Merveilleuse Initiatrice
Récit érotique écrit par Sandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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Merveilleuse Initiatrice
Merveilleuse initiatrice,
Je sonne à la porte, une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue qui contient difficilement ses seins volumineux et lourds, d’un adorable slip assorti, et de bas à couture tendus outrageusement par ses jarretelles.
Malgré son opulente chevelure, son maquillage, ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine à travers la transparence de ses dessous, un renflement à la naissance de ses cuisses fuselées. Emoustillé par cette ambivalence, je décide de m’abandonner totalement à cette magnifique représentante du 3eme sexe qui saura mieux que quiconque me donner du plaisir.
Très séduisante, elle me prend la main et me fait entrer dans son univers.
Après quelques banalités échangées, je me sens vite à l’aise. Elle s’approche de moi en me posant des questions plus directes :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- J’ai toujours rêvé de rencontrer une créature telle que toi. Je ne suis pas attiré par les hommes mais j’aime faire l’amour à une jolie fille ambiguë, plus féminine et plus belle que les autres.
- Tu devras d’abord me laisser faire ton initiation. Es-tu prêt à commencer ?
- Oui, mais comme j’ai très envie de toi Natacha, ne me fais pas trop languir.
- Je vais te surprendre en dépassant tes attentes. Laisse moi te montrer mes talents avant de me faire l’amour.
Elle m’enlève mes vêtements en attardant ses mains sur les zones sensibles de mon corps.
Avec un regard amusé, elle voit ma queue se dresser lorsqu’elle soupèse mes bourses pour apprécier mon potentiel et s’exclame :
- J’aime que ton gland soit épais car j’aurai plus de plaisir quand il coulissera dans mes fesses, rajoute-t-elle en souriant.
Puis, m’ouvrant sa penderie, elle m’invite à choisir la lingerie que je vais porter avant de me faire asseoir devant sa coiffeuse.
- Comme tu vas bientôt devenir une fille très attirante, je vais t’appeler Sandra à partir de maintenant, me dit-t-elle.
Pendant qu’elle travaille à ma renaissance, elle s’adresse désormais à moi au féminin et poursuit ma mutation en me posant des faux cils et du fard à paupières.
Elle applique généreusement sur mes lèvres un rouge ardent pour les mettre en valeur.
Enfin, elle choisit une perruque mi courte, très glamour qui achève ma métamorphose.
- Je suis impatiente de te voir avec tes dessous ma chérie, un cadeau emballé me fait toujours davantage saliver. Me dit-t-elle en me dévorant du regard.
Je passe les dentelles coquines qui m’ont fait craquer et elle me lace le corset ivoire en dentelle marron qui comprime ma taille et contient difficilement mes seins en silicone dans des bonnets 105c.
Elle les presse avec sensualité et me dit :
- Tu n’as rien à m’envier ma belle, ils sont aussi lourds et denses que les miens et nous avons les mêmes mensurations.
Natacha est cependant d’une taille plus petite que moi et ses formes m’apparaissent plus généreuses et surtout plus naturelles.
Je contemple un instant cette créature irrésistible et tellement désirable. Sa longue chevelure brune tombant en cascade sur ses épaules encadre son visage sensuel. Sa silhouette de rêves et ses seins magnifiques me font craquer.
Elle a en plus un superbe sexe en semi érection que je vois s’allonger peu à peu au travers de sa lingerie et qui contraste avec son visage de madone.
Ce paradoxe stimule ma libido et j’ai une envie folle de la prendre.
Natacha se rend compte de l’effet qu’elle produit.
- Reste tranquille Sandra, j’ai d’autres projets pour toi en ce moment.
Avec un sourire prometteur, elle me glisse un adorable slip sur les hanches.
Il est fendu en son milieu et entoure ma queue en dégageant largement mon intimité pour nos jeux érotiques futurs.
- Tu es craquante avec cette dentelle qui encadre tes fesses et m’ouvre l’accès à tes reins, se réjouit-t-elle.
Enfin, comme je l’aime, elle accroche très haut sur mes cuisses mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue jusqu’à la taille.
Très troublée par l’aspect érotique de cette lingerie, je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir. Natacha tire mon sexe vers l’arrière pour que je me sente plus femme.
J’admire ma silhouette vaporeuse et cambre ma poitrine en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sanglée dans mon corset qui comprime mes seins et met ma taille en valeur. J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi avec un regard lourd.
- Tu es très excitante Sandra, tes jambes et tes cuisses sont magnifiques et tu as un cul d’enfer, s’exclame t-elle.
Avec un sourire coquin, elle glisse une main agile dans la fente de mon slip à la recherche de mon sexe serré entre mes cuisses.
Elle me masturbe avec douceur et tire sur mes bourses pour me décalotter le gland.
J’ai une érection spectaculaire et la supplie une fois encore :
- Natacha, laisse moi te faire l’amour.
Sans me répondre, elle me pousse sans résistance vers la table d’initiation où elle me fait m’allonger face à une grande glace murale.
Je dois maintenant me soumettre à cette séance mystérieuse qui me rend nerveuse.
- Tu vas découvrir de nouveaux plaisirs, me dit-t-elle avec une lueur d’excitation dans le regard.
En me souriant, elle m’aide à placer mes talons aiguilles dans les étriers. Puis, elle m’écarte les jambes et m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Elle contemple un instant mon sexe en pleine érection qui soulève ma lingerie et s’exclame faussement en colère :
- Je vais être obligée de te faire jouir avant de commencer.
Avec fougue, elle me fouille avidement la bouche et caresse mes cuisses à la jonction des bas. Sa main s’attarde sur mon périnée et remonte vers ma rosette qu’elle masse d’une manière circulaire.
L’effet est prodigieux et ma verge se dresse d’un coup en se frottant d’aise sur le satin de ma robe de nuit.
Satisfaite, elle retrousse mon déshabillé jusqu’à la hauteur de mes seins et découvre entièrement mon ventre avant de me saisir la queue.
Lentement, elle me masturbe avec trois doigts en suivant sur mon visage la montée du plaisir.
Puis, elle engouffre son autre main dans la fente de mon slip et plonge son majeur lubrifié dans mes fesses. Elle le recourbe en pressant la pulpe de son doigt sur ma prostate.
Ayant une grande expérience de cette pratique, elle la masse longuement et méthodiquement en variant les pressions pour me donner un bonheur intense qui me conduit peu à peu à l’orgasme.
Elle me voit soupirer de plaisir et me chuchote à l’oreille.
- Tu vois ma chérie l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais exactement ce qui te fait bander. Je vais maintenant vider ton gros clito qui s’impatiente me dit-t-elle d’un air amusé.
Au même moment, un simple effleurement de sa main sur mon frein suffit à faire couler lentement ma semence. Natacha continue à appuyer avec insistance sur mon point G en tournant habilement son doigt dans mon fourreau.
- L’amour anal est ma spécialité ma belle et tu jouis du cul en ce moment. C’est bon n’est ce pas, sourie- t-elle en caressant ma queue.
