Mes années Britaniques - 3
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Mes années Britaniques - 3
MES ANNEES BRITANNIQUES - 3
Les semaines s'écoulaient, je sortais beaucoup en boite, d'autant plus que Günther, un allemand que j'aimais bien avait une voiture, sa sœur Gertrude communément appelée Traoudel, nous accompagnait dans nos virées londoniennes nocturnes, nous fréquentions diverses boites, "le Blaise", "le Bataclan" etc. Beaucoup de garçons aimaient la "petite française", je ne me privais pas de me frotter à eux durant les danses et prenait un malin plaisir à déterminer lequel durcirait le plus vite! L'Anglaise rousse avait également une voiture ce qui nous permettait de faire des sorties à dix.
Toujours partante Annie adorait ces sorties qui lui faisaient découvrir un monde nouveau.
Un soir, alcool aidant, je lui ai dit qu'il fallait qu'elle "se fasse un mec". Günter me semblait le partenaire idéal et sa sœur des plus désirable pour moi, selon mes critères.
Un vendredi soir, à la fin de la nuit, aux petites heures de l'aube, Günter m'a demandé si je serais d'accord pour une virée à Brighton où nous pourrions passer le week-end. Je lui ai dit que je serais d'accord mais je voulais savoir ce que sa sœur pensait de moi? "Kein Problem" fût sa réponse!!!
La voie était donc libre, il m'a demandé de demander à Annie si elle était d'accord?
J'ai foncé sur notre amie pour lui expliquer qu'elle avait une chance extraordinaire car Günter l'avait remarqué et qu'il nous proposait un week-end à Brighton. Elle me dit en être heureuse mais n'avait que peu d'argent, j'ai répondu que le problème n'était pas là, mon père était très généreux en argent de poche et j'assumerai tous ses frais, de plus je savais Günter très à l'aise coté fric aussi et galant homme.
- En revanche ma belle soit certaine que tu passeras à la "casserole".
- Günter me plait beaucoup, c'est sûrement le garçon qu'il me faut pour me faire découvrir le "nirvana"
- Tu as parfaitement raison et de plus Traoudle me plait beaucoup.
Les choses étant claires, j'ai fais signe à Günther que nous pouvions lever le camp en direction de la mer.
Il prit place au volant, Annie à ses cotés, Traoudel et moi-même à l'arrière, nous portions l'une et l'autre un kilt, c'était la grande mode à cette époque et étions fanas de descentes à la "Scotch House" pour y dépenser des fortunes…..
Selon ma bonne habitude, j'étais nue sous mon kilt à l'exception de mes bas et de mon porte jartelles
Très vite j'ai mis ma main sur le genoux de Traoudle qui l'y a laissé.
Les choses étaient donc claires d'autant plus qu'elle s'est penchée vers moi pour un baiser pas chaste du tout.
Günter connaissait bien Brighton, nous sommes allés, directement, au meilleur hôtel où il a demandé deux chambres, avec grand lit, mais communicantes.
J'étais ravie! Mais il m'a semblé nécessaire de prendre Annie à part pour lui dire certaines choses.
- Ma douce je suis sure que ce matin tu vas perdre ton "pucelage". Moi se sont des filles qui m'ont fait sauter la membrane, pas encore de garçon mais je sais que toi tu en as besoin donc n'hésites pas. Pour ma part je souhaite ressentir autre chose qu'un attrait purement "physique" et je ne l'ai pas encore ressenti.
Isolées dans notre chambre, j'ai pris Troudle dans mes bras en lui disant :
- Je vais te rendre ton baiser de la voiture!
Elle est venue dans mes bras, ses lèvres offertes à mes baisers, je l'ai prise fort contre mes seins en lui disant :
- J'ai envie de toi, (I wish you).
- Moi aussi.
Lentement je l'ai conduite vers le lit tout en lui défaisant son kilt. Sa peau était douce et sentait bon la fleur d'oranger, (parfum de son savon).
