Mes années Britanniques 1ère partie - histoire érotique

MES ANNEES BRITANNIQUES – 1

Mon père avait décidé que j'effectuerai ma première et ma terminale dans un collège en Angleterre afin d'être parfaitement bilingue. Mon anglais n'était pas mauvais puisque depuis l'age de 10/11 ans je passais un mois d'été chez des amis de mes parents, de plus j'étais ravie car j'aimais beaucoup Londres et le mode de vie anglaise.

Le collège était pour étudiants étrangers avec une section française. Il était situé dans une banlieue de Londres du même nom que le méridien 0. Il était constitué de maisons indépendantes, dans un vaste parc. J'ai tout de suite aimé les lieux, certaines maisons étaient réservées aux filles d'autres à la gente masculine.

Arrivée dans les premières, l'on m'a affecté une chambre au rez-de-chaussée, en fait en demi-étage comme beaucoup de maisons britanniques, en me prévenant que je partagerai ma chambre avec une autre française.
Cela n'était pas pour me déplaire, comment serait-elle, mignonne, émancipée ?

Aimant beaucoup la lecture j'avais fait provision de romans; "L'art d'aimer" d'Ovide, livre que je relis toujours avec beaucoup de plaisir; "Emmanuelle" qui venait de paraître et était le premier récit érotique de grande diffusion; le "Banquet" de Platon, belle dissertation sur ce qu'est l'amour; et bien évidemment "Histoire d'O".
Paresseusement installée sur mon lit je me gavais de cette, saine, littérature augmentée de romans en anglais comme "Lady Chatterley's Lover". Bref de quoi remplir mon intellect de fantasmes et stimuler mes plaisirs solitaires, espérant qu'avec ma condisciple, ils ne le seraient pas trop !!!

Je me trompais lourdement quant à l'image que je me faisais de ma camarade de chambre!!! Je vis débarquer Annie, charmante jeune fille aux cheveux en queue de cheval, châtains, yeux noirs. En revanche, elle sortait tout droit d'un pensionnat confessionnel et en avait pris les, (mauvais ?), plis!!!!
Disons qu'elle était une oie blanche et plus "blanc que blanche", il me fallait faire avec, mais aucun cas n'est désespéré me dis-je!!!
Au début je riais bien de voir Annie se mettre au lit tout habillée afin d'ôter ses vêtements et de passer sa chemise de nuit, pour moi qui couchais nue depuis des lustres cela me semblait inconcevable, mais bon!!!
Annie tournait la tête lorsque le matin je sortais, nue comme Eve, pour me rendre aux douches.
Il fallait absolument que je fasse quelque chose pour cette pauvre "pucelle "complètement innocente.

Mon père m'ayant signé une autorisation inconditionnelle de sortie, j'avais pris l'habitude de me rendre, presque, chaque soir au "pub" du coin. Ne parlant pas trop mal anglais et étant une "petite française" j'avais pas mal d'admirateurs. En revanche j'avais, pour ma part, remarqué une rousse et une blonde, peu farouches, que je ne désespérais pas d'initier aux plaisirs saphiques.

Une idée germât dans mon esprit. Une rousse, une blonde, deux brunes; pourquoi ne pas organiser un "strip poker" entre filles ?
Annie avait pris l'habitude de m'accompagner au pub, découvrant un univers totalement nouveau pour elle. Des garçons qui ne pensaient qu'à lui passer un bras autour du cou afin de mieux caresser sa menue poitrine, prendre ses lèvres pour lui "rouler une pelle"!!! Tout un monde nouveau qu'elle découvrait avec ravissement.
"L'oie blanche" avait quand même fait des progrès. Elle n'étais pas offusquée de me voir nue dans la chambre, mais des choses étaient pour elle encore des découvertes. Me voir un jour, nue sur le lit, me couper les poils du minou fût pour elle un grand chambardement.

Je lui ai donné à lire mes livres de chevet et faisant semblant de dormir j'ai constaté qu'elle commençait à explorer son corps et son entre cuisses, pensant que je ne m'en rendrais pas conte! Naïve qu'elle était !
Le corps à des besoins que la raison ignore pour plagier, en la déformant la phrase de Pascal : "Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point".
Toujours est-il que la sentais mure pour passer à des choses "plus sérieuses".
Un soir je lui ai dit:

- Allons au pub retrouver la blonde et la rousse, ce sont de bonnes copines et je suis sure qu'à la fermeture, (la cloche annonçant le dernier verre devait retentir vers 22h30/23 il me semble) nous pourrions venir, avec elles, dans notre chambre pour faire une partie de jeu de société. Elle n'avait sans doute pas dans l'esprit le même jeu que moi, mais elle fût d'accord.
La première partie de strip poker

Nous sommes donc allées au pub. J'avais téléphoné aux deux anglaises pour être sur qu'elles seraient là.
Les garçons habituels étaient présents avec la blonde et la rousse et furent ravis de voir arriver les deux petites françaises. Annie et moi nous sommes installées sur la banquette à côté de nos deux amies. Je me suis levée pour aller chercher les boissons au bar, selon la coutume des pubs, je suis revenue avec une pinte de bière pour Annie et moi, elle était très surprise car dit-elle "elle n'avait jamais bu d'alcool", (ce dont je me doutais).

