Mère et fille. Complicité et secrets
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mère et fille. Complicité et secrets
Cela faisait presque un an que ma fille aînée était partie s'installer avec son ami quand elle m'a téléphoné pour me
dire qu'elle avait envie de me voir. Elle habitait loin mais devait revenir dans notre ville pour chercher des papiers.
Pour moi, il n'y avait pas de problème. Elle n'avait qu'à venir. Elle a dîné à la maison et comme il faisait beau, j'ai
proposé d'aller faire un tour au bord du canal. Mon mari a refusé et en a profité pour nous proposer de faire la
vaisselle. C'était si rare que j'ai accepté et je suis partie avec ma fille.
Nous marchions. La lune se reflétait dans l'eau. Au loin, une silhouette. Debout au bord du canal, mais c'était encore
trop loin pour distinguer quoi que ce soit. Nous marchions encore quand nous avons pu voir que la silhouette, un
homme encore jeune, avait le pénis à l'air et se masturbait sans voir que nous arrivions près de lui.
- Mais, c 'est José, a fait ma fille ! Ça alors, je n'en reviens pas !
- Tu le connais, lui ai-je fait ?
- Bien sûr que je le connais, a protesté ma fille ! C'était un copain et je suis même sorti avec lui !
Nous étions fascinées par la scène toutes les deux et tout à coup, un long jet de sperme, illuminé par un rayon de
lune, a jailli et est retombé dans l'eau du canal, puis un autre jet et un autre et un autre et le fameux José n'a plus
rien fait d'autre que de porter ses mains dans son dos sur ses reins pour se redresser et reprendre silhouette plus
avenante alors que son pénis restait tendu au bas de son ventre.
- Mon dieu, a fait ma fille ! Dire qu'il n'a jamais voulu faire l'amour avec moi !
J'ai pensé qu'elle avait échappé à un obsédé sexuel mais en réfléchissant j'ai pensé que je n'avais rien à dire parce
que, côté sexe, si j'avais été un homme, j'aurais bien été capable de faire ça.
- Il va sauter, a dit ma fille, soudain angoissée !
- Viens, lui ai-je fait !
J'ai pris ma fille par le bras et nous avons couru vers le jeune homme et nous l'avons attrapé chacune par un bras
afin de le faire reculer sur la berge. Heureusement, il y avait un replat de terre engazonné sur lequel nous avons pu
nous asseoir tous les trois. Le pénis restait à l'air et encore planté bien droit.
- José ! José, disait ma fille à son ami car on a beau être séparés, on reste amis pour toujours !
José sembla revenir à lui et ma fille lui a demandé ce qu'il lui arrivait. Le garçon ne semblait pas comprendre.
- Tu ne crois pas que tu pourrais ranger ça, lui a dit ma fille en attrapant son pénis et en essayant de le renfoncer
dans le pantalon ?
Je la regardais faire. Le pénis ne débandait pas — une sorte de priapisme, ai-je pensé — et les doigts de ma fille ne
faisaient que d'en décalotter le gland quand soudain le pénis a disparu dans le pantalon. Je réalisais soudain que
c'était un pénis énorme comme je n'en avais jamais vu. Le regard du garçon était fixé sur le lointain et il ne semblait
pas revenir à lui. J'ai mis ma main dans ma poche pour attraper mon téléphone mais ma fille m'a dit aussitôt de n'en
rien faire, qu'il était inutile d'appeler les pompiers et que nous finirions bien par arriver à ramener José chez lui.
C'est alors que José s'est mis à pleurer et à dire qu'il était trop timide, qu'il avait peur des filles alors qu'il avait
toujours besoin de faire l'amour. Ma fille lui a répondu qu'il finirait par trouver une fille qui aurait besoin de lui et
qui l'aimerait et qu'elle satisferait ses besoins.
- Tu sais, moi aussi, je me masturbe beaucoup, a continué ma fille ! Tu peux le demander à ma mère ! Elle est là !
Ma fille me regardait et son regard vers moi était une sorte de défi. Elle ne mentait pas. Je l'avais surprise une
première fois qui se masturbait dans la salle de bains, face au lavabos. J'étais atterrée. Elle n'arrêtait pas de se
caresser et observait son visage dans le miroir et n'arrêtait pas de dire que ça venait, qu'elle était une petite salope
et que ça venait, etc.. J'étais dans le couloir et l'observais par l'entrebâillement de la porte. Elle continuait :
- Avec tes gros nichons, tu pourras faire la pute et tu tomberas sur un maquereau qui, pour te punir, t'enculera et te
feras sauter par une meute de clients affamés !
