Mes années lycée 3
Récit érotique écrit par Tom Imoral [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes années lycée 3
La journée suivant mon cours de piscine se déroula comme dans un rêve ; mes pensées n’étaient occupées que par cette seule scène où Charlotte remuait ses hanches sur les miennes, où mon aine délicieusement douloureuse touchait ses fesses arrondies, vidant ma semence dans son puits d’amour. Je la croisai à nouveau plusieurs fois dans la journée et elle me fit même un clin d’œil en classe, souriant devant mes joues rouges.
Le soir, une fois rentré chez moi, ces images ne me quittaient plus. Elles me suivaient, où que j’aille, à tel point que je dus me masturber trois fois dans la soirée, une fois dans la douche et deux fois dans mon lit, rien que pour me soulager.
Le lendemain, Charlotte se comportât avec moi de la manière habituelle, me disant le « bonjour-au revoir » quotidien. Mais ses sourires et ses yeux pétillants faisaient revenir les images au galop dans ma tête. Mais après m’avoir fait la bise pour me dire au revoir, elle me souffla en me faisant un clin d’œil :
-Tu veux venir chez moi faire tes devoirs ? Louanne sera là.
-Euh, oui répondis-je, surpris par cette invitation.
Interprétant mon hésitation, elle ajouta :
-Tu pourras rentrer à pied chez toi, ne t’inquiètes pas, j’habite à deux pas du lycée.
-Ok, mais j’étais juste surpris par ton invitation.
Nous sortîmes du lycée et elle me demanda en marchant :
-Physiquement, tu me trouves comment ?
-Magnifique, répondis-je honnêtement.
-Vraiment ? Dit-elle, pensant que j’exagérais pour la flatter.
-Oui, tu es la première fille que je vois aussi dénudée et tu es juste superbe, dis-je, me surprenant moi-même par ma réponse.
-Merci, rougit-elle. Et Loulou, tu la trouves comment ?
-Belle, souriante mais… Différente de toi.
-Différente comment ?
-Bah elle se met plus en valeur, elle accorde plus d’apparence à son physique que toi ; elle en est très belle, mais elle a une sorte… D’expérience qui est moins présente chez toi et qui te rend encore plus attirante. Mais vous êtes toutes les deux à couper le souffle. Jamais je n’aurais espérer ne serait-ce qu’embrasser l’une de vous deux.
-Oh, c’est trop mignon ce que tu dis. Mais tu as raison, Louanne adore attirer les mecs, il faut qu’elle soit vue de tous. Mais c’est pour ça qu’on l’aime. Et puis, toi aussi tu es très mignon.
-Ne me fais pas rire, dis-je.
-Mais c’est vrai ; tu as un beau visage, un sourire craquant et physiquement, tu es musclé et sportif. Tu es intelligent mais par contre tu analyses trop les choses, comme moi. Il n’y a pas beaucoup de garçons qui réunissent autant de qualités. Et Louanne te dirait que tu as un petit cul pas désagréable.
Rougissant, je répondis timidement :
-Merci.
Puis elle me fit passer par un grand portail qui s’ouvrit quelques mètres avant notre arrivée devant. Il laissa place à un imposant manoir entouré d’un jardin soigneusement entretenu.
-Ah Lou est déjà là, fit Charlotte en désignant un vélo appuyé contre un mur, sous un auvent.
-Elle va mieux au fait ?
-Mieux… ? Ah oui, je t’ai dit qu’elle était malade, sourit-elle. Eh bien elle n’est pas malade, elle voulait juste sécher les cours. Et puisque ni mes parents, ni les siens ne sont là, il n’y a personne pour nous dire ce qu’on a à faire.
-Pourquoi vos parents ne sont pas là ? Demandai-je naïvement.
-Mes parents vivent dans leur maison principale à Paris et ceux de Louanne sont en voyage pour trois mois, ils font le tour du monde.
-Donc tu vis ici toute seule ?
-C’est ça. Mais j’invite souvent des amies à dormir pour me sentir moins seule, comme Loulou. Au fait si tu veux tu peux rester dormir ici ce soir, il y a bien assez de lits libres.
Après un bref appel avec ma mère, j’acceptai volontiers. Qui aurait cru que le vendredi soir je dormirai chez Charlotte ? Lundi, elles me parlaient tout juste, mardi je leur fais un cuni, le jeudi je fais ma première fois avec la sublime Charlotte et vendredi je dors chez elle ? A peine croyable, c’était trop beau pour être vrai.