- Tu es en Angleterre, ma belle, la boisson est la bière, il faut un début à tout.

J'avais hésité à demander au serveur d'ajouter, dans l'une des pintes, une dose de whisky comme le font souvent les habitués, car j'étais sure que dans ce cas, Annie serait complètement "pétée", ce que je ne voulais pas, et je pensais, à juste titre qu'une seule pint la mettrait dans un état d'euphorie suffisant pour la suite des réjouissances que j'avais programmées. En aparté et parlant en anglais à nos deux amies j'avais expliqué l'idée du strip poker que j'avais derrière la tête. Elles avaient trouvé l'idée tout à fait excellente d'autant plus qu'elles étaient un peu "fed up" de la naïveté d'Annie
J'avais remarqué que ni l'une ni l'autre n'étaient très farouches et aimaient bien parler des garçons et du sexe. Annie, dont l'anglais était balbutiant ne comprenais pas grand chose à ce que nous disions.
Afin d'être sure qu'elles accepteraient la partie de poker "entre filles" j'ai posé aux anglaises, directement la question de savoir si les amours entre filles étaient choquants pour elles ?

- No! It's so great, we like to make love together very often. ( Non c'est super nous faisons l'amour ensemble très souvent).

Il était donc temps de passer à la deuxième phase de mon plan.
Annie était très euphorique, bière aidant. J'ai donc proposé que nous rentrions au collège pour faire, dans notre chambre, un jeu de société, amusant.
-Annie se mit à applaudir en disant qu'elle aimait beaucoup les jeux de société ! (Elle devait penser aux 7 familles ou au Monopoly).
Je lui ai expliqué, sur le chemin du retour, que nous allions jouer au poker mais que les enjeux ne seraient pas de l'argent mais nos vêtements.
Elle m'a regardé, d'un air effaré.

- Nos vêtements ! Mais alors si l'on perd on peut se retrouver nue ?

- Exactement, ma belle, mais nous sommes entre filles

Je la sentais un peu crispée, les deux anglaises riaient sous cape.
Arrivées dans la chambre j'ai installé la table afin que nous puissions jouer.
Annie m'a demandé en quoi consistait le jeu ?

- C'est très simple, en fonction des cartes que tu as en main tu mises un vêtement et non pas d'argent.
- Celle qui est perdante se retrouve nue, mais c'est très amusant, tu vas voir.

Annie semblait un peu déstabilisée mais la bière aidant, elle se mit à rire en disant que cela pourrait être drôle!

Je lui ai expliqué les règles du jeu en précisant que comme la partie n'était pas pour de l'agent, quand l'une perdait elle devait enlever l'un de ses vêtements.
J'avais demandé aux anglaises de faire en sorte qu'Annie gagne afin qu'elle ne soit pas trop choquée ou effarouchée. Elles étaient d'accord.
Nous avons donc commencé cette partie "pipée".

Annie était toujours gagnante, pour son grand bonheur, voyant la rousse, la blonde et moi-même perdre nos vêtements et elle restant, en fin de partie, avec son soutien gorge et sa culotte "Petit Bateau" de jeune vierge qu'elle était. Soyons honnêtes j'étais également vierge, n'ayant jamais eu un membre viril s'introduire dans ma fente.

Je fais ici une parenthèse, si j'aimais le sexe sous toutes ses formes, aucun garçon n'avait encore mis son dard des ma fente, mon hymen avait du sauter depuis bien des mois; mais j'étais encore vierge de la bite d'un garçon. Je m'étais rendu compte que les plaisirs sexuels était une chose et que l'AMOUR en était une autre. Or je n'avais jamais senti cette chose inoubliable que peut être un "coup de foudre"; j'en aurai conscience l'été suivant, une autre histoire….

Pour en revenir à la partie de poker, nous étions trois nues et la dernière en sous tifs.
Elle riait bêtement, effet de la bière, sans doute.
Les anglaises et moi même étions nues; la blonde avec un joli triangle de poils follets, la rousse, comme moi, ayant un "ticket de métro" naturel.

Elles me dirent qu'elles aimaient se caresser mutuellement, et à 3 dis-je ?

- No problem, love. Do you like girls?,

Bien sur j'aimais!
Nous avons décidé d'aller chez la rousse qui habitait un charmant studio à Lewisham, village voisin.
Peu après m'être installée, l'une comme l'autre se sont éclipsées pour aller se doucher. Cela était pour moi de la meilleure augure!
Elles sont revenues, enrobées, chacune dans une serviette de bain, je sentais ma fente devenir humide!!!

- Florence, ne veux-tu pas prendre une douche ? la rousse m'a demandé.

- J'aimerais bien, mais à la conditions que tu viennes me frotter le dos.

Elle ne s'est pas fait prier et défaisant son peignoir elle m'a demandé :

-"Do you like my pussy? (Aimes-tu ma chatte ?).

Son joli triangle roux, coupé fin, me faisait couler, elle a passé sa main sur ma fente, très doucement et la sensation fut merveilleuse.
De retour dans le living, la blonde, dans son drap de bain, était en train de se caresser la fente.
J'ai immédiatement compris que nous pourrions passer une "nuit d'enfer"!


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