J'étais étonnée que ma fille connut toutes ces expressions.
- Ah, ça vient, avait-elle continué ! Tu jouis, salope ! Profites-en car quand tu seras putain, tu n'aurais plus envie de
jouir quand tu seras montée !
Ma fille avait poussé un dernier soupir et son corps avait eu un soubresaut et moi, j'avais eu un lâche soulagement
que ce soit terminé mais j'étais encore incapable de m'en aller. Je suis restée dans l'ouverture de la porte. Ma fille
s'était penchée pour regarder au bas de son ventre :
- Ah, mon petit cochon, s'est-elle écriée en éclatant de rire ! Tu bandes ! Tu en profites toujours pour bander ! Tu
verras, un jour, il y aura une belle bite qui te fera honte !
Ma fille avait pris une serviette et s'était essuyée et je m'étais enfuie dans le couloir. D'autres fois, j'étais restée
l'oreille collée à la porte de la salle de bains ou de la chambre pour assister à ses masturbations et je me caressais
tout en l'écoutant.
- José ! Viens, répétait ma fille, on va te ramener chez toi !
J'ai demandé à ma fille si elle savait où c'était et elle le savait et nous l'avons pris l'une et l'autre par un bras et nous
avons marché jusque chez lui. Une fois arrivés, nous sommes entrés tous les trois. J'avais été fasciné par la façon
dont ma fille avait fouillé dans la poche du pantalon pour chercher la clé de la porte. J'ai accompagné ma fille et son
ancien ami dans la chambre et nous l'avons couché après l'avoir déshabillé. José bandait à nouveau et a porté la
main sur son pénis. J'ai dit à ma fille qu'il était temps de partir, mais elle m'a répondu qu'on ne pouvait pas laisser
son ami seul, qu'il allait faire des bêtises et elle m'a dit qu'elle allait rester le temps qu'il faudrait et m'a dit de rentrer
à la maison.
J'ai quitté la chambre et j'ai descendu l'escalier et j'allais sortir de la maison quand j'ai eu des scrupules et je suis
remonté à l'étage et je les ai entendus tous les deux :
- Je veux t'enculer, disait José à ma fille !
- Tu dis des bêtises, lui avait répliqué ma fille ! Tu ne sais même pas qui je suis !
- Quelle importance, avait alors répondu José ! Je sens bien que tu es une femelle ! Si j'avais eu envie de te saillir, je
te l'aurais dit mais là, j'ai besoin d'enculer !
J'étais sidérée et fascinée une fois encore. Je me suis approchée sans faire de bruit de la chambre et j'ai regardé. Ma
fille était assise sur le bord du lit et branlottait le pénis de José.
- J'ai un ami, a continué ma fille ! Tu ne veux pas que je le trompe, non ? Et puis, je n'en ai pas envie !
- Tu ne veux pas que je t'encule, a continué José ?
- Non, ce n'est pas ça, a dit ma fille ! Ça n'a pas d'importance ! Tu sais bien que je ne mélange pas le sexe et
l'amour...
- Alors, quand tu seras amoureuse, tu ne voudras vraiment plus, a protesté José ?
- Non ! Ce n'est pas ce que je veux dire, a continué ma fille ! Tu confonds tout ! Ça n'aurait de l'importance que si
j'étais fécondable !
- Pffff ! Foutaises, a protesté José !
- Foutaises, a hurlé ma fille ? Mais si, ça a de l'importance ! Ça ne serait pas la première fois que je me fais enculer !
Mon ami adore faire ça et moi j'aime aussi ! Parfois, il m'emmène dans des partouzes rien que pour ça !
- Pour te faire enculer, a demandé José ?
- Oui, rien que pour ça ! Pour rien d'autre il ne voudrait !
- Est-ce qu'il te prends aussi dans la bouche, a demandé José ?
- Oui, a fait ma fille ! J'aime bien le sucer !
- Ce n'est pas ce que je t'ai demandé, a rugi José ! Est-ce qu'il te prend dans la bouche ?
- Tu veux dire prendre dans la bouche jusqu'au bout et éjaculer et me faire avaler ?
- Oui, c'est ça, a dit José ! Tu aimes ça ?
- Oh, oui, j'adore le sperme, a avoué ma fille ! Mais c'est dommage, avec le sida, que je ne puisse avaler que celui de
mon ami !
