Mes années britanniques - 2ème partie
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mes années britanniques - 2ème partie
MES ANNEES BRITANNIQUES - 2
N'ayant pas de permission de sortie inconditionnelle Annie était rentrée au collège.
La soirée chez les deux anglaises avait bien commencée. Je suis allée sur le canapé, à coté de la blonde qui continuait à passer, lentement, son doigt dans sa fente et j'ai commencé à embrasser ses seins. Elle avait une jolie petite poitrine aux pointes de seins très longues, comme je les aime. Je les aspirais et ma main est partie rejoindre la sienne sur sa fente dont coulait sa cyprine. J'ai écarté les jambes afin que la rousse puisse continuer le travail commencé dans la salle de bain en me suçant l'abricot, dont les lèvres étaient toutes humides de mon jus après le traitement qu'elle m'avait administré dans la douchière.
Elle s'est mise entre mes cuisses et d'une main experte elle a ouvert mes lèvres pour en faire jaillir mon clitoris afin de le sucer tout à loisir. Je sentais ma mouille couler dans sa bouche et cette sensation était délicieuse. Quand elle en fut pleine elle est allée embrasser la blonde en lui disant que sa bouche était pleine de mon jus, dans le même mouvement elle a posé sa fente sur ma langue qui n'attendait que cela. Son nectar était sublime à boire, ma main était toujours active entre les cuisses de la blonde et pleine de mouille,. Je suçais mes doigts avec délectation!
La blonde s'est libérée pour dire :
- Si nous nous mettions en triangle afin que l'une suce l'autre ?
Merveilleuse idée, aussitôt dit aussitôt fait. C'était sublime, l'une des deux aspirait mon clitoris qui en devenait douloureux, mais quelle sensation! Nous changions régulièrement de partenaire, je ne savais plus de qui j'avais la mouille dans la bouche ? Quelque fois la mienne car durant des changements de position je me caressais la fente.
A mon avis, la rousse, dont on sentait que les poils étaient fins et soyeux les coupait trop court, cet avis fut suivi par la blonde et elle promis d'y remédier en les laissant pousser plus. Je lui ai dit que dans ce cas j'aimerais les peigner comme ils le méritaient.
Les deux furent d'accord pour que nous organisions, quelques semaines plus tard, une séance de "coiffeur" entre nous, sans désespérer de faire venir Annie qui en bonne innocente ignorait ce que voulait dire se faire "faire le maillot" chez une esthéticienne. Elle avait effectivement, j'avais pu m'en rendre compte, une touffe fournie débordant sur le haut de ses cuisses et du plus mauvais effet esthétique et érotique!
Nos clitos et pointes de seins étaient douloureux tellement ils avaient été, sucés, malaxés, excités et j'en passe. Nous nous sommes endormies, jambes et corps mêlés sans même savoir qui avait la main sur la touffe de qui.
Le lendemain matin j'ai regagné mon collège ayant promis à mes deux amis, d'une part de déniaiser Annie d'autre part que j'acceptais que des garçons viennent se joindre à nous.
Durant quelques jours rien de bien particulier ne se produisit, j'avais fait le tour de mes condisciples, filles et garçons, un bon tiers étaient français à égalité filles et garçons, les autres venaient de pays et donnaient une image des cinq continents allant de l'Islande à l'Afrique du sud en passant par le Mozambique.
J'avais repéré certains garçons dont le physique me plaisait ou plus exactement dont j'aurais sucé la queue avec plaisir tandis qu'il mettrait leur main sur ma fente d'amour. De là à dire que j'en aurais fait mes amants je ne le pense pas pour les raisons expliquées plus haut.
En ce qui concerne les filles certaines me plaisaient bien, une française Cécile, une iranienne Farha et une allemande Gertrude dont le frère Gûnther faisait parti des garçons remarqués, de plus il parlait un excellent français mais non sa sœur qui elle avait "a fluent English".
Quant à Annie, qui partageait ma chambre, elle avait commencé à s'émanciper un peu et à quitter les "mauvaises habitudes" prises dans son pensionnat catho. Elle se déshabillait maintenant sans fausse pudeur devant moi.
Elle avait une jolie poitrine avec de larges aréoles, assez claires, en revanche sa toison brune qui débordait sur ses cuisses avait sérieusement besoin d'une bonne "mise en forme".
