Mère d'un ami coquine
Récit érotique écrit par Véritable [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mère d'un ami coquine
L'histoire que je vais vous raconter est réelle, j'ai changé les prénoms par peur d'être reconnu.
je m’appelle Gilles, j'ai 21 ans et cette histoire s'est passée il y à 3-4 ans.
Lors de mon entrée en 5ème rénové j'ai fais la connaissance d'un garçon de mon âge François. On s'est vite liés d'amitié, lui et moi avions pas mal de points en communs, on était tout le temps ensemble à l'école et cela nous amenèrent vite chez l'un et chez l'autre pour des travaux scolaires.
En arrivant chez lui j'ai tout de suite remarqué la beauté de sa maman Marie, elle à la quarantaine, elle est grande et fine avec une longue chevelure blonde et une magnifique poitrine bien généreuse qu'elle avait toujours le don de mettre en valeur d'un façon presque provocante quand j'étais chez eux.
Elle avait de plus des fesses bien fermes que l'on ne pouvait pas s’empêcher de remarquer.
Au début je ne suis venu que 3 ou 4 fois durant ma cinquième année scolaire, elle était toujours très sexy, elle portait bien souvent un jeans moulant avec un chemisier qui lui compressait la poitrine dont elle enlevait les premiers boutons pour laisser apparaître un magnifique décolleté en V. J'avais toujours l'impression que ce premier bouton fixé allait lâcher sous la pression de son imposante poitrine.
Elle était toujours très gentille avec moi et un brin provocatrice, elle devait certainement remarqué que je n'était pas insensible à son charme et elle devait s'amuser de la situation.
Un vendredi midi après notre tout dernier examen je rentrai avec François car il prévoyait de fêter son anniversaire au soir.
Sa maman Marie passât nous prendre en voiture et nous déposa d'abord au garage que tenait le papa de François, ce n’était pas prévu mais celui-ci avait besoin d'aide, n’ayant pas prévu d'habits de travail je salis ceux que je portait sur moi.
A peine rentrer chez lui j'enfilais mon costume que j’avais préalablement prit et nous étions prêt a accueillir les invités.
J'ai pu la voir plus belle que jamais à l'occasion de cet anniversaire, depuis ce jour je peux
Dire que je fantasmais complètement sur elle.
Marie était resplendissante, de bas en haut elle portait des talons aiguilles assez haut une petite robe noire qui arrivait mi-cuisse, ce qui laissais ses longues jambes interminables apparentes. Ses talons lui donnaient une cambrure délicieuse, on pouvait l'apprécier du regard car sa robe était bien moulante.
Sa robe se finissait ensuite par un décolleté somptueux. Tout au long de la soirée d’anniversaire je ne pu m’empêcher de poser un regard discret mais continu sur sa superbe silhouette.
La soirée fût agréable et bien arrosée, à table je fît la connaissance de la famille très charmante de François. Cette soirée se termina sur la piste de dance avec une série de musique rock.
Nous étions au bar avec François, on s’amusait, on discutait et parlaient de tout et de rien, nous amusions de la manière de danser de chacun.
Je suivais toujours sa maman du regard qui dansait avec son père. Elle dansait très bien et avait un bon déhanché qui me faisait frémir de désir. Je voyais ses superbes seins généreux et ses fesses bien fermes bouger sur le rythme de la musique.
Elle débordait d'énergie et le papa de François n'en pouvais plus, épuiser il allât se coucher en laissant leurs 10 derniers invités aux soins de sa femme. François ne tarda pas à le rejoindre, il me dit que je pouvais encore rester et m’expliqua ou étais ma chambre.
Il m’expliqua aussi qu’il aurait bien aimé fêter son anniversaire avec des amis de notre classe et pour ce faire il pensait organiser un bowling suivi d’une sortie improvisée. N’ayant pas de voiture à ma disposition pour le samedi soir j’acceptai de rester chez lui de la journée.
Lorsqu’il partit j’étais toujours au bar à discuter avec un cousin de la famille quand soudain l'animateur de la petite soirée annonça la dernière musique : un slow.
Je vis que Marie regardait autour d'elle pour trouver un partenaire de danse, je fît mine de regarder ailleurs mais elle vint quand même prêt de moi, elle me demanda de danser avec elle, elle me prit par le bras de force et m'emmena sur la piste de danse prétextant qu'il fallait profiter de la vie et s'amuser.
