Mes années Britaniques - 5 - histoire érotique

MES ANNEES BRITANNIQUES - 5

J'ai raconté comment avait commencé le WE sur la côte anglaise.

Elle avait perdu son pucelage la douce Annie, Traudel et moi avions passés une matinée d'enfer.
En fin d'après midi, après shopping et forces rires, nous décidâmes de rentrer à l'hôtel avant le dîner.

J'étais fatiguée mais les caresses de Traoudel éveillaient mes sens. De plus la porte ouverte entre les deux chambres était une invite...

Décidant de prendre une douche Traoudel me dît de la rejoindre. Elle connaissait parfaitement à quoi peut servir une pomme de douche et je n'étais pas novice en la matière. Ah! Les plaisirs de la douche sur un minou! Ce fut sublime, elle passait son doigt dans ma fente pour en faire saillir le clitoris et diriger le jet dessus en faisant varier la puissance les orgasmes se multipliaient et dans le même temps je suçais la pointe de ses seins qui durcissait comme une verge masturbée avec délicatesse.

Des bruits évocateurs, provenant de l'autre chambre, me firent supposer que des choses intéressantes s'y déroulaient. Je l'ai fait remarquer à Traudle pour qu'elle écoute avec moi. Aucun doute, Günther et Annie avaient remis "le couvert" (comme dirait ma concierge). Il n'était pas question de les laisser seuls à leur plaisir, nous en voulions notre part. Nous sommes entrées, silencieusement, dans la chambre. Annie prodiguait une superbe fellation à Günther, agenouillée sur la moquette et lui étendu sur le lit. J'ai fait signe à Troudel d'aller caresser la fente d'Annie tandis que je montais sur le lit pour m'accroupir au-dessus de la bouche de Günther afin qu'il puisse voir et embrasser ma fente déjà dégoulinante de mouille. Dans le même temps Troudel était passée entre les jambes d'Annie pour lui caresser les lèvres en les écartant afin de projeter le bout de sa langue vers son clitoris tout en massant le sien avec ardeur.
Mes fesses étaient prisonnières des mains de Günther, il buvait mon jus avec délectation tout en titillant mon bouton d'amour avec beaucoup de douceur. Je n'avais qu'une envie, le prendre dans ma bouche pour sentir son sexe se raidir au moment où il me délivrerait son sperme. Mais Annie, qui semblait s'y prendre fort bien, n'avait aucune envie de céder sa place pour qu'une autre profite des fruits d'un travail si bien commencé!

Elle l'a fait jouir et me dit, la bouche pleine,

-Viens, tu vas goûter aussi.

J'étais ravie.
Le gland avait encore des gouttes à venir, je les ai prises sur ma langue en massant une bitte encore raide. Quel délice!

Troudel se faisait jouir, sa main allant de plus en plus vite et son majeur était enfoncé profondément dans son con, son pouce massant son bouton d'amour avec ardeur et je voyais sa cyprine commencer à poindre de sa fente, immédiatement je suis allée vers son ente-cuisses en invitant Annie à me rejoindre. Nous nous l'avons léché tandis que Günther nous regardait tout en se masturbant.

Des heures délicieuses! J'avais de plus en plus le sentiment d'être une "salope" toujours avide de sexe.

Mais "le sexe c'est tellement bon" pour plagier un chanteur célèbre.

L'heure du dîner approchait, nous avons décidé de trouver un Pub sympa avec de la musique, nous parlions en français et en allemand afin de ne pas être importunés par les autres consommateurs.
Après le dîner nous avons pris un dernier verre avant de rentrer à l'hôtel, je me suis empressée d'aller chercher moi-même les consommations au bar. Annie avait pris goût au "bitter", comme moi, Traoudel et son frère étaient adeptes du "Larger and lime"; mais cette fois j'ai fait mettre une dose de whisky dans la pinte destinée à Annie comme le font les buveurs habitués.
Le résultat fût au-delà de mes espérances, en quittant le pub elle était "as drunk as a lord" (ronde comme une queue de pelle).
Soutenue par Günther, (galant homme), elle lui disait :

"I want your cock inside my pussy I'm not virgin any more" (Je veux ta bite dans mon trou, je ne suis plus vierge).