Un soir je lui ai dit :
- Ne penses- tu pas que mon minou est plus esthétique que le tien, tout recouvert d'une forêt sauvage? Il faudrait que nous trouvions un remède!!!
- Tu as raison Florence mais je ne sais pas comment faire……
Bonne résolution que j'allais lui apprendre à réaliser.
Comme il faut toujours battre le fer quand il est chaud je suis, immédiatement, allée prendre ma bombe à raser et mon rasoir et lui ai demandé de se mettre sur le lit en écartant bien les cuisses.
Elle avait de longues lèvres propices aux caresses et suçages les plus prometteurs avant de faire jaillir un clitoris qui était avide de caresses et de baisers.
Elle fermait les yeux, ne voulant pas regarder le sacrilège que j'allais commettre. Comment, compte tenu de son éducation pouvait-t-on regarder avec plaisir une chose aussi "sale" ?
Elle me laissât faire, stoïquement. Je n'avais qu'une hâte, finir le travail de débroussaillage afin de lui faire sentir à quel point j'avais envie d'embrasser son minou pour lui faire connaître ce que peut être la jouissance sexuelle!
Ayant fini mon travail de "bûcheronne" j'ai commencé à vouloir tester le résultat. J'étais satisfaite de mon travail. Elle avait un beau minou taillé en triangle isocèle, des lèvres bien dégagées il ne manquait plus qu'à les ouvrir pour décalotter un long clitoris qui devait être des plus délectable.
J'ai, lentement, passé mes doigts sur ses lèvres devenues glabres, fermant toujours les yeux elle me dit :
- Continue c'est agréable!!!!
Il m'a donc semblé qu'Annie faisait des progrès.
J'ai donc poussé plus loin mes investigations en débutant par le bord, fraîchement rasé, des lèvres de son joli minou.
Elle se laissait aller, la douce Annie, et je sentais qu'un certain nombre de barrières étaient entrain de tomber. J'ai donc délicatement écarté les lèvres de sa jolie fente pour les caresser doucement. Elle était toujours impassible, mais sa respiration devenait différente. J'ai donc décidé de poursuivre mes investigations en écartant ses belles lèvres pour faire jaillir son clitoris tout rose, bien gonflé, même si elle n'en avait pas conscience immédiatement.
Sa fente commençait à être luisante de mouille. Elle ne savait pas ce que cela était et me dit:
- Je crois que je suis entrain de faire pipi!
- Mais non ma belle, tu commences juste à découvrir ce qu'est le plaisir, je vais même t'embrasser à cet endroit et tu verras comme cela peut être agréable!!!
La belle Annie se laissait faire et coulait de plus en plus. Ce n'est pas du pipi lui dis-je mais la douce liqueur que produit ton vagin quand tu sens monter le plaisir et que tu vas jouir.
Doucement j'ai écarté les lèvres de son joli sexe rose, fraîchement rasé, afin d'y passer doucement mes doigts en ayant bien l'intention de les enfoncer plus loin et d'aspirer son clitoris.
Elle se laissait faire et commençait à se tortiller.
Elle dit soudain :
- Florence, fait moi jouir, je veux savoir ce que cela provoque!!!!
Inutile pour elle de me le redire, j'ai posé mes lèvres sur son bouton d'amour, turgescent, le robinet de sa fontaine à cyprine c'est immédiatement ouvert et ma bouche fût remplie de son nectar; j'en trouvais le goût délicieux. En même temps j'enfonçais mon doigt profondément dans sa fente, mais son hymen était toujours présent et je n'ai pas voulu le déchirer.
Elle était pantelante et coulait de plus en plus, poussant des petits cris de bonheur.
- Tu vois ma grande que le plaisir du sexe est merveilleux!
- C'est exact, mais l'on m'a toujours appris qu'il ne fallait se servir de ces endroits que pour faire plaisir à son mari et faire des enfants!
- Que faisons-nous, la rousse et la blonde si ce n'est nous donner du plaisir? Les maris et les enfants viendront en leur temps.
En revanche, je te propose d'organiser une autre partie de strip poker avec elles deux.
- Ce pourrait être drôle, dit elle, j'ai mieux compris les règles……
A suivre…
.
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N'ayant pas de permission de sortie inconditionnelle Annie était rentrée au collège.
