Mes Charmants Hôtes (VII) Test

- Par l'auteur HDS Hellene39 -
Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mes Charmants Hôtes (VII)  Test Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mes Charmants Hôtes (VII) Test
Durant mes cinq années d’esclave sexuelle j’ai vécu des moments que peu de femmes ont l’occasion de vivre. Je ne parle pas de sévices je parle de rencontres étranges inattendues. C’est ce qui m’est arrivé avec un ami de Charles et Marion C’était dans les premières soirées auxquelles j’ai participé. Je n’avais pas encore fini ma “formation” j’étais curieuse de tout. J’appris ce soir-là que j’allais tenir compagnie à Monsieur Maurice. Que je ne devais rien refuser de ce qu’il me demanderait et que je n’aurais aucune initiative. Même si je pensais bien faire. Je n’étais qu’un outil, un objet qu’il utiliserait selon son bon plaisir.

Il était 20h les invités arrivaient, Marion m’avait fait passer une robe de soirée blanche décolletée jusqu’au nombril devant et ouverte jusqu’à la naissance de la raie des fesses pour le dos. Elle était en outre fendue de chaque côté jusqu’au haut de mes hanches. En fait quelques bouts de tissus qui ne couvraient rien et en plus ne masquait rien car le tissu ouvragé de volutes et de fleurs était transparent. Aujourd’hui que j’aimerais avoir une seule photo de moi avec cette robe. Je l’avais passée par-dessus une culotte ouverte blanche, un porte-jarretelles blanc et des bas a coutures blancs et des escarpins rouge brillant.

Je fus subjuguée par mon allure dans cette robe. J’étais belle et vraiment désirable. Ce blanc virginal, la transparence laissant mon corps exposé aux regards était une association perverse. Charles et Marion étaient charmés de la réussite de leur idée. Charles me dit à l’oreille.

Petite catin, tu devras la remettre pour moi cette robe, tu me fais bander tout simplement.

- Oui Maître dis-je

- Tu pourras aussi la mettre pour moi petite chienne me souffla Marion.

J’étais heureuse de faire honneur à mes Maitre et Maîtresse. La codification des échanges me devenait naturelle. Surtout qu’en dehors des soirées et des moments de sexe je retrouvais une expression normale. J’avoues que ce cérémonial n’est pas vraiment ce que je préfère dans les relations BDSM. Ce qui me motive c’est la contrainte et la douleur et le dépassement de mes limites.

Les premiers à arriver était un couple que j’avais déja rencontré la femme Rosa était dominatrice l’homme Loïc était un soumis lui aussi très maso. Le couple était adorable.

Hélène mais tu es splendide ma jolie, Charles et Marion sont fous de toi. Dit-elle en posant un baiser sur mes lèvres.

Loïc me fit un grand sourire et un baiser sur la main. J’y répondais par une révérence. Le second couple m’était inconnu. L’homme grand la cinquantaine trés musclé à priori c’était Gérard inutile de poser la question c’était le dominateur. Sa compagne était 2 pas derrière lui, un collier étrangleur au cou une cape légère rouge bordée d’argent. La jeune femme blonde a longs cheveux maigres portait un bâillon métallique avec un petit cadenas sur sa bouche. Entre ses cuisses une ceinture de chasteté. Des bas résilles rouge sang et des escarpins a hauts talons.

Ils passèrent avec un signe de tête la jeune femme les yeux baissés. Arrivait ensuite un monsieur très âgé qui s’aidait d’une canne ancienne a pommeau d’argent ou un autre métal blanc. Vêtu d’un costume bleu nuit, de coupe impeccable, il portait des cheveux longs et une courte barbe toute blanche. Ses traits marqués par le temps laissaient encore deviner un visage plein de beauté en son temps. Un sourire et des yeux coquins et vifs rendait son allure sympathique.

Charles descendit quelques marches pour saluer ce monsieur avec chaleur, Marion le serra dans ses bras et l’embrassais comme un membre de sa famille.

- Maitre Maurice je vous présente Hélène qui est encore studieuse mais qui est vraiment très prometteuse. Un peu rebelle à cause de la jeunesse, une intelligence supérieure, des aptitudes indéniables mais un sens des limites bien trop flou.

- Ainsi c’est vous l’élève de mon fils. Hélène joli prénom pour une femme qui fut la cause d’une grande guerre dit –on et déjà pour une histoire de fesses. Je suis enchanté de vous rencontrer et de passer du temps avec vous.

Il me fit un baise main dans les règles. Je comprenais maintenant pourquoi Marion m’avait entrainée à faire une révérence. Que je réussi à faire à cet instant.

- Ils vous ont longtemps embêtée pour faire cela dit-il avec un sourire et un coup d’œil à son fils. Mon fils est un peu trop vieux jeux, il parait plus vieux que moi vous ne trouvez pas ?