Avec ses talons elle était tout juste a ma hauteur, le slow commença elle me serra contre elle et posa sa tête sur mon épaule, mon cœur s’emballât je sentais ses seins s’écraser contre moi, elle conduisait la dance en m’emmenant de gauche à droite en faisant de petit cercles excentriques rapides, je ne pouvais plus résister je sentais que mon pénis commençais à gonfler, il devenait de plus en plus dur et l'inévitable arriva sa jambe vint se frotter contre mon pénis en érection. A mon plus grand soulagement elle ne dît rien mais elle continuait à s'y frotter de plus belle tout en serrant plus fort sa poitrine contre moi qui débordait de son décolleté.
La chanson prit fin tout comme mon calvaire, j'étais rouge de honte.
Lorsque nous nous séparâmes elle se reculât d'un pat et dirigea son regard vers mon pantalon de costume qui ne masquait rien de mon érection, les formes de ma queue étaient bien distinguées, elle rehaussât son regard et me fixa avec un grand sourire tout en mordillant sa lèvre inférieure.
Le reste des invités partirent en remerciant la dernière hôte présente, Marie se retourna sur moi et un cousin incapable de reprendre la route et nous fît par de son contentement pour cette soirée.
Nous sommes donc tous allé dormir. J’ai repensé à tout cela pendant le reste de la nuit et le lendemain matin je me réveillai avec une gaule d’enfer.
Il faisait chaud je n’avais qu’un fin drap pour me recouvrir, je songeai qu’elle aurait pu m’apercevoir car la porte donnant dans le couloir était grande ouverte.
Je m’habillais avec seuls vêtements que j’avais salis au garage et descendis au rez-de-chaussée pour déjeuner.
Marie était encore dans la cuisine, François et son père étaient partit travaillé pour la matinée dans le garage dont il est patron qui se situe à 7km de leur habitation.
Je fût ébahi en rentrant dans la pièce, Marie était habillée d'une simple nuisette sexy légèrement transparente.
Lorsqu’elle me vit rentré elle en prit conscience et s'excusa d'être habillée de la sorte elle pensait que j’étais partit avec eux mais ça n'avais pas vraiment l'air de la gêner.
elle m'invita à m’asseoir à table et elle se pencha en avant vers moi pour me servir un restant de tarte de la veille. Bien malgré moi je plongeai mon regard dans sa poitrine, à cette vue je me mis directement à bandé comme un cheval.
Sous la table elle ne pouvait rien remarquer et j’en étais bien heureux car je devenais déjà rougeâtre. J’ai pu remarquer qu’elle ne portait pas de soutiens gorge, je pouvais apercevoir ces tétons pointer sous sa nuisette fine et je devinais les auréoles qui les entouraient. Ses seins étaient bien ferme ils ne tombaient pas.
Après m’avoir servi elle se remit à ses fourneaux et me tourna le dos pour m’offrir un beau spectacle, sa nuisette était plutôt courte elle s’arrêtait juste en bas des fesses, elle portait un string noir.
Je ne pouvais plus m’arrêté de bander je fixais sans arrêt ses fesses si délicieuses qui me donnait beaucoup d’envie de plus ses longues jambes fines et interminables me rendaient fou.
Elle ne restait pas en place en enchaînait plusieurs poses sexy sans en avoir l’air, elle se baissait pour prendre des ustensiles dans les tiroirs les plus bas, me laissant apercevoir son string rentré dans sa chatte humide et faisais aller ses jambes en m’effleurant d’un manière absolument irrésistibles, je ne pouvais m’empêcher de la regarder, j’en oubliais presque que c’était la mère de mon ami et qu’il fallait tout de même résister et regarder discrètement mais pour ce point c’était raté elle me regardait elle aussi et chaque fois que nos regards se croisaient prit sur le fait je baissait les yeux.
Quand soudain elle se mit à m’adresser la parole, le flux de mes pensées érotiques s’estompa un moment.
Elle : Tient François m’a dit que vous comptiez aller au bowling ce soir, tu sais ce que vous faites après cela ?
Moi : Oui, il m’en a parlé hier soir, je ne suis pas certain mais il pensait inviter nos camarades de classe pour aller boire un verre au café. Vous à t’il dit que je resterais chez vous aujourd’hui ?