La soirée chez les deux anglaises avait bien commencée. Je suis allée sur le canapé, à coté de la blonde qui continuait à passer, lentement, son doigt dans sa fente et j'ai commencé à embrasser ses seins. Elle avait une jolie petite poitrine aux pointes de seins très longues, comme je les aime. Je les aspirais et ma main est partie rejoindre la sienne sur sa fente dont coulait sa cyprine. J'ai écarté les jambes afin que la rousse puisse continuer le travail commencé dans la salle de bain en me suçant l'abricot, dont les lèvres étaient toutes humides de mon jus après le traitement qu'elle m'avait administré dans la douchière.
Elle s'est mise entre mes cuisses et d'une main experte elle a ouvert mes lèvres pour en faire jaillir mon clitoris afin de le sucer tout à loisir. Je sentais ma mouille couler dans sa bouche et cette sensation était délicieuse. Quand elle en fut pleine elle est allée embrasser la blonde en lui disant que sa bouche était pleine de mon jus, dans le même mouvement elle a posé sa fente sur ma langue qui n'attendait que cela. Son nectar était sublime à boire, ma main était toujours active entre les cuisses de la blonde et pleine de mouille,. Je suçais mes doigts avec délectation!
La blonde s'est libérée pour dire :
- Si nous nous mettions en triangle afin que l'une suce l'autre ?
Merveilleuse idée, aussitôt dit aussitôt fait. C'était sublime, l'une des deux aspirait mon clitoris qui en devenait douloureux, mais quelle sensation! Nous changions régulièrement de partenaire, je ne savais plus de qui j'avais la mouille dans la bouche ? Quelque fois la mienne car durant des changements de position je me caressais la fente.
A mon avis, la rousse, dont on sentait que les poils étaient fins et soyeux les coupait trop court, cet avis fut suivi par la blonde et elle promis d'y remédier en les laissant pousser plus. Je lui ai dit que dans ce cas j'aimerais les peigner comme ils le méritaient.
Les deux furent d'accord pour que nous organisions, quelques semaines plus tard, une séance de "coiffeur" entre nous, sans désespérer de faire venir Annie qui en bonne innocente ignorait ce que voulait dire se faire "faire le maillot" chez une esthéticienne. Elle avait effectivement, j'avais pu m'en rendre compte, une touffe fournie débordant sur le haut de ses cuisses et du plus mauvais effet esthétique et érotique!
Nos clitos et pointes de seins étaient douloureux tellement ils avaient été, sucés, malaxés, excités et j'en passe. Nous nous sommes endormies, jambes et corps mêlés sans même savoir qui avait la main sur la touffe de qui.
Le lendemain matin j'ai regagné mon collège ayant promis à mes deux amis, d'une part de déniaiser Annie d'autre part que j'acceptais que des garçons viennent se joindre à nous.
Durant quelques jours rien de bien particulier ne se produisit, j'avais fait le tour de mes condisciples, filles et garçons, un bon tiers étaient français à égalité filles et garçons, les autres venaient de pays et donnaient une image des cinq continents allant de l'Islande à l'Afrique du sud en passant par le Mozambique.
J'avais repéré certains garçons dont le physique me plaisait ou plus exactement dont j'aurais sucé la queue avec plaisir tandis qu'il mettrait leur main sur ma fente d'amour. De là à dire que j'en aurais fait mes amants je ne le pense pas pour les raisons expliquées plus haut.
En ce qui concerne les filles certaines me plaisaient bien, une française Cécile, une iranienne Farha et une allemande Gertrude dont le frère Gûnther faisait parti des garçons remarqués, de plus il parlait un excellent français mais non sa sœur qui elle avait "a fluent English".
Quant à Annie, qui partageait ma chambre, elle avait commencé à s'émanciper un peu et à quitter les "mauvaises habitudes" prises dans son pensionnat catho. Elle se déshabillait maintenant sans fausse pudeur devant moi.
Elle avait une jolie poitrine avec de larges aréoles, assez claires, en revanche sa toison brune qui débordait sur ses cuisses avait sérieusement besoin d'une bonne "mise en forme".
Un soir je lui ai dit :
- Ne penses- tu pas que mon minou est plus esthétique que le tien, tout recouvert d'une forêt sauvage? Il faudrait que nous trouvions un remède!!!