Elle était brune, les cheveux courts, J'ai passé ma main dans l'échancrure de son chemisier, ses petits seins étaient libres, j'ai commencé à en caresser les pointes, j'avais envie de les sucer et j'ai donc fait tomber ce voile. Elle-même m'a aidée en faisant tomber collants et string et en défaisant mon kilt.
En peu de temps nous étions toutes les deux nues sur le lit.
Sa fente, bien visible, bien rasée, au milieu de sa toison noire me fît immédiatement mouiller mon entre-cuisses.
Elle m'a dit avoir les pointes de seins très sensibles, immédiatement mes lèvres se sont portées vers eux tout en lui demandant de caresser ma fente toute mouillée.
Elle fît mieux en y posant ses lèvres, les sentir absorber mon clitoris fût une merveille et immédiatement je pris une position me permettant de la sucer également. Elle aimait, moi aussi, nos cyprines coulaient d'abondance.
J'ai eu un orgasme violent qui me fît éjecter beaucoup de "jus d'amour" sur les draps et il en fût de même pour elle, pendant que je caressais sa fente humide qui coulait sur le drap autant que la mienne.
Nous reposant, dans les bras l'une de l'autre, nous avons écouté ce qu'il se passait dans la chambre voisine.
Günter et Annie semblait avoir bien fait connaissance. Le souffle de cette dernière ne laissant aucun doute des plaisirs qu'elle ressentait.
Je connaissais suffisamment Günter pour savoir qu'il avait tout fait pour que la "Fleur d'Annie." disparaisse dans la plus grande douceur.
Le réveil, vers midi, fût pénible, car la nuit avait été courte. Nous avons décidé d'aller nous promener en ville et sur la plage.
Günter et Annie étaient enlacés, idem pour moi avec Traoudel.
Cependant, à un moment Annie est venue vers moi et me prenant à part me dit:
- Florence, je te remercie, grâce à toi j'ai compris ce qu'était "faire l'amour", maintenant "Je suis une Femme"!!!!!!
J'ai aimé sa remarque et suis allée dans les bras de Traoudel pour trouver sa bouche au goût de miel, elle me l'a donnée en me disant : "Que nos corps se retrouvent……."
(Ce sera la suite, si vous aimez….).
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Les semaines s'écoulaient, je sortais beaucoup en boite, d'autant plus que Günther, un allemand que j'aimais bien avait une voiture, sa sœur Gertrude communément appelée Traoudel, nous accompagnait dans nos virées londoniennes nocturnes, nous fréquentions diverses boites, "le Blaise", "le Bataclan" etc. Beaucoup de garçons aimaient la "petite française", je ne me privais pas de me frotter à eux durant les danses et prenait un malin plaisir à déterminer lequel durcirait le plus vite! L'Anglaise rousse avait également une voiture ce qui nous permettait de faire des sorties à dix.
Toujours partante Annie adorait ces sorties qui lui faisaient découvrir un monde nouveau.
Un soir, alcool aidant, je lui ai dit qu'il fallait qu'elle "se fasse un mec". Günter me semblait le partenaire idéal et sa sœur des plus désirable pour moi, selon mes critères.
Un vendredi soir, à la fin de la nuit, aux petites heures de l'aube, Günter m'a demandé si je serais d'accord pour une virée à Brighton où nous pourrions passer le week-end. Je lui ai dit que je serais d'accord mais je voulais savoir ce que sa sœur pensait de moi? "Kein Problem" fût sa réponse!!!
La voie était donc libre, il m'a demandé de demander à Annie si elle était d'accord?
J'ai foncé sur notre amie pour lui expliquer qu'elle avait une chance extraordinaire car Günter l'avait remarqué et qu'il nous proposait un week-end à Brighton. Elle me dit en être heureuse mais n'avait que peu d'argent, j'ai répondu que le problème n'était pas là, mon père était très généreux en argent de poche et j'assumerai tous ses frais, de plus je savais Günter très à l'aise coté fric aussi et galant homme.
- En revanche ma belle soit certaine que tu passeras à la "casserole".
- Günter me plait beaucoup, c'est sûrement le garçon qu'il me faut pour me faire découvrir le "nirvana"
- Tu as parfaitement raison et de plus Traoudle me plait beaucoup.