Charlotte me fit entrer dans un petit hall sombre, on n’enleva nos chaussures et nous allâmes dans le salon. Le parquet grinça sous nos pieds et je vis le salon. Une pièce immense, meublée avec goût, où trônait en son centre un poêle circulaire avec deux canapés et quatre fauteuils autour. L’un des canapés tournait le dos au poêle pour faire face à une immense télévision. Louanne était assise sur ce canapé, ou plutôt affalée sous un plaid, jouant à un jeu de guerre sur la console. Elle se redressa en nous voyant arriver et je pus voir sa tenue légère sous le plaid, c’est-à-dire en sous-vêtements.
-Chat ! T’arrive enfin !
-Yes Loulou, me voila, lui répondit l’intéressée. Et regarde qui j’amène !
-Tom, me salua Louanne, toujours avec cette lueur lutine dans les yeux. Ca va ?
-Mais très bien et toi ta maladie ?
-Je suis sur pieds comme tu peux le voir, fit-elle en se levant et se débarrassant du plaid informe.
Voir son corps aux belles courbes dans un si simple appareil durcit mon sexe dans mon caleçon, formant déjà une bosse. Elle portait en effet des sous-vêtements sexys en dentelle, rendant le vêtement presque transparent. On pouvait voir ses seins généreux aux tétons érigés à travers le tissu. Louanne inclina la tête sur le côté, ses cheveux blonds formant une cascade jusqu'à son épaule gauche. Elle sourit, accentuant la lueur de désir dans ses yeux.
-Louanne, fit Charlotte sur un ton de réprimande. Pas tout de suite. On attend les autres.
-Mais elles arrivent vers 9h ! Protesta Louanne. On ne va pas attendre 4h !
-Qui est-ce qui vient ? Demanda Tom, qui n’était pas sur de comprendre ce dont les filles parlaient.
-Des amies à nous, mais ne t’inquiète pas, elles seront toutes consentantes, répondit Charlotte en lui faisant un clin d’œil.
-Consentantes pour quoi ? Demanda innocemment Tom.
-D’après toi ? Sourit Charlotte.
-Exactement ce que je veux faire maintenant !
-Mais il y aura d’autres mecs ? Dit Tom, qui avait enfin compris de quoi parlaient les deux filles.
-Bien sur que non, tu suffiras amplement.
-Mais tu ne m’avais pas prévenu qu’il y aura d’autres filles, protesta Tom.
-C’est pas grave, elles sont toutes jolies, ne parleront pas de ce qu’il va se passer ici et surtout elles ont toutes envie de le faire avec toi. Donc tu ne vas pas te plaindre, tous les mecs rêveraient d’être à ta place.
-Je ne me plains pas, je suis juste un peu surpris, sourit Tom.
-Ça peut se comprendre, rit Charlotte.
-Et est-ce que je les connais ?
-Oui, il y aura Camille, Marie et Elisa de notre classe. Elles voulaient te voir en action et même en profiter.
-Ah bon ? Je ne les pensais pas comme cela, dit Tom, surpris.
-Eh bah si, elles sont plutôt coquines. Sinon il y aura deux autres filles du lycée, une de première et une de seconde.
-Euh, elles ne sont pas un peu jeunes ?
-Bah elles ont plus de quinze ans et ont envie de faire leur première fois donc je les ai invitées, surtout qu’elles flashent sur toi.
-Ah bon ?
-Oui, mais faut que tu te mettes dans le crâne que tu as une belle gueule, que tu es sportif et intelligent et que tu es très bien pourvu, dit Charlotte en lui faisant les gros yeux. Beaucoup de filles voudraient être à la place de ta copine Iris.
-Bon on arrête de parler et on passe à autre chose ? Intervint Louanne, un peu agacée.
-Non, on attend les autres, rappela Charlotte.
-C’est facile de dire ça pour toi, dit Louanne, mais moi je ne l’ai pas encore fait avec lui !
-Euh comment tu es au courant ? Demanda Tom.
-Bah on est amie, on a des téléphones et on se parle, grimaça Louanne. Et elle m’a dit que tu faisais tout superbement bien, mais je n’ai pas le droit d’essayer !
-Bon d’accord, Concéda Charlotte. Mais moi je vais faire des courses pour préparer la soirée. Et éviter de tout salir, la femme de ménage est venue hier.
