Mère et fille...
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mère et fille...
-Alors comme ça tu baises mes deux filles ? Lâche ma belle-mère alors que je suis en train de boire gentiment un café en sa compagnie autour de la table en sapin.
-Oui comme je baise leur mère !
-Oui mais ça il ne faut pas que cela se sache. Réplique-t-elle.
Elle me regarde avec un demi-sourire.
-Je veux que tu me baises. Ajoute-t-elle.
-Comme ça ? Fais-je en écarquillant comiquement les yeux.
Elle m'interrompt.
-Je suis sérieuse. Quand la fièvre du cul me prend comme c’est le cas maintenant, c’est difficile de me contrôler. Surtout quand tu es dans les parages mon cher gendre.
Elle a un bref aboi de rire en quittant sa chaise. Pour se campée sur les talons hauts de ses mules, parée d’un long kimono de soie noire. Je la considère alors qu’elle se débarrasse de son vêtement.
Là, d’un geste précis, elle le laisse tomber sur le sol.
-Alors, ça te dit une baise avec ta belle-maman? Me fait-elle en faisant bomber sa poitrine.
Mettant ainsi de la sorte en valeur ses seins lourds, dont les pointes semblent vouloir transpercer le tissu fin de sa chemise de nuit. Elle écarte ma tasse de café sur le côté et grimpe sur le champ sur la table en sapin. Une fois assise, elle croise haut les jambes. Dans l'action, la chemise de nuit remonte très haut. Comme à son habitude, elle porte des collants. Je vois tout à travers le nylon. Ses lèvres de sexe, bien sorties, leur tracé déchiqueté, leur épaisseur. Un filet de mouille vient se perdre le long de son périnée. Comme je vois son clitoris se dégagé de son capuchon et s’allongé. Comme toujours, ça me fascine. Ça ressemble à une petite queue qui se durcit.
Je m’approche à la toucher, et colle mon gland contre le nylon. C’est à la fois irritant et agréable. Par transparence je perçois parfaitement la masse de sa chair, et devine sa chaleur.
Sans pouvoir me contenir, je balade ma langue sur son sexe à travers le nylon. Avec la double volonté de parcourir tout son ventre ainsi, mais aussi de tenter de lui procurer du plaisir. J’insiste sur son bourgeon, sur ses lèvres. Colette mouille. Il est évident que ce que je fais lui plaît. Elle se masse les seins. Je remarque un trou sur son collant, à l’entrejambe pour être précis.
J’appuie dessus avec mon index. Chaque mouvement de mon doigt élargit l’accroc et en même temps, lui procure du plaisir, en effleurant sa vulve. Je suis dans l’incapacité de m’empêcher de bander.
-Colette, tu es vraiment une sacrée cochonne !
-C’est bien pour cela que tu viens me voir si souvent, non ? Lâche-t-elle en laissant choir sa chemise de nuit sur un coin de la table.
Avec un sourire narquois elle m’expose sa poitrine. Je la trouve désirable. Ses seins sont comme toujours, superbes. Ils sont impertinents. De véritables obus terminés par de longues pointes roses et dures. Je prends alors soin de lui déchirer le devant du collant. Je suis admiratif devant son ventre couvert d’une véritable fourrure soyeuse.
-Alors, tu aimes baiser mes filles ? M’interroge-t-elle en se retournant, pour me présenter son cul, très imposant, fendu profondément.
-Je serais curieuse de savoir laquelle tu préfères ? Lâche-t-elle.
J’ai les yeux rivés sur la couronne de poils soyeux qui entoure son trou de balle, curieusement plus clairs que sa toison pubienne. Mon sexe tendu à tout rompre se met à tressauter. Des mouvements convulsifs que je n’arrive point à maîtriser.
Des idées de levrette somptueuse et de sodomies profondes dansent dans mon esprit comme une sarabande folle.
-Alors ? Me fait-elle, tu ne me le dirais pas, à moi, laquelle tu préfères ?
-A vrai dire j'aurais une préférence pour ma femme ! Fais-je en m’approchant à la toucher.
Comme devinant mes pensées, elle se penche légèrement en avant, exposant ainsi son gros fruit fendu niché en haut de ses cuisses. Je grimpe sur la table et m’installe derrière elle. Je déchire le nylon, pas sans mal, jusqu’à ce que l’ouverture soit suffisamment grande pour que je puisse profiter de son corps. Sans plus attendre, je pointe la pointe de ma queue sur ma cible et d’un coup de reins je la fais disparaître dans son antre. Elle laisse échapper son premier gémissement. Sa chatte est plus que douillette. Une gaine suave, moelleuse, qui aspire ma queue aussi bien que l’aurait fait une bouche. Je rencontre que du plaisir. J’en suis tout émoustillé, et je n’ai pas si bien bandé depuis longtemps. Et curieusement, malgré mon excitation, je me sens détaché, presque indifférent, capable de la limer pendant des heures. Subitement, elle me demande d’une voix inquiète.
