Mes amants (première partie)
Récit érotique écrit par BonneCochonne [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes amants (première partie)
Mon maître de l’époque avait deux copains très cochons. Ils s’appellent Charles et Henri.
Sur le plan physique j’aimais beaucoup Henri, que je trouvais sexy. Néanmoins Charles, à partir du moment que je suis devenu de plus en plus féminine ainsi que docile, s’est intensément intéressé à moi. Bien que je ne réagisse pas à ses avances, il demeurait très entreprenant et enthousiasme. Il ne se gênais pas d’appeler chez moi (chez mon maître) pour me dire, qu’il me trouvait belle et sexy. Je ne voulais pas semer la discorde entre mon maître et ses amis, je ne l’ai donc jamais dénoncé. Il y a aussi, que c’est plaisant de se faire courtiser… J’écourtais tout de même ses appels et je lui ai demandé de ne pas trop ambitionné ainsi que de pas trop insister. Je lui ai cependant permis de m’appeler à l’occasion.
Un jour il nous a invité à son camp pour y passer la fin de semaine. J’appréhendais sa présence et ses avances continuelles. Ils ne se gênait pas pour me dire, qu’il aimerait m’avoir comme copine intime. Pourtant sa petite esclave était une transsexuelle. Je ne comprenais alors pas son intérêt pour moi… Mais, en même temps, son désir pour moi me plaisait.
En arrivant il était à la piscine et, tout d’un coup, son maillot de bain m’est devenu une révélation et je ne pouvais plus y retirer mon regard. Ce qui m’a valu d’être grondé par mon copain et, plus tard, d’avoir à subir une soirée très douloureuse au donjon où je devais lui prouver ma soumission ainsi que mon appartenance la plus totale. Néanmoins l’image de ce maillot de bain m’étais obsessif et je ne pouvais plus me la chasser de l’esprit. C’est ainsi, que j’ai commencé à m’intéresser réellement à Charles. Depuis ce temps je l’ai toujours regardé le plus discrètement que possible sous la ceinture. J’adorais le voir venir à notre demeure ou quand nous le visitions. Je ressentais désormais Charles dans tout mon corps. Quand je pouvais m’isolé, je m’arrangeais pour le contempler. Il a alors commencé à habiter mes fantasmes et quand je me masturbais, c’était à lui que je pensais.
Ses téléphones ont commencé à devenir de plus en plus fréquents et plus entreprenants. Je les attendais et je me masturbais à l’écouter. Il m’y arrivait de jouir pendant nos conversations. Il trouvait, que mon copain était une personne chanceuse de m’avoir. Je réagissais toujours mieux à ses commentaires positifs et je recherchais discrètement à les provoquer. Il me contait, sans rechercher à m’y inclure, sa vie sexuelle : ses partouzes et ses expériences… Il adorait nos téléphones, car il sentait alors avoir le contrôle sur moi. Pour ma part, quand je suçais mon maître, je rêvais d’en avoir plein la bouche de Charles. Je l’imaginais heureux de venir se réchauffer dans la chaleur de mon corps torride. Je me disais alors qu’une bouche d’esclave est surtout là pour abriter et servir le pénis de ses amants. Ce que je voulais faire pour le rendre encore plus heureux.
La visite décisive
Un soir il nous a invité à venir y fêter son anniversaire chez lui. J’ai ainsi attendu avec impatience cette soirée. Et quand ce fut la date, j’en étais très heureuse et très enthousiasmée à aller visiter Charles. J’avais mis ma robe la plus sexée.
Curieusement son esclave Annie n’y était pas. Elle était partie chez sa mère. Mais pour moi c’était une rivale de moins et ma chance de pouvoir plus facilement contempler Henri. Je me voyais aussi plus libres et je rêvais de pouvoir profiter de petits moments isolés pour se caresser et s’embrasser.