-Ne t’inquiète pas, on va aller dans ma chambre, la rassura Louanne.
-À tout à l’heure, alors, dit Charlotte en leur faisant un clin d’œil.
-C’est ça, fit Louanne. N’oublie pas le lubrifiant !
Elles rigolèrent puis Charlotte ressortit. Louanne me demanda :
-T’es prêt ?
-Oui.
-Suis-moi alors.
Elle monta à l’étage et entra dans une chambre. Je fis de même et quand j’arrivai dans la pièce, elle commençait déjà à retirer son soutien-gorge. Elle me fit face, poitrine nue. Ses petits seins pointaient, tandis qu’elle enlevait sa culotte de dentelle, qui ne cachait pas grand-chose de toute manière. Son corps était tellement attirant, avec de magnifiques courbes. Totalement imberbe, sa peau légèrement bronzée ressemblait à du cuivre sous la lumière. Ses petites lèvres brillaient, comme si elles étaient mouillées. Elle ne dit rien pendant quelques minutes et resta là, à laisser Tom la contempler. Plus elle lui dit :
-Bon, à ton tour.
-À mon tour de quoi ?
-D’enlever tes fringues, s’exclama-t-elle en rigolant.
Rigolant aussi, Tom se déshabilla. Son tee-shirt, Son pantalon rejoignirent rapidement les sous-vêtements de la jeune fille sur le sol, dévoilant son caleçon déformé par son sexe déjà bien raidi par le désir. Il le retira, dévoilant sa colonne de chair impressionnante. Louanne s’approcha, se colla à lui et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Ses seins aux pointes durcies se plaquèrent contre les pectoraux saillants de Tom. Elle posa une main sur sa verge et la massa doucement d’une main, la rendant plus dure et plus grande à chaque mouvement de poignée. Puis elle la lâcha et leur baiser devint plus passionnée, leurs corps se mêlaient sensuellement. Les mains de Tom passèrent dans le dos de la jeune fille, puis s’enhardirent, glissant doucement sur les hanches, pour finir sur les fesses rondes qu’il caressa puis tapa gentiment. Louanne se fit plus aventureuse elle aussi en ouvrant les lèvres du jeune homme pour y insérer sa langue. Ainsi du bout de la langue, elle découvrit toute sa dentition, son palais puis joua avec l’autre langue présente. Elle interrompit ce baiser passionné pour sourire à Tom, faisant fondre celui-ci de désir. Elle s’écarta de lui et recula jusqu’au lit pour s’y allonger sur le dos, les jambes écartées, sa peau fente ouverte. Tom contempla la jeune fille offerte et s’agenouilla devant le lit pour lui faire ce qu’elle aimait tant. Posant ses lèvres sur les siennes, il remarqua qu’elle mouillait déjà énormément. Il lécha son petit bouton pendant quelques courtes minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse, déversant un véritable torrent de son essence dans sa bouche. Tom l’avala avec plaisir et satisfait, il se redressa pour contempler la fille qu’il avait rendue haletante.
-Mets la capote, dit Louanne après avoir repris son souffle, lui tendant le petit bouton de latex déjà libre de son emballage.
Tom fit comme Charlotte avait fait, pinçant le bout du préservatif, le posant sur mon gland et le déroulant au fur et à mesure sur son sexe. Louanne le contemplait, un sourire narquois aux lèvres. Une fois mon sexe empaqueté dans le latex, Tom se redressa, fier comme un coq. Le rire silencieux de la jeune fille le désempara, puis elle stoppa aussitôt, voyant son désarroi.
-Allez, vas-y, l’encouragea-t-elle.
Tom saisit son sexe et le guida vers sa petite fente serrée qui semblait absolument incapable d’accueillir un sexe gros comme le sexe. Il posa le bout de son membre viril à l’entrée, hésita un instant et après un coup d’œil au visage confiant de Louanne, s’y enfonça, écartant les chairs. Louanne gémit, surprise par la largeur surprenante de cette queue. Tom se retira gentiment puis revint. Il accéléra le rythme, allant plus vite, s’enfonçant plus loin dans son antre d’amour, jusqu’au moment où il se rendit compte qu’elle l’accueillait complètement. Elle ne tarda pas à avoir un second orgasme qui la secoua plus violemment que le premier, la faisant trembler et crier de plaisir. La voyant sourire de satisfaction, Tom se retira, mais elle dit aussitôt :
-Qu’est-ce que tu fais ? Tu n’as pas joui !