-Tu vas jouir au moins ?
-Quel drôle de question ! Fais-je en accélérant la cadence de mes coups de reins, pour arriver au plus vite à la jouissance. Cela a pour effet d’envoyer belle-maman dans le monde du plaisir. Elle ne crie pas, mais je comprends à l’expression de son visage pour bien la connaître qu’elle jouit en même temps que moi.
Malgré ça, je suis tellement excité que je ne débande pas. Ce qui me permet de lui pratiquer une sodomie dans les règles de l’art, comme me l’ont appris certaines vieilles vicieuses du quartier, lors de mon adolescence, les mêmes qui raffolaient de ce genre de pénétration.
Sur la table, belle maman me regarde après avoir tourner sa tête vers moi, fixement droit dans les yeux. Pendant que je l’encule fermement, elle glisse une main entre ses cuisses et se masturbe sans retenue. Soudain, son regard se trouble et devient comme voilé. Elle ferme les yeux et se laisse tomber le ventre sur le plateau de la table, toute molle, m’entrainant avec elle.
Toujours planté profondément dans ses entrailles et de par ma position collée de toute ma longueur sur elle, je sens l’odeur naturelle de son corps me chatouiller les narines. Cela m’entête, m’enivre comme une vapeur d’alcool trop fort.
C’est alors que l’on m’écarte les fesses. Je tourne la tête. C’est ma belle-sœur n’ayant que pour vêtement que des bottes en cuir. Décidément, pensai-je, c’est vraiment une drôle de famille ! Mais ça, je le sais depuis le premier jour où j’ai fréquenté la sœur ainée. Sourire aux lèvres, la belle-sœur se penche sur mes fesses, après son souffle chaud, c’est sa langue légèrement râpeuse que je sens, me léchant le cul. Je ne suis pas à ma première feuille de rose, mais celle-là est exceptionnelle.
Sa langue virevolte autour de ma rondelle et s’y enfonce comme pour un baiser profond. Après quelques murmures avec sa maman, elle me fait m’allonger sur le dos sur le plateau de bois, et s’accroupissant au-dessus de mon visage, elle ouvre elle-même les lèvres gonflées de son sexe, dévoilant une chair rose et un clitoris de la taille d’un petit pois rouge sang que je m’empresse de sucer.
J’ai toujours aimé pratiquer le cunnilingus. Je dirais même que je préfère cela à la baise. Et ma belle-sœur apprécie beaucoup ma caresse buccale. Comme le démontrent ses gémissements. Je la fais jouir avec ma langue, et j’en suis très fier. Mais la coquine en veut plus. Pour cela, elle se déplace pour venir s’accroupir au-dessus de ma verge toujours dure. Elle s’empale littéralement dessus et me baise très savamment. Je croise mes mains sous ma tête et la laisse travailler.
C’est alors que le téléphone sonne et la mère s’empresse de décrocher. Je l’entends parler sans chercher à comprendre ce qui se dit. Après avoir raccrochée, elle revient vers nous et lâche.
-C’était ton père, le con m’avertit qu’il rentre manger.
-Bien maman, aide-moi d’abord à le faire jouir. Il l’a bien mérité.
Les voilà, qu’elles s’agenouillent devant moi pour me sucer. Je devine très vite que ce n’est pas la première fois qu’elles se livrent ensemble à ce genre d’exercice, car elles sont parfaitement coordonnées. L’une prend le gland dans sa bouche, alors que l’autre lèche le corps de ma verge et les bourses. Comme un ballet bien réglé, elles échangent leur rôle régulièrement, pour mon plus grand plaisir.
Sentant en parfaite experte, que je suis sur le point de jouir, leurs lèvres et leurs langues se mélangèrent autour de l’extrémité de mon sexe, que vous devinez gonflé à bloc. Leur salive chaude abondante coule sur la tige jusqu’aux bourses dilatées. J’acquiesce à mon sperme de jaillir, inondant copieusement leurs visages. Les deux femmes se lèchent mutuellement la face, pour récupérer mon foutre.
Puis pendant que la mère me presse les couilles et aspire les dernières gouttes de semence, sa fille se lève et pose ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes et m’embrasse voluptueusement enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser parfumé de mon propre jus dure longtemps. Je trouve cela fort agréable.
Malheureusement pour moi, je n’ai pas eu l’occasion de renouveler cette opération, surtout avec ses deux fellatrices accomplies.