Les gars parlaient de voiture et Henri a invité mon copain à aller voir une belle voiture, qui était l’auto favorite de mon maître, à son garage. J’ai appris plus tard, que ceci a été orchestré par Henri et Charles pour l’éloigner de moi et qu’ils pourront alors me faire l’amour plus tard. Charles avait pour tâche de me séduire et de faire de moi leur putain. Ce qui n’a été qu’une formalité.
J’étais donc seul avec Charles et je pouvais le contempler sans aucune réserve. Ce que je ne me suis pas gêné de faire. Puis il m’a offert de faire une visite de sa maison. Ce que j’ai accepté.
Au début sa main se tenais sur mon épaule et elle s’est progressivement dirigée vers ma hanche. Il m’a fait visiter son donjon et il me la décrite tout en m’y associant. Il m’a affirmé, que je la trouverais confortable, que j’y serais performante et qu’il aimerait m’y inviter avec mon copain. Puis il me dirigea vers la chambre des invités pour y affirmer, que je serais heureuse d’y baiser mon copain et peut-être d’autres personnes. Ensuite il m’a pris par la main et il m’a fait visiter sa chambre de bain. Il m’a dit : « C’est une très belle chambre de bain et mes copines s’y plaisent. Cette douche peut facilement contenir deux personnes dans un bon confort. Mes copines ont adoré de m’y sucer. Tu peux t’y assoir sur ce siège ou te mettre à genoux pour sucer. Tu y seras surement à l’aise. Je suis certain, que tu aimerais y sucer quelqu’un ». Pendant ce temps sa main longeait mes hanches et mes fesses. Puis il enchaîna : « Aimerais-tu me sucer dans cette douche »?
J’ai alors répondu oui en le regardant dans ses yeux et avec un air lui demandant de m’embrasser. Ce qu’il a fait et refait… J’étais folle de joie de ressentir ses lèvres sur les miennes et ses mains sur mes fesses et les miennes sur les siennes. Ensuite il m’a conduit dans sa chambre où il m’a demandé de m’étendre sur son lit. Il s’est aussi étendu à côté de moi. Une de ses mains s’est aussitôt dirigée sous ma jupe et ses lèvres sur les miennes. Puis il m’a demandé, si je voulais vivre une aventure avec lui.
Malheureusement l’auto d’Henri arrivait et elle se stationnait dans l’entrées de Charles. Nous avons alors tout cessé. Mais je me suis rapidement mis à genoux devant lui pour lui embrasser son pantalon et lui supplier de venir me chercher chez moi vers 10 :00 heures le lendemain matin. Il y répondit par un « oui » enthousiasme.
J’étais déjà aux anges d’avoir déjà pu embrasser les pantalons de mon nouvel amant, d’y avoir eu mes premiers contacts sexuels et d’avoir pu lui obtenir un rendez-vous. Puis le reste de la soirée s’est très bien déroulée alors que j’y étais dans mes rêveries.
La matinée
Aussitôt que mon maître avait quitté la maison pour aller à son boulot, j’ai tout de suite appelé Charles pour m’assurer qu’il venait et pour lui fournir des instructions. Je lui dis, que la porte sera débarrée et de ne pas sonner. Parce que je serais peut-être au téléphone avec mon copain.
Comme convenu il est venu chez moi (plutôt chez mon maître) vers 10:00 heures pour me cueillir.
J’étais alors au téléphone avec mon maître et il s’est amusé de me voir s’assujettir à lui. Il a raffolé de me voir avec mon collier d’esclave et ma leste. Puis quand j’ai raccroché, il l’a pris et secoué ma tête pour me dominer à son tour. Il m’a alors dit : « Tu es maintenant à moi petite cochonne! ». Puis il s’est collé sur moi, il m’a embrassé et a pénétré sa langue en moi. Pour ma part j’étais toute excitée de ressentir son corps collé sur le mien, son pénis en érection sur moi et chacun de ses mouvements de son corps me masturbaient…
Mes mains comme les siennes sur moi étaient sur les fesses de l’autre. Je le compressais sur moi pour mieux le sentir. Puis nous avons pris sa voiture pour aller chez lui. Tout le long de la balade sa main caressait mes cuisses et m’explorait sous la jupe… J’y ai presque jouit!