- Il te trompe, a demandé José ?
- Me tromper, a fait ma fille ? Qu'est-ce que c'est que ce vilain mot ?
- Est-ce qu'il baise ailleurs, je veux dire, a insisté José ?
- Ah, non, a précisé ma fille ! Je ne veux pas et il ne le ferait pas !
- Alors, c'est toi seule, a fait José...
- Quoi, moi seule, a protesté ma fille ? Je l'aime et il m'aime et je fais ce qu'il veut que je fasse ! Je dois tenir ça de
ma mère parce qu'un jour qu'elle se masturbait sur son lit, elle a dit qu'elle aimerait être putain !
Ils se sont mis à rire tous les deux.
- Puisque tu veux être putain, fais-moi voir tes seins, a insisté José !
- S'il n'y a que ça, a fait ma fille ! Après tous, ce ne sont que des bouts de bidoche !
Elle avait retiré son T-shirt et son soutien-gorge.
- Non, a protesté José ! Ce sont de vrais nichons, et très beaux ! Est-ce que ceux de ta mère sont aussi bien faits ?
- Maman, a fait ma fille ? Oh, oui, mais ils sont plus beaux et plus pointus mais ceux dont je rêve sont ceux de ma
grand-mère qui lui tombent sur le ventre !
- Tu les a vus, a demandé José ?
- Ceux de ma grand-mère, a demandé ma fille ? Oh, oui, plusieurs fois, quand elle faisait sa toilette. On la faisait en
même temps ! Et je n'avais même pas besoin de me mettre sur la pointe des pieds pour téter ses mamelons !
- Et moi, je peux te téter, a demandé José ?
- Tu peux, a répondu ma fille ! Ça ne me dérange pas ! Mais je n'ai pas de lait !
J'ai jeté un oeil. Ma fille s'était penchée sur José et lui avait fourré un mamelon dans la bouche pendant qu'elle
continuait à le masturber.
- C'est avec toi que j'aurais dû me mettre, a dit ensuite ma fille !
- Tu as eu tort, parce que je t'aurais baisée à longueur de journée et de nuit et tu serais riche ! J'ai hérité de mes
grands-parents et de mes parents et je ne sais plus quoi faire de mon argent, a précisé José ! Je veux te prendre
dans la chatte et après je t'enculerais et je te ferais l'amour entre les seins avant d'éjaculer sur ton visage, a-t-il
insisté ! Ça te va ?
- Oui, mais il va nous falloir pas mal de temps pour faire ça, a évalué ma fille ! Il faudrait que je rendre !
- Ne t'en fais pas pour ta mère, a dit José ! Si j'en crois ce que tu m 'as dit, elle va rentrer et se masturber avant
d'aller rejoindre ton père au lit !
- Jure-moi que tu me feras plaisir, a minaudé ma fille à l'adresse de José ! Jure-le moi et je resterai toute la nuit !
- Viens, a fait José !
Ma fille s'est levée du lit et a retiré sa jupe et sa culotte. Elle a gardé ses hauts talons puis elle est montée sur le lit.
J'aurais bien voulu les rejoindre sur le lit mais avec une bite pour deux, je me suis dite que ça n'en valait pas la peine
d'autant plus que j'aurais été contrainte de faire l'amour à ma fille pour compenser. Elle s'est assise sur José et s'est
empalée sur son pénis puis l'a chevauché tout en lui demandant de lui toucher la poitrine puis elle a ajouté qu'elle
aimerait bien avoir les seins aussi gros qu'un ventre de femme enceinte et je suis partie définitivement pour rentrer
chez moi.
J'ai attendu ma fille toute la nuit sans dormir et je me suis masturbée avant de rejoindre mon mari au lit comme
l'avait pronostiqué José mais mon mari ne m'a rien fait. Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, mon mari
était parti à la pêche au canal comme il le fait tous les dimanches matin. Ma fille n'était pas dans sa chambre. Elle est
rentrée un peu plus tard.
- Qu'est-ce que tu as fait, lui ai-je demandé ?
- Oh, rien ! Je suis restée avec José toute la nuit ! Il était vraiment malade ! Il m'inquiète !
- Et ce matin, il va mieux, ai-je demandé à ma fille ?
- Ce matin, je ne sais pas, a répondu ma fille ! Quand je suis parti, il dormait. J'irai le voir avant de repartir...
- Tu pars quand, lui ai-je demandé ?