- Sans doute Maitre Maurice.

- Ohh très bien jeune fille, vous avez déjà de bonnes manières. Et vous êtes vraiment très jolie et habillée avec un goût exquis sans doute dû à Marion je reconnais sa patte. Détendez-vous demoiselle je vous sent crispée.

Le Vieil homme me pris par la taille avec une poigne insoupçonnable.

- J’ai hâte de voir ce qu’il y à sous l’emballage dit-il avec un clin d’œil ma on intention.

- Si c’est votre désir Maître ce sera fait.

- Charles elle me plait ta petite élève. Et elle est bien plus agréable à regarder que toi.

Je ne pouvais me retenir de lâcher un petit rire. Les relations père - fils étaient assez amusantes. Je commençais à trouver cet homme amusant.

- Hélène emmène Maitre Maurice dans ta chambre, tout est prêt si tu en a besoin.Me dit Charles
Puis à Maitre Maurice : Je te la laisse, elle sera aux petits soins. Tu sais quoi faire je ne me fais pas d’idées.

- Ah ma chère vos protecteurs vous livrent au vieillard libidineux que je suis. En route petite menez moi à votre boudoir.

- Suivez-moi Maître dis-je

- Oh oui la vue en sera meilleure.

Mes talons claquant doucement sur le carrelage du couloir je menais le maitre vers le grand escalier qui menait au premier. Il me suivait sans peine.

- Oh quel jolie déhanché demoiselle mais je suis sûr que vous pouvez faire mieux.

Je prenais alors ma démarche de défilé, plaçant bien mes pas sur la même ligne devant moi. Et j’assouplissait ma taille. Le balancement de mes hanches était instantanément plus ample et plus suggestif. Le regard de ce vieux monsieur était une récompense.

- C’est mieux ainsi Maitre ? Devrais-je toujours marcher ainsi ?

- Oh mais oui petite, tu me donnes un spectacle de choix rien qu’en marchant dans ce couloir. Que va-t-il advenir dans votre chambre ?

- Tout ce qu’il vous plaira Maître

- Monte cet escalier, ta robe est si fendue que je ne perds rien de tes courbes. Et cette culotte fendue est un délice. Ce qu’il y a dessous encore plus il me semble. Charles à bien choisi son élève.

- Oui Maître mais c’est plutôt moi qui ai choisi, voir forcé à ce choix.

- Expliquez-moi çà je suis curieux de tout savoir.

- Allant directement au but j’expliquais mon arrivée ici pour mes études, mon espionnage indécent et ma tentative de chantage pour arriver à mes fins. A la fin de mon histoire Maître Maurice éclatais d’un rire généreux et spontané.

- Alors là petite Hélène, tu coches toutes les bonnes cases, indisciplinée et rebelle ce qui te vaudras bien des punitions, intelligente et opportuniste, audacieuse et un peu naïve également. Si j’étais plus jeune je t’aurais volée a mon fils

Nous arrivions dans ma chambre je faisais entrer Maitre Maurice. Et refermais la porte derrière moi. Un grand et confortable fauteuil avait été disposé dans l’espace libre de mon immense chambre une série de 4 miroirs étaient installés en arc de cercle autour d’une couche de coussins soyeux et doux, une petite table près du fauteuil était encombrée par une cravache, un martinet des pinces et des poids des liens des menottes. Il semble que Maître Maurice était venu pour se défouler un peu. J’étais un peu inquiète car jamais avant mes “propriétaires” ne m’avaient livrée seule aux autres personnes.

- Eh bien ma petite voilà des objets fort utiles, mais patience, je voudrais te voir mieux dit-il en s’installant dans le fauteuil sans me quitter des yeux. Prends place devant moi esclave dit il sèchement en indiquant de la main l’endroit devant les coussins

L’œil rieur avait disparu pour laisser place à un œil gris acier qui me semblait dur et inquiétant.

- Allez petite chienne, nue et plus vite que çà.

- Oui Maître.

Je me hâtais de faire tomber mes vêtements. Devant ces miroir le Maître me voyait sous toutes les coutures dans les miroirs. Il ne me restait que mes bas, ma culotte fendue.

- La culotte est de trop enlève çà de suite.

Je m’exécutais et me trouvais nue devant ce Maître qui aurait pu être mon Grand-père.

Il me fit signe de tourner sur moi-même. Je le fis lentement, laissant tout loisir à ses yeux de me dévorer, ce qu’il faisait avec un évident plaisir.

Quand j’eu fait un tour, il s’assit dans le fauteuil et me fit un petit signe de la main pour que j’approche. Un autre signe me stoppa j’étais a moins d’un mètre de lui.

Ecarte les jambes petite chienne. Bien largement.