- Tu as raison Florence mais je ne sais pas comment faire……
Bonne résolution que j'allais lui apprendre à réaliser.
Comme il faut toujours battre le fer quand il est chaud je suis, immédiatement, allée prendre ma bombe à raser et mon rasoir et lui ai demandé de se mettre sur le lit en écartant bien les cuisses.
Elle avait de longues lèvres propices aux caresses et suçages les plus prometteurs avant de faire jaillir un clitoris qui était avide de caresses et de baisers.
Elle fermait les yeux, ne voulant pas regarder le sacrilège que j'allais commettre. Comment, compte tenu de son éducation pouvait-t-on regarder avec plaisir une chose aussi "sale" ?
Elle me laissât faire, stoïquement. Je n'avais qu'une hâte, finir le travail de débroussaillage afin de lui faire sentir à quel point j'avais envie d'embrasser son minou pour lui faire connaître ce que peut être la jouissance sexuelle!
Ayant fini mon travail de "bûcheronne" j'ai commencé à vouloir tester le résultat. J'étais satisfaite de mon travail. Elle avait un beau minou taillé en triangle isocèle, des lèvres bien dégagées il ne manquait plus qu'à les ouvrir pour décalotter un long clitoris qui devait être des plus délectable.
J'ai, lentement, passé mes doigts sur ses lèvres devenues glabres, fermant toujours les yeux elle me dit :
- Continue c'est agréable!!!!
Il m'a donc semblé qu'Annie faisait des progrès.
J'ai donc poussé plus loin mes investigations en débutant par le bord, fraîchement rasé, des lèvres de son joli minou.
Elle se laissait aller, la douce Annie, et je sentais qu'un certain nombre de barrières étaient entrain de tomber. J'ai donc délicatement écarté les lèvres de sa jolie fente pour les caresser doucement. Elle était toujours impassible, mais sa respiration devenait différente. J'ai donc décidé de poursuivre mes investigations en écartant ses belles lèvres pour faire jaillir son clitoris tout rose, bien gonflé, même si elle n'en avait pas conscience immédiatement.
Sa fente commençait à être luisante de mouille. Elle ne savait pas ce que cela était et me dit:
- Je crois que je suis entrain de faire pipi!
- Mais non ma belle, tu commences juste à découvrir ce qu'est le plaisir, je vais même t'embrasser à cet endroit et tu verras comme cela peut être agréable!!!
La belle Annie se laissait faire et coulait de plus en plus. Ce n'est pas du pipi lui dis-je mais la douce liqueur que produit ton vagin quand tu sens monter le plaisir et que tu vas jouir.
Doucement j'ai écarté les lèvres de son joli sexe rose, fraîchement rasé, afin d'y passer doucement mes doigts en ayant bien l'intention de les enfoncer plus loin et d'aspirer son clitoris.
Elle se laissait faire et commençait à se tortiller.
Elle dit soudain :
- Florence, fait moi jouir, je veux savoir ce que cela provoque!!!!
Inutile pour elle de me le redire, j'ai posé mes lèvres sur son bouton d'amour, turgescent, le robinet de sa fontaine à cyprine c'est immédiatement ouvert et ma bouche fût remplie de son nectar; j'en trouvais le goût délicieux. En même temps j'enfonçais mon doigt profondément dans sa fente, mais son hymen était toujours présent et je n'ai pas voulu le déchirer.
Elle était pantelante et coulait de plus en plus, poussant des petits cris de bonheur.
- Tu vois ma grande que le plaisir du sexe est merveilleux!
- C'est exact, mais l'on m'a toujours appris qu'il ne fallait se servir de ces endroits que pour faire plaisir à son mari et faire des enfants!
- Que faisons-nous, la rousse et la blonde si ce n'est nous donner du plaisir? Les maris et les enfants viendront en leur temps.
En revanche, je te propose d'organiser une autre partie de strip poker avec elles deux.
- Ce pourrait être drôle, dit elle, j'ai mieux compris les règles……
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Florence tu es vraiment formidable et Annie la fille idéale pour la formation au plaisir de l'amour.Et la taille de la forêt sauvage terrible.Je suis d'accord une chatte bien taillée est plus agréable et plus esthétique qu'un sexe sans poiles.
joli début nous attendons la suite ...
merci quelle jouissance encore grace a toi merci je suis ton plus grand fan