- Après le déjeuner, vers deux heures, m'a répondu ma fille !
Elle est effectivement partie vers quatorze heures. Je lui ai laissé une petite avance et je l'ai suivie. Son père
récupérait de sa pêche et somnolait dans le fauteuil. J'ai vu ma fille entrer dans la maison de José et je l'ai suivie. Ils
n'étaient pas montés dans la chambre mais faisaient ça dans le salon. Par la fenêtre, j'ai vu ma fille retirer sa jupe
puis son T-shirt et tout le reste. J'entendais tout par la fenêtre ouverte :
- Si tu me féconde, je t'épouse, lui a dit ma fille et tu as intérêt de lâcher le maximum de semence !
- Tu peux vraiment, lui a demandé José ?
- Oh, oui, c'est le bon moment ! Hier aussi, mais je n'étais pas décidé ! Tu peux m'enculer, mais je préférerais que tu
lâche tout au fond de mon vagin !
Ma fille s'est penchée sur la table et a présenté ses fesses.
- Baise-là, a-t-elle dit à José ! Je sais bien que tu as envie de la baiser depuis très longtemps ! C'est dommage que
tu ne m'aies pas demandé ! J'aurais peut-être accepté !
- Tu es une vraie salope, lui a dit José !
- Et toi tu es riche, a répliqué ma fille ! Tu peux bien vouloir d'une salope ! Je te jure que tu ne seras pas déçu !
José a déboutonné son pantalon et l'a laissé tomber à ses pieds sans le retirer.
- Mais tu m'encules, lui a dit ma fille !
- Je le sais bien, a protesté José ! Je sais aussi que tu aimes ça ! Tu me l'a dit et je sais bien que tu voudrais faire la
pute ! Si j'avais du courage, je te mettrais sur le trottoir ! Non, je te ferais bosser par téléphone et je te conduirais à
tes rendez-vous du moment que je peux te surveiller !
- Encule-moi si tu veux, mais j'ai vraiment besoin que tu me ramones la chatte, a insisté ma fille ! J'ai besoin de ta
grosse queue ! Vas-y, mets-moi tout bien au fond du vagin !
A chaque coup de boutoir de José, les seins de ma fille valdinguaient au bord de la table et ça faisait du bruit quand
ils claquaient sur son torse et aussi sur le plateau de la table.
- T'aime ça faire l'amour avec plusieurs types, lui a demandé José !
- Oh, oui, j'aime ça ! Et mon rêve c'est d'en avoir un dans la bouche, un ou deux dans l'anus et aussi dans la chatte
et un entre les seins et un dans chaque main, a précisé ma fille !
- Si je compte bien, a dit José en éclatant de rire, ça fait cinq ?
- Non sept, a riposté ma fille ! Je viens de te dire que j'aimerais bien en avoir deux dans l'anus et deux dans le vagin
! Je veux être une vraie putain !
- Je vais jouir, a protesté José !
- Fais attention, lui a demandé ma fille !
J'ai vu José sortir son pénis de l'anus de ma fille et l'enfoncer dans le vagin et aussitôt son ventre à fait cloc-cloc sur
les fesses de ma fille puis José à hurlé qu'il éjaculait.
- Reste bien au fond, lui a demandé ma fille !
Les deux amants sont restés collés un moment puis ils se sont séparés.
- Il faut que je rentre, a dit ma fille en s'essuyant ! Je suis sûre que je c'est bon ! Je suis prise ! Tu m'épouseras ?
- Promis, juré, a fait José !
Je suis rentrée chez moi pour ne pas me faire surprendre et j'étais tellement excitée parce que j'avais vu et entendu
que pendant plusieurs jours je me suis dit que j'allais aller chez José et me mettre moi aussi dans son lit. J'ai fini
par y aller, mais il n'était pas là. Pendant quelques semaines j'ai attendu des nouvelles de ma fille aînée, qu'elle
m'annonce qu'elle était prise et qu'elle allait épouser José mais ça n'est pas arrivé. C'est en recevant une facture de
l'hôpital, adressée à ma fille chez nous que j'ai appris qu'elle s'était faite avortée.
dire qu'elle avait envie de me voir. Elle habitait loin mais devait revenir dans notre ville pour chercher des papiers.
Pour moi, il n'y avait pas de problème. Elle n'avait qu'à venir. Elle a dîné à la maison et comme il faisait beau, j'ai
proposé d'aller faire un tour au bord du canal. Mon mari a refusé et en a profité pour nous proposer de faire la
vaisselle. C'était si rare que j'ai accepté et je suis partie avec ma fille.