-Oui comme je baise leur mère !
-Oui mais ça il ne faut pas que cela se sache. Réplique-t-elle.
Elle me regarde avec un demi-sourire.
-Je veux que tu me baises. Ajoute-t-elle.
-Comme ça ? Fais-je en écarquillant comiquement les yeux.
Elle m'interrompt.
-Je suis sérieuse. Quand la fièvre du cul me prend comme c’est le cas maintenant, c’est difficile de me contrôler. Surtout quand tu es dans les parages mon cher gendre.
Elle a un bref aboi de rire en quittant sa chaise. Pour se campée sur les talons hauts de ses mules, parée d’un long kimono de soie noire. Je la considère alors qu’elle se débarrasse de son vêtement.
Là, d’un geste précis, elle le laisse tomber sur le sol.
-Alors, ça te dit une baise avec ta belle-maman? Me fait-elle en faisant bomber sa poitrine.
Mettant ainsi de la sorte en valeur ses seins lourds, dont les pointes semblent vouloir transpercer le tissu fin de sa chemise de nuit. Elle écarte ma tasse de café sur le côté et grimpe sur le champ sur la table en sapin. Une fois assise, elle croise haut les jambes. Dans l'action, la chemise de nuit remonte très haut. Comme à son habitude, elle porte des collants. Je vois tout à travers le nylon. Ses lèvres de sexe, bien sorties, leur tracé déchiqueté, leur épaisseur. Un filet de mouille vient se perdre le long de son périnée. Comme je vois son clitoris se dégagé de son capuchon et s’allongé. Comme toujours, ça me fascine. Ça ressemble à une petite queue qui se durcit.
Je m’approche à la toucher, et colle mon gland contre le nylon. C’est à la fois irritant et agréable. Par transparence je perçois parfaitement la masse de sa chair, et devine sa chaleur.
Sans pouvoir me contenir, je balade ma langue sur son sexe à travers le nylon. Avec la double volonté de parcourir tout son ventre ainsi, mais aussi de tenter de lui procurer du plaisir. J’insiste sur son bourgeon, sur ses lèvres. Colette mouille. Il est évident que ce que je fais lui plaît. Elle se masse les seins. Je remarque un trou sur son collant, à l’entrejambe pour être précis.
J’appuie dessus avec mon index. Chaque mouvement de mon doigt élargit l’accroc et en même temps, lui procure du plaisir, en effleurant sa vulve. Je suis dans l’incapacité de m’empêcher de bander.
-Colette, tu es vraiment une sacrée cochonne !
-C’est bien pour cela que tu viens me voir si souvent, non ? Lâche-t-elle en laissant choir sa chemise de nuit sur un coin de la table.
Avec un sourire narquois elle m’expose sa poitrine. Je la trouve désirable. Ses seins sont comme toujours, superbes. Ils sont impertinents. De véritables obus terminés par de longues pointes roses et dures. Je prends alors soin de lui déchirer le devant du collant. Je suis admiratif devant son ventre couvert d’une véritable fourrure soyeuse.
-Alors, tu aimes baiser mes filles ? M’interroge-t-elle en se retournant, pour me présenter son cul, très imposant, fendu profondément.
-Je serais curieuse de savoir laquelle tu préfères ? Lâche-t-elle.
J’ai les yeux rivés sur la couronne de poils soyeux qui entoure son trou de balle, curieusement plus clairs que sa toison pubienne. Mon sexe tendu à tout rompre se met à tressauter. Des mouvements convulsifs que je n’arrive point à maîtriser.
Des idées de levrette somptueuse et de sodomies profondes dansent dans mon esprit comme une sarabande folle.
-Alors ? Me fait-elle, tu ne me le dirais pas, à moi, laquelle tu préfères ?
-A vrai dire j'aurais une préférence pour ma femme ! Fais-je en m’approchant à la toucher.
Comme devinant mes pensées, elle se penche légèrement en avant, exposant ainsi son gros fruit fendu niché en haut de ses cuisses. Je grimpe sur la table et m’installe derrière elle. Je déchire le nylon, pas sans mal, jusqu’à ce que l’ouverture soit suffisamment grande pour que je puisse profiter de son corps. Sans plus attendre, je pointe la pointe de ma queue sur ma cible et d’un coup de reins je la fais disparaître dans son antre. Elle laisse échapper son premier gémissement. Sa chatte est plus que douillette. Une gaine suave, moelleuse, qui aspire ma queue aussi bien que l’aurait fait une bouche. Je rencontre que du plaisir. J’en suis tout émoustillé, et je n’ai pas si bien bandé depuis longtemps. Et curieusement, malgré mon excitation, je me sens détaché, presque indifférent, capable de la limer pendant des heures. Subitement, elle me demande d’une voix inquiète.