Dans sa maison
Dans sa maison il m’a collé au mur et il s’est blottit sur moi. J’étais au nirvana d’avoir un contact aussi intime et aussi soumis avec mon nouvel amant. Puis sa main alla sous ma jupe et me caressait directement mon pénis.
Ensuite il s’est mis à me déshabiller et me transporta dans la salle de bain. J’ai alors entrepris l’action de lui enlever ses vêtements à son tour tout en l’embrassant tout le long de son corps y compris son pénis. Je me suis cependant attardé à embrasser ses petites culottes, qui ont été tout ce temps la convoitise de mes obsessions. Et nous avons ensuite passé sous la douche.
Nous avons commencé à se coller et à s’embrassé sous la caresse des jets d’eau chaude réconfortante et apaisante. Chacun de ses mouvements volontaires de sa jambe sur mon pénis m’apportait une sensation de caresse des plus excitante. Ensuite je me suis mis à embrasser son torse. Ce qui a été une explosion dans ma tête. Le goût de son corps tant convoité sur ma langue et la sensation de sa masculinité sur mes lèvres…
Finalement je me suis rendu à son membres. Je l’embrassais, je caressais ses boules avec une main et ses fesses avec l’autre. Puis j’ai commencé à me concentrer sur son pénis. Je l’embrassais sur toute la longueur la longueur, j’embrassais ses boules et mes mains effectuaient une balade entre ses cuisses sexées, ses fesses excitantes et ses hanches. Mon regard se plongeais sur son bassin et ses yeux pour y palper l’excitation et les réactions de mon amant.
Son pénis habitait bien ma bouche et je le savourais en y resserrant le contact avec mes lèvres, ma langue et l’intérieur de ma bouche. J’écoutais aussi sa respiration, qui devenais de plus en plus profonde et rapide. Et je me laissais caressé par ses mains sur l’arrière de ma tête.
J’étais en train de la sucer, quand il s’est mis à pisser dans ma bouche. J’ai été surpris sur le coup, mais je me suis mis à gérer son offrande. Ses mains me retenaient pour empêcher ma bouche de déloger son membre et ainsi demeurer prisonnière de son pénis. Le gout de son urine était léger et revenais à boire un liquide chaud, salé et acidulé. Je buvais pendant que je regardais son bassin et que mes mains se baladais sur ses cuisses, ses hanches et ses fesses.
Tout d’un coup nos regards se sont croisés. Il y a eu un éclair entre nous, un sourire de satisfaction de sa part et son pénis se mit encore à durcir ainsi que grossir davantage. J’étais étonné de constater, que son membre pouvait encore grossir en moi. La dernière fois c’était le pénis de mon maître dans mes fesses et je ne pouvais pas y toucher. Mais cette fois-ci c’est l’engin de mon amant, que je trouve sexy et ultra excitant, qui est dans ma bouche et accessible. Je me suis alors mis à compresser mes lèvres ainsi que l’intérieur de ma bouche dessus pour ajouter à ses sensations ainsi que pour savourer davantage ce pénis. Un coup que je pouvais contrôler mieux son débit, je me suis mis à le sucer en même temps, qu’il urinait dans ma bouche.
J’ai pour ma part adoré ce jet émergeant de chacune de mes succions et lui avait l’impression de jouir dans ma bouche à chaque va-et-vient. Cette expérience a été pour lui magique. Une belle petite putain comme moi lui servant d’urinoir… Ce que j’adore, quand un homme pisse dans ma bouche, est de le gouter durant environ trois minutes. Alors que les giclés de spermes ne dure qu’environ trente secondes. C’était aussi important pour moi de boire toute la pisse de Charles. Parce que je n’aime que les aventures à long terme (j’ai toujours détester les étreintes éphémères ainsi que sans lendemain) et que je voulais réellement lui plaire. Je voulais, qu’il vienne encore en moi et vivre avec lui une belle aventure durable.