Elle : Parfait ça me semble être une bonne idée, oui c’est d’ailleurs moi qui lui aie proposé. Je trouvais que ça ne valait pas la peine que tu rentre chez toi pour si peu de temps.
Moi : En effet cela arrange certainement mes parents c’est gentil de votre part.
Elle : De rien c’est normale pour le meilleur ami de son fils, tient tu n’as pas eu le temps de prendre ta douche hier ? Veux tu la prendre maintenant tant que François est partit ?
Moi : non j’étais bien trop fatigué mais oui je veux bien merci.
Elle : D’accord, tu sais ou est la salle de bain fait comme chez toi, et à tu de quoi te changé pour sortir ce soir ?
Moi : ok merci, non mais je ne pensais pas rester je n’ai que ces vêtement-ci.
Elle : tu peux les mettre devant la porte de la salle de bain avant de prendre ta douche j’allais justement démarrer la lessiveuse. En attendant tu mettras des habits à François vous faites la même taille, tu peux regarder dans son armoire n’hésite pas.
Moi : Merci c’est très gentil de votre part.
Je bande encore comme un cheval et j’ai peur de me levé à cause de cela, je m’arrange pour déguerpir lorsqu’elle a le dos tourné et part vers la salle de bain, je me déshabille et dépose mes affaires sales devant la porte puis je ferme la porte a clefs, je n’en reviens toujours pas de la manière dont elle était habillée, je suis excité au plus haut point, et je ne pu m’empêcher de croire qu’elle avait tout planifié, je sentais qu’elle me cherchait.
Je commence à me soulager tout en pensant à son corps de rêve bien bandant quand elle toque à la porte.
Elle : Gilles peux tu ouvrir j’ai oublié de prendre des affaires sales
Moi : heu … oui mais je suis nu luis di-je d’une vois incertaine.
Elle : ce n’est pas grave met une serviette de bain j’ai déjà vu des hommes nu ne soit pas gêné.
Bien malgré moi je du m’exécuter, je mis un essuie autour de ma taille tout en mettant mes mains sur ma queue pour tenter de cacher ma demi érection, j’ouvre la porte.
Elle rentre, toujours habillée de sa petite nuisette sexy, elle pose un petit regard amusé vers moi puis et elle se penche en faisant le tour de la pièce pour ramasser quelque t-shirts qui trainait sur le sol, cela me suffit pour me redonner vigueur a mon membre désormais bien dur, je suis rouge et je tiens toujours mes mains à la même position.
Quand elle eu fini et fît un tas des quelques vêtement ramassé sur le côté, elle me regarda puis fixa le haut de l’étagère du regard :
Elle : tu es plus grand que moi, veux-tu bien prendre la paire de chaussettes sales qui est au dessus de l’étagère ?
Moi : oui
Je prie pour que ma serviette de bain reste en place car je suis obligé de lâcher mes mains de mon entre-jambe.
Je l’attrape et me retourne face à elle, rien n’à bouger mais mon érection est bien visible.
Je lui tends mais elle la laisse tomber, elle se met alors a genoux pour la ramasser, et la je sens son regard progresser vers le haut pour s’arrêté vers ma queue :
Elle : waouw et bien je ne pensais pas que je te faisais autant d’effet
Moi : je suis vraiment désolé je ne me contrôle pas c’est ma faute
Elle : non ne t’excuse pas c’est tout naturel ; mais répond franchement est ce que je te plaît ?
Moi : je ne pourrais pas prétendre le contraire vous êtes très jolie et j’avoue que cette petite nuisette vous va à ravir
Elle : je le savait, depuis que tu es arrivé chez nous j’ai remarqué que tu me dévorais des yeux sans arrêt petit coquin !
Maintenant trêve de plaisanterie, j’ai bien envie de voir le monstre qui se cache la dessous, tu bandais bien dur pendant le slow hier ça m’a bien excité ! et j’ai déjà pu voir qu’une belle bosse se dessinait lorsque je faisais mine de t’exciter.
Elle m’arracha l’essuie des mains et contempla ma queue d’une manière admirative « Mhhhhh mon dieu qu’elle bite elle est bien plus grosse que celle de mon mari et de mes ex » elle l’a saisi dans ses mains et approcha sa bouche de ma queue pour finir par me sucer, j’étais aux anges, je ne bougeais plus et je la laissais faire c’était si bon !