C’est vrai que cet orgasme particulier me donne un plaisir fabuleux. Je regarde mon sperme se répandre d’abord en une coulée épaisse et régulière puis couler en un mince filet blanchâtre qui inonde mon corset et mes bas. Cela n’a rien à voir avec un orgasme classique où on décharge par saccades.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase quand elle recueille dans sa bouche mes dernières gouttes de sève.
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie car ton corset est complètement recouvert de foutre, s’exclame- t-elle en m’épongeant de son mieux.
Elle met à profit mon relâchement pour poursuivre mon parcours initiatique.
- Je vais maintenant dégager l’accès à ta grotte.
Munie d’un rasoir, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait. Puis, elle empoigne ma queue à pleine main pour raser de prés mon œillet qui va être l’objet de toute son attention.
J’ai un frisson devant son regard ambigu lorsqu’elle fait glisser lentement la lame glacée le long de mon sexe pour supprimer toute pilosité.
C’est avec soulagement que je la vois abandonner son arme et suspendre une poche plastique d’eau au dessus de ma tête.
Avec douceur, elle me plaque les bourses sur le ventre et m’enfile une canule dans l’anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent, elle me caresse la queue en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de son bassin, je me rends compte qu’elle ne reste pas indifférente.
Je vois son sexe s’allonger à vue d’œil et jaillir d’un coup par la fente de son slip.
Plaqué contre son ventre par une érection impressionnante, il dépasse largement la hauteur de son nombril.
Je contemple cette queue massive qui se balance lourdement à chacun de ses gestes. Provocante, elle se masturbe lentement et me fait admirer ses seins sublimes qu’elle a volontairement sortis de leurs bonnets. Elle sourie en voyant ma verge se raidir devant ce spectacle. Après un bref échange du regard, elle me plonge son sexe dans la gorge pour que je lui lèche la couronne du gland et le frein jusqu’à ce que le lavement se termine.
Elle monte alors sur la table et se met à califourchon sur moi en me pressant le ventre pour me faire évacuer l’eau dans une cuvette.
Puis, la tête entre ses cuisses, je ne résiste pas à l’envie de lui lécher la rondelle pendant qu’elle me pompe divinement le nœud.
Son corps se fait plus lourd et elle appuie son bassin contre ma bouche pour me montrer qu’elle apprécie mes caresses.
Le visage enfoui dans ses dessous, je l’entends gémir de plaisir.
A regret, elle se lève et rentre difficilement ses seins dans sa guêpière prête à exploser sous la pression en me laissant admirer sa queue dressée entre ses cuisses gainées de nylon.
Elle enfile une paire de gants lubrifiés et me fixe d’un air décidé.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle se place entre mes cuisses. Un instant, elle me contemple, excitée de me voir totalement offerte et sans défense.
- Il me faut maintenant élargir ta rosette le plus possible ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt l’échine lorsqu’elle rentre son index dans mon fourreau. Puis, sans hésitation, elle glisse très vite deux autres doigts en me branlant la queue.
Elle trouve rapidement ma glande intime qu’elle stimule avec insistance.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton petit trou est déjà bien ouvert. D’un doigt, elle m’effleure le pourtour de l’anus et perçoit de légers renflements qui témoignent de ma longue pratique de la sodomie. Tu as l’habitude de te faire prendre par de gros calibres, n’est ce pas ? s’exclame-t-elle avec un sourire complice.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Avec application, elle me sonde habilement et s’arrête dés qu’elle voit perler une goutte de sperme à la surface de mon gland.
J’ai le pressentiment qu’elle me réserve d’autres surprises lorsqu’elle agite devant mes yeux avec un regard trouble un imposant gode noir d’une taille peu commune.
Elle le tient à deux mains en raison de son diamètre et l’applique contre ma rondelle.
Devant la glace, je la vois peser de tout son poids en essayant sans succès de me pénétrer.
Agacée par cet échec, elle me dit d’une voix ferme :
- Pousse quand je te le dirai, il finira par rentrer.
Elle attend que je lui obéisse et exerce simultanément une forte pression qui efface les plis de ma rosette. Elle cède d’un coup et laisse s’engouffrer cet énorme sexe qui m’ouvre largement le cul.
Je pousse un cri qui la surprend et l’arrête net dans sa course.
Puis, elle continue à me fouiller les entrailles et tourne vicieusement le pal pour l’enfoncer plus rapidement.
Plusieurs fois de suite, elle prend du plaisir à le sortir lentement de mes fesses pour observer ma rosette se dérouler sur le gode et s’enrouler à nouveau dessus lorsqu’elle le pousse à nouveau dans mes reins.
Elle me cloue sur la table et m’écarte les cuisses pour essayer d’autres angles d’attaques.
Messaline insatiable, elle sonde longuement les moindres replis de ma muqueuse en me faisant gémir de bonheur.
- Je vais te faire décharger ma belle, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son langage m’excite au plus au point.
Je suffoque de plaisir lorsqu’elle redouble d’ardeur et je m’agite dans tous les sens en m’empalant sans le savoir toujours plus loin sur cet énorme sexe.
D’un poignet expert, elle décrit de larges rotations avec le gode.
Déchaînée, elle écarte la fente de mon slip et me pilonne sans arrêt jusqu’à ce qu’elle voit mes cuisses trembler et mes pieds se raidir lui annoncer mon orgasme.
Je râle de plaisir lorsqu’elle frotte mon gland avec son pouce. La pression de mon sperme trop longtemps contenu est telle, qu’il fuse en jets puissants arrosant mon visage et mes cheveux au lieu de retomber sur mes seins. Natacha est agréablement surprise par l’intensité de mon orgasme. Pour ma grande joie, elle continue à me fouiller les reins tant que durent mes spasmes et mes gémissements.
Un moment après, elle me dit :
- Je vais utiliser un dernier jouet pour achever ta préparation ma chérie.
Elle choisit à cet effet un objet impressionnant constitué de nombreux anneaux d’un diamètre croissant jusqu’à la racine.
Elle l’agite cyniquement devant mes yeux.
- Regarde avec quoi je vais finir de te défoncer le cul.
Elle me le montre sous tous les angles et le dépose un instant sur ma poitrine pour que j’évalue mieux son poids et sa circonférence.
Lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les jambes, étant toujours attachée à la table et offerte à ses caprices.
Elle le fait coulisser un moment entre mes cuisses avant de l’appuyer franchement contre ma rosette.
- C’est le plus gros que j’ai pu trouver et tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-t-elle à l’oreille.
Elle m’enfonce aisément le premier tiers et doit forcer mon passage pour rentrer le reste.
La pression qui s’exerce sur ma glande interne fait dresser ma queue et Natacha entend mes premiers râles de plaisir et de douleur qui la galvanise. Pendant cette lente pénétration, je ressens une douleur lancinante dans le ventre qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce membre monstrueux.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec exaltation qu’elle finit de l’enfoncer dans ma grotte. Totalement fascinée, elle regarde disparaître le dernier anneau de sept centimètres de diamètre dans mes fesses.
Quant à moi, je me sens prise et possédée au-delà de mes espérances.
