Mère de famille découvre la passion 3
Récit érotique écrit par MurmureMasqué [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère de famille découvre la passion 3
Au réveil le mardi matin, je suis ravi que le week-end soit passé. Ils n'avaient pas besoin de moi à la bibliothèque le samedi, même si Sophie y était pour donner les cours aux enfants. Je n'ai pas arrêté de penser à elle. J'étais aussi inquiet de ne pas avoir utilisé de préservatif, même si le risque de tomber enceinte est minime, il est quand même présent.
Les batteries rechargées, je n'ai qu'une seule envie à présent, la prendre à nouveau dans tous les sens. Je me dépêche de me rendre à la bibliothèque à l'avance, pas par sérieux, les bibliothécaires se fichent de l'arrivée ou des départs de bénévoles, mais par envie de la retrouver le plus tôt possible. Pourtant, je ne suis pas sûr de l'y trouver tout de suite, mais je suis trop impatient.
Sur le trajet, je me rends compte que je suis beaucoup trop en avance (25 minutes) et en tant que bénévole, je n'ai pas les clés pour pouvoir m'installer à l'intérieur, je vais devoir attendre une collègue devant la porte, mais peu importe.
Arrivé sur place, je descends les escaliers qui longent mon lieu de travail pour arriver sur une place un peu plus bas, par où le personnel entre. Au pied de l'escalier, il y a quelques pas à faire avant d'arriver sur la petite place où en marchant vers la gauche, on arrive à l'entrée du personnel. Il y a aussi un accès à des locaux de la mairie. En tournant sur ma gauche, je suis surpris d'apercevoir Sophie. Je ris intérieurement, je sais pourquoi elle est là. Elle est adossée avec son épaule contre le mur entre la porte d'entrée et une autre porte qui mène à un local. En me voyant, elle se redresse. Je stoppe ma marche et nous nous regardons de loin. Il fait déjà chaud, mais la température augmente soudainement. Cent mètres nous séparent, mais nous nous fixons comme des animaux en période de reproduction. Une force magnétique nous attire l'un à l'autre.
D'un pas sûr, je m'avance vers elle. Encore une fois, plus je m'approche, plus elle perd ses moyens. Je raffole de l'effet que je lui procure depuis la dernière fois. Elle est magnifique et encore plus coquine que la semaine passée. Elle porte une robe blanche légère et près du corps. Le décolleté est osé et de gros boutons noirs semblent la serrer parfaitement pour ressortir ses formes. La robe est très courte, mi-cuisse, une simple brise pourrait nous révéler ses dessous. Elle porte de petits talons noirs. Elle est terriblement sexy.
À son niveau, je n'ai pas encore parlé qu'elle est déjà rougissante, regardant partout sur le sol, gênée. Avec une attitude de dragueur, je m'appuie à côté d'elle, calmement et d'un ton joueur, je lui lance :
- Bonjour Sophie
- Bon... (soupir) ... Bonjour.
- Je sais pourquoi tu es déjà là Sophie.
Elle rougit.
- Tu as pensé à moi tout le week-end ma chérie et tu n'as qu'une seule chose en tête à présent, n'est-ce pas ? Lui dis-je d'un ton calme mais provocateur.
Elle bafouille, ne sait pas quoi répondre, comme un coupable pris sur les faits.
- Ne t'en fais pas... Je vais assouvir tes pulsions de femelle en chaleur... Tu vas t'en tordre de plaisir.
Je m'avance doucement vers elle, elle recule lentement vers la porte du local. Elle ne me répond pas, mais sa respiration devient de plus en plus forte. D'une voix tremblante, elle me dit :
Il... Il faudrait qu'on arrête... on... on pourrait nous surprendre...
Elle est désormais reculée sur la porte du local. Je passe mon bras autour d'elle et saisis la poignée de la porte. Elle est ceinturée, je l'emprisonne et suis collé à elle. Elle sent mon souffle sur son décolleté et ouvre inconsciemment son cou. Je lui murmure, sûr de moi :
Tu ne veux pas qu'on arrête bébé, tu es déjà trempée et tu n'attends qu'une chose... Tu veux que je te fasse hurler comme la dernière fois.
Elle se contente d'ouvrir encore plus son cou, la tête posée contre la porte à me regarder les yeux mi-clos, me suppliant du regard de faire d'elle tout ce que je souhaite. Je prie intérieurement pour que le local soit ouvert. J'ai l'habitude d'y déposer les cartons des fournitures, il est souvent ouvert, mais comme nous sommes en retour de week-end, je crains qu'il ne soit fermé.
Je continue à la torturer de mon souffle. Elle commence à se tortiller inconsciemment contre la porte, mais la peur d'être aperçue se voit aussi sur son visage. Elle est tiraillée entre l'envie d'assouvir ses pulsions sans se préoccuper du reste, quitte à prendre du plaisir au vu et au su de tous, et paraitre respectable et sérieuse comme elle en a l'habitude. Nous sommes actuellement susceptibles d'être surpris par n'importe qui, collègues, ouvriers de chantiers, il y a un bâtiment en face de nous, même si pour l'instant, nous semblons être isolés.
D'un geste brusque, je la tire, collée contre moi et ouvre rapidement la porte du local. Je la projette à l'intérieur violemment et m'y insère également. Choquée de ce traitement, elle se retourne, se réajuste d'un air surpris. On commence à se fixer et la lourde porte se claque derrière moi. Le claquement de cette porte nous plonge dans une nouvelle ambiance, le monde s'arrête. Comme si ce claquement nous avait coupé de tout et sonné l'autorisation de nous adonner à tous nos phantasmes. Seules nos respirations se font entendre dans la pièce, comme deux chiens se fixant la langue pendue, avides l'un de l'autre. La tension sexuelle est extrême, je vois dans son regard un puissant désir, mais également de la peur.
En effet, le local était certainement à l'origine un local poubelle, puisqu'au niveau de la tête, sur la grosse porte en métal, un grillage permet de voir ce qu'il s'y passe. De l'extérieur, il est impossible d'y voir si on ne colle pas son visage à la grille. De l'intérieur, on perçoit mieux les choses. Seule la lumière de l'extérieur éclaire l'obscurité du local. Le risque de se faire prendre ajoute du piment à la situation, car n'importe qui peut y entrer, même si je n'imagine pas quelqu'un y déposer des cartons dès l'ouverture. Il nous suffira d'être discrets, ce qui n'est pas gagné vu les désirs qui nous brûlent mutuellement.
Je fais dos à la porte, Sophie me fait face. Deux énormes bennes remplies de cartons sont présentes de chaque côté, il y en a même quelques-uns sur le sol. Devant les bennes, côté porte, plusieurs planches et parties de mobilier de bureau y sont déposées par le personnel de la mairie. Les bennes ne sont pas complètement poussées contre le mur du fond, il y a un espace d'un mètre environ de chaque côté.
Sophie est fébrile et pleine d'envie, j'adore la voir perdre ses moyens devant mon assurance. J'avance lentement vers elle, pendant qu'elle recule sur le même rythme, jusqu'à ce qu'elle sursaute quand son dos touche le mur.
Je la sais impatiente, elle veut qu'on se saute dessus sauvagement, mais je prends mon temps et viens la plaquer de tout mon poids contre le mur. Du bout du museau, je lui chatouille la peau, je pars du haut de sa poitrine pour finir derrière son oreille, elle sent mes soupirs, mon souffle chaud sur elle. Elle savoure pleinement, les yeux fermés, le cou grand ouvert. Je me délecte de son corps, toujours lentement, je la devine toute rouge. Je la sens commencer à faillir, elle chuchote de petits "ohhh" "oui" elle est seule dans son monde, elle se déhanche contre le mur comme contre une barre de pole dance. Pourtant, je ne me contente pour l'instant que de l'effleurer, la titiller du bout de mon nez, la mordiller. Quand elle perd le contact entre nos peaux, elle ne sait jamais où est-ce qu'elle le retrouvera. Chaque souffle, chaque suçon, chaque effleurement est une surprise.
D'un geste violent et sec, je lui dégrafe complètement cette robe qui la moulait parfaitement. Elle sursaute avec un petit cri, puis me regarde presque offusquée, mais encore plus excitée. Je la dévore du regard d'un air dominateur, sa robe serrée ressemble maintenant à une blouse d'infirmière déboutonnée. Sa lingerie blanche étouffe ses chairs dodues et amplifie la dureté de mon entre-jambe. On se défie du regard comme deux bêtes affamées, laquelle dévorera l'autre ? La tension sexuelle est insupportable, son opulente poitrine est libérée de sa robe.
Encore par surprise, je tire fermement sur son soutien-gorge, qui se dégrafe à ma surprise par devant, pour libérer ses deux grosses mamelles.