Cela promettait !
Nous avons regagné nos chambres mais je me doutais que la nuit ne serait pas totalement calme.
Un peu "paf" Annie est venue me dire que grâce à moi elle passait un superbe w.e., Troudel se caressait sur le lit tandis que Günther n'avait qu'une envie, recommencer à explorer les faces cachées qui pourraient conduire Annie au plaisir!

Bonne note étant prise, Traoudel et moi-même avons commencé à faire notre petite affaire!
Mais les hurlements de plaisir d'Annie étaient tels que nous sommes allées voir si elle se portait bien?
Günther était bien profond dans sa fente et les cris qu"elle poussait prouvaient sa jouissance.

Après avoir éjaculé il s'est retiré doucement. Annie. était pantelante de jouissance. Le sperme de Günther mélangé à sa mouille suintait de sa fente, je me suis mise entre ses cuisses pour lécher sa touffe toute humide. Quel délice !
Dans le même temps Günther avait introduit sa langue dans ma fente et j'ai commencé à couler de plus en plus. C'était, il me semble la première "partouze" à laquelle je prenais part.
D'autres suivirent, mais c'est une autre histoire….

Mais Traoudel attendait que je lui donne du plaisir et je suis retournée dans notre chambre, laissant les tourtereaux enlacés, la main d'Annie sur le membre de son partenaire lequel lissait avec douceur la toison d'Annie raide de mouille et de sperme.
Troudel m'a enlacé en me faisant venir sur elle, collant ses seins aux miens et frottant son buisson sur le mien, sa jolie toison chatouillant délicieusement mes lèvres intimes. Pour l'une comme pour l'autre le plaisir commençait à monter. J'ai décidé d'adopter une position inédite. A savoir que nous nous sommes assises face à face en appui sur nos bras et que les jambes largement ouvertes nous les avons imbriquées jusqu'à ce nos fentes se touchent. D'une main chacune a écarté les lèvres de sa fente pour décalotter nos clitoris afin de pouvoir les frotter l'un contre l'autre.

Cette position nous permettait d'avoir une main libre afin que l'une caresse les seins, le sexe, le clitoris de l'autre ou bien que chacune se masturbe en regardant les plaisir arriver sur les traits de l'autre. Traoudel avant de jouir, mon majeur profondément enfoncé en elle, à contracté ses muscles vaginaux sur mon doigt. J'ai imaginé la sensation que devait produire cette gymnastique lorsqu'un garçon était en elle. Il ne devait pas pouvoir tenir longtemps avant de lui injecter son sperme.

Ses traits se sont brusquement crispés et ma toison en mon bas ventre furent inondés d'un liquide blanc fruit de l'éjaculation d'une femme fontaine. J'ai tout de suite enduit ma main de ce nectar pour la porter à ma bouche tandis que je me triturais furieusement le bouton pour que mon indexe soit couvert de cyprine afin qu'elle puisse s'en délecter.

Nous frôlions l'une et l'autre l'épectase quand Annie est arrivée dans la chambre.

- Vous allez ameuter tout l'hôtel avec vos cris! Je voudrais bien en profiter aussi même si Günther m'a laisser sur les genoux.

Joignant le geste à la parole elle est monté sur le lit pour passer sa langue sur nos chattes mouillées comme une prairie après l'orage.

Günter est arrivé aussi et a commencé à caresser les jolies fesses d'Annie tandis qu'elle passait un doigt dans sa fente et sa langue sur nos intimités.
Günter écartait les deux pommes d'Annie et j'ai deviné où il voulait en venir. Y arrivera-t-il?…….