Avec stupeur, je regarde dans la glace ce pieu qui sort de mon ventre. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce spectacle et me demande comment j’ai pu être empalée de la sorte.
- Te voilà bien prise ma chérie dit-t-elle, encore étonnée d’avoir pu me rentrer une telle masse dans les entrailles.
Voulant diminuer la tension interne, je pousse pour me libérer des anneaux les plus gros en regrettant très vite mon initiative.
Avec un sourire étrange sur les lèvres, Natacha appuie fortement et à plusieurs reprises son genou sur le gode pour l’enfoncer à nouveau.
Perverse, elle se penche sur moi et continue de le pousser avec sa cuisse en m’embrassant pour étouffer mes plaintes.
Puis, elle me détache les pieds et m’oblige à serrer le pal entre mes jambes pour achever ma dilatation.
Je sens vivre en moi cette masse qui me provoque de nombreuses contractions anales.
Pendant ce temps, sachant par avance ce qu’elle me réserve, Natacha vérifie la solidité de mes autres liens.
Puis, elle m’enfonce dans la bouche une de ses culottes en dentelle et me bâillonne avec l’un de ses bas.
- Ecarte maintenant tes cuisses que je t’enlève ce gode ma belle.
D’un bref mouvement de torsion, elle le décolle de ma muqueuse en laissant mon cul largement offert à ses autres fantasmes.
- C’est parfait ma chérie, tu es suffisamment ouverte.
Puis, elle prend un spéculum et l’engage dans mon fourreau.
C’est donc aisément qu’elle m’injecte le contenu d’une grosse seringue remplie d’un gel lubrifiant et antalgique afin de prévenir toute douleur.
- Te voilà enfin prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle satisfaite en me rattachant solidement les pieds aux étriers.
Ecartelée, j’attends inquiète la suite des événements quand soudain, elle glisse ses cinq doigts lubrifiés dans mes fesses. Elle les tourne longuement de droite à gauche avant de plonger d’un coup sa main dans mon fourreau.
- Laisse toi aller et tu n’auras pas mal, s’exclame-t-elle en vrillant son poignet dans mes fesses.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche et elle n’a plus qu’à pousser son bras tendu dans ma grotte.
Vicieuse, elle me soulève à plusieurs reprises pour m’embrocher plus facilement en s’aidant du poids de mon corps.
- Je vais te sucer la queue en même temps, tu verras comme c’est bon, me dit-t-elle
Effectivement, je ne tarde pas à apprécier son savoir faire diabolique.
Elle profite aussitôt de mon abandon pour introduire progressivement ses autres doigts.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue et godille dans mes fesses pour se frayer un passage.
Elle me laisse me calmer un instant avant de faire coulisser ses mains l’une contre l’autre pour poursuivre sa progression.
Avec surprise, je les vois s’engouffrer dans mes fesses avec une facilité déconcertante sans ressentir la moindre douleur.
Je sens mon corps glisser lentement sur ses poignets.
Te voila complètement empalée me dit-t-elle d’une voix enflammée.
En me voyant ainsi offerte à sa perversité, je comprends le plaisir qu’elle éprouve à me violer.
Un long moment, elle me regarde m’agiter en essayant de trouver une position plus confortable mais hélas, je ne fais que m’enfoncer involontairement sur ses bras tendus.
Natacha retire une main pour me masturber et me fouille avec plus de précision avec l’autre. Puis, elle lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle avale mes dernières giclées de sperme, satisfaite de ressentir sur son poignet mes fortes contractions anales qui témoignent de l’intensité de mon orgasme.
- J’espère que lorsque ma queue sera dans tes reins tu la serreras avec autant de force, me dit-t-elle brûlante de désir.
Puis, elle se retire de mes fesses en libérant une coulée de gel qui glisse lentement sur mes cuisses avant de s’infiltrer insidieusement dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame t-elle en m’épongeant l’oeillet.
Enfin, elle me libère de mes liens et nous allons prendre un repos bien mérité en nous asseyant sur un tabouret de bar pour siroter un cocktail.
Toujours en manque, Natacha sent monter le désir dans ses reins. Elle se cambre et dresse ses seins provoquant pour m’aguicher.
Elle me regarde avec un sourire amusé fixer ses cuisses longues et fermes qu’elle croise et décroise avec une lenteur calculée. Puis, elle fait crisser ses bas en me laissant entrevoir par instant ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle s’ingénie à faire monter mon désir.
Elle relève lentement sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue bandant mollement sur ses bas.
Prends la vite, elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un regard suppliant.
Je la masturbe lentement en la voyant se dresser d’une manière impressionnante.
Natacha à maintenant très envie que je la baise et elle m’entraîne fiévreusement sur le lit.
- Fais moi l’amour comme tu veux, je n’ai aucun tabou, s’impatiente-t-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos et serre mon sexe entre ses cuisses en le frottant volontairement sur ses bas en nylon.
La stimulation de mon gland sur le voile soyeux me déclenche immédiatement une forte érection.
Son regard se trouble lorsqu’elle voit ma verge luisante de désir, tressauter et laisser échapper quelques filaments blanchâtres sur sa jarretière.
- Laisse moi m’enfoncer dans tes reins, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Oui mon ange, mais baises longtemps avant de me remplir le cul.
Elle se met sur le ventre en rabattant son sexe vers l’arrière.
J’ai ainsi une vue torride sur sa croupe rebondie, ses bourses et sa longue queue durcie qui sort de ses fesses.
Elle ouvre ses jambes gainées de nylon pour m’offrir son anneau frémissant qui s’élargit progressivement avec la montée de son désir.
Elle me fixe avec un regard de braise et se prépare à mon assaut.
Très impatiente, elle écarte ses fesses à deux mains.
- Viens me défoncer, j’ai le cul en feu, s’exclame- t-elle.
Rien qu’à la voir, je bande comme un malade. J’écarte fébrilement la fente de son slip et la pénètre avec fougue. Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Etonnée par la rapidité de mon assaut, elle ferme les yeux pour savourer son plaisir avant de reprendre le dessus.
Courtisane expérimentée, elle contracte ses muscles intimes, roule du bassin en tournoyant ses fesses sur ma verge. Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle sort mon sexe de sa croupe et se lève pour prendre quelques objets dans un tiroir.
- Je reprends l’initiative et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.
Elle me culbute sur le lit en riant et m’enfonce lentement une à une des boules anales pour amplifier mon plaisir ainsi qu’un anneau pénien destiné à me grossir la queue.
Ravie du résultat, elle prend ma verge en main et l’enfonce à nouveau dans ses fesses.
- Elle est plus grosse maintenant et je la sens mieux, me dit-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle tortille son cul pour s’embrocher sur mon sexe turgescent qui lui rabote fortement les entrailles.
Elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir et me dit d’une voix rauque :
- Oui défonce moi ma belle, transperce moi avec ton épée.
J’empoigne alors ses seins superbes pour la serrer contre moi.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus, je vais te pomper avec mon cul.
Elle balance lentement sa croupe d’avant en arrière et comprime mon sexe régulièrement avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et m’arrache d’un coup les cinq boules anales placées dans mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir quand ma semence se déverse à gros bouillons dans son ventre.