-Oui mais toi si non ?
-Oui mais l’amour ça se partage, donc toi aussi tu dois jouir. Alors tu vas faire un truc encore mieux que me baiser.
Elle se redressa, se retourna et se mit à quatre pattes sur le lit, écartant les cuisses pour m’offrir sa rondelle.
-Tu vas m’enculer.
-Euh ok.
-Attends !
Elle se retourna, prit mon sexe en main et d’un coup d’ongle qui me fit craindre pour mon gland, arracha, le bout du préservatif, la partie qui contenait le sperme après l’éjaculation.
-Pourquoi ? Demanda simplement Tom.
-Pour que tu éjacules en moi, mais sans le délire des MST et tout ça.
Sur sa réponse, elle se retourna et lui présenta son fessier écarté. Il mit mon sexe à l’entrée de sa tendre pétale et s’y enfonça le plus doucement que possible, faisant crier la jeune fille. Soudain elle lui tendit quelque chose de sa main droite, une petite bouteille bleue. Il la prit et lu sur l’étiquette LUBRIFIANT. Il sourit, l’ouvrit et en versa le contenu sur l’entrée si serrée d’où il venait de se retirer. Il l’y étala maladroitement et la pénétra à nouveau. Son sexe rentra bien plus facilement, les chairs s’écartant plus. Il continua de s’enfoncer, ressortit doucement et revint un peu plus vite. La rondelle de la jeune fille serrait son sexe étranger, faisant éprouver à Tom des sensations encore nouvelles. Il accéléra ses va-et-viens, rendant la jeun fille haletante. Celle-ci se mit une main entre les cuisses et se caressa en même temps. Les deux actions simultanées eurent raison d’elle, la faisant jouir presque violemment, tremblante, criante et répandant sa sève partout sur le drap. Tom, emporté par cette position et cette action si excitante, jouit en poussant un long « Ah » de plaisir. Il se vida en même temps, répandant sa semence épaisse dans les entrailles de la jeune fille encore tremblante de plaisir. Il se retira, laissant un trou impressionnant dans lequel il vit les chairs enduites de son sperme épais, avant que le trou ne se referme progressivement. En effet la capote n’avait recueilli de son sperme que quelques infimes gouttes.
Le soir, une fois rentré chez moi, ces images ne me quittaient plus. Elles me suivaient, où que j’aille, à tel point que je dus me masturber trois fois dans la soirée, une fois dans la douche et deux fois dans mon lit, rien que pour me soulager.
Le lendemain, Charlotte se comportât avec moi de la manière habituelle, me disant le « bonjour-au revoir » quotidien. Mais ses sourires et ses yeux pétillants faisaient revenir les images au galop dans ma tête. Mais après m’avoir fait la bise pour me dire au revoir, elle me souffla en me faisant un clin d’œil :
-Tu veux venir chez moi faire tes devoirs ? Louanne sera là.
-Euh, oui répondis-je, surpris par cette invitation.
Interprétant mon hésitation, elle ajouta :
-Tu pourras rentrer à pied chez toi, ne t’inquiètes pas, j’habite à deux pas du lycée.
-Ok, mais j’étais juste surpris par ton invitation.
Nous sortîmes du lycée et elle me demanda en marchant :
-Physiquement, tu me trouves comment ?
-Magnifique, répondis-je honnêtement.
-Vraiment ? Dit-elle, pensant que j’exagérais pour la flatter.
-Oui, tu es la première fille que je vois aussi dénudée et tu es juste superbe, dis-je, me surprenant moi-même par ma réponse.
-Merci, rougit-elle. Et Loulou, tu la trouves comment ?
-Belle, souriante mais… Différente de toi.
-Différente comment ?
-Bah elle se met plus en valeur, elle accorde plus d’apparence à son physique que toi ; elle en est très belle, mais elle a une sorte… D’expérience qui est moins présente chez toi et qui te rend encore plus attirante. Mais vous êtes toutes les deux à couper le souffle. Jamais je n’aurais espérer ne serait-ce qu’embrasser l’une de vous deux.
-Oh, c’est trop mignon ce que tu dis. Mais tu as raison, Louanne adore attirer les mecs, il faut qu’elle soit vue de tous. Mais c’est pour ça qu’on l’aime. Et puis, toi aussi tu es très mignon.