À la fin de son soulagement j’ai commencé à lécher ce pénis tout droit, gonflé et dur comme une barre. Je pouvais ressentir cette virilité dans ma bouche, sur mes lèvres toutes sensibles ainsi qu’excitées et sur ma langue. Il avait un meilleur goût que mon ami. Lui il était ravi de ressentir mon jeu buccal sur son pénis. Puis ses sensations sont devenues trop pointus et il a jouit dans ma bouche. Moi j’ai adoré ressentir ce beau pénis dur et gonflé en moi et le gout de ses grosses giclées de jouissance. Ce que j’ai aimé par-dessus tout était de ressentir ses fesses se raidir sous mes mains et le va-et-vient de plus en plus motivé de son bassin ainsi que son pénis vers mon intérieur.
J’ai alors trouvé, qu’il avait un bien meilleur gout que mon maître et qu’il avait une grande expérience. Il avait pris le temps de boire beaucoup d’eau et se lessivé la vessie avant d’uriné en moi. Ce que j’ai apprécié et m’a alors fait tomber complètement amoureuse de lui. J’étais alors prête à le boire sur une base quotidienne et devenir sa première esclave ainsi que la plus cochonne. La confiance d’un maître se gagne et j’étais prête à refaire toutes mes classes pour lui!
J’ai appris plus tard que sa motivation première de me faire l’amour était de pisser dans ma bouche. Parce qu’il savait, que je buvais de l’urine et que j’étais particulièrement cochonne ainsi que très soumise. Mon maître Alain lui avait déjà vanté mes performances. D’où le début de notre étreinte sous la douche. Mais j’ai toujours adoré un homme très enthousiasme à me courtiser.
Dans son lit
Puis nous avons mutuellement essuyé l’autre et nous nous sommes dirigés vers son lit. Il s’est étendu sur moi et s’est mis à me faire l’amour. J’adorais ressentir ce beau sa masculinité sur moi, son sexe tendu, ses baisers sur ma peau ainsi que dans mon cou et ses doigts doux se baladant sur mon corps.
Puis il m’a pris par le dos et il a continué à me caresser. Et, tout d’un coup, puis il a sorti les lubrifiants et il a plongé son sexe en moi. J’ai ressenti son pénis dans le début de mon anus, ensuite sur ma prostate et finalement il a pu totalement me pénétrer. J’étais joyeux de bien le ressentir avec ses va-et-vient.
Ensuite il a joui en moi. Je me rappelle par la suite de lui avoir embrasser son dos ainsi que ses fesses pour ensuite les lécher… Finalement nous nous sommes assoupis.
L’après-midi
Vers le milieu de l’après-midi il m’a reconduit à la maison de mon maître. Le fait d’être à la demeure de son copain et de posséder sa putain, l’a beaucoup excité. Il s’est mis à me caresser de nouveau sur le divan.
Cependant le téléphone a sonné et c’était mon maître. J’ai donc commencé à lui parler. Mais Charles a continué à me caresser et voulait me faire jouir au téléphone. J’ai moi-même été excité de me faire caresser par un autre homme pendant que je parle à mon copain. Je le trompais et ceci m’emballait. Cela a tout de même été facile de converser avec Alain, parce que je me masturbais souvent à entendre sa voix et il avait l’habitude de m’entendre venir. Cette fois-ci c’était Charles, qui était aux commandes. La tension montait en moi et la main habile de mon amant sous ma jupe était très efficace. J’ai finalement joui avec fracas et Charles est demeuré collé sur moi en m’embrassant partout pendant toute la conversation. Ce que j’ai pleinement apprécié.