Ces gestes violents mais plein d'assurance la scandalisent, mais tout de suite après, ils augmentent le désir fou qu'elle éprouve à cet instant. J'ai affaire à une féline prête à bondir. Nos respirations sont tellement bruyantes que je ne serais pas étonné qu'on les entende à l'extérieur. Nos regards et nos soupirs l'un sur l'autre sont bestiaux. Mes lèvres viennent effleurer les siennes, on se souffle mutuellement dessus avec la terrible envie de manger son vis-à-vis. Elle perd patience et tente de me prendre à pleine bouche, je me retire d'un geste vif et assuré pour la plaquer à nouveau contre le mur avec virilité et lui mords le cou. Elle gémit, mais ne reste pas passive. On veut se dévorer sans laisser la moindre miette. On se met des coups de langue, des suçons à pleine bouche, nos mains pelotent avec vigueur le corps de l'autre. Je plante mes doigts dans ses cuisses, son fessier, ses flancs, sa poitrine dans n'importe quel ordre. Elle aussi laisse parcourir ses mains partout sur mon corps. Je gobe sa poitrine de manière indécente et plus je m'applique sur ses deux globes de chair, plus je la sens lâcher prise. Ses gémissements sont divins et amplifient mon appétit. Nos bouches finissent par se souder comme deux sangsues. Au fur et à mesure que nos langues se battent, je la sens de moins en moins tenir sur ses jambes. Ma posture affirmée dénote avec son abandon progressif. Mes mains triturent son gros fessier et elle me gémit dans la bouche qui ne veut plus la quitter. Quand je la sens se relâcher complètement, par surprise et brusquement, je la retourne pour la plaquer fermement, seins contre le mur. Elle est déboussolée et son cul m'est totalement offert.
J'abats une énorme claque sur ses fesses qui lui fait pousser un cri de surprise et d'envie. Voir son corps vibrer de partout m'excite encore plus. Je calme complètement le rythme alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, que je la prenne avec vigueur. Je la débarrasse de sa robe que je jette dans la benne avec mon polo. D'une main, je saisis lentement mais avec fermeté ses cheveux. Ma poigne lui forme une queue-de-cheval que je tire vers moi pour lui faire redresser la tête. De l'autre main, mes mouvements sont beaucoup plus doux. Je recommence à l'effleurer du bout des doigts, sur ses fesses, je monte parfois sur son dos, je descends sur ses cuisses. Par moment, une autre claque bien forte s'abat à nouveau sur ce cul. Ces changements de rythme lui font perdre la tête. Elle me maudit intérieurement, mais me remercie aussi également, elle ne sait plus quoi penser.
Des deux mains maintenant, mes doigts continuent à se faufiler le long de ses jambes entre ses cuisses, que je claque de temps en temps par surprise. Ses jambes tremblent de toutes parts, comme possédée, elle raconte n'importe quoi, ce qu'elle baragouine ressemble à des sanglots de petites filles, punies injustement, entrecoupés de gémissements de plaisir. En ne se fiant qu'à ses gémissements, on pourrait penser que je la baise ou que je la doigte, mais il n'en est rien. Je me contente de la faire languir avec le bout de mes doigts le long de son corps, avec intermittence. Ses gémissements sont un mélange de plaintes et de plaisir. Elle se plaint de ne pas me sentir sauvagement en elle, mais savoure aussi les sensations diaboliques que je lui fais ressentir.
Toujours par surprise et contrairement aux douces caresses que je lui procure, je lui descends avec virulence son string au niveau de ses talons. Bien qu'étonnée et tremblante, elle lève machinalement les pieds pour que je l'en débarrasse. Elle est maintenant seulement en talon et complètement nue, plaquée contre le mur en me tendant son énorme fessier. Torse-nu, je déboutonne mon short pour laisser enfin ma grosse queue respirer. Au contact de mon sexe frôlant ses fesses, elle laisse échapper une sorte de plainte tout en poussant son gros cul contre ma verge. J'assène une nouvelle frappe sur sa fesse, le cri est cette fois-ci un mélange de douleur et de plaisir.
Je la redresse par les cheveux en la plaquant contre mon torse et lui susurre dans le creux de l'oreille :
Tu vas rester patiente ma chérie et quand je l'aurai décidé, tu videras ton corps de jouissance.
Elle gémit, la délicieuse torture que je lui fais subir la rend bipolaire. Je l'entends parfois chuchoter des supplications qu'elle coupe par des insultes en grognant, puis elle chuchote des malédictions en se reprenant pour me crier de la faire jouir. Avec mon gland, je pousse le vice un peu plus loin, en frottant diaboliquement mon gourdin le long de sa chatte. Je sais quand l'effleurer, quand appuyer ma bite sur une zone de sa chatte ou quand stopper le contact.
Comme la fois précédente, la sachant sensible des seins, c'est par là où elle ne s'y attend pas que je vais "l'achever". Je la retourne pour qu'elle soit de face. Elle sent mon poids la compresser contre le mur et mon souffle chaud dans le creux de sa nuque. Je glisse ma main pour saisir ma queue pour continuer à lui frotter la chatte, mon gland est coincé entre ses lèvres juste en dessous de son clitoris. Avec synchronisation, j'attrape soudainement ses deux seins pour les pincer avec force et d'un geste du bassin, ma bite exerce une forte pression sur son clitoris. Je l'immobilise en même temps avec une morsure au cou. Elle semble traversée par la foudre. Il est impossible pour elle de retenir un hurlement que j'étouffe en plaquant ma main sur sa bouche. Elle ne tient que par la pression que j'exerce sur elle contre le mur mais je la vois progressivement glisser vers le sol au fur et à mesure des spasmes qui la traversent et me repoussent en arrière. Elle m'entend lui murmurer calmement :
Voilà ma chérie, laisse-toi aller, savoure mon bébé...
Elle se retrouve sans force, assise, les fesses nues à terre, les jambes repliées, le souffle fort, parfois coupé. Mon sexe bien raide est maintenant juste au-dessus de sa tête. Je m'amuse à le coller sur son visage, triomphant. Elle reprend peu à peu ses esprits et se rend compte de ma hampe qui ne cesse de la déranger. Elle l'attrape à pleine main pour la frotter contre son visage. Sa respiration recommence à être forte, elle prend du plaisir à frotter mon mât contre ses joues et son front, les yeux fermés comme une obsédée. Elle semble vouloir le contact de ma queue sur la moindre parcelle de son visage. Elle est tellement excitante. Ce manège continue pendant un moment puis elle ouvre bien ses yeux et m'attrape la verge de ses deux mains pour me sucer goulûment. Elle paraissait sans force il y a quelques secondes, mais là, elle gobe mon sexe comme une mort de faim. Elle n'y a jamais mis autant d'entrain avant, elle était plutôt prudente. Maintenant, elle est inarrêtable, les bruits de suçons sont indécents, elle n'a d'yeux que pour ma queue, comme s'ils étaient les seuls sur cette planète et qu'elle n'avait pour seul appétit mon gourdin.
Je n'existe plus, quand elle la recrache, elle frotte ma queue sur son visage comme une forcenée, elle parait complètement folle. La voyant autant affamée, je lui attrape la tête pour lui baiser la bouche et elle ne rechigne pas à la tâche, amplifiant les mouvements et poussant le plus loin possible.
On entend soudainement des personnes se rapprocher. Je ne l'ai pas dit, mais le passage entre l'entrée et le bas de l'escalier est en graviers. On entend donc de loin les personnes arriver et se rapprocher de la porte. Sophie est entièrement prise de panique, j'essaye de la relever, mais elle ne tient pas sur ses jambes, elle se traîne difficilement derrière la benne, pendant que je jette les vêtements qui traînent dedans. Les pas s'approchent, j'ai tout juste le temps de rejoindre Sophie dans ce petit espace entre le mur et la benne. J'arrive maintenant à la relever. Son visage est pâle, la peur se lit dans ses yeux, j'ai même l'impression de la voir brièvement sangloter :
"On est foutu"
Je la plaque contre moi, la main sur la bouche et lui susurre dans le creux de l'oreille :
Ils n'ont aucune raison d'entrer ici si on ne les attire pas. Donc pas le moindre bruit et on finira par sortir discrètement quand tout le monde sera rentré.
Je reconnais à la voix Sophie la bibliothécaire, que j'appellerai pour la suite de l'histoire Anne-Sophie pour la distinguer de celle qui est coincée avec moi. Dans l'empressement, j'ai pensé qu'ils étaient plusieurs, mais Anne-Sophie est seule au téléphone car elle n'a pas la clé pour entrer. On l'entend dire à son interlocuteur qu'elle attend devant la porte le temps qu'elle soit rejointe.
Sophie est totalement en panique, elle tremble cette fois-ci de peur et non d'excitation. La benne lui arrive au menton, ses mains posées sur le rebord de celle-ci tremblent comme des feuilles. Je la sers contre moi et continue à la rassurer en lui murmurant dans l'oreille. La situation devient excitante pour moi, Sophie a le dos collé à moi qui suis dos au mur. Devant elle, la benne dissimule nos corps, mais pas nos têtes, il faudrait qu'on se baisse si quelqu'un entrait. Elle n'a gardé que ses talons, j'ai encore mon short au niveau des genoux. Ma bite toujours dure est emprisonnée entre le bas de son dos et mon bas-ventre, mon bras droit enlace son cou comme si je la prenais en otage et ma main gauche est plaquée contre sa bouche. Je continue à la rassurer, mais je ressens de plus en plus d'excitation.