Nous prenons un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha montre des signes d’impatience.
Le désir lui taraude toujours les reins et elle ne pense plus qu’à se vider en moi.
Je la contemple un moment, les reins cambrés par ses talons aiguilles et ses seins jaillissant de sa guêpière, elle est vraiment très belle. Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux. Puis, elle s’avance vers moi, tenant sa queue impressionnante et vibrante de désir. Je fonds à l’idée qu’elle va bientôt la planter dans mes reins.
Impatiente de passer à l’action, Natacha m’allonge sur le lit, et me place un coussin sous le ventre avant de se glisser entre mes jambes.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées de chaque côté par les dentelles de mon slip, ainsi que mes bas attachés haut sur mes cuisses.
- Tu as encore l’œillet qui palpite, s’exclame-t-elle.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut attendre plus longtemps et me chevauche telle une amazone.
Pendant un moment, elle se masturbe dans la raie de mes fesses en bandant toujours plus fort.
Puis, elle les écarte et me sodomise lentement en voyant avec jubilation sa queue disparaître peu à peu. Je m’ouvre alors progressivement au diamètre croissant de son sexe en tremblant de plaisir.
Allongée sur moi, elle me baise sous tous les angles et sort parfois de ma croupe mise en valeur et surélevée par le coussin avant de se laisser retomber de tout son poids.
Plaquée contre le lit très ferme, les seins écrasés sur le matelas, elle me poignarde sans aucune retenue. Par moment, elle s’arrête ayant peur de décharger trop vite. Je perçois alors mieux sa verge qui vit et tressaute de désir.
Quand elle me besogne à nouveau, j’aime entendre les claquements de son ventre sur mes fesses et sentir ses testicules me fouetter les cuisses.
Enfin, elle me bascule sur le côté et remonte une de mes jambes pour pouvoir m’enculer jusqu’à la racine de son sexe.
- Je suis maintenant au fond de toi ma chérie.
- Laisse moi te finir, lui dis-je d’une voix étouffée.
Avant qu’elle ne me réponde, je lui presse sournoisement les bourses en serrant sa queue avec mes sphincters. Elle veut se dégager pour retarder son orgasme, mais je presse mon cul contre son bassin et me trémousse pour la faire jouir.
Elle ne résiste pas plus de quelques secondes à ce massage fessier. Son foutre fuse et s’écrase avec force contre ma paroi anale. Elle râle de plaisir lorsque je contracte à nouveau mes muscles pour l’achever.
Terrassée, elle me laisse pomper ses dernières forces.
Follement amoureuse, elle m’embrasse à pleine bouche en fouillant mes dessous.
- J’ai lubrifié ton petit trou pour un moment. Tu m’as complètement vidée ma chérie et je n’aurais pas fait mieux, me dit-t-elle avec reconnaissance.
Après un repos bien mérité, insatiable, elle m’invite une fois encore à poursuivre nos ébats. Elle a une ultime gâterie à me faire découvrir.
Prends moi une dernière fois, me dit-elle d’une voix chaude et un regard prometteur.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour pouvoir la baiser car elle a le cul encore très ouvert.
Elle applique le vibromasseur sur sa queue qui grandit rapidement en s’étalant sur sa guêpière.
Ayant maintenant une érection spectaculaire, elle me demande de ne plus bouger pendant qu’elle rentre ce jouet dans son fourreau anal.
Avec surprise, je sens qu’il s’engouffre dans ses fesses.
Très vite, il me presse la verge et remonte lentement jusqu’à mon gland.
Une fois bien en place, elle actionne le moteur et me fixe intensément pour suivre la montée de mon orgasme.
J’éprouve une sensation indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur ma verge en faisant vibrer mon frein.
La jouissance est trop forte et je m’apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul, me dit-t-elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l’engin.
Elle se colle contre moi pour mieux sentir mes spasmes lorsque je me répands une fois de plus dans son ventre.
- A ton tour de m’exploser le clito, me dit-t-elle en me tendant le jouet qu’elle vient de sortir de ses fesses.
Elle sait que je suis experte dans son maniement et m’implore du regard, impatiente de pouvoir libérer sa tension.
Je le prends et l’applique sur son frein. Très vite sous l’effet des vibrations, je la vois haleter et s’agiter en fermant les yeux pour se concentrer sur son plaisir.
Peu à peu, son désir montant crescendo, elle me supplie de conclure.
- Fais moi jouir ma chérie, je n’en peux plus d’attendre. J’ai la queue tellement tendue qu’elle me fait mal.
Malgré son souffle court, je retarde encore sa délivrance avant de lui vider les bourses.
Puis, je décide de l’achever. Pour cela, j’amplifie les vibrations sur son gland en massant son périnée. En même temps, je m’enfonce aussi loin que possible dans ses fesses.
Elle sent un flot de sperme monter d’une manière irréversible dans ses reins. Puis, elle se tétanise avant de libérer de longs et puissants jets de foutre qui éclaboussent sa guêpière.
Epuisées, nous décidons de passer la nuit ensemble.
Je me couche sur le côté en collant mes fesses contre son bassin.
Dans la nuit, me croyant endormie, elle me sodomise à plusieurs reprises.
Je me laisse faire car j’aime la sentir en moi et exploser dans mon ventre.
Au petit matin, Natacha, les mamelons dressés s’étire en cambrant sa magnifique poitrine.
Elle m’embrasse avec fougue et me dit :
Cette nuit, j’ai réalisé mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant ton sommeil. J’ai tellement déchargé dans ton petit trou que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir mon sperme qui coulait abondamment de tes fesses et se répandait sur les draps.
Heureuses de notre rencontre, nous prenons date pour nous revoir prochainement.
Sandra
Merci de me donner vos impressions sur ce texte. sandratvtg@yahoo.fr
Je sonne à la porte, une superbe brune m’ouvre en souriant.
Elle est habillée d’une guêpière bleue qui contient difficilement ses seins volumineux et lourds, d’un adorable slip assorti, et de bas à couture tendus outrageusement par ses jarretelles.
Malgré son opulente chevelure, son maquillage, ses traits fins qui la rendent ultra féminine, je devine à travers la transparence de ses dessous, un renflement à la naissance de ses cuisses fuselées. Emoustillé par cette ambivalence, je décide de m’abandonner totalement à cette magnifique représentante du 3eme sexe qui saura mieux que quiconque me donner du plaisir.
Très séduisante, elle me prend la main et me fait entrer dans son univers.
Après quelques banalités échangées, je me sens vite à l’aise. Elle s’approche de moi en me posant des questions plus directes :
Pourquoi es- tu venu me voir ?
- J’ai toujours rêvé de rencontrer une créature telle que toi. Je ne suis pas attiré par les hommes mais j’aime faire l’amour à une jolie fille ambiguë, plus féminine et plus belle que les autres.
- Tu devras d’abord me laisser faire ton initiation. Es-tu prêt à commencer ?
- Oui, mais comme j’ai très envie de toi Natacha, ne me fais pas trop languir.