Finalement en soirée j’ai aussi fait l’amour à mon copain. J’étais pleinement heureuse de ma journée où j’ai trompé pour la première fois mon maître.
À suivre …
Sur le plan physique j’aimais beaucoup Henri, que je trouvais sexy. Néanmoins Charles, à partir du moment que je suis devenu de plus en plus féminine ainsi que docile, s’est intensément intéressé à moi. Bien que je ne réagisse pas à ses avances, il demeurait très entreprenant et enthousiasme. Il ne se gênais pas d’appeler chez moi (chez mon maître) pour me dire, qu’il me trouvait belle et sexy. Je ne voulais pas semer la discorde entre mon maître et ses amis, je ne l’ai donc jamais dénoncé. Il y a aussi, que c’est plaisant de se faire courtiser… J’écourtais tout de même ses appels et je lui ai demandé de ne pas trop ambitionné ainsi que de pas trop insister. Je lui ai cependant permis de m’appeler à l’occasion.
Un jour il nous a invité à son camp pour y passer la fin de semaine. J’appréhendais sa présence et ses avances continuelles. Ils ne se gênait pas pour me dire, qu’il aimerait m’avoir comme copine intime. Pourtant sa petite esclave était une transsexuelle. Je ne comprenais alors pas son intérêt pour moi… Mais, en même temps, son désir pour moi me plaisait.
En arrivant il était à la piscine et, tout d’un coup, son maillot de bain m’est devenu une révélation et je ne pouvais plus y retirer mon regard. Ce qui m’a valu d’être grondé par mon copain et, plus tard, d’avoir à subir une soirée très douloureuse au donjon où je devais lui prouver ma soumission ainsi que mon appartenance la plus totale. Néanmoins l’image de ce maillot de bain m’étais obsessif et je ne pouvais plus me la chasser de l’esprit. C’est ainsi, que j’ai commencé à m’intéresser réellement à Charles. Depuis ce temps je l’ai toujours regardé le plus discrètement que possible sous la ceinture. J’adorais le voir venir à notre demeure ou quand nous le visitions. Je ressentais désormais Charles dans tout mon corps. Quand je pouvais m’isolé, je m’arrangeais pour le contempler. Il a alors commencé à habiter mes fantasmes et quand je me masturbais, c’était à lui que je pensais.
Ses téléphones ont commencé à devenir de plus en plus fréquents et plus entreprenants. Je les attendais et je me masturbais à l’écouter. Il m’y arrivait de jouir pendant nos conversations. Il trouvait, que mon copain était une personne chanceuse de m’avoir. Je réagissais toujours mieux à ses commentaires positifs et je recherchais discrètement à les provoquer. Il me contait, sans rechercher à m’y inclure, sa vie sexuelle : ses partouzes et ses expériences… Il adorait nos téléphones, car il sentait alors avoir le contrôle sur moi. Pour ma part, quand je suçais mon maître, je rêvais d’en avoir plein la bouche de Charles. Je l’imaginais heureux de venir se réchauffer dans la chaleur de mon corps torride. Je me disais alors qu’une bouche d’esclave est surtout là pour abriter et servir le pénis de ses amants. Ce que je voulais faire pour le rendre encore plus heureux.
La visite décisive
Un soir il nous a invité à venir y fêter son anniversaire chez lui. J’ai ainsi attendu avec impatience cette soirée. Et quand ce fut la date, j’en étais très heureuse et très enthousiasmée à aller visiter Charles. J’avais mis ma robe la plus sexée.
Curieusement son esclave Annie n’y était pas. Elle était partie chez sa mère. Mais pour moi c’était une rivale de moins et ma chance de pouvoir plus facilement contempler Henri. Je me voyais aussi plus libres et je rêvais de pouvoir profiter de petits moments isolés pour se caresser et s’embrasser.