Je la relâche délicatement, elle est tellement pétrifiée qu'elle ne s'en rend pas compte, mais du bout des doigts, je recommence à l'effleurer. Je vois la chair de poule se dessiner sur ses bras. En même temps, je commence à lui parler à voix basse de cette situation coquine. Je continue à la caresser partout sur son corps du bout des doigts en lui disant :
"Tu as peur que les gens découvrent ta vraie nature mon bébé, Anne-Sophie est à 3 mètres de toi pendant que tu te laisses tripoter par un jeune étalon."
Je sens qu'elle commence à flancher, mes mots lui font terriblement de l'effet. Toujours tremblante, elle pose sa tête contre mon torse, mais boit mes paroles sans rien dire. Ma main se dirige maintenant vers sa chatte inondée. Je continue lentement à lui faire part de mes observations salaces, que derrière cette porte, elle est considérée, mais qu'entre mes mains, elle est tout l'inverse. Elle ne tient déjà plus et c'est à moi de la retenir. J'espace mes paroles par de délicieuses caresses du bout des lèvres, de son épaule jusqu'à ses oreilles et inversement. Mes bras enlacent complètement son corps pour la soutenir et ma main continue à titiller frénétiquement son bouton d'amour. Le mélange de peur extrême et de plaisir intense est nouveau pour elle : je sens un orgasme puissant arriver en elle. Une autre collègue arrive. Elles se parlent de loin. Anne-Sophie est très proche de nous. Ma main continue de lui triturer le clitoris, je lui ordonne discrètement :
"Ne jouis pas tant que je ne t'en ai pas donné l'ordre !"
"Compris !"
Elle ne répond pas concentrée sur ces délicieuses sensations. Le rythme de frottement de sa chatte accélère, les deux collègues parlent fort. Quand j'entends la clé entrer dans la serrure, je rentre mon dard dans sa chatte, ma main droite continue à exciter follement son bouton d'amour et je plaque brusquement l'intérieur de mon coude sur sa bouche, mon bras gauche entoure sa mâchoire.
"Jouis pétasse !"
Son hurlement est étouffé dans mon bras, ma main exerce une grande pression sur sa chatte.
Les collègues sont en train de franchir le pas de la porte, j'entends Anne-Sophie dire :
"T'as entendu ?"
L'autre collègue lui répond :
"Attends."
J'ai à ce moment peur qu'elles viennent vers le local. Je serre Sophie comme un malade, car elle continue à gémir, je lui chuchote :
"Tais-toi, on va se faire remarquer !"
Elle me mord l'avant-bras comme une folle, je me retiens de crier de douleur, j'ai l'impression qu'elle a déchiré un morceau de mon bras.
Les deux collègues s'enfoncent dans la bibliothèque, pensant que le bruit venait de l'intérieur. Sophie est en transe, son vagin m'essore la queue. Elle sort de puissants jets de mouille, comme si elle urinait contre la benne, il y en a partout. Revanchard, maintenant que les collègues sont à l'intérieur, je lui mets de puissants coups de reins et la plaque contre la benne. Je m'active contre son gros cul bien flasque comme pour la punir de cette morsure, cette levrette est fantastique, mais fatigante car elle ne tient plus debout. Je veux la mettre à quatre pattes pour la défoncer une bonne fois pour toutes mais un nouveau claquement de porte nous surprend.
Sophie est comme évanouie, elle ne s'en rend pas compte, je nous fais glisser immédiatement derrière la benne, parce que les voix sont très proches. Je reconnais les voix de deux membres du personnel de la mairie qui viennent fumer juste devant la porte du local avant de commencer leur journée. J'ai bien faitde nous cacher, car j'entends l'un d'eux comme s'il s'adressait à moi, il parle à travers la grille :
"Yoh ! un sacré bordel ce machin, faudrait virer les planches !"
Je ne fais pas attention à ce que l'autre lui répond, j'ai le coeur qui bat fort, on a de gros risques de se faire repérer. Je suis assis les fesses nues, adossé contre le mur, mon short aux chevilles et Sophie est assise sur mes cuisses, les genoux au sol et les talons de part et d'autre de mes fesses.
La porte s'ouvre, la lumière remplit la totalité du local. Dans ma tête, c'est bon, je vais avoir la plus grande honte de ma vie. Je plaque le dos de Sophie contre moi et lui bloque la bouche de ma main une nouvelle fois. À cet instant, elle se réveille de sa torpeur et est tétanisée. Je sens les pulsations cardiaques à travers son corps.
L'homme qui a ouvert le local dit à son collègue :
"Pas besoin d'une camionnette pour ça, on passera avec le camion des décos d'Halloween pour les virer."
La porte se claque à nouveau, je ne sais pas par quel miracle ils ne nous ont pas vus. Sophie est bien lucide maintenant et encore plus tremblante qu'avant. Les deux gars parlent toujours devant la porte, on sent l'odeur de cigarette entrer dans la pièce. Ma main gauche toujours collée à sa bouche, la droite se remet à lui chatouiller l'entre-jambe sur un rythme soutenu. Je m'entends lui dire à voix basse :
"Grosse pute, ça t'excite de te faire toucher à côté d'eux ? Ils ont l'habitude de te saluer avec respect hein."
Ma main s'agite de plus en plus sur sa chatte, les deux employés, quittent les lieux et j'en profite maintenant pour insérer deux doigts dans le vagin de Sophie. Elle recommence à hurler dans ma main, mais je suis comme un chien fou, je me fiche de me faire prendre, je ne souhaite que la dévergonder encore plus. Ma main gauche quitte sa bouche pour triturer son clitoris frénétiquement pendant que ma main droite la doigte vigoureusement. Ses gémissements ne sont plus contenus, elle exprime son plaisir éhontément et sans retenue et j'en fais de même.
Elle jouit tout de même les dents serrées, mais cela n'en reste pas moins bruyant. De nouveaux jets puissants sortent de son entre-jambe pour s'écraser contre la benne. La puissance du jet nous éclabousse puisque la paroi de la benne nous renvoie les gouttes de ses sécrétions. Épuisée, elle se relâche une nouvelle fois, mais la position de contorsionniste dans laquelle elle se trouve l'empêche de repartir dans les vapes. Elle se vautre sur moi, de dos, essoufflée, la tête contre mon épaule, sa jambe gauche pliée sur le côté, l'autre tendue devant elle sous la benne, ma bite coincée entre sa raie, je continue à fouiller sa chatte de ma main droite, j'étale la mouille abondante qui en sort partout sur son corps, ses cuisses, son ventre et ses seins que je pétris.
Je veux en finir, je suis frustré de ne pas encore avoir joui alors qu'elle s'est complètement lâchée. Je la mets à quatre pattes. D'un coup sec, je la pénètre jusqu'à la garde. Je commence ensuite des va-et-vient puissants à rythme élevé. Je la détruis, je prends tellement de plaisir de voir ses chairs gigoter dans tous les sens. Ses fesses sont déformées à chacun de mes coups de reins. Pendant que je m'active en elle, je l'attrape par les cheveux. J'assène régulièrement de grosses baffes sur ses fesses. À tout moment, un membre du personnel peut venir nous surprendre, mais je m'en fiche éperdument. À cet instant, seul le plaisir compte. Elle gémit fort, mais encore une fois, une collègue arrive de loin. Cette fois-ci, même si je ralentis grandement la cadence, je ne m'arrête pas, mes deux mains posées sur ce fessier gourmand, je continue mes va-et-vient tout doucement.
Sophie panique, elle se tourne vers moi pour me faire signe d'arrêter tout en prenant du plaisir. À voix basse, je lui dis clairement de se taire. Elle continue à me faire signe en me montrant la porte. Les pas se font entendre de mieux en mieux. Je la redresse en tirant encore ses cheveux. Tous les deux à genoux, ma queue toujours en elle, mes mains passent autour d'elle pour lui malaxer les seins. Le souffle court, je lui murmure en continuant de la pénétrer lentement et en l'enlaçant, le dos collé à mon torse :
"Je ne peux plus me passer de ton cul Sophie, peu importe si on ouvre la porte, je te ferai jouir devant la terre entière s'il le fallait... Tu me rends fou."
Ces paroles la font fondre dans mes bras, elle dégouline sur moi. La collègue finit par entrer dans la bibliothèque. Maintenant, il ne devrait pas y avoir de dérangement avant midi. Je relâche Sophie et me remets assis dos au mur derrière la benne, je suis éreinté et la chaleur de la journée se fait sentir. Je lui fais signe de me chevaucher. Elle se redresse et s'installe sur moi en me faisant face accroupie sur ma queue, on s'embrasse langoureusement pendant que sa chatte m'engloutit une nouvelle fois. On s'aspire les lèvres, se mord le cou. Elle me met de grands coups de langue amoureusement, comme pour me remercier, la scène est beaucoup moins romantique. Elle est à califourchon sur moi et la salive de nos baisers s'étale sur nos mentons, cous, joues. Elle n'est absolument plus timide, elle prend parfois des pauses pour me fixer le souffle fort, puis reprend ses baisers baveux. C'est elle maintenant qui me frustre, je suis toujours bien raide et attends de me soulager. Je ne suis pas sûr qu'elle s'en rende compte.