- Je vais te surprendre en dépassant tes attentes. Laisse moi te montrer mes talents avant de me faire l’amour.
Elle m’enlève mes vêtements en attardant ses mains sur les zones sensibles de mon corps.
Avec un regard amusé, elle voit ma queue se dresser lorsqu’elle soupèse mes bourses pour apprécier mon potentiel et s’exclame :
- J’aime que ton gland soit épais car j’aurai plus de plaisir quand il coulissera dans mes fesses, rajoute-t-elle en souriant.
Puis, m’ouvrant sa penderie, elle m’invite à choisir la lingerie que je vais porter avant de me faire asseoir devant sa coiffeuse.
- Comme tu vas bientôt devenir une fille très attirante, je vais t’appeler Sandra à partir de maintenant, me dit-t-elle.
Pendant qu’elle travaille à ma renaissance, elle s’adresse désormais à moi au féminin et poursuit ma mutation en me posant des faux cils et du fard à paupières.
Elle applique généreusement sur mes lèvres un rouge ardent pour les mettre en valeur.
Enfin, elle choisit une perruque mi courte, très glamour qui achève ma métamorphose.
- Je suis impatiente de te voir avec tes dessous ma chérie, un cadeau emballé me fait toujours davantage saliver. Me dit-t-elle en me dévorant du regard.
Je passe les dentelles coquines qui m’ont fait craquer et elle me lace le corset ivoire en dentelle marron qui comprime ma taille et contient difficilement mes seins en silicone dans des bonnets 105c.
Elle les presse avec sensualité et me dit :
- Tu n’as rien à m’envier ma belle, ils sont aussi lourds et denses que les miens et nous avons les mêmes mensurations.
Natacha est cependant d’une taille plus petite que moi et ses formes m’apparaissent plus généreuses et surtout plus naturelles.
Je contemple un instant cette créature irrésistible et tellement désirable. Sa longue chevelure brune tombant en cascade sur ses épaules encadre son visage sensuel. Sa silhouette de rêves et ses seins magnifiques me font craquer.
Elle a en plus un superbe sexe en semi érection que je vois s’allonger peu à peu au travers de sa lingerie et qui contraste avec son visage de madone.
Ce paradoxe stimule ma libido et j’ai une envie folle de la prendre.
Natacha se rend compte de l’effet qu’elle produit.
- Reste tranquille Sandra, j’ai d’autres projets pour toi en ce moment.
Avec un sourire prometteur, elle me glisse un adorable slip sur les hanches.
Il est fendu en son milieu et entoure ma queue en dégageant largement mon intimité pour nos jeux érotiques futurs.
- Tu es craquante avec cette dentelle qui encadre tes fesses et m’ouvre l’accès à tes reins, se réjouit-t-elle.
Enfin, comme je l’aime, elle accroche très haut sur mes cuisses mes bas de couleur crème aux huit jarretelles enrubannées de mon corset.
Peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m’aide à me glisser dans une superbe robe de nuit fendue jusqu’à la taille.
Très troublée par l’aspect érotique de cette lingerie, je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler devant le miroir. Natacha tire mon sexe vers l’arrière pour que je me sente plus femme.
J’admire ma silhouette vaporeuse et cambre ma poitrine en prenant des poses suggestives.
J’aime me voir sanglée dans mon corset qui comprime mes seins et met ma taille en valeur. J’adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.
Natacha s’approche de moi avec un regard lourd.
- Tu es très excitante Sandra, tes jambes et tes cuisses sont magnifiques et tu as un cul d’enfer, s’exclame t-elle.
Avec un sourire coquin, elle glisse une main agile dans la fente de mon slip à la recherche de mon sexe serré entre mes cuisses.
Elle me masturbe avec douceur et tire sur mes bourses pour me décalotter le gland.
J’ai une érection spectaculaire et la supplie une fois encore :
- Natacha, laisse moi te faire l’amour.
Sans me répondre, elle me pousse sans résistance vers la table d’initiation où elle me fait m’allonger face à une grande glace murale.
Je dois maintenant me soumettre à cette séance mystérieuse qui me rend nerveuse.
- Tu vas découvrir de nouveaux plaisirs, me dit-t-elle avec une lueur d’excitation dans le regard.
En me souriant, elle m’aide à placer mes talons aiguilles dans les étriers. Puis, elle m’écarte les jambes et m’attache solidement les poignets et les chevilles.
Elle contemple un instant mon sexe en pleine érection qui soulève ma lingerie et s’exclame faussement en colère :
- Je vais être obligée de te faire jouir avant de commencer.
Avec fougue, elle me fouille avidement la bouche et caresse mes cuisses à la jonction des bas. Sa main s’attarde sur mon périnée et remonte vers ma rosette qu’elle masse d’une manière circulaire.
L’effet est prodigieux et ma verge se dresse d’un coup en se frottant d’aise sur le satin de ma robe de nuit.
Satisfaite, elle retrousse mon déshabillé jusqu’à la hauteur de mes seins et découvre entièrement mon ventre avant de me saisir la queue.
Lentement, elle me masturbe avec trois doigts en suivant sur mon visage la montée du plaisir.
Puis, elle engouffre son autre main dans la fente de mon slip et plonge son majeur lubrifié dans mes fesses. Elle le recourbe en pressant la pulpe de son doigt sur ma prostate.
Ayant une grande expérience de cette pratique, elle la masse longuement et méthodiquement en variant les pressions pour me donner un bonheur intense qui me conduit peu à peu à l’orgasme.
Elle me voit soupirer de plaisir et me chuchote à l’oreille.
- Tu vois ma chérie l’avantage avec une fille comme moi, c’est que je sais exactement ce qui te fait bander. Je vais maintenant vider ton gros clito qui s’impatiente me dit-t-elle d’un air amusé.
Au même moment, un simple effleurement de sa main sur mon frein suffit à faire couler lentement ma semence. Natacha continue à appuyer avec insistance sur mon point G en tournant habilement son doigt dans mon fourreau.
- L’amour anal est ma spécialité ma belle et tu jouis du cul en ce moment. C’est bon n’est ce pas, sourie- t-elle en caressant ma queue.
C’est vrai que cet orgasme particulier me donne un plaisir fabuleux. Je regarde mon sperme se répandre d’abord en une coulée épaisse et régulière puis couler en un mince filet blanchâtre qui inonde mon corset et mes bas. Cela n’a rien à voir avec un orgasme classique où on décharge par saccades.
Je reste toute étourdie, les yeux mi clos et en extase quand elle recueille dans sa bouche mes dernières gouttes de sève.
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie car ton corset est complètement recouvert de foutre, s’exclame- t-elle en m’épongeant de son mieux.
Elle met à profit mon relâchement pour poursuivre mon parcours initiatique.
- Je vais maintenant dégager l’accès à ta grotte.
Munie d’un rasoir, elle égalise avec soin les contours de mon gazon en sculptant un triangle parfait. Puis, elle empoigne ma queue à pleine main pour raser de prés mon œillet qui va être l’objet de toute son attention.
J’ai un frisson devant son regard ambigu lorsqu’elle fait glisser lentement la lame glacée le long de mon sexe pour supprimer toute pilosité.
