MERCI TATA...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : MERCI TATA... Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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MERCI TATA...
Jour après jour je me découvris de plus en plus une véritable passion pour ma tante. C’était un besoin vital. Il fallait que je la vois, que je la respire. J’usais de ruse de chasseur. À l’affut du moindre mouvement de ses jambes alors qu’elle était assise. Imaginant l’empiècement humide de sa culotte que sa position avait incrusté dans la raie des fesses.
D’ailleurs quand l’instant lui était donner, elle ne se gênait pas de m’exposer un peu plus d’elle. Et j’en étais ravi. J’apercevais la portion de cuisse nue et la dentelle du slip.
Elle me laissait regarder. Se moquant parfois de moi quand je me penchais la tête pour lorgner sous sa jupe. Elle jouait avec moi comme avec une marionnette, sans s’en cacher. Et moi, pauvre imbécile, j’étais tellement démuni je ne savais quoi faire.
Au bout du rouleau, je me réfugiais dans un endroit où personne pouvait me voir pour me masturbais en fantasmant sur elle. Mon excitation apaisé, j’avais honte de moi sur l’instant. Mais l’instant d’après mon désir était plus fort que tout.
Deux jours s’était passé sans qu’elle m’invite à aller à la grange. D’ailleurs, elle avait meme fait mine de m’ignorer. Puis le sur-lendemain, alors que nous étions seul à la table du petit déjeuner, et que ma grand mere et mere faisait la vaisselle, Christiane attendit qu’elles nous tourne le dos ouvrit les cuisses comme pour faire pénétrer une bouffée d’air frais sous sa jupe. Une chaleur agréable alourdit mon ventre. Puis elle se pencha, montrant les prémices de sa lourde poitrine par l’échancrure béante. Mon regard semblait l’amuser. Je me sentis devenir écarlate.
Elle ne me quittait alors plus des yeux. Ma pine s’enfla dans mon short. Je desserrais les cuisses pour la laisser s’étirer dans mon slip. Je suivaiss le manège des mains de ma tante. Imaginant que c’était mon sexe qu’elle avait entre ses doigts. Elle respirait en ouvrant la bouche. Les narines dilatées, comme si elle manquait d’air. Son front luisait.
Elle se tortilla sur son siège. J’imaginais le frottement du bois sur la moiteur des fesses. L’arrivée inopinée de son fils rompit le charme. Christiane avait par pur réflexe, tiré sa jupe pour recouvrir ses genoux. Ce geste m’excitait. Ça signifiait qu’elle avait conscience de ce qu’il me trottait dans la tête. Je serrais mes cuisses pour dissimuler mon érection à mon cousin. Je devais dans le meme temps, maîtriser ma respiration essoufflé. Sous peine de me faire repéré. Mais cela ne m’empêcher pas de caresser le bout de mon gland avec le pouce. Mon ventre s’alourdissait en me rémomérisant les contorsions indécentes de la tante. Des images incrustaient à tout jamais dans mon esprit. Malgré la presence de son fils, Christiane me scruta, dubitative et esquissa un sourire. Puis elle eut un rire énervé qu’elle étouffa avec sa main.
Puis elle se leva d’un coup, pris son bol, elle posa mon regard dans le mien et lâchait:-Dans trois quart d’heure où tu sais.
Ça avait été dit si expeditivement que personne ne c’était apercu de rien.
Sitôt la porte franchis elle me fit asseoir au bord d’un botte de paille. Le regard fiévreux, les pommettes comme marquées au fer rouge, elle se plaça debout face à moi. Sans un mot, son regard rivé au mien, elle ouvrit sa robe portefeuille, puis la laissa tomber à ses pieds.
Son ton de voix éraillé pouvait faire penser qu’elle avait bu, ce n’était pas le cas, elle était très excitée par la situation.
-Qu’est-ce que tu en penses, mon cher neveux ?
Je demeurai coït, elle poursuivit : -C’est tout ce que tu trouves à dire ?
Je me trouvais dans l’incapacité d’articuler un mot. Figé, je ne pouvais détacher mon regard du corps qui se trouvait devant moi.
Christiane se rapprocha. Elle se tenait tout contre moi. Son sexe s’entrouvrait à la hauteur de mes yeux. Elle posa un pied sur le rebord de la botte, présenta sous ses poils, sa fente lisse, béante, telle une plaie mal cicatrisée. Et elle me provoquait par des paroles obscènes : -Cela t’as manqué ? Dis-moi ! Deux jours sans bouffer ma chatte !
Son attaque me sidérait, ma tante utilisait un langage digne d’une fille de mon quartier. Me tenant par les cheveux, elle me plaquait la bouche contre ses poils de chatte.
-Qu’est-ce que tu attends ? Broute !
Je me lançais dans la dégustation du fruit. J’empoignai ma tante aux fesses, que je pétris sans vergogne. Elle projeta son pubis en avant pour faciliter le travail de la langue qui explorait les replis de son sexe. Ma bouche aspirait les petites lèvres. Elle se caressait les seins, agaçait ses tétons durs comme du marbre.
D’un geste brusque, elle me repoussait à la renverse, puis se laissa tomber à mes pieds. Fébrile, elle ouvrit mon short, plongea sa main à l’intérieur. Elle extrait ma queue tendue qu’elle prit en bouche telle une affamée. Elle pompait en lents va-et-vient.