Nez à nez, je l'attrape par la gorge que je serre assez fort, je lui dis :
"Je t'ai fait jouir pétasse ! Maintenant active ton gros cul sur mon gourdin !"
Son regard devient prédateur, elle se redresse, toujours me faisant face, mais avec ses pieds de part et d'autre mes hanches, elle est accroupie sur ma queue. Elle commence d'amples mouvements sur mon mât, toujours en me fixant du regard et moi en lui serrant le cou. Elle s'active de plus en plus vite, son lourd fessier tape fort sur mon pieu, ses fesses claquent et nos regards ne se quittent plus. On se défie des yeux. Je glisse mon pouce sur son clito pendant qu'elle s'agite sur moi. Son regard a déjà beaucoup moins d'assurance, de mon côté, je continue à la fixer d'un air dominateur, alors que c'est elle qui dirige la danse. Mon pouce qui la titille ne la laisse plus indifférente, elle est maintenant comme possédée et se pénètre comme si elle me mettait des coups. Je la traite de tous les noms en frappant ses fesses de temps en temps, elle ne fait plus que beugler, les yeux révulsés. Encore quelques instants de ce traitement et je me sens arriver. Dans un cri rauque, elle me supplie de la remplir et de me vider en elle. Notre jouissance est simultanée, mes mains lui griffent les fesses, elle me mord le cou.
Seuls nos souffles se font entendre dans la pièce, des respirations de soulagement, comme des bêtes ayant parcouru le marathon.
Elle est affalée sur moi, je lui caresse tendrement le dos, les cuisses en déposant de petits baisers dans le cou. Elle se montre également câline en sortant de son sommeil momentané.
Je dois avouer que je suis assez jaloux du plaisir que les femmes peuvent prendre. J'ai l'impression que quel que soit le plaisir que l'homme prendra, il n'atteindra pas la moitié de ce qu'elles ressentent.
Apaisés, on s'embrasse langoureusement, sans voir le temps passer. Elle prend ma tête entre ses mains, m'embrasse longtemps, puis me fixe souriante, sans un mot, pour reprendre ses baisers interminables. On reste là assez longtemps comme des ados dans un Jardin d'Eden alors que nous sommes au milieu d'un local servant de dépotoir. À nos yeux, l'instant est magique malgré notre environnement.
On continue à chuchoter avec légèreté comme des enfants, nus derrière une benne, rigolant facilement à nos remarques concernant les risques que nous avons pris, comme si nous étions déjà sortis d'affaire.
Je vois que si je ne mets pas fin à cette situation, elle est prête à passer la journée ici. Je me lève pour chercher nos vêtements que j'avais jetés dans la benne et commence à fouiller dedans. Mon sexe était en demi-molle et elle qui était assise me le gobe immédiatement. Joueuse, elle s'amuse de la situation et continue à me sucer pendant que j'essaye d'atteindre difficilement nos affaires. Je la laisse un peu faire, mais me ressaisis. Je la soulève, la plaque contre le mur. Je lui lèche longuement et lentement la peau du milieu de sa poitrine jusqu'à son oreille et lui dis :
"On aura tout le temps de s'amuser Sophie, mais là, il faut vraiment trouver un moyen de sortir de là sans éveiller les soupçons. On est complètement souillé !"
Un peu déçue et toujours joueuse, elle se rend à l'évidence et cherche à se rhabiller.
Je remets mon polo, mon short toujours à mes chevilles en essayant de me redonner un peu d'allure. Je pense que ça devrait aller, par contre, il faudra trouver du déodorant pour les odeurs.
Sophie se rhabille également, elle me tourne le dos et ne se rend pas compte à quel point elle est bandante. Moulée dans cette robe un peu froissée (ça devrait faire l'affaire.) elle cherche le string que j'avais jeté dans notre élan. La voir le chercher dans cette robe qui met réellement ses formes en valeur me fait bander. Nous n'avons pas le temps, elle décide de se débrouiller sans culotte jusqu'à midi pour se changer pendant la pause dèj. Vu la courte taille de cette robe, la mission ne sera pas si simple.
Elle approche sa tête de la grille pour saisir le bon moment pour sortir.
Je la tire vers moi violemment et lui dévore le cou comme un mort de faim. Je n'en peux plus de ce corps enivrant. Je trouvais Sophie physiquement banale à mon arrivée et n'étais pas particulièrement attiré par les rondeurs. Maintenant la voir à moitié nue avec ses formes dans ce contexte me rend complètement fou. Je la plaque contre la benne en la pelotant comme un affamé. Elle essaye de me calmer en me faisant comprendre qu'il faut qu'on sorte. Je m'entends lui dire dans un souffle :
"Tu me rends fou Sophie ! Tu me rends fou..."
Elle répond à mes baisers, elle aussi, comme une affamée, on pourrait croire que nous venons de rentrer dans la pièce tellement la fougue est intense. Je lui pétris les fesses, la robe retroussée et la met à terre. Je veux la baiser à même le sol. Par terre, je lui dégrafe encore une fois cette maudite robe, d'un seul bouton cette fois pour faire à nouveau jaillir ses opulentes mamelles que je me mets à dévorer également.
N'importe qui pourrait nous surprendreen entrant, nous ne sommes même pas cachés. Sophie est aussi emportée par la fougue, elle me griffe le dos et me suce le cou. Sur le sol, en missionnaire, je me plante en elle une nouvelle fois avec vigueur et empressement. Je m'agite en elle comme si c'était la dernière fois un long moment. Nous sommes au sol comme des bêtes sauvages et impudiques, ses cuisses sont écartées indécemment, les pieds vers le ciel.
Elle gémit comme une folle et je ne mets pas beaucoup de temps à me répandre une nouvelle fois en elle.
Essoufflés pour la nième fois, nous nous fixons encore une fois, comme surpris de ce qui vient de se passer. Un fou rire éclate, on s'embrasse longuement une dernière fois, elle passe ses bras autour de mon cou. Dans cette position, elle se rend compte que sa culotte était derrière la roue d'une des bennes, nous en rions de plus belle. Nous n'avons pas la moindre discrétion, comme si nous étions seuls au monde et sans la moindre peur de se faire surprendre. Si nous venions à être surpris, nous en rigolerions.
Après s'être refait une beauté avec les moyens du bord (Sophie avait des lingettes dans son sac à main), c'est moi qui me rapproche de la porte pour sortir le premier. Je jette un oeil à travers la grille, personne à l'extérieur, à cette heure-ci tout le monde passe par l'entrée principale.
On a quand même réussi à se sortir de ce fameux local. Sophie n'a fait que dormir les deux premières heures sur son bureau. Le reste de la journée, personne ne l'avait vu aussi joviale et extravertie. Elle est d'habitude si discrète, à la limite de la timidité. Les collègues n'ont pas arrêté de lui tirer les vers du nez pour savoir si elle s'était trouvée un nouveau conjoint. Je ne pouvais pas m'empêcher de rire intérieurement en sachant ce que je lui faisais à quelques pas d'elles.
C'est la dernière journée avant que nos chemins ne se séparent, demain, c'est la rentrée des profs, puis jeudi, celle des élèves. Vais-je devoir la provoquer sur son lieu de travail ?
La suite dans un prochain épisode, si celui-ci vous a plu.
J'ai mis du temps à vous écrire cette partie car démotivé. En effet, alors que j'avais presque fini de rédiger l'histoire, j'ai perdu la clé usb contenant le texte en vacances et avec la motivation de tout réécrire. J'ai cette fois-ci tapé moi-même le texte alors que j'utilisais une appli dictaphone pour les précédents textes. Je pense que cette version tapée vous sera préférable. Je vous ai mis deux versions en une pour me rattraper.
J'ai par ailleurs eu une aventure particulière avec une lectrice, une mère de famille divorcée aux désirs enfouis, à la vie bien rangée. D'abord virtuellement, je lui donnais des défis coquins et elle m'envoyait "les preuves"(clichés sur lieux de travail, postures indécentes dans des lieux insolites), en contrepartie, je lui écrivais de courts récits que m'inspiraient ses photos. Nous avons fini par nous retrouver et assouvir nos désirs sauvagement. Est-ce qu'un texte vous racontant cette aventure vous intéresserez ?
N'hésitez pas à me faire part de toute critique, et si vous êtes une femme et avez apprécié le récit, vous pouvez me contacter sur ma boite :
mystersam32@proton.me
Peut-être que vous serrez l'héroïne de ma prochaine histoire...