J’avais déjà eu une relation sexuelle avec mon ancienne copine mais on ne m’avait jamais sucé de la sorte.
Elle était toujours à genoux en train de me pomper, Je finis par glisser mes mains dans ses cheveux et lui prit la tête fermement pour qu’elle me suce plus loin encore, elle avalait presque les ¾ de ma queue, j’accélérais la cadence et la faisais aller de plus en plus loin ne pensant qu’a mon plaisir !. Elle me repoussa et appuyant ses mains contre mes hanches et reprit son souffle, elle cracha sur ma queue bien dure puis me dit que j’y vais fort mais qu’elle aime ça.
Elle retira sa nuisette laissant apparaitre ses superbes seins que je m’empressai de malaxer et de caresser, je jouais avec ses tétons qui pointèrent rapidement pendant qu’elle me branlait.
Elle : tu en rêvais depuis longtemps hein avoue ?
Moi : mhh oui j’y pensais toujours, je fantasme sur vous depuis un moment
Elle arrêta puis se mit couchée sur le dos et me disant « va y prend moi avec ta grosse queue »
Je la doigtais un peu puis m’exécuta de suite j’introduis ma queue dans sa chatte humide, elle se mit vite à gémir de plaisir et en redemandait de plus belle « oui c’est bon prend moi plus fort », on changeât de position qui fut la dernière elle se mit à 4 pattes et on entama une bonne levrette j’y allais à grand coups de rein sous ses gémissement, elle se tenait au mur d’une main pour évité d’avancer, ses seins se balançaient d’avant en arrière et mes boulles frappait contre ses fesses bien fermes qui tremblait a chaque entrechoquement, elle finit par jouir, elle criait sans retenue, peu après je lâcha tout mon jus sur son dos.
On attendit un peu puis elle prit ensuite la douche avec moi et me suça de nouveau mais rien ne sortit elle m’avait achevé.
Elle me fît promettre de ne jamais rien dire et on fît comme si rien ne s’était passé.
La suite peut être pour une autre histoire x !
je m’appelle Gilles, j'ai 21 ans et cette histoire s'est passée il y à 3-4 ans.
Lors de mon entrée en 5ème rénové j'ai fais la connaissance d'un garçon de mon âge François. On s'est vite liés d'amitié, lui et moi avions pas mal de points en communs, on était tout le temps ensemble à l'école et cela nous amenèrent vite chez l'un et chez l'autre pour des travaux scolaires.
En arrivant chez lui j'ai tout de suite remarqué la beauté de sa maman Marie, elle à la quarantaine, elle est grande et fine avec une longue chevelure blonde et une magnifique poitrine bien généreuse qu'elle avait toujours le don de mettre en valeur d'un façon presque provocante quand j'étais chez eux.
Elle avait de plus des fesses bien fermes que l'on ne pouvait pas s’empêcher de remarquer.
Au début je ne suis venu que 3 ou 4 fois durant ma cinquième année scolaire, elle était toujours très sexy, elle portait bien souvent un jeans moulant avec un chemisier qui lui compressait la poitrine dont elle enlevait les premiers boutons pour laisser apparaître un magnifique décolleté en V. J'avais toujours l'impression que ce premier bouton fixé allait lâcher sous la pression de son imposante poitrine.
Elle était toujours très gentille avec moi et un brin provocatrice, elle devait certainement remarqué que je n'était pas insensible à son charme et elle devait s'amuser de la situation.
Un vendredi midi après notre tout dernier examen je rentrai avec François car il prévoyait de fêter son anniversaire au soir.
Sa maman Marie passât nous prendre en voiture et nous déposa d'abord au garage que tenait le papa de François, ce n’était pas prévu mais celui-ci avait besoin d'aide, n’ayant pas prévu d'habits de travail je salis ceux que je portait sur moi.
A peine rentrer chez lui j'enfilais mon costume que j’avais préalablement prit et nous étions prêt a accueillir les invités.
J'ai pu la voir plus belle que jamais à l'occasion de cet anniversaire, depuis ce jour je peux
Dire que je fantasmais complètement sur elle.
Marie était resplendissante, de bas en haut elle portait des talons aiguilles assez haut une petite robe noire qui arrivait mi-cuisse, ce qui laissais ses longues jambes interminables apparentes. Ses talons lui donnaient une cambrure délicieuse, on pouvait l'apprécier du regard car sa robe était bien moulante.