Les gars parlaient de voiture et Henri a invité mon copain à aller voir une belle voiture, qui était l’auto favorite de mon maître, à son garage. J’ai appris plus tard, que ceci a été orchestré par Henri et Charles pour l’éloigner de moi et qu’ils pourront alors me faire l’amour plus tard. Charles avait pour tâche de me séduire et de faire de moi leur putain. Ce qui n’a été qu’une formalité.
J’étais donc seul avec Charles et je pouvais le contempler sans aucune réserve. Ce que je ne me suis pas gêné de faire. Puis il m’a offert de faire une visite de sa maison. Ce que j’ai accepté.
Au début sa main se tenais sur mon épaule et elle s’est progressivement dirigée vers ma hanche. Il m’a fait visiter son donjon et il me la décrite tout en m’y associant. Il m’a affirmé, que je la trouverais confortable, que j’y serais performante et qu’il aimerait m’y inviter avec mon copain. Puis il me dirigea vers la chambre des invités pour y affirmer, que je serais heureuse d’y baiser mon copain et peut-être d’autres personnes. Ensuite il m’a pris par la main et il m’a fait visiter sa chambre de bain. Il m’a dit : « C’est une très belle chambre de bain et mes copines s’y plaisent. Cette douche peut facilement contenir deux personnes dans un bon confort. Mes copines ont adoré de m’y sucer. Tu peux t’y assoir sur ce siège ou te mettre à genoux pour sucer. Tu y seras surement à l’aise. Je suis certain, que tu aimerais y sucer quelqu’un ». Pendant ce temps sa main longeait mes hanches et mes fesses. Puis il enchaîna : « Aimerais-tu me sucer dans cette douche »?
J’ai alors répondu oui en le regardant dans ses yeux et avec un air lui demandant de m’embrasser. Ce qu’il a fait et refait… J’étais folle de joie de ressentir ses lèvres sur les miennes et ses mains sur mes fesses et les miennes sur les siennes. Ensuite il m’a conduit dans sa chambre où il m’a demandé de m’étendre sur son lit. Il s’est aussi étendu à côté de moi. Une de ses mains s’est aussitôt dirigée sous ma jupe et ses lèvres sur les miennes. Puis il m’a demandé, si je voulais vivre une aventure avec lui.
Malheureusement l’auto d’Henri arrivait et elle se stationnait dans l’entrées de Charles. Nous avons alors tout cessé. Mais je me suis rapidement mis à genoux devant lui pour lui embrasser son pantalon et lui supplier de venir me chercher chez moi vers 10 :00 heures le lendemain matin. Il y répondit par un « oui » enthousiasme.
J’étais déjà aux anges d’avoir déjà pu embrasser les pantalons de mon nouvel amant, d’y avoir eu mes premiers contacts sexuels et d’avoir pu lui obtenir un rendez-vous. Puis le reste de la soirée s’est très bien déroulée alors que j’y étais dans mes rêveries.
La matinée
Aussitôt que mon maître avait quitté la maison pour aller à son boulot, j’ai tout de suite appelé Charles pour m’assurer qu’il venait et pour lui fournir des instructions. Je lui dis, que la porte sera débarrée et de ne pas sonner. Parce que je serais peut-être au téléphone avec mon copain.
Comme convenu il est venu chez moi (plutôt chez mon maître) vers 10:00 heures pour me cueillir.
J’étais alors au téléphone avec mon maître et il s’est amusé de me voir s’assujettir à lui. Il a raffolé de me voir avec mon collier d’esclave et ma leste. Puis quand j’ai raccroché, il l’a pris et secoué ma tête pour me dominer à son tour. Il m’a alors dit : « Tu es maintenant à moi petite cochonne! ». Puis il s’est collé sur moi, il m’a embrassé et a pénétré sa langue en moi. Pour ma part j’étais toute excitée de ressentir son corps collé sur le mien, son pénis en érection sur moi et chacun de ses mouvements de son corps me masturbaient…
Mes mains comme les siennes sur moi étaient sur les fesses de l’autre. Je le compressais sur moi pour mieux le sentir. Puis nous avons pris sa voiture pour aller chez lui. Tout le long de la balade sa main caressait mes cuisses et m’explorait sous la jupe… J’y ai presque jouit!