Les batteries rechargées, je n'ai qu'une seule envie à présent, la prendre à nouveau dans tous les sens. Je me dépêche de me rendre à la bibliothèque à l'avance, pas par sérieux, les bibliothécaires se fichent de l'arrivée ou des départs de bénévoles, mais par envie de la retrouver le plus tôt possible. Pourtant, je ne suis pas sûr de l'y trouver tout de suite, mais je suis trop impatient.
Sur le trajet, je me rends compte que je suis beaucoup trop en avance (25 minutes) et en tant que bénévole, je n'ai pas les clés pour pouvoir m'installer à l'intérieur, je vais devoir attendre une collègue devant la porte, mais peu importe.
Arrivé sur place, je descends les escaliers qui longent mon lieu de travail pour arriver sur une place un peu plus bas, par où le personnel entre. Au pied de l'escalier, il y a quelques pas à faire avant d'arriver sur la petite place où en marchant vers la gauche, on arrive à l'entrée du personnel. Il y a aussi un accès à des locaux de la mairie. En tournant sur ma gauche, je suis surpris d'apercevoir Sophie. Je ris intérieurement, je sais pourquoi elle est là. Elle est adossée avec son épaule contre le mur entre la porte d'entrée et une autre porte qui mène à un local. En me voyant, elle se redresse. Je stoppe ma marche et nous nous regardons de loin. Il fait déjà chaud, mais la température augmente soudainement. Cent mètres nous séparent, mais nous nous fixons comme des animaux en période de reproduction. Une force magnétique nous attire l'un à l'autre.
D'un pas sûr, je m'avance vers elle. Encore une fois, plus je m'approche, plus elle perd ses moyens. Je raffole de l'effet que je lui procure depuis la dernière fois. Elle est magnifique et encore plus coquine que la semaine passée. Elle porte une robe blanche légère et près du corps. Le décolleté est osé et de gros boutons noirs semblent la serrer parfaitement pour ressortir ses formes. La robe est très courte, mi-cuisse, une simple brise pourrait nous révéler ses dessous. Elle porte de petits talons noirs. Elle est terriblement sexy.
À son niveau, je n'ai pas encore parlé qu'elle est déjà rougissante, regardant partout sur le sol, gênée. Avec une attitude de dragueur, je m'appuie à côté d'elle, calmement et d'un ton joueur, je lui lance :
- Bonjour Sophie
- Bon... (soupir) ... Bonjour.
- Je sais pourquoi tu es déjà là Sophie.
Elle rougit.
- Tu as pensé à moi tout le week-end ma chérie et tu n'as qu'une seule chose en tête à présent, n'est-ce pas ? Lui dis-je d'un ton calme mais provocateur.
Elle bafouille, ne sait pas quoi répondre, comme un coupable pris sur les faits.
- Ne t'en fais pas... Je vais assouvir tes pulsions de femelle en chaleur... Tu vas t'en tordre de plaisir.
Je m'avance doucement vers elle, elle recule lentement vers la porte du local. Elle ne me répond pas, mais sa respiration devient de plus en plus forte. D'une voix tremblante, elle me dit :
Il... Il faudrait qu'on arrête... on... on pourrait nous surprendre...
Elle est désormais reculée sur la porte du local. Je passe mon bras autour d'elle et saisis la poignée de la porte. Elle est ceinturée, je l'emprisonne et suis collé à elle. Elle sent mon souffle sur son décolleté et ouvre inconsciemment son cou. Je lui murmure, sûr de moi :
Tu ne veux pas qu'on arrête bébé, tu es déjà trempée et tu n'attends qu'une chose... Tu veux que je te fasse hurler comme la dernière fois.
Elle se contente d'ouvrir encore plus son cou, la tête posée contre la porte à me regarder les yeux mi-clos, me suppliant du regard de faire d'elle tout ce que je souhaite. Je prie intérieurement pour que le local soit ouvert. J'ai l'habitude d'y déposer les cartons des fournitures, il est souvent ouvert, mais comme nous sommes en retour de week-end, je crains qu'il ne soit fermé.
Je continue à la torturer de mon souffle. Elle commence à se tortiller inconsciemment contre la porte, mais la peur d'être aperçue se voit aussi sur son visage. Elle est tiraillée entre l'envie d'assouvir ses pulsions sans se préoccuper du reste, quitte à prendre du plaisir au vu et au su de tous, et paraitre respectable et sérieuse comme elle en a l'habitude. Nous sommes actuellement susceptibles d'être surpris par n'importe qui, collègues, ouvriers de chantiers, il y a un bâtiment en face de nous, même si pour l'instant, nous semblons être isolés.
D'un geste brusque, je la tire, collée contre moi et ouvre rapidement la porte du local. Je la projette à l'intérieur violemment et m'y insère également. Choquée de ce traitement, elle se retourne, se réajuste d'un air surpris. On commence à se fixer et la lourde porte se claque derrière moi. Le claquement de cette porte nous plonge dans une nouvelle ambiance, le monde s'arrête. Comme si ce claquement nous avait coupé de tout et sonné l'autorisation de nous adonner à tous nos phantasmes. Seules nos respirations se font entendre dans la pièce, comme deux chiens se fixant la langue pendue, avides l'un de l'autre. La tension sexuelle est extrême, je vois dans son regard un puissant désir, mais également de la peur.
En effet, le local était certainement à l'origine un local poubelle, puisqu'au niveau de la tête, sur la grosse porte en métal, un grillage permet de voir ce qu'il s'y passe. De l'extérieur, il est impossible d'y voir si on ne colle pas son visage à la grille. De l'intérieur, on perçoit mieux les choses. Seule la lumière de l'extérieur éclaire l'obscurité du local. Le risque de se faire prendre ajoute du piment à la situation, car n'importe qui peut y entrer, même si je n'imagine pas quelqu'un y déposer des cartons dès l'ouverture. Il nous suffira d'être discrets, ce qui n'est pas gagné vu les désirs qui nous brûlent mutuellement.
Je fais dos à la porte, Sophie me fait face. Deux énormes bennes remplies de cartons sont présentes de chaque côté, il y en a même quelques-uns sur le sol. Devant les bennes, côté porte, plusieurs planches et parties de mobilier de bureau y sont déposées par le personnel de la mairie. Les bennes ne sont pas complètement poussées contre le mur du fond, il y a un espace d'un mètre environ de chaque côté.
Sophie est fébrile et pleine d'envie, j'adore la voir perdre ses moyens devant mon assurance. J'avance lentement vers elle, pendant qu'elle recule sur le même rythme, jusqu'à ce qu'elle sursaute quand son dos touche le mur.
Je la sais impatiente, elle veut qu'on se saute dessus sauvagement, mais je prends mon temps et viens la plaquer de tout mon poids contre le mur. Du bout du museau, je lui chatouille la peau, je pars du haut de sa poitrine pour finir derrière son oreille, elle sent mes soupirs, mon souffle chaud sur elle. Elle savoure pleinement, les yeux fermés, le cou grand ouvert. Je me délecte de son corps, toujours lentement, je la devine toute rouge. Je la sens commencer à faillir, elle chuchote de petits "ohhh" "oui" elle est seule dans son monde, elle se déhanche contre le mur comme contre une barre de pole dance. Pourtant, je ne me contente pour l'instant que de l'effleurer, la titiller du bout de mon nez, la mordiller. Quand elle perd le contact entre nos peaux, elle ne sait jamais où est-ce qu'elle le retrouvera. Chaque souffle, chaque suçon, chaque effleurement est une surprise.
D'un geste violent et sec, je lui dégrafe complètement cette robe qui la moulait parfaitement. Elle sursaute avec un petit cri, puis me regarde presque offusquée, mais encore plus excitée. Je la dévore du regard d'un air dominateur, sa robe serrée ressemble maintenant à une blouse d'infirmière déboutonnée. Sa lingerie blanche étouffe ses chairs dodues et amplifie la dureté de mon entre-jambe. On se défie du regard comme deux bêtes affamées, laquelle dévorera l'autre ? La tension sexuelle est insupportable, son opulente poitrine est libérée de sa robe.
Encore par surprise, je tire fermement sur son soutien-gorge, qui se dégrafe à ma surprise par devant, pour libérer ses deux grosses mamelles.
