Mère de famille découvre la passion

- Par l'auteur HDS MurmureMasqué -
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Récit libertin : Mère de famille découvre la passion Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mère de famille découvre la passion
Moi c'est Sami. je suis un jeune homme, fin de vingtaine venu s'installer à Strasbourg. C'est justement dans cette ville que ce sont passées les aventures que je vais vous raconter.
Physiquement je suis à première vu banal, mais avec beaucoup de charme. Pas très grand (presque 1m75), allure sportive type rugbyman en un peu plus fin. Par contre j'ai un visage qui plait aux femmes. D'origines italo-algerienne, mon type maghrebin/mediterranéen les fait craquer en général. Mais mon atout principale ne se voit pas aux premiers abords... La nature m'a gâté au niveau de mon entre-jambe, mais surtout je suis particulièrement endurant et vigoureux. Un affamé incapable de débander quand j'ai une femme dans mes bras. Ces gros besoins qui m'habitent seront le centre de mes histoires. Les raconter sont aussi un moyen pour moi "d'évacuer" en quelques sortes. Bien sûr, mes textes seront par moment modifiés par souci de discrétion, pour moi même, mais aussi pour mes partenaires.



Tout commence fin août, dans une bibliothèque de la banlieue de Strasbourg. J'avais proposé mon aide bénévolement mon dernier mois de vacances pour une initiative de la bibliothèque de soutien scolaire pour des enfants en difficultés. Je rencontre là bas Sophie, une enseignante en français qui, elle aussi, avait proposé ses services.

Sophie, début de quarentaine, est une femme plutôt ronde d'à peu près 1m60. Son avantage est d'avoir ses formes répartis au nivau de sa poitrine, et surtout de son fessier. Ses cheveux châtains, fins et lisses sont attachés en arrière par une queue de cheval. Elle a de beaux yeux bleus cachés derrière une paire de lunette qui lui vont à merveille. Sophie est divorcée et mère d'un garçon dont elle partage la garde une semaine sur deux avec son ex-mari. Elle est prof de français dans le collège voisin et c'est naturellement qu'elle a proposé son aide aux bibliothécaires qu'elle connait bien.

Sophie ne m'a pas particulièrement tapé dans l'oeil à notre première rencontre. Elle s'occupait de corriger des exercices d'entrainements d'élèves en difficultés qu'elle voyait en fin de semaine pour leur faire un bilan. Moi, qui m'attendait à en faire de même en maths, était finalement affrété à une tâche beaucoup moins intéressante. En effet, je devais déplacer des cartons de dons de fournitures scolaires et les trier pour qu'ils puissent les redistribuer à des familles en difficulté pour la rentrée. Quand je ne m'occupais pas des cartons, c'est dans la même pièce qu'elle que je triais le materiel. Le courant est rès vite passé entre nous. Malgrès ses postures, je ressentais une pointe de timidité chez elle mais je la mettais facilement à l'aise et l'ambiance entre nous était bon enfant.

De manière désinteressée, je me suis rapidement mis dans une démarche de séduction avec elle mais plus par jeu que par réel intérêt. Pourtant ses réactions de femme timide mais excitée ont vite commencé à m'emoustiller. Elle rougissait à chacune de mes taquineries tout en faisant la moue. Parfois elle écarquillait les yeux semblant choquée de mes allusions mais finissait par se tortiller de manière aguicheuse tout de suite après. Mine de rien, elle commencé vraiment à me plaire, je m'imagineais la devergonder, la salir dans toutes sortes de positions indécentes. Cette femme plus agée devenait doucement une obcession et je poussais le jeu de plus en plus loin.

Petit à petit, les jours passant, à chaque passage avec mes cartons, je l'effleurais ou lui susurais des obscénités dans le creux de l'oreille. Elle réagissait toujours de la même manière, elle devenait toute rouge puis se redressait en tortillant brèvement son bassin de droite à gauche. Je m'amusais aussi à la fixer comme un mort de faim quand je me trouvais en face d'elle, elle esquissait une sorte de bref sourir incontrôlable puis baissait la tête dans ses copies, toujours en rougissant. Dès le troisième jour, elle se mit à s'habiller beaucoup plus sexy et ses tenues la mettrons désormais de plus en plus en valeur au fil des jours qui passent. Maintenant, quand je passe dans la pièce, elle trouve des excuses pour se lever de sa chaise, pour que je vienne me coller à ses hanches. Parfois, des petits "oh!" de surprise, ou des "voyons !" sortent de sa bouche mais elle continue son petit manège, son petit jeu. Jours après jours, mes murmures dans son oreille étaient de plus salaces.