C’est avec soulagement que je la vois abandonner son arme et suspendre une poche plastique d’eau au dessus de ma tête.
Avec douceur, elle me plaque les bourses sur le ventre et m’enfile une canule dans l’anus pour commencer un lavement.
Pendant que mes intestins se remplissent, elle me caresse la queue en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.
Le visage à la hauteur de son bassin, je me rends compte qu’elle ne reste pas indifférente.
Je vois son sexe s’allonger à vue d’œil et jaillir d’un coup par la fente de son slip.
Plaqué contre son ventre par une érection impressionnante, il dépasse largement la hauteur de son nombril.
Je contemple cette queue massive qui se balance lourdement à chacun de ses gestes. Provocante, elle se masturbe lentement et me fait admirer ses seins sublimes qu’elle a volontairement sortis de leurs bonnets. Elle sourie en voyant ma verge se raidir devant ce spectacle. Après un bref échange du regard, elle me plonge son sexe dans la gorge pour que je lui lèche la couronne du gland et le frein jusqu’à ce que le lavement se termine.
Elle monte alors sur la table et se met à califourchon sur moi en me pressant le ventre pour me faire évacuer l’eau dans une cuvette.
Puis, la tête entre ses cuisses, je ne résiste pas à l’envie de lui lécher la rondelle pendant qu’elle me pompe divinement le nœud.
Son corps se fait plus lourd et elle appuie son bassin contre ma bouche pour me montrer qu’elle apprécie mes caresses.
Le visage enfoui dans ses dessous, je l’entends gémir de plaisir.
A regret, elle se lève et rentre difficilement ses seins dans sa guêpière prête à exploser sous la pression en me laissant admirer sa queue dressée entre ses cuisses gainées de nylon.
Elle enfile une paire de gants lubrifiés et me fixe d’un air décidé.
Bien assurée sur ses talons aiguilles, elle se place entre mes cuisses. Un instant, elle me contemple, excitée de me voir totalement offerte et sans défense.
- Il me faut maintenant élargir ta rosette le plus possible ma chérie.
Une vague de plaisir me parcourt l’échine lorsqu’elle rentre son index dans mon fourreau. Puis, sans hésitation, elle glisse très vite deux autres doigts en me branlant la queue.
Elle trouve rapidement ma glande intime qu’elle stimule avec insistance.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton petit trou est déjà bien ouvert. D’un doigt, elle m’effleure le pourtour de l’anus et perçoit de légers renflements qui témoignent de ma longue pratique de la sodomie. Tu as l’habitude de te faire prendre par de gros calibres, n’est ce pas ? s’exclame-t-elle avec un sourire complice.
Embarrassée, je ferme les yeux pour ne pas lui répondre.
Avec application, elle me sonde habilement et s’arrête dés qu’elle voit perler une goutte de sperme à la surface de mon gland.
J’ai le pressentiment qu’elle me réserve d’autres surprises lorsqu’elle agite devant mes yeux avec un regard trouble un imposant gode noir d’une taille peu commune.
Elle le tient à deux mains en raison de son diamètre et l’applique contre ma rondelle.
Devant la glace, je la vois peser de tout son poids en essayant sans succès de me pénétrer.
Agacée par cet échec, elle me dit d’une voix ferme :
- Pousse quand je te le dirai, il finira par rentrer.
Elle attend que je lui obéisse et exerce simultanément une forte pression qui efface les plis de ma rosette. Elle cède d’un coup et laisse s’engouffrer cet énorme sexe qui m’ouvre largement le cul.
Je pousse un cri qui la surprend et l’arrête net dans sa course.
Puis, elle continue à me fouiller les entrailles et tourne vicieusement le pal pour l’enfoncer plus rapidement.
Plusieurs fois de suite, elle prend du plaisir à le sortir lentement de mes fesses pour observer ma rosette se dérouler sur le gode et s’enrouler à nouveau dessus lorsqu’elle le pousse à nouveau dans mes reins.
Elle me cloue sur la table et m’écarte les cuisses pour essayer d’autres angles d’attaques.
Messaline insatiable, elle sonde longuement les moindres replis de ma muqueuse en me faisant gémir de bonheur.
- Je vais te faire décharger ma belle, me dit-elle en se penchant sur moi.
Le contraste de son beau visage et de son langage m’excite au plus au point.
Je suffoque de plaisir lorsqu’elle redouble d’ardeur et je m’agite dans tous les sens en m’empalant sans le savoir toujours plus loin sur cet énorme sexe.
D’un poignet expert, elle décrit de larges rotations avec le gode.
Déchaînée, elle écarte la fente de mon slip et me pilonne sans arrêt jusqu’à ce qu’elle voit mes cuisses trembler et mes pieds se raidir lui annoncer mon orgasme.
Je râle de plaisir lorsqu’elle frotte mon gland avec son pouce. La pression de mon sperme trop longtemps contenu est telle, qu’il fuse en jets puissants arrosant mon visage et mes cheveux au lieu de retomber sur mes seins. Natacha est agréablement surprise par l’intensité de mon orgasme. Pour ma grande joie, elle continue à me fouiller les reins tant que durent mes spasmes et mes gémissements.
Un moment après, elle me dit :
- Je vais utiliser un dernier jouet pour achever ta préparation ma chérie.
Elle choisit à cet effet un objet impressionnant constitué de nombreux anneaux d’un diamètre croissant jusqu’à la racine.
Elle l’agite cyniquement devant mes yeux.
- Regarde avec quoi je vais finir de te défoncer le cul.
Elle me le montre sous tous les angles et le dépose un instant sur ma poitrine pour que j’évalue mieux son poids et sa circonférence.
Lorsque qu’elle l’empoigne à nouveau, je regrette fortement de ne pouvoir serrer les jambes, étant toujours attachée à la table et offerte à ses caprices.
Elle le fait coulisser un moment entre mes cuisses avant de l’appuyer franchement contre ma rosette.
- C’est le plus gros que j’ai pu trouver et tu vas prendre un gode de sept cent grammes dans les fesses me souffle-t-elle à l’oreille.
Elle m’enfonce aisément le premier tiers et doit forcer mon passage pour rentrer le reste.
La pression qui s’exerce sur ma glande interne fait dresser ma queue et Natacha entend mes premiers râles de plaisir et de douleur qui la galvanise. Pendant cette lente pénétration, je ressens une douleur lancinante dans le ventre qui s’amplifie au fur et à mesure que mes chairs s’écartent pour laisser le passage à ce membre monstrueux.
Mes plaintes redoublent son ardeur et c’est avec exaltation qu’elle finit de l’enfoncer dans ma grotte. Totalement fascinée, elle regarde disparaître le dernier anneau de sept centimètres de diamètre dans mes fesses.
Quant à moi, je me sens prise et possédée au-delà de mes espérances.
Avec stupeur, je regarde dans la glace ce pieu qui sort de mon ventre. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce spectacle et me demande comment j’ai pu être empalée de la sorte.
- Te voilà bien prise ma chérie dit-t-elle, encore étonnée d’avoir pu me rentrer une telle masse dans les entrailles.