Dans sa maison
Dans sa maison il m’a collé au mur et il s’est blottit sur moi. J’étais au nirvana d’avoir un contact aussi intime et aussi soumis avec mon nouvel amant. Puis sa main alla sous ma jupe et me caressait directement mon pénis.
Ensuite il s’est mis à me déshabiller et me transporta dans la salle de bain. J’ai alors entrepris l’action de lui enlever ses vêtements à son tour tout en l’embrassant tout le long de son corps y compris son pénis. Je me suis cependant attardé à embrasser ses petites culottes, qui ont été tout ce temps la convoitise de mes obsessions. Et nous avons ensuite passé sous la douche.
Nous avons commencé à se coller et à s’embrassé sous la caresse des jets d’eau chaude réconfortante et apaisante. Chacun de ses mouvements volontaires de sa jambe sur mon pénis m’apportait une sensation de caresse des plus excitante. Ensuite je me suis mis à embrasser son torse. Ce qui a été une explosion dans ma tête. Le goût de son corps tant convoité sur ma langue et la sensation de sa masculinité sur mes lèvres…
Finalement je me suis rendu à son membres. Je l’embrassais, je caressais ses boules avec une main et ses fesses avec l’autre. Puis j’ai commencé à me concentrer sur son pénis. Je l’embrassais sur toute la longueur la longueur, j’embrassais ses boules et mes mains effectuaient une balade entre ses cuisses sexées, ses fesses excitantes et ses hanches. Mon regard se plongeais sur son bassin et ses yeux pour y palper l’excitation et les réactions de mon amant.
Son pénis habitait bien ma bouche et je le savourais en y resserrant le contact avec mes lèvres, ma langue et l’intérieur de ma bouche. J’écoutais aussi sa respiration, qui devenais de plus en plus profonde et rapide. Et je me laissais caressé par ses mains sur l’arrière de ma tête.
J’étais en train de la sucer, quand il s’est mis à pisser dans ma bouche. J’ai été surpris sur le coup, mais je me suis mis à gérer son offrande. Ses mains me retenaient pour empêcher ma bouche de déloger son membre et ainsi demeurer prisonnière de son pénis. Le gout de son urine était léger et revenais à boire un liquide chaud, salé et acidulé. Je buvais pendant que je regardais son bassin et que mes mains se baladais sur ses cuisses, ses hanches et ses fesses.
Tout d’un coup nos regards se sont croisés. Il y a eu un éclair entre nous, un sourire de satisfaction de sa part et son pénis se mit encore à durcir ainsi que grossir davantage. J’étais étonné de constater, que son membre pouvait encore grossir en moi. La dernière fois c’était le pénis de mon maître dans mes fesses et je ne pouvais pas y toucher. Mais cette fois-ci c’est l’engin de mon amant, que je trouve sexy et ultra excitant, qui est dans ma bouche et accessible. Je me suis alors mis à compresser mes lèvres ainsi que l’intérieur de ma bouche dessus pour ajouter à ses sensations ainsi que pour savourer davantage ce pénis. Un coup que je pouvais contrôler mieux son débit, je me suis mis à le sucer en même temps, qu’il urinait dans ma bouche.
J’ai pour ma part adoré ce jet émergeant de chacune de mes succions et lui avait l’impression de jouir dans ma bouche à chaque va-et-vient. Cette expérience a été pour lui magique. Une belle petite putain comme moi lui servant d’urinoir… Ce que j’adore, quand un homme pisse dans ma bouche, est de le gouter durant environ trois minutes. Alors que les giclés de spermes ne dure qu’environ trente secondes. C’était aussi important pour moi de boire toute la pisse de Charles. Parce que je n’aime que les aventures à long terme (j’ai toujours détester les étreintes éphémères ainsi que sans lendemain) et que je voulais réellement lui plaire. Je voulais, qu’il vienne encore en moi et vivre avec lui une belle aventure durable.