"je vais te dévergonder Sophie";"tu vas t'offrir à moi Sophie et tu trembleras de jouissance";"je te lècherai tout le long du corps";"tu n'imagines pas comme tu te torderas de plaisir";"je vais souiller la femelle en chaleur qui sommeille en toi";"tu vas te faire saillir par un jeune mâle";"ta chatte va se noyer dans son propre plaisir";

Un évènement va nous rapprocher un peu plus le vendredi de ma première semaine. Après le déjeuner passé dans une pièce de la bibliothèque avec nos "collègues" bibliothécaires et du personnel de mairie qui vient manger ici, il nous reste un quart d'heure avant la fin de notre pause dej. Les collègues restés dans la salle continuent à bavarder pendant que je vois Sophie s'éclipser dans la bibliothèque le téléphone à la main.
Je fais mine d'aller aux toilettes, pour la rejoindre un peu plus loin. En m'approchant d'elle je me rend compte qu'elle était avec le proviseur de son collège au téléphone. Ils parlaient de formalités administratives pour la rentrée des classes le jeudi de la semaine prochaine. La bibliothèque était vide et elle se tenait à l'entrée d'une petite pièce qui servait de remise, à l'arrière des bureaux de l'accueil.
Elle me tournais le dos, adossée en avant sur le dossier d'un fauteuil, positionant ainsi son fessier bien cambré. Elle avait les cheveux relachés et portait une magnifique robe débardeur bleu à fleure qui lui moulait parfaitement le haut du corps, le reste de la robe reposant sur son fessier proéminant. Toute la matiné, elle s'était amusé à gigoter ses lourdes mamelles en se trotillant et osait de plus en plus tenir le regard trés brèvemant mais avec timidité. Elle continuait de parler sans se rendre compte de ma présence et j'osais une claque bien ferme sur son fessier.
Elle se redressa immédiatement, presque en sursotant et d'un bref mouvement de la tête, compris que c'était moi. Son interlocuteur continuer à parler et je la collais dans le dos solidement, impassible. Pendant un instant qui lui paru une éternité, je me contentais, sûr de moi, de lui faire ressentir mon soufle chaud dans le creux de son cou. Elle perdait ses moyens. Le proviseur continuait son monologue qu'elle n'écoutait plus et repondait de brefs "mmm";"oui monsieur" la voix tremblante et presque en gémissant. Moi, bien droit derrière elle continuais à lui faire ressentir se souffle diabolique. Chaque expiration était comme une caresse chaude enveloppant tout son corps, je l'envoutais. Et quand j'inspirais, s'est comme si j'asspirais tout son être dans des délices indéscriptibles. La discussion continuait et je me déléctais de la voir perdre ses moyens, tremblente de désir. Elle était toute rouge et j'entendais presque les battement de son coeur dans sa poitrine. Je m'amusais à souffler plus fort, toujours lentement, pour qu'elle sente la brise la caresser jusque dans son décoleté plongeant. Elle penche même légèrement la tête pour sentir mon vent délicieux. Ses tétons pointés, prêts à déchirer le tissu de sa robe, trahissent son excitation. La sentant presque jouir de mon soufle, je me permets d'effleurer sa main libre, aggripée fermemant au dossier de la chaise comme si elle avait peur d'être entrainée dans mon tourbillon de plaisir. Au contact du bout de mes doigts avec sa peau elle tressaillit en lachant petit cri strident. Son interlocuteur n'ayant rien remarqué continu son monologue, pendant que du bout des doigts je caresse de manière intermittente son avant bras d'allers et retours. Sa respiration ressemble à des sanglots de plaisir, comme si elle plongeait dans un bac d'eau froide.
Tout en continuant avec son bras et en soufflant sur elle, je lui caresse le cou du bout de mes lèvres en vas et vient comme un félin sauvage avec son museau.
Elle est au bord d'une jouissance extrême mais je continue cette délicieuse torture un long moment. Puis soudainement, dans un élan de fougue et de manière synchronisé, mon bras gauche s'aggripe fermement à son sein gauche pour le pêtrir. En même temps, je lui mets un sauvage coup de langue dans le cou et glisse ma main droite dans son entre-jambe pour la fouiller par dessus la robe déjà humide. D'un geste réflexe elle coupe la disussion avec son suppérieur qui continuait à parler en faisant tomber son téléphone sur le sol.
Elle n'a de parole que des gémissements. Tout en la pelotant des deux mains au niveau des seins comme un chien affamé, je lui lèche le lobe de l'oreille. Entre deux léchouille je lui dis dans l'oreille, plein d'envie: "je vais assouvir tes désirs de chienne, salope ! Tu vas jouir de mes mains sur le sol". C'est inattendue, mais ces mots déclanche en elle une décharge de plaisir. Ses jambes tremblantes ne la tiennent plus désormais, elle fond dans mes mains, les yeux fermés elle s'abandonne. Son téléphone n'arrête pas de sonner pendant qu'elle jouit entre mes mains, je la serre fort en lui disant "vas-y, lache toi, tu es à moi, lache toi complètement". La machoire serrée elle pousse des cris étouffés roques et strident pendant que sa sangle abdominal se contracte de plusieurs spasmes sous mes bras. Je la pose délicatement sur le sol, elle respire fort, les yeux toujours fermés, comme si elle vivait ailleurs. Je lui saisi le menton et l'embrasse à pleine bouche comme un sauvage, elle gémit pendant que ma langue la fouille.
Mais soudain, nous entendons les collègues arrivés parlant et riant à vive voix ! Je la soulève rapidement, elle a du mal à retrouver ses esprits, je lui mets le téléphone entre les mains et lui dit de faire semblant de parler. J'ai tout juste le temps de sortir et longer un petit couloir qui mène à une porte arrière. Je ferai mine de m'être dégourdi avant de reprendre le boulot...

