses. Je dois avouer que moi aussi… Alors, je me mets de moi-même en levrette, leur donnant ainsi le top départ. Offert. Ils vont se « disputer » la place, intéressés tous les deux, bien sût. C’est Ali qui m’entreprend le premier, me présentant son gland. Déjà, il est passé. Il laisse aussitôt sa place à Slimane qui en fait tout autant. Rigolo. Puis Ali me reprend pour me pénétrer lentement, à fond. Remake pour Slimane.
« -Qui a la meilleure ? » me demande Slimane.
« - Je vous dirai quoi dans une heure ou deux ! » je leur réponds, en riant.
Quand l’un me pénètre, l’autre me branle doucement, par en dessous. Trop bon. Ils vont ainsi me limer pendant un temps…doublé. Trop cool de sentir ça aussi longtemps. A un moment, ils me retourneront sur le dos, pour varier les plaisirs. Du coup, je leur fait part de ma préférence en matière de position. Aucun souci. Ce sont des gentlemen qui disent oui à tout ! On la gardera pour la fin, OK ?
Comme celui qui ne fourre pas ne veut pas trop se refroidir ni rester inactif, il vient se coller, et pénétrer celui qui me pénètre déjà. Vous suivez ? Et, pour varier encore un peu, ils alternent les positions entre eux. Bref, on se donne plein de plaisir.
A un moment, Ali a eu envie de conclure. Il me prévient qu’il va se déchaîner. Déchaîner est un mot un peu faible pour ce qui va suivre. Je le savais endurant - comme souvent les Arabes -, mais alors là, on dirait qu’il a fait de sacrés progrès ! Tenir une pareille cadence sur une telle durée, j’avais jamais connu - même avec Paulo -. Il me lime, me bourre, me fourre, me trombonne, me ramone, me bourrine, me tamponne, me déchire, m’explose littéralement. Devant une telle fougue, Slimane s’est retiré de lui et le contemple, admiratif, attendant son tour. Il explose littéralement en moi. Quatre longs jets puissants, chauds, épais. Etourdi, il retombe aussitôt.
J’ai adoré la façon dont Ali m’a pris. J’ai tout aimé. A fond. Je trouve qu’il a beaucoup progressé question sexe. Sa bite, c’est un roc ! Une pierre inusable ! Aussi dure que le granit ! Aussi douce en même temps quand elle s’insinue en moi. Et chaude aussi. On la sent super bien. Trop trop ouf !
Slimane prend le relais. D’abord piam piam. Il se chauffe. Sa bite est légèrement plus grosse que celle d’Ali - rien à voir avec celle de Tim -. Je la sens bien qui se glisse de différentes façons dans mes entrailles. Je le sais endurant, lui aussi. A mes côtés, Ali, explosé, récupère doucement. Slimane va prendre le contre pied de ce qu’a fait Ali. Il va y aller très progressivement, très langoureusement presque. J’apprécie beaucoup ces deux facettes. Il finira après un bon quart d’heure, par de solides coups de reins qui le feront se déverser en moi.
On décide, d’un commun accord, d’en rester là pour ce soir. Ils me font quand même promettre de les prendre quand bon me semble, au cours de la nuit. Ce que je ne manquerai pas de faire avec Slimane, tout en douceur aussi, sans réveiller Ali.
Une belle soirée et une belle nuit.