J’écartais mes pieds et j’obéissais donnant de l’air à ma chatte qui appréciait de bien respirer. Le Maitre avait de nouveau son regard de papy sympa. Il plaça sa conne entre mes jambes et la monta jusqu’à ce qu’elle touche ma fente, même un peu plus. Il frotta un instant puis descendit la canne et observa.

- Oh la petite salope, mais elle mouille déjà.

- Oui Maître je suis bien mouillée

- Tu trouves excitant d’être nue devant un vieillard ?

- Oui Maître je suis une perverse et j’aimes l’étre

- Mais c’est magnifique, pour la peine je remets ma canne, tu vas te frotter dessus tant que je ne dis pas d’arrêter.

Il remit sa canne entre les lèvres de ma chatte et je commençais à me frotter dessus. Chaque aller-retour faisait frotter mon clito contre le bois lisse. Et des frissons commençait à me parcourir. Il me scrutait de son œil acéré, aucun doute il jaugeait mon état, il savait si j’étais excitée ce qu’il fallait faire. La canne luisait à l’endroit ou je frottais mon sexe, quelques traces mousseuses et blanchâtre persistaient. Je mouillais bien et mon soufflé était plus court l’excitation et l’effort se conjuguais pour épuiser mes ressources. Il faisait chaud et la sueur commençais a faire luire toute ma peau.

Dans ma tête une seule question, allais t’il me baiser, est ce qu’il peut déja. Qu’il en ai envie surement, son regard détaillant tout de mon corps sa langue humectant ses lévres. Je connaissais les signes du désir chez les hommes. Il avait beau avoir plus de 80 ans, il n’était pas moche ni repoussant, je commençais a avoir envie de baiser, et de savoir ce que çà fait de se laisser prendre par un homme de 84 ans pour lui j’étais une gosse une petite fille.

- C’est bien petite esclave, tu aimes çà c’est évident. Tu es en train de mouiller ma canne et de la salir avec ton jus de chatte alors maintenant tu nettoies, avec ta langue naturellement.

Je m’agenouillais et léchais le bois de la canne, mais je sentais surtout le gout de ma chatte que j’adore, si je pouvais être assez souple pour me lécher je me ferais jouir de cette façon.

- Bien ma petite, viens approche à genoux

Je me trainais sur les genoux détruisant mes bas blancs. J’étais entre ses genoux, il prit mes mais et les posa sur ses cuisses. Il me caressa la joue et bang une gifle qui me sonne. Pourtant j’ai à peine vu bouger sa main.

Il caresse mes seins avec ses deux mains, les masses les malaxe avant de remonter vers mes tétons qu’il prend entre le pouce et l’index, serrant de plus en plus fort les tournant et les tirant vers le haut. La douleur est vraiment terrible, il a une poigne de folie. Je gémis, je crie, je bave et je suis le mouvement tant que je peux mais il monte trop haut. Il me suspend presque par les seins au bout de ses doigts.

- Oh mais elle aime çà la petite chienne se faire travailler les mamelles comme çà. Dis-le que tu aimes.

- Oui Maître haaa oui j’aimes çà arhhh Merci Maître

- Bien très bien tu a envie de te caresser çà ferait un peu passer la douleur non. Vas-y branle toi. Dit-il

J’essaye désespérément de descendre mes bras pour atteindre ma chatte. Impossible, je grimace, je crie tout mon corps tremble. La douleur est aussi grande que ma frustration. Le Maitre place sa jambe entre mes cuisses. Dès que je sens le tissu du pantalon proche. Mes reins commencent un mouvement d’avant en arrière pour frotter mon sexe contre sa jambe. Les yeux du Maitre sont vifs et étincelants. Il aime me voir à sa merci et chercher à conjurer la douleur par le plaisir de me branler. A peine ais-je commencé que la douleur de mes seins est masquée partiellement par les ondes de plaisir qu’envoie mon clitoris tout tendu. La tête renversée en arrière, la bouche ouverte je suis la victime parfaite. Il me regarde et un petit sourire il crache dans ma bouche deux fois. Cela me tire un râle de satisfaction. J’adore qu’on me fasse çà. Je me sens moins que rien, un jouet. S’il le décidait il me tuerait sur place, je l’accepte et même fugacement je le désire. Finir ainsi serait une réelle satisfaction.

Je suis a quelques secondes de l’orgasme quand il retire sa jambe et me gifle.

- Assez petite chienne tu tache mon pantalon !!!

- Ohhhh j’allais jouir Maitre dis je

Frustrée, je mets ma main entre me cuisses pour me caresser. Maitre Maurice me serre la gorge de la main gauche, il m’étrangle et gifle violemment mes seins.

- Qui t’a autorisé a jouir ? Tu ne jouis que quand je te le demande salope.