À la fin de son soulagement j’ai commencé à lécher ce pénis tout droit, gonflé et dur comme une barre. Je pouvais ressentir cette virilité dans ma bouche, sur mes lèvres toutes sensibles ainsi qu’excitées et sur ma langue. Il avait un meilleur goût que mon ami. Lui il était ravi de ressentir mon jeu buccal sur son pénis. Puis ses sensations sont devenues trop pointus et il a jouit dans ma bouche. Moi j’ai adoré ressentir ce beau pénis dur et gonflé en moi et le gout de ses grosses giclées de jouissance. Ce que j’ai aimé par-dessus tout était de ressentir ses fesses se raidir sous mes mains et le va-et-vient de plus en plus motivé de son bassin ainsi que son pénis vers mon intérieur.
J’ai alors trouvé, qu’il avait un bien meilleur gout que mon maître et qu’il avait une grande expérience. Il avait pris le temps de boire beaucoup d’eau et se lessivé la vessie avant d’uriné en moi. Ce que j’ai apprécié et m’a alors fait tomber complètement amoureuse de lui. J’étais alors prête à le boire sur une base quotidienne et devenir sa première esclave ainsi que la plus cochonne. La confiance d’un maître se gagne et j’étais prête à refaire toutes mes classes pour lui!
J’ai appris plus tard que sa motivation première de me faire l’amour était de pisser dans ma bouche. Parce qu’il savait, que je buvais de l’urine et que j’étais particulièrement cochonne ainsi que très soumise. Mon maître Alain lui avait déjà vanté mes performances. D’où le début de notre étreinte sous la douche. Mais j’ai toujours adoré un homme très enthousiasme à me courtiser.
Dans son lit
Puis nous avons mutuellement essuyé l’autre et nous nous sommes dirigés vers son lit. Il s’est étendu sur moi et s’est mis à me faire l’amour. J’adorais ressentir ce beau sa masculinité sur moi, son sexe tendu, ses baisers sur ma peau ainsi que dans mon cou et ses doigts doux se baladant sur mon corps.
Puis il m’a pris par le dos et il a continué à me caresser. Et, tout d’un coup, puis il a sorti les lubrifiants et il a plongé son sexe en moi. J’ai ressenti son pénis dans le début de mon anus, ensuite sur ma prostate et finalement il a pu totalement me pénétrer. J’étais joyeux de bien le ressentir avec ses va-et-vient.
Ensuite il a joui en moi. Je me rappelle par la suite de lui avoir embrasser son dos ainsi que ses fesses pour ensuite les lécher… Finalement nous nous sommes assoupis.
L’après-midi
Vers le milieu de l’après-midi il m’a reconduit à la maison de mon maître. Le fait d’être à la demeure de son copain et de posséder sa putain, l’a beaucoup excité. Il s’est mis à me caresser de nouveau sur le divan.
Cependant le téléphone a sonné et c’était mon maître. J’ai donc commencé à lui parler. Mais Charles a continué à me caresser et voulait me faire jouir au téléphone. J’ai moi-même été excité de me faire caresser par un autre homme pendant que je parle à mon copain. Je le trompais et ceci m’emballait. Cela a tout de même été facile de converser avec Alain, parce que je me masturbais souvent à entendre sa voix et il avait l’habitude de m’entendre venir. Cette fois-ci c’était Charles, qui était aux commandes. La tension montait en moi et la main habile de mon amant sous ma jupe était très efficace. J’ai finalement joui avec fracas et Charles est demeuré collé sur moi en m’embrassant partout pendant toute la conversation. Ce que j’ai pleinement apprécié.
Finalement en soirée j’ai aussi fait l’amour à mon copain. J’étais pleinement heureuse de ma journée où j’ai trompé pour la première fois mon maître.
À suivre …
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