Les choses étant claires, j'ai fais signe à Günther que nous pouvions lever le camp en direction de la mer.
Il prit place au volant, Annie à ses cotés, Traoudel et moi-même à l'arrière, nous portions l'une et l'autre un kilt, c'était la grande mode à cette époque et étions fanas de descentes à la "Scotch House" pour y dépenser des fortunes…..
Selon ma bonne habitude, j'étais nue sous mon kilt à l'exception de mes bas et de mon porte jartelles
Très vite j'ai mis ma main sur le genoux de Traoudle qui l'y a laissé.
Les choses étaient donc claires d'autant plus qu'elle s'est penchée vers moi pour un baiser pas chaste du tout.
Günter connaissait bien Brighton, nous sommes allés, directement, au meilleur hôtel où il a demandé deux chambres, avec grand lit, mais communicantes.
J'étais ravie! Mais il m'a semblé nécessaire de prendre Annie à part pour lui dire certaines choses.
- Ma douce je suis sure que ce matin tu vas perdre ton "pucelage". Moi se sont des filles qui m'ont fait sauter la membrane, pas encore de garçon mais je sais que toi tu en as besoin donc n'hésites pas. Pour ma part je souhaite ressentir autre chose qu'un attrait purement "physique" et je ne l'ai pas encore ressenti.
Isolées dans notre chambre, j'ai pris Troudle dans mes bras en lui disant :
- Je vais te rendre ton baiser de la voiture!
Elle est venue dans mes bras, ses lèvres offertes à mes baisers, je l'ai prise fort contre mes seins en lui disant :
- J'ai envie de toi, (I wish you).
- Moi aussi.
Lentement je l'ai conduite vers le lit tout en lui défaisant son kilt. Sa peau était douce et sentait bon la fleur d'oranger, (parfum de son savon).
Elle était brune, les cheveux courts, J'ai passé ma main dans l'échancrure de son chemisier, ses petits seins étaient libres, j'ai commencé à en caresser les pointes, j'avais envie de les sucer et j'ai donc fait tomber ce voile. Elle-même m'a aidée en faisant tomber collants et string et en défaisant mon kilt.
En peu de temps nous étions toutes les deux nues sur le lit.
Sa fente, bien visible, bien rasée, au milieu de sa toison noire me fît immédiatement mouiller mon entre-cuisses.
Elle m'a dit avoir les pointes de seins très sensibles, immédiatement mes lèvres se sont portées vers eux tout en lui demandant de caresser ma fente toute mouillée.
Elle fît mieux en y posant ses lèvres, les sentir absorber mon clitoris fût une merveille et immédiatement je pris une position me permettant de la sucer également. Elle aimait, moi aussi, nos cyprines coulaient d'abondance.
J'ai eu un orgasme violent qui me fît éjecter beaucoup de "jus d'amour" sur les draps et il en fût de même pour elle, pendant que je caressais sa fente humide qui coulait sur le drap autant que la mienne.
Nous reposant, dans les bras l'une de l'autre, nous avons écouté ce qu'il se passait dans la chambre voisine.
Günter et Annie semblait avoir bien fait connaissance. Le souffle de cette dernière ne laissant aucun doute des plaisirs qu'elle ressentait.
Je connaissais suffisamment Günter pour savoir qu'il avait tout fait pour que la "Fleur d'Annie." disparaisse dans la plus grande douceur.
Le réveil, vers midi, fût pénible, car la nuit avait été courte. Nous avons décidé d'aller nous promener en ville et sur la plage.
Günter et Annie étaient enlacés, idem pour moi avec Traoudel.
Cependant, à un moment Annie est venue vers moi et me prenant à part me dit:
- Florence, je te remercie, grâce à toi j'ai compris ce qu'était "faire l'amour", maintenant "Je suis une Femme"!!!!!!
J'ai aimé sa remarque et suis allée dans les bras de Traoudel pour trouver sa bouche au goût de miel, elle me l'a donnée en me disant : "Que nos corps se retrouvent……."
(Ce sera la suite, si vous aimez….).
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