En revenant dans la bibliothèque, tout est normal. Une des bibliothécaire est à l'étage, l'autre pianote à l'accueil sur son PC en attendant l'ouverture au public. C'est les vacances, il n'y aura pas grand monde, de toute manière je suis isolé avec Sophie dans un espace interdit au public. Je m'magine déjà finir ce qu'on a commencé. Elle a bien joui, de manière surprenante d'ailleurs, je n'ai fais que la peloter au final. Mais moi je suis encore plein d'excitation et il va nous falloir du temps pour que je puisse completement me calmer, elle ne me connait pas encore.

Je traverse l'accueil comme si de rien était et je rejoins l'espace isolé qui nous est dédié. Dans le couloir en m'approchant de la pièce ou Sophie travaille, je marque le pas. Je l'observe de loin. Elle est encore en pleine torpeur, debout devant la table, semblant ne pas savoir où elle est ni savoir quoi faire. Toujours debout, elle prend un tas de feuilles, le tasse, le repose faisant mine de mettre de l'ordre. Elle se redresse gonflant sa poitrine, étire sa robe de ses mains. Elle est encore troublée et terriblement bandante. Rien que l'observer éveil en moi des instincts animals, de félin, je bande comme un âne.

Je m'approche un peu de l'entrebaillement de la porte pour sortir de l'obscurité du couloir, pour qu'elle puisse ainsi me voir. Quand elle sent ma présence, nos regards se croisent. J'ai brievement l'impression de voir ses pupilles se dilater, elle a le regard qui pétille mais rougit instantanément. Je lui fait signe pour qu'elle me suive, je veux l'emmener dans les toilettes pour finir ce que nous avons commencé. Le visage toujours rougit, elle me fait timidement un non de la tête. Je comprends que, maintenant qu'elle a joui, je vais devoir encore l'émoustiller pour poursuivre notre passion. Je decide d'entrer dans la pièce, j'avance d'un pas décidé en sa direction, elle bombe le torse pour se donner une apparence mais plus j'avance vers elle plus mon assurance contraste avec sa febrilité. Je la fixe du regard en ayant un sourir malicieux en coin, elle bouge sa tête ne sachant pas ou poser son regard et quand je suis à deux pas d'elle, elle lâche en un soupir: "je... je crois... nous... nous n'aurions pas du..." Moi, toujours d'un pas déterminé vers elle, juste avant de la toucher, je la vois fermer les yeux. La bouche mi ouverte elle se penche vers moi, la poitrine en avant. On s'embrasse langoureusement, je sais que j'ai gagné, qu'elle est à moi. Elle aussi le sait. J'ai ressenti qu'elle s'attendais à ce que je la bouffe comme tout à l'heure, mais je prends le temps de me délecter de langue et de sa salive. Je la domine calmement. Solide sur mes appuis, elle chancelante, mes bras l'entourent, mes mains malaxent lentement son fessier comme pour lui faire ressentir à quel point elle m'appartient, à quel point je la domine. Sa manière de pousser de petits cris stridents pendant qu'on s'embrasse m'excite au plus haut point. Tout en malaxant ses fesses dodues, je retrousse très lentement sa robe qui commence à devoiler ses jambes nues. Je me retire de sa bouche et prends le temps de la fixer amoureusement du regard, l'air taquin et joueur en continuant d'agriper ses grosses