Sa robe se finissait ensuite par un décolleté somptueux. Tout au long de la soirée d’anniversaire je ne pu m’empêcher de poser un regard discret mais continu sur sa superbe silhouette.
La soirée fût agréable et bien arrosée, à table je fît la connaissance de la famille très charmante de François. Cette soirée se termina sur la piste de dance avec une série de musique rock.
Nous étions au bar avec François, on s’amusait, on discutait et parlaient de tout et de rien, nous amusions de la manière de danser de chacun.
Je suivais toujours sa maman du regard qui dansait avec son père. Elle dansait très bien et avait un bon déhanché qui me faisait frémir de désir. Je voyais ses superbes seins généreux et ses fesses bien fermes bouger sur le rythme de la musique.
Elle débordait d'énergie et le papa de François n'en pouvais plus, épuiser il allât se coucher en laissant leurs 10 derniers invités aux soins de sa femme. François ne tarda pas à le rejoindre, il me dit que je pouvais encore rester et m’expliqua ou étais ma chambre.
Il m’expliqua aussi qu’il aurait bien aimé fêter son anniversaire avec des amis de notre classe et pour ce faire il pensait organiser un bowling suivi d’une sortie improvisée. N’ayant pas de voiture à ma disposition pour le samedi soir j’acceptai de rester chez lui de la journée.
Lorsqu’il partit j’étais toujours au bar à discuter avec un cousin de la famille quand soudain l'animateur de la petite soirée annonça la dernière musique : un slow.
Je vis que Marie regardait autour d'elle pour trouver un partenaire de danse, je fît mine de regarder ailleurs mais elle vint quand même prêt de moi, elle me demanda de danser avec elle, elle me prit par le bras de force et m'emmena sur la piste de danse prétextant qu'il fallait profiter de la vie et s'amuser.
Avec ses talons elle était tout juste a ma hauteur, le slow commença elle me serra contre elle et posa sa tête sur mon épaule, mon cœur s’emballât je sentais ses seins s’écraser contre moi, elle conduisait la dance en m’emmenant de gauche à droite en faisant de petit cercles excentriques rapides, je ne pouvais plus résister je sentais que mon pénis commençais à gonfler, il devenait de plus en plus dur et l'inévitable arriva sa jambe vint se frotter contre mon pénis en érection. A mon plus grand soulagement elle ne dît rien mais elle continuait à s'y frotter de plus belle tout en serrant plus fort sa poitrine contre moi qui débordait de son décolleté.
La chanson prit fin tout comme mon calvaire, j'étais rouge de honte.
Lorsque nous nous séparâmes elle se reculât d'un pat et dirigea son regard vers mon pantalon de costume qui ne masquait rien de mon érection, les formes de ma queue étaient bien distinguées, elle rehaussât son regard et me fixa avec un grand sourire tout en mordillant sa lèvre inférieure.
Le reste des invités partirent en remerciant la dernière hôte présente, Marie se retourna sur moi et un cousin incapable de reprendre la route et nous fît par de son contentement pour cette soirée.
Nous sommes donc tous allé dormir. J’ai repensé à tout cela pendant le reste de la nuit et le lendemain matin je me réveillai avec une gaule d’enfer.
Il faisait chaud je n’avais qu’un fin drap pour me recouvrir, je songeai qu’elle aurait pu m’apercevoir car la porte donnant dans le couloir était grande ouverte.
Je m’habillais avec seuls vêtements que j’avais salis au garage et descendis au rez-de-chaussée pour déjeuner.
Marie était encore dans la cuisine, François et son père étaient partit travaillé pour la matinée dans le garage dont il est patron qui se situe à 7km de leur habitation.
Je fût ébahi en rentrant dans la pièce, Marie était habillée d'une simple nuisette sexy légèrement transparente.
Lorsqu’elle me vit rentré elle en prit conscience et s'excusa d'être habillée de la sorte elle pensait que j’étais partit avec eux mais ça n'avais pas vraiment l'air de la gêner.
elle m'invita à m’asseoir à table et elle se pencha en avant vers moi pour me servir un restant de tarte de la veille. Bien malgré moi je plongeai mon regard dans sa poitrine, à cette vue je me mis directement à bandé comme un cheval.