Voulant diminuer la tension interne, je pousse pour me libérer des anneaux les plus gros en regrettant très vite mon initiative.
Avec un sourire étrange sur les lèvres, Natacha appuie fortement et à plusieurs reprises son genou sur le gode pour l’enfoncer à nouveau.
Perverse, elle se penche sur moi et continue de le pousser avec sa cuisse en m’embrassant pour étouffer mes plaintes.
Puis, elle me détache les pieds et m’oblige à serrer le pal entre mes jambes pour achever ma dilatation.
Je sens vivre en moi cette masse qui me provoque de nombreuses contractions anales.
Pendant ce temps, sachant par avance ce qu’elle me réserve, Natacha vérifie la solidité de mes autres liens.
Puis, elle m’enfonce dans la bouche une de ses culottes en dentelle et me bâillonne avec l’un de ses bas.
- Ecarte maintenant tes cuisses que je t’enlève ce gode ma belle.
D’un bref mouvement de torsion, elle le décolle de ma muqueuse en laissant mon cul largement offert à ses autres fantasmes.
- C’est parfait ma chérie, tu es suffisamment ouverte.
Puis, elle prend un spéculum et l’engage dans mon fourreau.
C’est donc aisément qu’elle m’injecte le contenu d’une grosse seringue remplie d’un gel lubrifiant et antalgique afin de prévenir toute douleur.
- Te voilà enfin prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle satisfaite en me rattachant solidement les pieds aux étriers.
Ecartelée, j’attends inquiète la suite des événements quand soudain, elle glisse ses cinq doigts lubrifiés dans mes fesses. Elle les tourne longuement de droite à gauche avant de plonger d’un coup sa main dans mon fourreau.
- Laisse toi aller et tu n’auras pas mal, s’exclame-t-elle en vrillant son poignet dans mes fesses.
Agitée et déstabilisée, je tire inutilement sur mes liens pour me détacher.
Le corps en arc de cercle, je lui facilite involontairement la tâche et elle n’a plus qu’à pousser son bras tendu dans ma grotte.
Vicieuse, elle me soulève à plusieurs reprises pour m’embrocher plus facilement en s’aidant du poids de mon corps.
- Je vais te sucer la queue en même temps, tu verras comme c’est bon, me dit-t-elle
Effectivement, je ne tarde pas à apprécier son savoir faire diabolique.
Elle profite aussitôt de mon abandon pour introduire progressivement ses autres doigts.
Sans me quitter des yeux, elle me pompe la queue et godille dans mes fesses pour se frayer un passage.
Elle me laisse me calmer un instant avant de faire coulisser ses mains l’une contre l’autre pour poursuivre sa progression.
Avec surprise, je les vois s’engouffrer dans mes fesses avec une facilité déconcertante sans ressentir la moindre douleur.
Je sens mon corps glisser lentement sur ses poignets.
Te voila complètement empalée me dit-t-elle d’une voix enflammée.
En me voyant ainsi offerte à sa perversité, je comprends le plaisir qu’elle éprouve à me violer.
Un long moment, elle me regarde m’agiter en essayant de trouver une position plus confortable mais hélas, je ne fais que m’enfoncer involontairement sur ses bras tendus.
Natacha retire une main pour me masturber et me fouille avec plus de précision avec l’autre. Puis, elle lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge.
Elle avale mes dernières giclées de sperme, satisfaite de ressentir sur son poignet mes fortes contractions anales qui témoignent de l’intensité de mon orgasme.
- J’espère que lorsque ma queue sera dans tes reins tu la serreras avec autant de force, me dit-t-elle brûlante de désir.
Puis, elle se retire de mes fesses en libérant une coulée de gel qui glisse lentement sur mes cuisses avant de s’infiltrer insidieusement dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma chérie, s’exclame t-elle en m’épongeant l’oeillet.
Enfin, elle me libère de mes liens et nous allons prendre un repos bien mérité en nous asseyant sur un tabouret de bar pour siroter un cocktail.
Toujours en manque, Natacha sent monter le désir dans ses reins. Elle se cambre et dresse ses seins provoquant pour m’aguicher.
Elle me regarde avec un sourire amusé fixer ses cuisses longues et fermes qu’elle croise et décroise avec une lenteur calculée. Puis, elle fait crisser ses bas en me laissant entrevoir par instant ses jarretelles.
Avec un regard en coin, elle s’ingénie à faire monter mon désir.
Elle relève lentement sa nuisette et me dévoile peu à peu sa longue queue bandant mollement sur ses bas.
Prends la vite, elle ne demande que tes caresses, me dit-elle d’un regard suppliant.
Je la masturbe lentement en la voyant se dresser d’une manière impressionnante.
Natacha à maintenant très envie que je la baise et elle m’entraîne fiévreusement sur le lit.
- Fais moi l’amour comme tu veux, je n’ai aucun tabou, s’impatiente-t-elle
Allongée sur le côté, elle me tourne le dos et serre mon sexe entre ses cuisses en le frottant volontairement sur ses bas en nylon.
La stimulation de mon gland sur le voile soyeux me déclenche immédiatement une forte érection.
Son regard se trouble lorsqu’elle voit ma verge luisante de désir, tressauter et laisser échapper quelques filaments blanchâtres sur sa jarretière.
- Laisse moi m’enfoncer dans tes reins, lui dis-je en l’implorant du regard.
- Oui mon ange, mais baises longtemps avant de me remplir le cul.
Elle se met sur le ventre en rabattant son sexe vers l’arrière.
J’ai ainsi une vue torride sur sa croupe rebondie, ses bourses et sa longue queue durcie qui sort de ses fesses.
Elle ouvre ses jambes gainées de nylon pour m’offrir son anneau frémissant qui s’élargit progressivement avec la montée de son désir.
Elle me fixe avec un regard de braise et se prépare à mon assaut.
Très impatiente, elle écarte ses fesses à deux mains.
- Viens me défoncer, j’ai le cul en feu, s’exclame- t-elle.
Rien qu’à la voir, je bande comme un malade. J’écarte fébrilement la fente de son slip et la pénètre avec fougue. Une fois mon gland passé, je m’enfonce d’un coup jusqu’à la garde.
Etonnée par la rapidité de mon assaut, elle ferme les yeux pour savourer son plaisir avant de reprendre le dessus.
Courtisane expérimentée, elle contracte ses muscles intimes, roule du bassin en tournoyant ses fesses sur ma verge. Pendant un long moment, elle me comble de bonheur sans que je me lasse d’explorer ses reins.
Soudain, elle sort mon sexe de sa croupe et se lève pour prendre quelques objets dans un tiroir.
- Je reprends l’initiative et tu ne vas pas le regretter, m’annonce t-elle.
Elle me culbute sur le lit en riant et m’enfonce lentement une à une des boules anales pour amplifier mon plaisir ainsi qu’un anneau pénien destiné à me grossir la queue.
Ravie du résultat, elle prend ma verge en main et l’enfonce à nouveau dans ses fesses.
- Elle est plus grosse maintenant et je la sens mieux, me dit-elle satisfaite.