-Ne me fais pas rire, dis-je.
-Mais c’est vrai ; tu as un beau visage, un sourire craquant et physiquement, tu es musclé et sportif. Tu es intelligent mais par contre tu analyses trop les choses, comme moi. Il n’y a pas beaucoup de garçons qui réunissent autant de qualités. Et Louanne te dirait que tu as un petit cul pas désagréable.
Rougissant, je répondis timidement :
-Merci.
Puis elle me fit passer par un grand portail qui s’ouvrit quelques mètres avant notre arrivée devant. Il laissa place à un imposant manoir entouré d’un jardin soigneusement entretenu.
-Ah Lou est déjà là, fit Charlotte en désignant un vélo appuyé contre un mur, sous un auvent.
-Elle va mieux au fait ?
-Mieux… ? Ah oui, je t’ai dit qu’elle était malade, sourit-elle. Eh bien elle n’est pas malade, elle voulait juste sécher les cours. Et puisque ni mes parents, ni les siens ne sont là, il n’y a personne pour nous dire ce qu’on a à faire.
-Pourquoi vos parents ne sont pas là ? Demandai-je naïvement.
-Mes parents vivent dans leur maison principale à Paris et ceux de Louanne sont en voyage pour trois mois, ils font le tour du monde.
-Donc tu vis ici toute seule ?
-C’est ça. Mais j’invite souvent des amies à dormir pour me sentir moins seule, comme Loulou. Au fait si tu veux tu peux rester dormir ici ce soir, il y a bien assez de lits libres.
Après un bref appel avec ma mère, j’acceptai volontiers. Qui aurait cru que le vendredi soir je dormirai chez Charlotte ? Lundi, elles me parlaient tout juste, mardi je leur fais un cuni, le jeudi je fais ma première fois avec la sublime Charlotte et vendredi je dors chez elle ? A peine croyable, c’était trop beau pour être vrai.
Charlotte me fit entrer dans un petit hall sombre, on n’enleva nos chaussures et nous allâmes dans le salon. Le parquet grinça sous nos pieds et je vis le salon. Une pièce immense, meublée avec goût, où trônait en son centre un poêle circulaire avec deux canapés et quatre fauteuils autour. L’un des canapés tournait le dos au poêle pour faire face à une immense télévision. Louanne était assise sur ce canapé, ou plutôt affalée sous un plaid, jouant à un jeu de guerre sur la console. Elle se redressa en nous voyant arriver et je pus voir sa tenue légère sous le plaid, c’est-à-dire en sous-vêtements.
-Chat ! T’arrive enfin !
-Yes Loulou, me voila, lui répondit l’intéressée. Et regarde qui j’amène !
-Tom, me salua Louanne, toujours avec cette lueur lutine dans les yeux. Ca va ?
-Mais très bien et toi ta maladie ?
-Je suis sur pieds comme tu peux le voir, fit-elle en se levant et se débarrassant du plaid informe.
Voir son corps aux belles courbes dans un si simple appareil durcit mon sexe dans mon caleçon, formant déjà une bosse. Elle portait en effet des sous-vêtements sexys en dentelle, rendant le vêtement presque transparent. On pouvait voir ses seins généreux aux tétons érigés à travers le tissu. Louanne inclina la tête sur le côté, ses cheveux blonds formant une cascade jusqu'à son épaule gauche. Elle sourit, accentuant la lueur de désir dans ses yeux.
-Louanne, fit Charlotte sur un ton de réprimande. Pas tout de suite. On attend les autres.
-Mais elles arrivent vers 9h ! Protesta Louanne. On ne va pas attendre 4h !
-Qui est-ce qui vient ? Demanda Tom, qui n’était pas sur de comprendre ce dont les filles parlaient.
-Des amies à nous, mais ne t’inquiète pas, elles seront toutes consentantes, répondit Charlotte en lui faisant un clin d’œil.
-Consentantes pour quoi ? Demanda innocemment Tom.
-D’après toi ? Sourit Charlotte.
-Exactement ce que je veux faire maintenant !
-Mais il y aura d’autres mecs ? Dit Tom, qui avait enfin compris de quoi parlaient les deux filles.
-Bien sur que non, tu suffiras amplement.
-Mais tu ne m’avais pas prévenu qu’il y aura d’autres filles, protesta Tom.