Nous marchions. La lune se reflétait dans l'eau. Au loin, une silhouette. Debout au bord du canal, mais c'était encore
trop loin pour distinguer quoi que ce soit. Nous marchions encore quand nous avons pu voir que la silhouette, un
homme encore jeune, avait le pénis à l'air et se masturbait sans voir que nous arrivions près de lui.
- Mais, c 'est José, a fait ma fille ! Ça alors, je n'en reviens pas !
- Tu le connais, lui ai-je fait ?
- Bien sûr que je le connais, a protesté ma fille ! C'était un copain et je suis même sorti avec lui !
Nous étions fascinées par la scène toutes les deux et tout à coup, un long jet de sperme, illuminé par un rayon de
lune, a jailli et est retombé dans l'eau du canal, puis un autre jet et un autre et un autre et le fameux José n'a plus
rien fait d'autre que de porter ses mains dans son dos sur ses reins pour se redresser et reprendre silhouette plus
avenante alors que son pénis restait tendu au bas de son ventre.
- Mon dieu, a fait ma fille ! Dire qu'il n'a jamais voulu faire l'amour avec moi !
J'ai pensé qu'elle avait échappé à un obsédé sexuel mais en réfléchissant j'ai pensé que je n'avais rien à dire parce
que, côté sexe, si j'avais été un homme, j'aurais bien été capable de faire ça.
- Il va sauter, a dit ma fille, soudain angoissée !
- Viens, lui ai-je fait !
J'ai pris ma fille par le bras et nous avons couru vers le jeune homme et nous l'avons attrapé chacune par un bras
afin de le faire reculer sur la berge. Heureusement, il y avait un replat de terre engazonné sur lequel nous avons pu
nous asseoir tous les trois. Le pénis restait à l'air et encore planté bien droit.
- José ! José, disait ma fille à son ami car on a beau être séparés, on reste amis pour toujours !
José sembla revenir à lui et ma fille lui a demandé ce qu'il lui arrivait. Le garçon ne semblait pas comprendre.
- Tu ne crois pas que tu pourrais ranger ça, lui a dit ma fille en attrapant son pénis et en essayant de le renfoncer
dans le pantalon ?
Je la regardais faire. Le pénis ne débandait pas — une sorte de priapisme, ai-je pensé — et les doigts de ma fille ne
faisaient que d'en décalotter le gland quand soudain le pénis a disparu dans le pantalon. Je réalisais soudain que
c'était un pénis énorme comme je n'en avais jamais vu. Le regard du garçon était fixé sur le lointain et il ne semblait
pas revenir à lui. J'ai mis ma main dans ma poche pour attraper mon téléphone mais ma fille m'a dit aussitôt de n'en
rien faire, qu'il était inutile d'appeler les pompiers et que nous finirions bien par arriver à ramener José chez lui.
C'est alors que José s'est mis à pleurer et à dire qu'il était trop timide, qu'il avait peur des filles alors qu'il avait
toujours besoin de faire l'amour. Ma fille lui a répondu qu'il finirait par trouver une fille qui aurait besoin de lui et
qui l'aimerait et qu'elle satisferait ses besoins.
- Tu sais, moi aussi, je me masturbe beaucoup, a continué ma fille ! Tu peux le demander à ma mère ! Elle est là !
Ma fille me regardait et son regard vers moi était une sorte de défi. Elle ne mentait pas. Je l'avais surprise une
première fois qui se masturbait dans la salle de bains, face au lavabos. J'étais atterrée. Elle n'arrêtait pas de se
caresser et observait son visage dans le miroir et n'arrêtait pas de dire que ça venait, qu'elle était une petite salope
et que ça venait, etc.. J'étais dans le couloir et l'observais par l'entrebâillement de la porte. Elle continuait :
- Avec tes gros nichons, tu pourras faire la pute et tu tomberas sur un maquereau qui, pour te punir, t'enculera et te
feras sauter par une meute de clients affamés !
J'étais étonnée que ma fille connut toutes ces expressions.
- Ah, ça vient, avait-elle continué ! Tu jouis, salope ! Profites-en car quand tu seras putain, tu n'aurais plus envie de
jouir quand tu seras montée !