Ces gestes violents mais plein d'assurance la scandalisent, mais tout de suite après, ils augmentent le désir fou qu'elle éprouve à cet instant. J'ai affaire à une féline prête à bondir. Nos respirations sont tellement bruyantes que je ne serais pas étonné qu'on les entende à l'extérieur. Nos regards et nos soupirs l'un sur l'autre sont bestiaux. Mes lèvres viennent effleurer les siennes, on se souffle mutuellement dessus avec la terrible envie de manger son vis-à-vis. Elle perd patience et tente de me prendre à pleine bouche, je me retire d'un geste vif et assuré pour la plaquer à nouveau contre le mur avec virilité et lui mords le cou. Elle gémit, mais ne reste pas passive. On veut se dévorer sans laisser la moindre miette. On se met des coups de langue, des suçons à pleine bouche, nos mains pelotent avec vigueur le corps de l'autre. Je plante mes doigts dans ses cuisses, son fessier, ses flancs, sa poitrine dans n'importe quel ordre. Elle aussi laisse parcourir ses mains partout sur mon corps. Je gobe sa poitrine de manière indécente et plus je m'applique sur ses deux globes de chair, plus je la sens lâcher prise. Ses gémissements sont divins et amplifient mon appétit. Nos bouches finissent par se souder comme deux sangsues. Au fur et à mesure que nos langues se battent, je la sens de moins en moins tenir sur ses jambes. Ma posture affirmée dénote avec son abandon progressif. Mes mains triturent son gros fessier et elle me gémit dans la bouche qui ne veut plus la quitter. Quand je la sens se relâcher complètement, par surprise et brusquement, je la retourne pour la plaquer fermement, seins contre le mur. Elle est déboussolée et son cul m'est totalement offert.
J'abats une énorme claque sur ses fesses qui lui fait pousser un cri de surprise et d'envie. Voir son corps vibrer de partout m'excite encore plus. Je calme complètement le rythme alors qu'elle ne souhaite qu'une chose, que je la prenne avec vigueur. Je la débarrasse de sa robe que je jette dans la benne avec mon polo. D'une main, je saisis lentement mais avec fermeté ses cheveux. Ma poigne lui forme une queue-de-cheval que je tire vers moi pour lui faire redresser la tête. De l'autre main, mes mouvements sont beaucoup plus doux. Je recommence à l'effleurer du bout des doigts, sur ses fesses, je monte parfois sur son dos, je descends sur ses cuisses. Par moment, une autre claque bien forte s'abat à nouveau sur ce cul. Ces changements de rythme lui font perdre la tête. Elle me maudit intérieurement, mais me remercie aussi également, elle ne sait plus quoi penser.
Des deux mains maintenant, mes doigts continuent à se faufiler le long de ses jambes entre ses cuisses, que je claque de temps en temps par surprise. Ses jambes tremblent de toutes parts, comme possédée, elle raconte n'importe quoi, ce qu'elle baragouine ressemble à des sanglots de petites filles, punies injustement, entrecoupés de gémissements de plaisir. En ne se fiant qu'à ses gémissements, on pourrait penser que je la baise ou que je la doigte, mais il n'en est rien. Je me contente de la faire languir avec le bout de mes doigts le long de son corps, avec intermittence. Ses gémissements sont un mélange de plaintes et de plaisir. Elle se plaint de ne pas me sentir sauvagement en elle, mais savoure aussi les sensations diaboliques que je lui fais ressentir.
Toujours par surprise et contrairement aux douces caresses que je lui procure, je lui descends avec virulence son string au niveau de ses talons. Bien qu'étonnée et tremblante, elle lève machinalement les pieds pour que je l'en débarrasse. Elle est maintenant seulement en talon et complètement nue, plaquée contre le mur en me tendant son énorme fessier. Torse-nu, je déboutonne mon short pour laisser enfin ma grosse queue respirer. Au contact de mon sexe frôlant ses fesses, elle laisse échapper une sorte de plainte tout en poussant son gros cul contre ma verge. J'assène une nouvelle frappe sur sa fesse, le cri est cette fois-ci un mélange de douleur et de plaisir.
Je la redresse par les cheveux en la plaquant contre mon torse et lui susurre dans le creux de l'oreille :
Tu vas rester patiente ma chérie et quand je l'aurai décidé, tu videras ton corps de jouissance.
Elle gémit, la délicieuse torture que je lui fais subir la rend bipolaire. Je l'entends parfois chuchoter des supplications qu'elle coupe par des insultes en grognant, puis elle chuchote des malédictions en se reprenant pour me crier de la faire jouir. Avec mon gland, je pousse le vice un peu plus loin, en frottant diaboliquement mon gourdin le long de sa chatte. Je sais quand l'effleurer, quand appuyer ma bite sur une zone de sa chatte ou quand stopper le contact.
Comme la fois précédente, la sachant sensible des seins, c'est par là où elle ne s'y attend pas que je vais "l'achever". Je la retourne pour qu'elle soit de face. Elle sent mon poids la compresser contre le mur et mon souffle chaud dans le creux de sa nuque. Je glisse ma main pour saisir ma queue pour continuer à lui frotter la chatte, mon gland est coincé entre ses lèvres juste en dessous de son clitoris. Avec synchronisation, j'attrape soudainement ses deux seins pour les pincer avec force et d'un geste du bassin, ma bite exerce une forte pression sur son clitoris. Je l'immobilise en même temps avec une morsure au cou. Elle semble traversée par la foudre. Il est impossible pour elle de retenir un hurlement que j'étouffe en plaquant ma main sur sa bouche. Elle ne tient que par la pression que j'exerce sur elle contre le mur mais je la vois progressivement glisser vers le sol au fur et à mesure des spasmes qui la traversent et me repoussent en arrière. Elle m'entend lui murmurer calmement :
Voilà ma chérie, laisse-toi aller, savoure mon bébé...
Elle se retrouve sans force, assise, les fesses nues à terre, les jambes repliées, le souffle fort, parfois coupé. Mon sexe bien raide est maintenant juste au-dessus de sa tête. Je m'amuse à le coller sur son visage, triomphant. Elle reprend peu à peu ses esprits et se rend compte de ma hampe qui ne cesse de la déranger. Elle l'attrape à pleine main pour la frotter contre son visage. Sa respiration recommence à être forte, elle prend du plaisir à frotter mon mât contre ses joues et son front, les yeux fermés comme une obsédée. Elle semble vouloir le contact de ma queue sur la moindre parcelle de son visage. Elle est tellement excitante. Ce manège continue pendant un moment puis elle ouvre bien ses yeux et m'attrape la verge de ses deux mains pour me sucer goulûment. Elle paraissait sans force il y a quelques secondes, mais là, elle gobe mon sexe comme une mort de faim. Elle n'y a jamais mis autant d'entrain avant, elle était plutôt prudente. Maintenant, elle est inarrêtable, les bruits de suçons sont indécents, elle n'a d'yeux que pour ma queue, comme s'ils étaient les seuls sur cette planète et qu'elle n'avait pour seul appétit mon gourdin.
Je n'existe plus, quand elle la recrache, elle frotte ma queue sur son visage comme une forcenée, elle parait complètement folle. La voyant autant affamée, je lui attrape la tête pour lui baiser la bouche et elle ne rechigne pas à la tâche, amplifiant les mouvements et poussant le plus loin possible.
On entend soudainement des personnes se rapprocher. Je ne l'ai pas dit, mais le passage entre l'entrée et le bas de l'escalier est en graviers. On entend donc de loin les personnes arriver et se rapprocher de la porte. Sophie est entièrement prise de panique, j'essaye de la relever, mais elle ne tient pas sur ses jambes, elle se traîne difficilement derrière la benne, pendant que je jette les vêtements qui traînent dedans. Les pas s'approchent, j'ai tout juste le temps de rejoindre Sophie dans ce petit espace entre le mur et la benne. J'arrive maintenant à la relever. Son visage est pâle, la peur se lit dans ses yeux, j'ai même l'impression de la voir brièvement sangloter :
"On est foutu"
Je la plaque contre moi, la main sur la bouche et lui susurre dans le creux de l'oreille :
Ils n'ont aucune raison d'entrer ici si on ne les attire pas. Donc pas le moindre bruit et on finira par sortir discrètement quand tout le monde sera rentré.
Je reconnais à la voix Sophie la bibliothécaire, que j'appellerai pour la suite de l'histoire Anne-Sophie pour la distinguer de celle qui est coincée avec moi. Dans l'empressement, j'ai pensé qu'ils étaient plusieurs, mais Anne-Sophie est seule au téléphone car elle n'a pas la clé pour entrer. On l'entend dire à son interlocuteur qu'elle attend devant la porte le temps qu'elle soit rejointe.
Sophie est totalement en panique, elle tremble cette fois-ci de peur et non d'excitation. La benne lui arrive au menton, ses mains posées sur le rebord de celle-ci tremblent comme des feuilles. Je la sers contre moi et continue à la rassurer en lui murmurant dans l'oreille. La situation devient excitante pour moi, Sophie a le dos collé à moi qui suis dos au mur. Devant elle, la benne dissimule nos corps, mais pas nos têtes, il faudrait qu'on se baisse si quelqu'un entrait. Elle n'a gardé que ses talons, j'ai encore mon short au niveau des genoux. Ma bite toujours dure est emprisonnée entre le bas de son dos et mon bas-ventre, mon bras droit enlace son cou comme si je la prenais en otage et ma main gauche est plaquée contre sa bouche. Je continue à la rassurer, mais je ressens de plus en plus d'excitation.