-C’est pas grave, elles sont toutes jolies, ne parleront pas de ce qu’il va se passer ici et surtout elles ont toutes envie de le faire avec toi. Donc tu ne vas pas te plaindre, tous les mecs rêveraient d’être à ta place.
-Je ne me plains pas, je suis juste un peu surpris, sourit Tom.
-Ça peut se comprendre, rit Charlotte.
-Et est-ce que je les connais ?
-Oui, il y aura Camille, Marie et Elisa de notre classe. Elles voulaient te voir en action et même en profiter.
-Ah bon ? Je ne les pensais pas comme cela, dit Tom, surpris.
-Eh bah si, elles sont plutôt coquines. Sinon il y aura deux autres filles du lycée, une de première et une de seconde.
-Euh, elles ne sont pas un peu jeunes ?
-Bah elles ont plus de quinze ans et ont envie de faire leur première fois donc je les ai invitées, surtout qu’elles flashent sur toi.
-Ah bon ?
-Oui, mais faut que tu te mettes dans le crâne que tu as une belle gueule, que tu es sportif et intelligent et que tu es très bien pourvu, dit Charlotte en lui faisant les gros yeux. Beaucoup de filles voudraient être à la place de ta copine Iris.
-Bon on arrête de parler et on passe à autre chose ? Intervint Louanne, un peu agacée.
-Non, on attend les autres, rappela Charlotte.
-C’est facile de dire ça pour toi, dit Louanne, mais moi je ne l’ai pas encore fait avec lui !
-Euh comment tu es au courant ? Demanda Tom.
-Bah on est amie, on a des téléphones et on se parle, grimaça Louanne. Et elle m’a dit que tu faisais tout superbement bien, mais je n’ai pas le droit d’essayer !
-Bon d’accord, Concéda Charlotte. Mais moi je vais faire des courses pour préparer la soirée. Et éviter de tout salir, la femme de ménage est venue hier.
-Ne t’inquiète pas, on va aller dans ma chambre, la rassura Louanne.
-À tout à l’heure, alors, dit Charlotte en leur faisant un clin d’œil.
-C’est ça, fit Louanne. N’oublie pas le lubrifiant !
Elles rigolèrent puis Charlotte ressortit. Louanne me demanda :
-T’es prêt ?
-Oui.
-Suis-moi alors.
Elle monta à l’étage et entra dans une chambre. Je fis de même et quand j’arrivai dans la pièce, elle commençait déjà à retirer son soutien-gorge. Elle me fit face, poitrine nue. Ses petits seins pointaient, tandis qu’elle enlevait sa culotte de dentelle, qui ne cachait pas grand-chose de toute manière. Son corps était tellement attirant, avec de magnifiques courbes. Totalement imberbe, sa peau légèrement bronzée ressemblait à du cuivre sous la lumière. Ses petites lèvres brillaient, comme si elles étaient mouillées. Elle ne dit rien pendant quelques minutes et resta là, à laisser Tom la contempler. Plus elle lui dit :
-Bon, à ton tour.
-À mon tour de quoi ?
-D’enlever tes fringues, s’exclama-t-elle en rigolant.
Rigolant aussi, Tom se déshabilla. Son tee-shirt, Son pantalon rejoignirent rapidement les sous-vêtements de la jeune fille sur le sol, dévoilant son caleçon déformé par son sexe déjà bien raidi par le désir. Il le retira, dévoilant sa colonne de chair impressionnante. Louanne s’approcha, se colla à lui et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Ses seins aux pointes durcies se plaquèrent contre les pectoraux saillants de Tom. Elle posa une main sur sa verge et la massa doucement d’une main, la rendant plus dure et plus grande à chaque mouvement de poignée. Puis elle la lâcha et leur baiser devint plus passionnée, leurs corps se mêlaient sensuellement. Les mains de Tom passèrent dans le dos de la jeune fille, puis s’enhardirent, glissant doucement sur les hanches, pour finir sur les fesses rondes qu’il caressa puis tapa gentiment. Louanne se fit plus aventureuse elle aussi en ouvrant les lèvres du jeune homme pour y insérer sa langue. Ainsi du bout de la langue, elle découvrit toute sa dentition, son palais puis joua avec l’autre langue présente. Elle interrompit ce baiser passionné pour sourire à Tom, faisant fondre celui-ci de désir. Elle s’écarta de lui et recula jusqu’au lit pour s’y allonger sur le dos, les jambes écartées, sa peau fente ouverte. Tom contempla la jeune fille offerte et s’agenouilla devant le lit pour lui faire ce qu’elle aimait tant. Posant ses lèvres sur les siennes, il remarqua qu’elle mouillait déjà énormément. Il lécha son petit bouton pendant quelques courtes minutes jusqu’à ce qu’elle jouisse, déversant un véritable torrent de son essence dans sa bouche. Tom l’avala avec plaisir et satisfait, il se redressa pour contempler la fille qu’il avait rendue haletante.