Ma fille avait poussé un dernier soupir et son corps avait eu un soubresaut et moi, j'avais eu un lâche soulagement
que ce soit terminé mais j'étais encore incapable de m'en aller. Je suis restée dans l'ouverture de la porte. Ma fille
s'était penchée pour regarder au bas de son ventre :
- Ah, mon petit cochon, s'est-elle écriée en éclatant de rire ! Tu bandes ! Tu en profites toujours pour bander ! Tu
verras, un jour, il y aura une belle bite qui te fera honte !
Ma fille avait pris une serviette et s'était essuyée et je m'étais enfuie dans le couloir. D'autres fois, j'étais restée
l'oreille collée à la porte de la salle de bains ou de la chambre pour assister à ses masturbations et je me caressais
tout en l'écoutant.
- José ! Viens, répétait ma fille, on va te ramener chez toi !
J'ai demandé à ma fille si elle savait où c'était et elle le savait et nous l'avons pris l'une et l'autre par un bras et nous
avons marché jusque chez lui. Une fois arrivés, nous sommes entrés tous les trois. J'avais été fasciné par la façon
dont ma fille avait fouillé dans la poche du pantalon pour chercher la clé de la porte. J'ai accompagné ma fille et son
ancien ami dans la chambre et nous l'avons couché après l'avoir déshabillé. José bandait à nouveau et a porté la
main sur son pénis. J'ai dit à ma fille qu'il était temps de partir, mais elle m'a répondu qu'on ne pouvait pas laisser
son ami seul, qu'il allait faire des bêtises et elle m'a dit qu'elle allait rester le temps qu'il faudrait et m'a dit de rentrer
à la maison.
J'ai quitté la chambre et j'ai descendu l'escalier et j'allais sortir de la maison quand j'ai eu des scrupules et je suis
remonté à l'étage et je les ai entendus tous les deux :
- Je veux t'enculer, disait José à ma fille !
- Tu dis des bêtises, lui avait répliqué ma fille ! Tu ne sais même pas qui je suis !
- Quelle importance, avait alors répondu José ! Je sens bien que tu es une femelle ! Si j'avais eu envie de te saillir, je
te l'aurais dit mais là, j'ai besoin d'enculer !
J'étais sidérée et fascinée une fois encore. Je me suis approchée sans faire de bruit de la chambre et j'ai regardé. Ma
fille était assise sur le bord du lit et branlottait le pénis de José.
- J'ai un ami, a continué ma fille ! Tu ne veux pas que je le trompe, non ? Et puis, je n'en ai pas envie !
- Tu ne veux pas que je t'encule, a continué José ?
- Non, ce n'est pas ça, a dit ma fille ! Ça n'a pas d'importance ! Tu sais bien que je ne mélange pas le sexe et
l'amour...
- Alors, quand tu seras amoureuse, tu ne voudras vraiment plus, a protesté José ?
- Non ! Ce n'est pas ce que je veux dire, a continué ma fille ! Tu confonds tout ! Ça n'aurait de l'importance que si
j'étais fécondable !
- Pffff ! Foutaises, a protesté José !
- Foutaises, a hurlé ma fille ? Mais si, ça a de l'importance ! Ça ne serait pas la première fois que je me fais enculer !
Mon ami adore faire ça et moi j'aime aussi ! Parfois, il m'emmène dans des partouzes rien que pour ça !
- Pour te faire enculer, a demandé José ?
- Oui, rien que pour ça ! Pour rien d'autre il ne voudrait !
- Est-ce qu'il te prends aussi dans la bouche, a demandé José ?
- Oui, a fait ma fille ! J'aime bien le sucer !
- Ce n'est pas ce que je t'ai demandé, a rugi José ! Est-ce qu'il te prend dans la bouche ?
- Tu veux dire prendre dans la bouche jusqu'au bout et éjaculer et me faire avaler ?
- Oui, c'est ça, a dit José ! Tu aimes ça ?
- Oh, oui, j'adore le sperme, a avoué ma fille ! Mais c'est dommage, avec le sida, que je ne puisse avaler que celui de
mon ami !
- Il te trompe, a demandé José ?
- Me tromper, a fait ma fille ? Qu'est-ce que c'est que ce vilain mot ?
- Est-ce qu'il baise ailleurs, je veux dire, a insisté José ?
- Ah, non, a précisé ma fille ! Je ne veux pas et il ne le ferait pas !
- Alors, c'est toi seule, a fait José...