Je la relâche délicatement, elle est tellement pétrifiée qu'elle ne s'en rend pas compte, mais du bout des doigts, je recommence à l'effleurer. Je vois la chair de poule se dessiner sur ses bras. En même temps, je commence à lui parler à voix basse de cette situation coquine. Je continue à la caresser partout sur son corps du bout des doigts en lui disant :
"Tu as peur que les gens découvrent ta vraie nature mon bébé, Anne-Sophie est à 3 mètres de toi pendant que tu te laisses tripoter par un jeune étalon."
Je sens qu'elle commence à flancher, mes mots lui font terriblement de l'effet. Toujours tremblante, elle pose sa tête contre mon torse, mais boit mes paroles sans rien dire. Ma main se dirige maintenant vers sa chatte inondée. Je continue lentement à lui faire part de mes observations salaces, que derrière cette porte, elle est considérée, mais qu'entre mes mains, elle est tout l'inverse. Elle ne tient déjà plus et c'est à moi de la retenir. J'espace mes paroles par de délicieuses caresses du bout des lèvres, de son épaule jusqu'à ses oreilles et inversement. Mes bras enlacent complètement son corps pour la soutenir et ma main continue à titiller frénétiquement son bouton d'amour. Le mélange de peur extrême et de plaisir intense est nouveau pour elle : je sens un orgasme puissant arriver en elle. Une autre collègue arrive. Elles se parlent de loin. Anne-Sophie est très proche de nous. Ma main continue de lui triturer le clitoris, je lui ordonne discrètement :
"Ne jouis pas tant que je ne t'en ai pas donné l'ordre !"
"Compris !"
Elle ne répond pas concentrée sur ces délicieuses sensations. Le rythme de frottement de sa chatte accélère, les deux collègues parlent fort. Quand j'entends la clé entrer dans la serrure, je rentre mon dard dans sa chatte, ma main droite continue à exciter follement son bouton d'amour et je plaque brusquement l'intérieur de mon coude sur sa bouche, mon bras gauche entoure sa mâchoire.
"Jouis pétasse !"
Son hurlement est étouffé dans mon bras, ma main exerce une grande pression sur sa chatte.
Les collègues sont en train de franchir le pas de la porte, j'entends Anne-Sophie dire :
"T'as entendu ?"
L'autre collègue lui répond :
"Attends."
J'ai à ce moment peur qu'elles viennent vers le local. Je serre Sophie comme un malade, car elle continue à gémir, je lui chuchote :
"Tais-toi, on va se faire remarquer !"
Elle me mord l'avant-bras comme une folle, je me retiens de crier de douleur, j'ai l'impression qu'elle a déchiré un morceau de mon bras.
Les deux collègues s'enfoncent dans la bibliothèque, pensant que le bruit venait de l'intérieur. Sophie est en transe, son vagin m'essore la queue. Elle sort de puissants jets de mouille, comme si elle urinait contre la benne, il y en a partout. Revanchard, maintenant que les collègues sont à l'intérieur, je lui mets de puissants coups de reins et la plaque contre la benne. Je m'active contre son gros cul bien flasque comme pour la punir de cette morsure, cette levrette est fantastique, mais fatigante car elle ne tient plus debout. Je veux la mettre à quatre pattes pour la défoncer une bonne fois pour toutes mais un nouveau claquement de porte nous surprend.
Sophie est comme évanouie, elle ne s'en rend pas compte, je nous fais glisser immédiatement derrière la benne, parce que les voix sont très proches. Je reconnais les voix de deux membres du personnel de la mairie qui viennent fumer juste devant la porte du local avant de commencer leur journée. J'ai bien faitde nous cacher, car j'entends l'un d'eux comme s'il s'adressait à moi, il parle à travers la grille :
"Yoh ! un sacré bordel ce machin, faudrait virer les planches !"
Je ne fais pas attention à ce que l'autre lui répond, j'ai le coeur qui bat fort, on a de gros risques de se faire repérer. Je suis assis les fesses nues, adossé contre le mur, mon short aux chevilles et Sophie est assise sur mes cuisses, les genoux au sol et les talons de part et d'autre de mes fesses.
La porte s'ouvre, la lumière remplit la totalité du local. Dans ma tête, c'est bon, je vais avoir la plus grande honte de ma vie. Je plaque le dos de Sophie contre moi et lui bloque la bouche de ma main une nouvelle fois. À cet instant, elle se réveille de sa torpeur et est tétanisée. Je sens les pulsations cardiaques à travers son corps.
L'homme qui a ouvert le local dit à son collègue :
"Pas besoin d'une camionnette pour ça, on passera avec le camion des décos d'Halloween pour les virer."
La porte se claque à nouveau, je ne sais pas par quel miracle ils ne nous ont pas vus. Sophie est bien lucide maintenant et encore plus tremblante qu'avant. Les deux gars parlent toujours devant la porte, on sent l'odeur de cigarette entrer dans la pièce. Ma main gauche toujours collée à sa bouche, la droite se remet à lui chatouiller l'entre-jambe sur un rythme soutenu. Je m'entends lui dire à voix basse :
"Grosse pute, ça t'excite de te faire toucher à côté d'eux ? Ils ont l'habitude de te saluer avec respect hein."
Ma main s'agite de plus en plus sur sa chatte, les deux employés, quittent les lieux et j'en profite maintenant pour insérer deux doigts dans le vagin de Sophie. Elle recommence à hurler dans ma main, mais je suis comme un chien fou, je me fiche de me faire prendre, je ne souhaite que la dévergonder encore plus. Ma main gauche quitte sa bouche pour triturer son clitoris frénétiquement pendant que ma main droite la doigte vigoureusement. Ses gémissements ne sont plus contenus, elle exprime son plaisir éhontément et sans retenue et j'en fais de même.
Elle jouit tout de même les dents serrées, mais cela n'en reste pas moins bruyant. De nouveaux jets puissants sortent de son entre-jambe pour s'écraser contre la benne. La puissance du jet nous éclabousse puisque la paroi de la benne nous renvoie les gouttes de ses sécrétions. Épuisée, elle se relâche une nouvelle fois, mais la position de contorsionniste dans laquelle elle se trouve l'empêche de repartir dans les vapes. Elle se vautre sur moi, de dos, essoufflée, la tête contre mon épaule, sa jambe gauche pliée sur le côté, l'autre tendue devant elle sous la benne, ma bite coincée entre sa raie, je continue à fouiller sa chatte de ma main droite, j'étale la mouille abondante qui en sort partout sur son corps, ses cuisses, son ventre et ses seins que je pétris.
Je veux en finir, je suis frustré de ne pas encore avoir joui alors qu'elle s'est complètement lâchée. Je la mets à quatre pattes. D'un coup sec, je la pénètre jusqu'à la garde. Je commence ensuite des va-et-vient puissants à rythme élevé. Je la détruis, je prends tellement de plaisir de voir ses chairs gigoter dans tous les sens. Ses fesses sont déformées à chacun de mes coups de reins. Pendant que je m'active en elle, je l'attrape par les cheveux. J'assène régulièrement de grosses baffes sur ses fesses. À tout moment, un membre du personnel peut venir nous surprendre, mais je m'en fiche éperdument. À cet instant, seul le plaisir compte. Elle gémit fort, mais encore une fois, une collègue arrive de loin. Cette fois-ci, même si je ralentis grandement la cadence, je ne m'arrête pas, mes deux mains posées sur ce fessier gourmand, je continue mes va-et-vient tout doucement.
Sophie panique, elle se tourne vers moi pour me faire signe d'arrêter tout en prenant du plaisir. À voix basse, je lui dis clairement de se taire. Elle continue à me faire signe en me montrant la porte. Les pas se font entendre de mieux en mieux. Je la redresse en tirant encore ses cheveux. Tous les deux à genoux, ma queue toujours en elle, mes mains passent autour d'elle pour lui malaxer les seins. Le souffle court, je lui murmure en continuant de la pénétrer lentement et en l'enlaçant, le dos collé à mon torse :
"Je ne peux plus me passer de ton cul Sophie, peu importe si on ouvre la porte, je te ferai jouir devant la terre entière s'il le fallait... Tu me rends fou."
Ces paroles la font fondre dans mes bras, elle dégouline sur moi. La collègue finit par entrer dans la bibliothèque. Maintenant, il ne devrait pas y avoir de dérangement avant midi. Je relâche Sophie et me remets assis dos au mur derrière la benne, je suis éreinté et la chaleur de la journée se fait sentir. Je lui fais signe de me chevaucher. Elle se redresse et s'installe sur moi en me faisant face accroupie sur ma queue, on s'embrasse langoureusement pendant que sa chatte m'engloutit une nouvelle fois. On s'aspire les lèvres, se mord le cou. Elle me met de grands coups de langue amoureusement, comme pour me remercier, la scène est beaucoup moins romantique. Elle est à califourchon sur moi et la salive de nos baisers s'étale sur nos mentons, cous, joues. Elle n'est absolument plus timide, elle prend parfois des pauses pour me fixer le souffle fort, puis reprend ses baisers baveux. C'est elle maintenant qui me frustre, je suis toujours bien raide et attends de me soulager. Je ne suis pas sûr qu'elle s'en rende compte.