Je restai immobile, tout en posant ma main sur sa tête. J’accompagnais la fellation, accentuant de temps à autre la pression, faisant pénétrer au fond de la gorge accueillante ma queue de plus en plus raide. L’excitation qui montait en moi devenait difficile à contenir. Je ne voulais surtout pas me vider tout de suite dans la bouche avide.
J’écartais la tête de ma tante, que je repoussais sur la paille, puis calmement, achevai de me déshabiller. Sa tension si intense au début était retombée. Prenant ma tante par les chevilles, je lui fis ouvrir en grand le compas de ses jambes, bien décidé de me dépuceler. Sous la touffe de poils, la vulve béante, luisante d’une mouille généreuse, palpitait.
Je présentais ma queue à l’entrée du puits d’amour, j’y plongeai d’un coup de reins. Ma tante étouffa un cri, surprise par la violence de l’assaut. Je prenais le dessus sur ma tante. Je parvenais à me montrer encore plus obscène qu’elle : -Tu volais de la bite, en voilà. Prends-la bien au fond de ta moule !
Christiane, insensible à l’insulte, haletante, projetait son bas-ventre à la rencontre de ma queue qui la perforait jusqu’au fond du vagin. J’étais dans un tel état d’excitation que je ne pus me retenir longtemps, lui injectant mon plaisir au fond de ses entrailles. J’étais à présent devenu un homme, et heureux de l’être. Mais il m’était alors impossible de dévoiler à quiconque qui avait été ma partenaire au risque de lui faire enquérir des ennnuis.
Pas le temps de réfléchir plus longtemps sur le sujet que déjà ma tante loin de se soucier de ce qui m’arrivait, m’attira sur la paille. C’est elle maintenant qui me chevauchait, s’acharnait sur ma queue, l’aspirait en contractant ses muscles vaginaux, tout en pressant avec violence son clitoris gorgé de sang. Quand elle sentait à la limite de l’explosion, elle suspendait son mouvement, puis reprenait de plus belle.
Quand son excitation atteignit son comble, elle accéléra ses va-et-vient, pressa plus fort son bouton. Au bord d’une nouvelle jouissance, je me tenais figé. Une secousse, telle une décharge électrique, paralysa ma tante. Dans sa chatte ruisselante se déversaient des jets de sperme.
Anéantie, elle s’écroula sur moi, serrant les cuisses pour maintenir en elle ma queue dure qui la taraudait.
Couchés côte à côte, silencieux, nous reprenaient nos souffles. Ce fut moi qui brisais le silence.
-Merci tata !
-Oui, mais bouche cousue ! Me fit-elle.
Je ramenais la tête de ma tante vers mon bas-ventre, plaçais ma queue contre sa bouche. Privilège de l’âge, ma queue eut tôt fait de reprendre vigueur dans la gorge de ma tante.
Puis loin d’être rassasier, je la fis se mettre à quatre pattes sur la paille. Je me plaçais derrière elle, la faisais s’ouvrir. Elle se cambrait comme une bête en chaleur. Bientôt ma queue pénétra dans la chatte ruisselante. Posant mes paumes à plat sur les lourdes fesses d’un blanc laiteux, je les écartais pour faire apparaître la rondelle plissée du trou du cul. Après l’avoir humidifié mon index de salive, comme je l’avais fait à Maria, je lui titillais la rondelle. Ma tante s’agitait sous les effets de la caresse. Quand je la jugeai à point, j’enfonçais mon doigt d’un coup. Ma tante se raidit, resserra les fesses.
Je restai un long moment immobile, le doigt serré dans le fourreau anal. Quand je sentis les muscles du cul se détendre, j’entamais un lent va-et-vient. Quand la décontraction des chairs intimes de ma tante fut complète, j’en profitai pour introduire un deuxième doigt, tout en continuant à limer la chatte à coup de queue.
Quand elle sentit ma queue se retirer de son vagin pour venir buter contre son œillet, ma tante prit conscience de mes intentions. Elle secoua sa croupe tendue en arrière.
-Pas par là… non !
J’appuyais fermement sur le dos, l’obligeant à se cambrer au maximum et à présenter, bien dégagé le trou du cul dont j’avais bien l’intention de profiter. Surtout qu’elle ne pouvait pas crier à cause de la famille peuplant l’espace.
J’appuyais sur les reins de ma tante, commençais ma lente poussée. Le gland forçait le passage, écartant le sphincter. Ma tante vaincue, poussait comme je lui avais ordonné. Mon gland fut absorbé. Je m’arrêtais. J’attendais qu’elle reprenne son souffle en caressant les fesses durcies par la contraction.
Quand je sentis les muscles de ma tante se relâcher, je donnais un violent coup de reins en avant. Ma queue venait de pénétrer tout entière dans l’anus. Mon pubis heurta les larges fesses.
Un lent ramonage commença alors, qui allait s’accélérant. Je surpris ma tante portait sa main à son clitoris pour accompagner à sa manière mon limage. Des paroles désordonnées sortaient de sa bouche.
-Oui, vas-y… c’est trop bon… j’aurais jamais cru… continue encore…. Je sens que je viens ! C’est bon… oui !
Je la secouais comme un prunier, jusqu’à éclater en elle. Cette jouissance m’avait amené au bord de la syncope. Nous nous écroulâmes épuises, repus.
J’avais évité le reste du temps de bander, tant j’avais la queue endolorie par tant de limage. Mais tout de même pas mécontent d’être arrivé à mes fins. Avoir était dépuceler par tata…

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