Sous la table elle ne pouvait rien remarquer et j’en étais bien heureux car je devenais déjà rougeâtre. J’ai pu remarquer qu’elle ne portait pas de soutiens gorge, je pouvais apercevoir ces tétons pointer sous sa nuisette fine et je devinais les auréoles qui les entouraient. Ses seins étaient bien ferme ils ne tombaient pas.
Après m’avoir servi elle se remit à ses fourneaux et me tourna le dos pour m’offrir un beau spectacle, sa nuisette était plutôt courte elle s’arrêtait juste en bas des fesses, elle portait un string noir.
Je ne pouvais plus m’arrêté de bander je fixais sans arrêt ses fesses si délicieuses qui me donnait beaucoup d’envie de plus ses longues jambes fines et interminables me rendaient fou.
Elle ne restait pas en place en enchaînait plusieurs poses sexy sans en avoir l’air, elle se baissait pour prendre des ustensiles dans les tiroirs les plus bas, me laissant apercevoir son string rentré dans sa chatte humide et faisais aller ses jambes en m’effleurant d’un manière absolument irrésistibles, je ne pouvais m’empêcher de la regarder, j’en oubliais presque que c’était la mère de mon ami et qu’il fallait tout de même résister et regarder discrètement mais pour ce point c’était raté elle me regardait elle aussi et chaque fois que nos regards se croisaient prit sur le fait je baissait les yeux.
Quand soudain elle se mit à m’adresser la parole, le flux de mes pensées érotiques s’estompa un moment.
Elle : Tient François m’a dit que vous comptiez aller au bowling ce soir, tu sais ce que vous faites après cela ?
Moi : Oui, il m’en a parlé hier soir, je ne suis pas certain mais il pensait inviter nos camarades de classe pour aller boire un verre au café. Vous à t’il dit que je resterais chez vous aujourd’hui ?
Elle : Parfait ça me semble être une bonne idée, oui c’est d’ailleurs moi qui lui aie proposé. Je trouvais que ça ne valait pas la peine que tu rentre chez toi pour si peu de temps.
Moi : En effet cela arrange certainement mes parents c’est gentil de votre part.
Elle : De rien c’est normale pour le meilleur ami de son fils, tient tu n’as pas eu le temps de prendre ta douche hier ? Veux tu la prendre maintenant tant que François est partit ?
Moi : non j’étais bien trop fatigué mais oui je veux bien merci.
Elle : D’accord, tu sais ou est la salle de bain fait comme chez toi, et à tu de quoi te changé pour sortir ce soir ?
Moi : ok merci, non mais je ne pensais pas rester je n’ai que ces vêtement-ci.
Elle : tu peux les mettre devant la porte de la salle de bain avant de prendre ta douche j’allais justement démarrer la lessiveuse. En attendant tu mettras des habits à François vous faites la même taille, tu peux regarder dans son armoire n’hésite pas.
Moi : Merci c’est très gentil de votre part.
Je bande encore comme un cheval et j’ai peur de me levé à cause de cela, je m’arrange pour déguerpir lorsqu’elle a le dos tourné et part vers la salle de bain, je me déshabille et dépose mes affaires sales devant la porte puis je ferme la porte a clefs, je n’en reviens toujours pas de la manière dont elle était habillée, je suis excité au plus haut point, et je ne pu m’empêcher de croire qu’elle avait tout planifié, je sentais qu’elle me cherchait.
Je commence à me soulager tout en pensant à son corps de rêve bien bandant quand elle toque à la porte.
Elle : Gilles peux tu ouvrir j’ai oublié de prendre des affaires sales
Moi : heu … oui mais je suis nu luis di-je d’une vois incertaine.
Elle : ce n’est pas grave met une serviette de bain j’ai déjà vu des hommes nu ne soit pas gêné.
Bien malgré moi je du m’exécuter, je mis un essuie autour de ma taille tout en mettant mes mains sur ma queue pour tenter de cacher ma demi érection, j’ouvre la porte.
Elle rentre, toujours habillée de sa petite nuisette sexy, elle pose un petit regard amusé vers moi puis et elle se penche en faisant le tour de la pièce pour ramasser quelque t-shirts qui trainait sur le sol, cela me suffit pour me redonner vigueur a mon membre désormais bien dur, je suis rouge et je tiens toujours mes mains à la même position.
