Mes années Britaniques - 6 - Fin du W.E.
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Mes années Britaniques - 6 - Fin du W.E.
Annie se délectait de sucer nos saveurs sur nos coussins de mousse couverts de notre rosée intime tandis que Günther s'était approché pour caresser avec délicatesse ses fesses et plaquer sa bite très raide dans son sillon. Plus il augmentait son frottement plus Annie malmenait son bouton d'amour, de son autre main elle est allée chercher la verge pour la masser vigoureusement tandis que Traoudel et moi-même nous nous branlions afin d'élargir l'auréole qui décorait le drap tellement nos fentes ruisselaient.
Traoudel a dit quelque chose en allemand à son frère qui a délaissé la raie d'Annie pour aller fouiller dans le sac de sa sœur. Il est revenu en tenant un tube de lubrifiant dont il a enduit l'une de ses mains ainsi que son sexe. J'avais compris où il voulait en venir et mon excitation est montée d'un cran en pensant au spectacle auquel nous allions assister.
Il a passé sa main dans la jolie raie et s'est manifestement arrêté sur la corolle du trou du cul d'Annie pour le masser délicatement.
Elle eut un moment de surprise et s'est retournée pour lui demander:
- Que fais-tu?
- Je prépare le passage, il n'y a pas qu'un seul orifice qui mérite d'être exploré Annie. Décontracte toi. Tu verras c'est bon aussi.
Annie a quitté nos jolies touffes pour se mettre sur le lit, la tête sur l'auréole de nos sucs intimes, dans la position de la prière musulmane. Son cul était plus accessible pour Günther qui a massé son œillet avec douceur avant d'y introduire une phalange. Annie a poussé un cri, de douleur? De stupeur? Nous ne savions pas mais avons vu le doigt progresser lentement avec délicatesse, massant les bords de la corolle pour mieux la dilater.
Le spectacle était superbe et Troudel et moi-même avons commencé à nous masturber d'excitation. Nos doigts s'enfonçaient dans nos fentes au même rythme que celui de Günter dans le fondement d'Annie.
Il a lentement retiré son indexe pour prendre sa verge en main et la pointer vers la fleur à la corolle dilatée. Il l'a enfoncé profondément ses bourses venant battre les petites fesses d'Annie. Très motivée Traoudle a plongé son doigt dans la fente béante et ruisselante d'Annie tandis que je branlais mon clitoris que je n'avais jamais senti aussi long. La cyprine coulait à flot de ces fentes et Günter a éjecté son sperme au moment ou Annie s'écroulait sur le lit dans un râle de jouissance.
J'ai pris le sexe de Günther en main pour faire sortir les dernières gouttes de ce lait des Dieux pour les faire tomber sur ma langue et m'en délecter de leur saveur salée.
Une odeur de sexe, de sécrétions intimes et de nos transpirations emplissaient la pièce d'effluves érotiques pour nous permettre, tous les quatre, de plonger dans un sommeil plein de rêves de stupre, de caresse, et de sexes humides.
Le lendemain nous avons fait monter un copieux petit déjeuner. Annie a commandé des "eggs and saucage". Nous nous sommes tous mis à rire en lui disant:
- Mais une saucisse tu en as une à porter de main. En effet nous étions nus tous les quatre et Günter affichait un "matin triomphant" comme souvent les hommes.
Ce copieux petit déjeuner constituait notre déjeuner car il était déjà fort tard. Comme le temps était beau nous avons décidé d'aller nous promener en bord de mer avant de reprendre la route de Londres.
Günther et Annie marchaient enlacés comme deux amoureux qu'ils n'étaient pas encore que je pense qu'Annie était-elle amoureuse. Il faudrait que je la fasse redescendre sur terre.
Traoudel et moi étions-nous aussi enlacées, plus petite que moi je la tenais par le cou et elle par la taille, une main sur ma fesse. Nous faisions de fréquents arrêts pour nous rouler des belles" devant les regards outrés et réprobateurs des gens que nous croissons. Il faut avouer qu'a cette époque l'homosexualité, si elle existait, n'avait pas encore le droit de s'afficher ouvertement.
L'heure du retour ayant sonnée nous avons repris la route. Annie à l'avant à côté de Günter. Troudel et moi à l'arrière, ce qui nous permettait de nous caresser et de nous embrasser tout à loisir. Annie elle devant se contenter de masser doucement l'entre jambes de son initiateur.
Arrivé au collège nous sommes allés faire un tour dans le "lounge" où Agnès, une autre française de terminale a sauté au cou de Günter pour l'embrasser pas très chastement. Ils n'ont pas tardé à quitter la pièce pour aller au pub; Günther me disant en aparté:
- Annie est adorable mais Agnès a quand même plus d'expérience.