-Tu vas jouir au moins ?
-Quel drôle de question ! Fais-je en accélérant la cadence de mes coups de reins, pour arriver au plus vite à la jouissance. Cela a pour effet d’envoyer belle-maman dans le monde du plaisir. Elle ne crie pas, mais je comprends à l’expression de son visage pour bien la connaître qu’elle jouit en même temps que moi.
Malgré ça, je suis tellement excité que je ne débande pas. Ce qui me permet de lui pratiquer une sodomie dans les règles de l’art, comme me l’ont appris certaines vieilles vicieuses du quartier, lors de mon adolescence, les mêmes qui raffolaient de ce genre de pénétration.
Sur la table, belle maman me regarde après avoir tourner sa tête vers moi, fixement droit dans les yeux. Pendant que je l’encule fermement, elle glisse une main entre ses cuisses et se masturbe sans retenue. Soudain, son regard se trouble et devient comme voilé. Elle ferme les yeux et se laisse tomber le ventre sur le plateau de la table, toute molle, m’entrainant avec elle.
Toujours planté profondément dans ses entrailles et de par ma position collée de toute ma longueur sur elle, je sens l’odeur naturelle de son corps me chatouiller les narines. Cela m’entête, m’enivre comme une vapeur d’alcool trop fort.
C’est alors que l’on m’écarte les fesses. Je tourne la tête. C’est ma belle-sœur n’ayant que pour vêtement que des bottes en cuir. Décidément, pensai-je, c’est vraiment une drôle de famille ! Mais ça, je le sais depuis le premier jour où j’ai fréquenté la sœur ainée. Sourire aux lèvres, la belle-sœur se penche sur mes fesses, après son souffle chaud, c’est sa langue légèrement râpeuse que je sens, me léchant le cul. Je ne suis pas à ma première feuille de rose, mais celle-là est exceptionnelle.
Sa langue virevolte autour de ma rondelle et s’y enfonce comme pour un baiser profond. Après quelques murmures avec sa maman, elle me fait m’allonger sur le dos sur le plateau de bois, et s’accroupissant au-dessus de mon visage, elle ouvre elle-même les lèvres gonflées de son sexe, dévoilant une chair rose et un clitoris de la taille d’un petit pois rouge sang que je m’empresse de sucer.
J’ai toujours aimé pratiquer le cunnilingus. Je dirais même que je préfère cela à la baise. Et ma belle-sœur apprécie beaucoup ma caresse buccale. Comme le démontrent ses gémissements. Je la fais jouir avec ma langue, et j’en suis très fier. Mais la coquine en veut plus. Pour cela, elle se déplace pour venir s’accroupir au-dessus de ma verge toujours dure. Elle s’empale littéralement dessus et me baise très savamment. Je croise mes mains sous ma tête et la laisse travailler.
C’est alors que le téléphone sonne et la mère s’empresse de décrocher. Je l’entends parler sans chercher à comprendre ce qui se dit. Après avoir raccrochée, elle revient vers nous et lâche.
-C’était ton père, le con m’avertit qu’il rentre manger.
-Bien maman, aide-moi d’abord à le faire jouir. Il l’a bien mérité.
Les voilà, qu’elles s’agenouillent devant moi pour me sucer. Je devine très vite que ce n’est pas la première fois qu’elles se livrent ensemble à ce genre d’exercice, car elles sont parfaitement coordonnées. L’une prend le gland dans sa bouche, alors que l’autre lèche le corps de ma verge et les bourses. Comme un ballet bien réglé, elles échangent leur rôle régulièrement, pour mon plus grand plaisir.
Sentant en parfaite experte, que je suis sur le point de jouir, leurs lèvres et leurs langues se mélangèrent autour de l’extrémité de mon sexe, que vous devinez gonflé à bloc. Leur salive chaude abondante coule sur la tige jusqu’aux bourses dilatées. J’acquiesce à mon sperme de jaillir, inondant copieusement leurs visages. Les deux femmes se lèchent mutuellement la face, pour récupérer mon foutre.
Puis pendant que la mère me presse les couilles et aspire les dernières gouttes de semence, sa fille se lève et pose ses lèvres couvertes de jus encore tiède sur les miennes et m’embrasse voluptueusement enfonçant profondément sa langue dans ma bouche. Ce baiser parfumé de mon propre jus dure longtemps. Je trouve cela fort agréable.
Malheureusement pour moi, je n’ai pas eu l’occasion de renouveler cette opération, surtout avec ses deux fellatrices accomplies.
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