Nez à nez, je l'attrape par la gorge que je serre assez fort, je lui dis :
"Je t'ai fait jouir pétasse ! Maintenant active ton gros cul sur mon gourdin !"
Son regard devient prédateur, elle se redresse, toujours me faisant face, mais avec ses pieds de part et d'autre mes hanches, elle est accroupie sur ma queue. Elle commence d'amples mouvements sur mon mât, toujours en me fixant du regard et moi en lui serrant le cou. Elle s'active de plus en plus vite, son lourd fessier tape fort sur mon pieu, ses fesses claquent et nos regards ne se quittent plus. On se défie des yeux. Je glisse mon pouce sur son clito pendant qu'elle s'agite sur moi. Son regard a déjà beaucoup moins d'assurance, de mon côté, je continue à la fixer d'un air dominateur, alors que c'est elle qui dirige la danse. Mon pouce qui la titille ne la laisse plus indifférente, elle est maintenant comme possédée et se pénètre comme si elle me mettait des coups. Je la traite de tous les noms en frappant ses fesses de temps en temps, elle ne fait plus que beugler, les yeux révulsés. Encore quelques instants de ce traitement et je me sens arriver. Dans un cri rauque, elle me supplie de la remplir et de me vider en elle. Notre jouissance est simultanée, mes mains lui griffent les fesses, elle me mord le cou.
Seuls nos souffles se font entendre dans la pièce, des respirations de soulagement, comme des bêtes ayant parcouru le marathon.
Elle est affalée sur moi, je lui caresse tendrement le dos, les cuisses en déposant de petits baisers dans le cou. Elle se montre également câline en sortant de son sommeil momentané.
Je dois avouer que je suis assez jaloux du plaisir que les femmes peuvent prendre. J'ai l'impression que quel que soit le plaisir que l'homme prendra, il n'atteindra pas la moitié de ce qu'elles ressentent.
Apaisés, on s'embrasse langoureusement, sans voir le temps passer. Elle prend ma tête entre ses mains, m'embrasse longtemps, puis me fixe souriante, sans un mot, pour reprendre ses baisers interminables. On reste là assez longtemps comme des ados dans un Jardin d'Eden alors que nous sommes au milieu d'un local servant de dépotoir. À nos yeux, l'instant est magique malgré notre environnement.
On continue à chuchoter avec légèreté comme des enfants, nus derrière une benne, rigolant facilement à nos remarques concernant les risques que nous avons pris, comme si nous étions déjà sortis d'affaire.
Je vois que si je ne mets pas fin à cette situation, elle est prête à passer la journée ici. Je me lève pour chercher nos vêtements que j'avais jetés dans la benne et commence à fouiller dedans. Mon sexe était en demi-molle et elle qui était assise me le gobe immédiatement. Joueuse, elle s'amuse de la situation et continue à me sucer pendant que j'essaye d'atteindre difficilement nos affaires. Je la laisse un peu faire, mais me ressaisis. Je la soulève, la plaque contre le mur. Je lui lèche longuement et lentement la peau du milieu de sa poitrine jusqu'à son oreille et lui dis :
"On aura tout le temps de s'amuser Sophie, mais là, il faut vraiment trouver un moyen de sortir de là sans éveiller les soupçons. On est complètement souillé !"
Un peu déçue et toujours joueuse, elle se rend à l'évidence et cherche à se rhabiller.
Je remets mon polo, mon short toujours à mes chevilles en essayant de me redonner un peu d'allure. Je pense que ça devrait aller, par contre, il faudra trouver du déodorant pour les odeurs.
Sophie se rhabille également, elle me tourne le dos et ne se rend pas compte à quel point elle est bandante. Moulée dans cette robe un peu froissée (ça devrait faire l'affaire.) elle cherche le string que j'avais jeté dans notre élan. La voir le chercher dans cette robe qui met réellement ses formes en valeur me fait bander. Nous n'avons pas le temps, elle décide de se débrouiller sans culotte jusqu'à midi pour se changer pendant la pause dèj. Vu la courte taille de cette robe, la mission ne sera pas si simple.
Elle approche sa tête de la grille pour saisir le bon moment pour sortir.
Je la tire vers moi violemment et lui dévore le cou comme un mort de faim. Je n'en peux plus de ce corps enivrant. Je trouvais Sophie physiquement banale à mon arrivée et n'étais pas particulièrement attiré par les rondeurs. Maintenant la voir à moitié nue avec ses formes dans ce contexte me rend complètement fou. Je la plaque contre la benne en la pelotant comme un affamé. Elle essaye de me calmer en me faisant comprendre qu'il faut qu'on sorte. Je m'entends lui dire dans un souffle :
"Tu me rends fou Sophie ! Tu me rends fou..."
Elle répond à mes baisers, elle aussi, comme une affamée, on pourrait croire que nous venons de rentrer dans la pièce tellement la fougue est intense. Je lui pétris les fesses, la robe retroussée et la met à terre. Je veux la baiser à même le sol. Par terre, je lui dégrafe encore une fois cette maudite robe, d'un seul bouton cette fois pour faire à nouveau jaillir ses opulentes mamelles que je me mets à dévorer également.
N'importe qui pourrait nous surprendreen entrant, nous ne sommes même pas cachés. Sophie est aussi emportée par la fougue, elle me griffe le dos et me suce le cou. Sur le sol, en missionnaire, je me plante en elle une nouvelle fois avec vigueur et empressement. Je m'agite en elle comme si c'était la dernière fois un long moment. Nous sommes au sol comme des bêtes sauvages et impudiques, ses cuisses sont écartées indécemment, les pieds vers le ciel.
Elle gémit comme une folle et je ne mets pas beaucoup de temps à me répandre une nouvelle fois en elle.
Essoufflés pour la nième fois, nous nous fixons encore une fois, comme surpris de ce qui vient de se passer. Un fou rire éclate, on s'embrasse longuement une dernière fois, elle passe ses bras autour de mon cou. Dans cette position, elle se rend compte que sa culotte était derrière la roue d'une des bennes, nous en rions de plus belle. Nous n'avons pas la moindre discrétion, comme si nous étions seuls au monde et sans la moindre peur de se faire surprendre. Si nous venions à être surpris, nous en rigolerions.
Après s'être refait une beauté avec les moyens du bord (Sophie avait des lingettes dans son sac à main), c'est moi qui me rapproche de la porte pour sortir le premier. Je jette un oeil à travers la grille, personne à l'extérieur, à cette heure-ci tout le monde passe par l'entrée principale.
On a quand même réussi à se sortir de ce fameux local. Sophie n'a fait que dormir les deux premières heures sur son bureau. Le reste de la journée, personne ne l'avait vu aussi joviale et extravertie. Elle est d'habitude si discrète, à la limite de la timidité. Les collègues n'ont pas arrêté de lui tirer les vers du nez pour savoir si elle s'était trouvée un nouveau conjoint. Je ne pouvais pas m'empêcher de rire intérieurement en sachant ce que je lui faisais à quelques pas d'elles.
C'est la dernière journée avant que nos chemins ne se séparent, demain, c'est la rentrée des profs, puis jeudi, celle des élèves. Vais-je devoir la provoquer sur son lieu de travail ?
La suite dans un prochain épisode, si celui-ci vous a plu.
J'ai mis du temps à vous écrire cette partie car démotivé. En effet, alors que j'avais presque fini de rédiger l'histoire, j'ai perdu la clé usb contenant le texte en vacances et avec la motivation de tout réécrire. J'ai cette fois-ci tapé moi-même le texte alors que j'utilisais une appli dictaphone pour les précédents textes. Je pense que cette version tapée vous sera préférable. Je vous ai mis deux versions en une pour me rattraper.
J'ai par ailleurs eu une aventure particulière avec une lectrice, une mère de famille divorcée aux désirs enfouis, à la vie bien rangée. D'abord virtuellement, je lui donnais des défis coquins et elle m'envoyait "les preuves"(clichés sur lieux de travail, postures indécentes dans des lieux insolites), en contrepartie, je lui écrivais de courts récits que m'inspiraient ses photos. Nous avons fini par nous retrouver et assouvir nos désirs sauvagement. Est-ce qu'un texte vous racontant cette aventure vous intéresserez ?
N'hésitez pas à me faire part de toute critique, et si vous êtes une femme et avez apprécié le récit, vous pouvez me contacter sur ma boite :
mystersam32@proton.me
Peut-être que vous serrez l'héroïne de ma prochaine histoire...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne pense pas faire de suite sur cette expérience, elle n'intéresse plus et je le comprends, je la trouve particulière car c'était intense, mais en réalité assez banale. Je raconterai peut-être une autre aventure avec une lectrice si j'en ai la force, mais rien est prévu pour l'instant, elle n'est pas non plus si extraordinaire.
La suite oui oui oui
Je m’imagine totalement à la place de Sophie.
J’aimerais connaître la suite et même plus encore!
J’aimerais connaître la suite et même plus encore!
Comme c'est bon de se faire ainsi baiser par un jeune mâle. La suite, stp!