Quand elle eu fini et fît un tas des quelques vêtement ramassé sur le côté, elle me regarda puis fixa le haut de l’étagère du regard :
Elle : tu es plus grand que moi, veux-tu bien prendre la paire de chaussettes sales qui est au dessus de l’étagère ?
Moi : oui
Je prie pour que ma serviette de bain reste en place car je suis obligé de lâcher mes mains de mon entre-jambe.
Je l’attrape et me retourne face à elle, rien n’à bouger mais mon érection est bien visible.
Je lui tends mais elle la laisse tomber, elle se met alors a genoux pour la ramasser, et la je sens son regard progresser vers le haut pour s’arrêté vers ma queue :
Elle : waouw et bien je ne pensais pas que je te faisais autant d’effet
Moi : je suis vraiment désolé je ne me contrôle pas c’est ma faute
Elle : non ne t’excuse pas c’est tout naturel ; mais répond franchement est ce que je te plaît ?
Moi : je ne pourrais pas prétendre le contraire vous êtes très jolie et j’avoue que cette petite nuisette vous va à ravir
Elle : je le savait, depuis que tu es arrivé chez nous j’ai remarqué que tu me dévorais des yeux sans arrêt petit coquin !
Maintenant trêve de plaisanterie, j’ai bien envie de voir le monstre qui se cache la dessous, tu bandais bien dur pendant le slow hier ça m’a bien excité ! et j’ai déjà pu voir qu’une belle bosse se dessinait lorsque je faisais mine de t’exciter.
Elle m’arracha l’essuie des mains et contempla ma queue d’une manière admirative « Mhhhhh mon dieu qu’elle bite elle est bien plus grosse que celle de mon mari et de mes ex » elle l’a saisi dans ses mains et approcha sa bouche de ma queue pour finir par me sucer, j’étais aux anges, je ne bougeais plus et je la laissais faire c’était si bon !
J’avais déjà eu une relation sexuelle avec mon ancienne copine mais on ne m’avait jamais sucé de la sorte.
Elle était toujours à genoux en train de me pomper, Je finis par glisser mes mains dans ses cheveux et lui prit la tête fermement pour qu’elle me suce plus loin encore, elle avalait presque les ¾ de ma queue, j’accélérais la cadence et la faisais aller de plus en plus loin ne pensant qu’a mon plaisir !. Elle me repoussa et appuyant ses mains contre mes hanches et reprit son souffle, elle cracha sur ma queue bien dure puis me dit que j’y vais fort mais qu’elle aime ça.
Elle retira sa nuisette laissant apparaitre ses superbes seins que je m’empressai de malaxer et de caresser, je jouais avec ses tétons qui pointèrent rapidement pendant qu’elle me branlait.
Elle : tu en rêvais depuis longtemps hein avoue ?
Moi : mhh oui j’y pensais toujours, je fantasme sur vous depuis un moment
Elle arrêta puis se mit couchée sur le dos et me disant « va y prend moi avec ta grosse queue »
Je la doigtais un peu puis m’exécuta de suite j’introduis ma queue dans sa chatte humide, elle se mit vite à gémir de plaisir et en redemandait de plus belle « oui c’est bon prend moi plus fort », on changeât de position qui fut la dernière elle se mit à 4 pattes et on entama une bonne levrette j’y allais à grand coups de rein sous ses gémissement, elle se tenait au mur d’une main pour évité d’avancer, ses seins se balançaient d’avant en arrière et mes boulles frappait contre ses fesses bien fermes qui tremblait a chaque entrechoquement, elle finit par jouir, elle criait sans retenue, peu après je lâcha tout mon jus sur son dos.
On attendit un peu puis elle prit ensuite la douche avec moi et me suça de nouveau mais rien ne sortit elle m’avait achevé.
Elle me fît promettre de ne jamais rien dire et on fît comme si rien ne s’était passé.
La suite peut être pour une autre histoire x !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J ai connu la même chose avec un jeune homme comme toi j ai adoré comme ton récit d ailleurs, dommage qu il soit mal écrit
Mmmm,
a suivre vite merci
Mauvaises orthographe et grammaire ça gâche le récit
belle histoire - la suite - ameliore la rédaction.
quel belle histoire tu as du en rever bien des nuits ; vite la suite si il y a eu :)
orthographe et grammaire lamentables .....