fesses. Elle, surprise, le regard mi-clos, revient à ses esprits puis détourne le regard, gênée. Joueur, je lui caresse lentement le visage avec le bout de mon nez, comme le ferai un chat. Elle fait mine de fuire mes caresses dans une sorte de jeu coquin, de parade amoureuse alors que je continue de lui petrir le cul lentement. Mes lentes caresses du bout du nez lui font de l'effet, elle ferme les yeux pour mieux les savourer, puis je commence à déscendre dans le creux de son cou, toujours du bout du nez. Toujours ferme dans mes appuis et elle complètement abandonnée dans mes bras, je me delecte tendrement de son cou. De doux petits baisers baveux successifs succèdent à mes précedentes caresses. Son cou m'est complètement offert, tantôt je la léchouille, tantôt je la mords, tantôt je la caresse. Sa respiration est de nouveaux saccadée, elle est tremblante et à feur de peau, à chaque morsure sensuelle, à chaque baisers dans ce cou merveilleux, elle sursaute de plaisir. Sa robe est complètement retroussée, son fessier complètement dévoilé et je le malaxe. Je suis surpris de constater qu'elle porte un string en dentelle noir, complètement gorgé de ses sécrétions d'amour. Je lui murmure tendrement dans l'oreille: "madame sait portait de la lingerie..." Je n'ai pour réponse qu'un long soupir de plaisir. La vision de cette femme complètement conquise donnerait envie à un eunuque. Je reste vigilant, au moidre bruit de porte, on aurait à peine le temps de se remettre en place pendant que l'intru traverse le couloir.

Je ne sais pas si c'est un hazard, mais à l'instant où cette éventualité me traverse l'esprit, la porte s'ouvre. On se décolle immédiatement. Mais la bibliothécaire (qui s'appelle Sophie également) ne prends pas la peine de venir. Elle m'appelle du bout du couloir. Un peu décontenancé je pars en sa direction, en prenant soins de dissimuler mon érection. Elle voulait en fait me demander des précisions par rapport au nombre de carton que nous avions récéptionné. Pour qu'elle ne se doute de rien j'en profite pour la prévenir que je compte rentrer parce que je ne me sens pas bien. Elle s'en fout royalement. Je jubile interieurement.


La suite au prochain texte, si je constate un intéret... L'écriture est un exercice qui m'est vraiment étranger, et me prend du temps. Si le texte ou même mes histoires ne vous intéressent pas, n'hésitez pas à être franc, je ne suis pas quelqu'un de suceptible.

A trés bientôt, je l'espère.

PS: Si vous avez aimé cette histoire, et que vous êtes une femme, vous pouvez me contacter sur ma boite:
mystersam32@proton.me

Peut-être que vous serrez l'héroine de ma prochaine histoire...

Les avis des lecteurs

Waouh. Comme je comprends Sophie!

Histoire Erotique
magnifique ce debut

Histoire Libertine
J'ai adoré je surveille pour de prochain récit

Histoire Erotique
On est pris par votre récit ! Tous mes encouragements pour la suite ..!

Histoire Erotique
Très bon début ! La suite devrait être assez pimentée...

Histoire Libertine
Pensez au fautes d’orthographe 1 minimum et à espace le texte.

Histoire Erotique
très bonne histoire, bien cadencée comme votre accouplement j'espère



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