-Mets la capote, dit Louanne après avoir repris son souffle, lui tendant le petit bouton de latex déjà libre de son emballage.
Tom fit comme Charlotte avait fait, pinçant le bout du préservatif, le posant sur mon gland et le déroulant au fur et à mesure sur son sexe. Louanne le contemplait, un sourire narquois aux lèvres. Une fois mon sexe empaqueté dans le latex, Tom se redressa, fier comme un coq. Le rire silencieux de la jeune fille le désempara, puis elle stoppa aussitôt, voyant son désarroi.
-Allez, vas-y, l’encouragea-t-elle.
Tom saisit son sexe et le guida vers sa petite fente serrée qui semblait absolument incapable d’accueillir un sexe gros comme le sexe. Il posa le bout de son membre viril à l’entrée, hésita un instant et après un coup d’œil au visage confiant de Louanne, s’y enfonça, écartant les chairs. Louanne gémit, surprise par la largeur surprenante de cette queue. Tom se retira gentiment puis revint. Il accéléra le rythme, allant plus vite, s’enfonçant plus loin dans son antre d’amour, jusqu’au moment où il se rendit compte qu’elle l’accueillait complètement. Elle ne tarda pas à avoir un second orgasme qui la secoua plus violemment que le premier, la faisant trembler et crier de plaisir. La voyant sourire de satisfaction, Tom se retira, mais elle dit aussitôt :
-Qu’est-ce que tu fais ? Tu n’as pas joui !
-Oui mais toi si non ?
-Oui mais l’amour ça se partage, donc toi aussi tu dois jouir. Alors tu vas faire un truc encore mieux que me baiser.
Elle se redressa, se retourna et se mit à quatre pattes sur le lit, écartant les cuisses pour m’offrir sa rondelle.
-Tu vas m’enculer.
-Euh ok.
-Attends !
Elle se retourna, prit mon sexe en main et d’un coup d’ongle qui me fit craindre pour mon gland, arracha, le bout du préservatif, la partie qui contenait le sperme après l’éjaculation.
-Pourquoi ? Demanda simplement Tom.
-Pour que tu éjacules en moi, mais sans le délire des MST et tout ça.
Sur sa réponse, elle se retourna et lui présenta son fessier écarté. Il mit mon sexe à l’entrée de sa tendre pétale et s’y enfonça le plus doucement que possible, faisant crier la jeune fille. Soudain elle lui tendit quelque chose de sa main droite, une petite bouteille bleue. Il la prit et lu sur l’étiquette LUBRIFIANT. Il sourit, l’ouvrit et en versa le contenu sur l’entrée si serrée d’où il venait de se retirer. Il l’y étala maladroitement et la pénétra à nouveau. Son sexe rentra bien plus facilement, les chairs s’écartant plus. Il continua de s’enfoncer, ressortit doucement et revint un peu plus vite. La rondelle de la jeune fille serrait son sexe étranger, faisant éprouver à Tom des sensations encore nouvelles. Il accéléra ses va-et-viens, rendant la jeun fille haletante. Celle-ci se mit une main entre les cuisses et se caressa en même temps. Les deux actions simultanées eurent raison d’elle, la faisant jouir presque violemment, tremblante, criante et répandant sa sève partout sur le drap. Tom, emporté par cette position et cette action si excitante, jouit en poussant un long « Ah » de plaisir. Il se vida en même temps, répandant sa semence épaisse dans les entrailles de la jeune fille encore tremblante de plaisir. Il se retira, laissant un trou impressionnant dans lequel il vit les chairs enduites de son sperme épais, avant que le trou ne se referme progressivement. En effet la capote n’avait recueilli de son sperme que quelques infimes gouttes.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Merci, la suite arrive bientôt
La suite !!
Super histoire