- Quoi, moi seule, a protesté ma fille ? Je l'aime et il m'aime et je fais ce qu'il veut que je fasse ! Je dois tenir ça de
ma mère parce qu'un jour qu'elle se masturbait sur son lit, elle a dit qu'elle aimerait être putain !
Ils se sont mis à rire tous les deux.
- Puisque tu veux être putain, fais-moi voir tes seins, a insisté José !
- S'il n'y a que ça, a fait ma fille ! Après tous, ce ne sont que des bouts de bidoche !
Elle avait retiré son T-shirt et son soutien-gorge.
- Non, a protesté José ! Ce sont de vrais nichons, et très beaux ! Est-ce que ceux de ta mère sont aussi bien faits ?
- Maman, a fait ma fille ? Oh, oui, mais ils sont plus beaux et plus pointus mais ceux dont je rêve sont ceux de ma
grand-mère qui lui tombent sur le ventre !
- Tu les a vus, a demandé José ?
- Ceux de ma grand-mère, a demandé ma fille ? Oh, oui, plusieurs fois, quand elle faisait sa toilette. On la faisait en
même temps ! Et je n'avais même pas besoin de me mettre sur la pointe des pieds pour téter ses mamelons !
- Et moi, je peux te téter, a demandé José ?
- Tu peux, a répondu ma fille ! Ça ne me dérange pas ! Mais je n'ai pas de lait !
J'ai jeté un oeil. Ma fille s'était penchée sur José et lui avait fourré un mamelon dans la bouche pendant qu'elle
continuait à le masturber.
- C'est avec toi que j'aurais dû me mettre, a dit ensuite ma fille !
- Tu as eu tort, parce que je t'aurais baisée à longueur de journée et de nuit et tu serais riche ! J'ai hérité de mes
grands-parents et de mes parents et je ne sais plus quoi faire de mon argent, a précisé José ! Je veux te prendre
dans la chatte et après je t'enculerais et je te ferais l'amour entre les seins avant d'éjaculer sur ton visage, a-t-il
insisté ! Ça te va ?
- Oui, mais il va nous falloir pas mal de temps pour faire ça, a évalué ma fille ! Il faudrait que je rendre !
- Ne t'en fais pas pour ta mère, a dit José ! Si j'en crois ce que tu m 'as dit, elle va rentrer et se masturber avant
d'aller rejoindre ton père au lit !
- Jure-moi que tu me feras plaisir, a minaudé ma fille à l'adresse de José ! Jure-le moi et je resterai toute la nuit !
- Viens, a fait José !
Ma fille s'est levée du lit et a retiré sa jupe et sa culotte. Elle a gardé ses hauts talons puis elle est montée sur le lit.
J'aurais bien voulu les rejoindre sur le lit mais avec une bite pour deux, je me suis dite que ça n'en valait pas la peine
d'autant plus que j'aurais été contrainte de faire l'amour à ma fille pour compenser. Elle s'est assise sur José et s'est
empalée sur son pénis puis l'a chevauché tout en lui demandant de lui toucher la poitrine puis elle a ajouté qu'elle
aimerait bien avoir les seins aussi gros qu'un ventre de femme enceinte et je suis partie définitivement pour rentrer
chez moi.
J'ai attendu ma fille toute la nuit sans dormir et je me suis masturbée avant de rejoindre mon mari au lit comme
l'avait pronostiqué José mais mon mari ne m'a rien fait. Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, mon mari
était parti à la pêche au canal comme il le fait tous les dimanches matin. Ma fille n'était pas dans sa chambre. Elle est
rentrée un peu plus tard.
- Qu'est-ce que tu as fait, lui ai-je demandé ?
- Oh, rien ! Je suis restée avec José toute la nuit ! Il était vraiment malade ! Il m'inquiète !
- Et ce matin, il va mieux, ai-je demandé à ma fille ?
- Ce matin, je ne sais pas, a répondu ma fille ! Quand je suis parti, il dormait. J'irai le voir avant de repartir...
- Tu pars quand, lui ai-je demandé ?
- Après le déjeuner, vers deux heures, m'a répondu ma fille !
Elle est effectivement partie vers quatorze heures. Je lui ai laissé une petite avance et je l'ai suivie. Son père
récupérait de sa pêche et somnolait dans le fauteuil. J'ai vu ma fille entrer dans la maison de José et je l'ai suivie. Ils
n'étaient pas montés dans la chambre mais faisaient ça dans le salon. Par la fenêtre, j'ai vu ma fille retirer sa jupe
puis son T-shirt et tout le reste. J'entendais tout par la fenêtre ouverte :
- Si tu me féconde, je t'épouse, lui a dit ma fille et tu as intérêt de lâcher le maximum de semence !