Adoptant la position « en petites cuillères », elle tortille son cul pour s’embrocher sur mon sexe turgescent qui lui rabote fortement les entrailles.
Elle se mord les lèvres pour ne pas crier son plaisir et me dit d’une voix rauque :
- Oui défonce moi ma belle, transperce moi avec ton épée.
J’empoigne alors ses seins superbes pour la serrer contre moi.
Très excitée, elle me souffle à l’oreille :
- Maintenant ne bouge plus, je vais te pomper avec mon cul.
Elle balance lentement sa croupe d’avant en arrière et comprime mon sexe régulièrement avec ses muscles intimes qui deviennent une véritable pompe à sperme.
- Je vais jouir, lui dis-je d’une voix étranglée.
Aussitôt, elle tire sur le fil qui pend entre mes jambes et m’arrache d’un coup les cinq boules anales placées dans mon fourreau.
Je laisse échapper un cri de plaisir quand ma semence se déverse à gros bouillons dans son ventre.
Nous prenons un repos bien mérité jusqu’à ce que Natacha montre des signes d’impatience.
Le désir lui taraude toujours les reins et elle ne pense plus qu’à se vider en moi.
Je la contemple un moment, les reins cambrés par ses talons aiguilles et ses seins jaillissant de sa guêpière, elle est vraiment très belle. Un sourire aux lèvres, elle se masturbe lentement sans me quitter des yeux. Puis, elle s’avance vers moi, tenant sa queue impressionnante et vibrante de désir. Je fonds à l’idée qu’elle va bientôt la planter dans mes reins.
Impatiente de passer à l’action, Natacha m’allonge sur le lit, et me place un coussin sous le ventre avant de se glisser entre mes jambes.
Elle contemple un instant mes fesses encadrées de chaque côté par les dentelles de mon slip, ainsi que mes bas attachés haut sur mes cuisses.
- Tu as encore l’œillet qui palpite, s’exclame-t-elle.
Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut attendre plus longtemps et me chevauche telle une amazone.
Pendant un moment, elle se masturbe dans la raie de mes fesses en bandant toujours plus fort.
Puis, elle les écarte et me sodomise lentement en voyant avec jubilation sa queue disparaître peu à peu. Je m’ouvre alors progressivement au diamètre croissant de son sexe en tremblant de plaisir.
Allongée sur moi, elle me baise sous tous les angles et sort parfois de ma croupe mise en valeur et surélevée par le coussin avant de se laisser retomber de tout son poids.
Plaquée contre le lit très ferme, les seins écrasés sur le matelas, elle me poignarde sans aucune retenue. Par moment, elle s’arrête ayant peur de décharger trop vite. Je perçois alors mieux sa verge qui vit et tressaute de désir.
Quand elle me besogne à nouveau, j’aime entendre les claquements de son ventre sur mes fesses et sentir ses testicules me fouetter les cuisses.
Enfin, elle me bascule sur le côté et remonte une de mes jambes pour pouvoir m’enculer jusqu’à la racine de son sexe.
- Je suis maintenant au fond de toi ma chérie.
- Laisse moi te finir, lui dis-je d’une voix étouffée.
Avant qu’elle ne me réponde, je lui presse sournoisement les bourses en serrant sa queue avec mes sphincters. Elle veut se dégager pour retarder son orgasme, mais je presse mon cul contre son bassin et me trémousse pour la faire jouir.
Elle ne résiste pas plus de quelques secondes à ce massage fessier. Son foutre fuse et s’écrase avec force contre ma paroi anale. Elle râle de plaisir lorsque je contracte à nouveau mes muscles pour l’achever.
Terrassée, elle me laisse pomper ses dernières forces.
Follement amoureuse, elle m’embrasse à pleine bouche en fouillant mes dessous.
- J’ai lubrifié ton petit trou pour un moment. Tu m’as complètement vidée ma chérie et je n’aurais pas fait mieux, me dit-t-elle avec reconnaissance.
Après un repos bien mérité, insatiable, elle m’invite une fois encore à poursuivre nos ébats. Elle a une ultime gâterie à me faire découvrir.
Prends moi une dernière fois, me dit-elle d’une voix chaude et un regard prometteur.
Nous sommes allongées sur le côté et je bande mollement mais suffisamment pour pouvoir la baiser car elle a le cul encore très ouvert.
Elle applique le vibromasseur sur sa queue qui grandit rapidement en s’étalant sur sa guêpière.
Ayant maintenant une érection spectaculaire, elle me demande de ne plus bouger pendant qu’elle rentre ce jouet dans son fourreau anal.
Avec surprise, je sens qu’il s’engouffre dans ses fesses.
Très vite, il me presse la verge et remonte lentement jusqu’à mon gland.
Une fois bien en place, elle actionne le moteur et me fixe intensément pour suivre la montée de mon orgasme.
J’éprouve une sensation indescriptible quand le vibro fait palpiter sa paroi anale sur ma verge en faisant vibrer mon frein.
La jouissance est trop forte et je m’apprête à me retirer.
- Reste dans mon cul, me dit-t-elle sobrement en amplifiant sournoisement le moteur de l’engin.
Elle se colle contre moi pour mieux sentir mes spasmes lorsque je me répands une fois de plus dans son ventre.
- A ton tour de m’exploser le clito, me dit-t-elle en me tendant le jouet qu’elle vient de sortir de ses fesses.
Elle sait que je suis experte dans son maniement et m’implore du regard, impatiente de pouvoir libérer sa tension.
Je le prends et l’applique sur son frein. Très vite sous l’effet des vibrations, je la vois haleter et s’agiter en fermant les yeux pour se concentrer sur son plaisir.
Peu à peu, son désir montant crescendo, elle me supplie de conclure.
- Fais moi jouir ma chérie, je n’en peux plus d’attendre. J’ai la queue tellement tendue qu’elle me fait mal.
Malgré son souffle court, je retarde encore sa délivrance avant de lui vider les bourses.
Puis, je décide de l’achever. Pour cela, j’amplifie les vibrations sur son gland en massant son périnée. En même temps, je m’enfonce aussi loin que possible dans ses fesses.
Elle sent un flot de sperme monter d’une manière irréversible dans ses reins. Puis, elle se tétanise avant de libérer de longs et puissants jets de foutre qui éclaboussent sa guêpière.
Epuisées, nous décidons de passer la nuit ensemble.
Je me couche sur le côté en collant mes fesses contre son bassin.
Dans la nuit, me croyant endormie, elle me sodomise à plusieurs reprises.
Je me laisse faire car j’aime la sentir en moi et exploser dans mon ventre.
Au petit matin, Natacha, les mamelons dressés s’étire en cambrant sa magnifique poitrine.
Elle m’embrasse avec fougue et me dit :
Cette nuit, j’ai réalisé mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant ton sommeil. J’ai tellement déchargé dans ton petit trou que j’ai du t’enfoncer un plug pour retenir mon sperme qui coulait abondamment de tes fesses et se répandait sur les draps.
Heureuses de notre rencontre, nous prenons date pour nous revoir prochainement.
Sandra
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