Annie, la pauvre, était verte. Je l'ai prise par la main en lui disant:
- Viens Annie, allons dans notre chambre, le week-end fût épuisant et il faut que je t'explique deux ou trois choses sur l'amour….
Traoudel a dit quelque chose en allemand à son frère qui a délaissé la raie d'Annie pour aller fouiller dans le sac de sa sœur. Il est revenu en tenant un tube de lubrifiant dont il a enduit l'une de ses mains ainsi que son sexe. J'avais compris où il voulait en venir et mon excitation est montée d'un cran en pensant au spectacle auquel nous allions assister.
Il a passé sa main dans la jolie raie et s'est manifestement arrêté sur la corolle du trou du cul d'Annie pour le masser délicatement.
Elle eut un moment de surprise et s'est retournée pour lui demander:
- Que fais-tu?
- Je prépare le passage, il n'y a pas qu'un seul orifice qui mérite d'être exploré Annie. Décontracte toi. Tu verras c'est bon aussi.
Annie a quitté nos jolies touffes pour se mettre sur le lit, la tête sur l'auréole de nos sucs intimes, dans la position de la prière musulmane. Son cul était plus accessible pour Günther qui a massé son œillet avec douceur avant d'y introduire une phalange. Annie a poussé un cri, de douleur? De stupeur? Nous ne savions pas mais avons vu le doigt progresser lentement avec délicatesse, massant les bords de la corolle pour mieux la dilater.
Le spectacle était superbe et Troudel et moi-même avons commencé à nous masturber d'excitation. Nos doigts s'enfonçaient dans nos fentes au même rythme que celui de Günter dans le fondement d'Annie.
Il a lentement retiré son indexe pour prendre sa verge en main et la pointer vers la fleur à la corolle dilatée. Il l'a enfoncé profondément ses bourses venant battre les petites fesses d'Annie. Très motivée Traoudle a plongé son doigt dans la fente béante et ruisselante d'Annie tandis que je branlais mon clitoris que je n'avais jamais senti aussi long. La cyprine coulait à flot de ces fentes et Günter a éjecté son sperme au moment ou Annie s'écroulait sur le lit dans un râle de jouissance.
J'ai pris le sexe de Günther en main pour faire sortir les dernières gouttes de ce lait des Dieux pour les faire tomber sur ma langue et m'en délecter de leur saveur salée.
Une odeur de sexe, de sécrétions intimes et de nos transpirations emplissaient la pièce d'effluves érotiques pour nous permettre, tous les quatre, de plonger dans un sommeil plein de rêves de stupre, de caresse, et de sexes humides.
Le lendemain nous avons fait monter un copieux petit déjeuner. Annie a commandé des "eggs and saucage". Nous nous sommes tous mis à rire en lui disant:
- Mais une saucisse tu en as une à porter de main. En effet nous étions nus tous les quatre et Günter affichait un "matin triomphant" comme souvent les hommes.
Ce copieux petit déjeuner constituait notre déjeuner car il était déjà fort tard. Comme le temps était beau nous avons décidé d'aller nous promener en bord de mer avant de reprendre la route de Londres.
Günther et Annie marchaient enlacés comme deux amoureux qu'ils n'étaient pas encore que je pense qu'Annie était-elle amoureuse. Il faudrait que je la fasse redescendre sur terre.
Traoudel et moi étions-nous aussi enlacées, plus petite que moi je la tenais par le cou et elle par la taille, une main sur ma fesse. Nous faisions de fréquents arrêts pour nous rouler des belles" devant les regards outrés et réprobateurs des gens que nous croissons. Il faut avouer qu'a cette époque l'homosexualité, si elle existait, n'avait pas encore le droit de s'afficher ouvertement.
L'heure du retour ayant sonnée nous avons repris la route. Annie à l'avant à côté de Günter. Troudel et moi à l'arrière, ce qui nous permettait de nous caresser et de nous embrasser tout à loisir. Annie elle devant se contenter de masser doucement l'entre jambes de son initiateur.
Arrivé au collège nous sommes allés faire un tour dans le "lounge" où Agnès, une autre française de terminale a sauté au cou de Günter pour l'embrasser pas très chastement. Ils n'ont pas tardé à quitter la pièce pour aller au pub; Günther me disant en aparté:
- Annie est adorable mais Agnès a quand même plus d'expérience.
Annie, la pauvre, était verte. Je l'ai prise par la main en lui disant:
- Viens Annie, allons dans notre chambre, le week-end fût épuisant et il faut que je t'explique deux ou trois choses sur l'amour….
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