- Tu peux vraiment, lui a demandé José ?
- Oh, oui, c'est le bon moment ! Hier aussi, mais je n'étais pas décidé ! Tu peux m'enculer, mais je préférerais que tu
lâche tout au fond de mon vagin !
Ma fille s'est penchée sur la table et a présenté ses fesses.
- Baise-là, a-t-elle dit à José ! Je sais bien que tu as envie de la baiser depuis très longtemps ! C'est dommage que
tu ne m'aies pas demandé ! J'aurais peut-être accepté !
- Tu es une vraie salope, lui a dit José !
- Et toi tu es riche, a répliqué ma fille ! Tu peux bien vouloir d'une salope ! Je te jure que tu ne seras pas déçu !
José a déboutonné son pantalon et l'a laissé tomber à ses pieds sans le retirer.
- Mais tu m'encules, lui a dit ma fille !
- Je le sais bien, a protesté José ! Je sais aussi que tu aimes ça ! Tu me l'a dit et je sais bien que tu voudrais faire la
pute ! Si j'avais du courage, je te mettrais sur le trottoir ! Non, je te ferais bosser par téléphone et je te conduirais à
tes rendez-vous du moment que je peux te surveiller !
- Encule-moi si tu veux, mais j'ai vraiment besoin que tu me ramones la chatte, a insisté ma fille ! J'ai besoin de ta
grosse queue ! Vas-y, mets-moi tout bien au fond du vagin !
A chaque coup de boutoir de José, les seins de ma fille valdinguaient au bord de la table et ça faisait du bruit quand
ils claquaient sur son torse et aussi sur le plateau de la table.
- T'aime ça faire l'amour avec plusieurs types, lui a demandé José !
- Oh, oui, j'aime ça ! Et mon rêve c'est d'en avoir un dans la bouche, un ou deux dans l'anus et aussi dans la chatte
et un entre les seins et un dans chaque main, a précisé ma fille !
- Si je compte bien, a dit José en éclatant de rire, ça fait cinq ?
- Non sept, a riposté ma fille ! Je viens de te dire que j'aimerais bien en avoir deux dans l'anus et deux dans le vagin
! Je veux être une vraie putain !
- Je vais jouir, a protesté José !
- Fais attention, lui a demandé ma fille !
J'ai vu José sortir son pénis de l'anus de ma fille et l'enfoncer dans le vagin et aussitôt son ventre à fait cloc-cloc sur
les fesses de ma fille puis José à hurlé qu'il éjaculait.
- Reste bien au fond, lui a demandé ma fille !
Les deux amants sont restés collés un moment puis ils se sont séparés.
- Il faut que je rentre, a dit ma fille en s'essuyant ! Je suis sûre que je c'est bon ! Je suis prise ! Tu m'épouseras ?
- Promis, juré, a fait José !
Je suis rentrée chez moi pour ne pas me faire surprendre et j'étais tellement excitée parce que j'avais vu et entendu
que pendant plusieurs jours je me suis dit que j'allais aller chez José et me mettre moi aussi dans son lit. J'ai fini
par y aller, mais il n'était pas là. Pendant quelques semaines j'ai attendu des nouvelles de ma fille aînée, qu'elle
m'annonce qu'elle était prise et qu'elle allait épouser José mais ça n'est pas arrivé. C'est en recevant une facture de
l'hôpital, adressée à ma fille chez nous que j'ai appris qu'elle s'était faite avortée.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
tres bonne histoire jaurai aimai que la mere les surprend et participe a la baise.merci
JE LÉCHERAIS BIEN LA CHATTE DE LA MÈRE BIEN JUTEUSE
J`aurais aimé faire parti de l`histoire comme homme je vous aurais satisfait....J`aime
le réel j`ai plusieurs histoires....
le réel j`ai plusieurs histoires....
j`ai vraiment aimé ton histoire.........Communique avec moi et je t`en conterai une
vraie avec mere et fille oufffff que c`était chaud ....
vraie avec mere et fille oufffff que c`était chaud ....
Trés belle histoire j'ai bandé fort mais histoire ou réèl?
très belle histoire j'espère qu'il y aura une suite
tres belle histoire mais la fin me laisse sur ma faim pauvre josé...