- Oui Mâitre

Je suis soudain prise de terreur. Le Maître m’a prise au dépourvu, tout mon corps tremble de frustration car stopper aussi près de l’orgasme est une épreuve, surtout que je vais continuer à accumuler de l’excitation.

- A quatre pattes petite chienne !! Ecarte bien tes genoux, écarte tes fesses montre-moi ton trou du cul.

Je m’exécute, agenouillées j’écarte mes fesses pour montrer mon trou du cul, je pousse pour l’ouvrir. Mais je ne suis pas encore bien élargie pour le moment.
Sensation de froid entre mes fesses et sur mon anus, forte pression douleur et je sens qu’il me pénètre. Dans le mitoir je vois que c’est le pommeau de sa canne qu’il a fait entrer en moi.

- Maintenant recule lentement empale toi le plus possible sur ma canne. Et ne jouis pas!! Je vois comment tu mouilles chienne tu goute sur le sol.

Il secoue la canne en avant elle pénètre plus en moi.

- Alors tu recule dit le Maître en enfonçant un peu plus sa canne. Si tu ne bouges pas je vais l’enfoncer jusqu’à ta gorge !! Imagine les ravages, cela te crèverait les intestins, perforerait au moins un poumon, çà pousserait ton cœur. En quelques minutes tu serais vidée de ton sang. Alors,?

- Oui Maître je m’empale

Je recule doucement, le pommeau est gros, et déjà loin je crains de briser une paroi, j’ai peur et l’excitation monte. Soudain je sens les doigts du maitre sur ma chatte, il me pénètre sans ménagement ni douceur, il a des gants de cuis les coutures rappent mon vagin mais mon excitation remonte en flèche

- Oui maitre !! Ohhh ohhhh arghhhhhhhhhhhhh

Il vient de donner un coup avec le pommeau de la canne enfoncée en moi le coup a résonné dans tout mon corps. Je tremble, ma tête est en feu mes intestins se nouent, mon cœur s’emballe. Je suis au bord de l’orgasme. Le dernier peut être.

- Oh Maitre fais le fais-le ,défonce-moi moi, détruis-moi !!!! Argglllllllll je jouis!!!!!!!!!!

- Petite idiote !!!!! Hurle le maitre

Il retire vivement la canne. C’est soudain et fort, un second orgasme se déclenche et je tombe face sur le sol secouée de spasmes.

Le maitre c’est assis dans le fauteuil et ris de bon cœur.

- Viens là agenouille toi devant moi petite idiote.

Je m’empresse d’obéir, mas jambes en coton me soutiennent à peine après deux orgasmes comme çà.

Alors tu croyais que j’allais te transpercer avec ma canne et te laisser mourrir comme çà ?

- Oui Maitre

- Tu voulais vraiment que je le fasse ?

- Heuu Oui Maitre.

- Toi petite chienne mon fils va devoir te surveiller. Tu es folle si tu pendes que l’on pourrait te faire ça!! Ce qui est inquiétant c’est que toi tu me demande de le faire. Si j’étais dingue j’aurais pu te tuer d’une horrible manière et tu t’offrais en sacrifice. On n'en trouve pas beaucoup des comme toi. Allez viens me sucer et tu monteras sur ma queue ensuite j’ai envie de te baiser.

Je m’approche et j’ouvre son pantalon, une trés grosse queue est là je la sors et déja je vois l’anneau qui entre dans le méat et ressort sous le gland. Je le suce il aimes ma bouche on dirait. Il caresse mes cheveux et mes épaules.

- Bien ma salope, oh oui avale moi bien petite putain.

Sa queue est grosse et longue, l’anneau me racle la gorge parfois il me plonge la tête a fond sur ce dard annelé. Malgré son âge le Maitre est d’une virilité incroyable. D'un coup il me plonge sa queue dans la gorge. Et il éjacule longuement, violemment.

- Petite pute avale tout ça !!!



Il éjacule une grosse quantité dans ma gorge, puis se retirant il remplit ma bouche avant de sortir et me couvre le visage de foutre chaud qui dégouline sur moi.

- Excitée je me branle le clito et me doigte la chatte pour me faire jouir encore.

Le maitre m’aide en giflant mes seins avec ses mains mon orgasme est énorme toutes les émotions accumulées sans doute. Le maitre m’attire a lui sur ses genoux et il reste longtemps à me caresser le sexe, il me fait hurler en caressant mon clitoris hyper sensible ses doigts en moi me procure encore un autre orgasme qui me lessive totalement cette fois. Coupure son et image.

Quand j’émerge je suis dans mon lit , à côté de moi Charles Marion et Maitre Maurice parlent de moi. Je reste les yeux clos les oreilles ouvertes.



- Une sacrée gamine que vous avez dénichée, elle est magnifique, endurante et motivée mais je vous préviens dangereuse comme ce n’est pas permis pas de limites Elle était prête à se laisser éventrer par ma canne, et elle était sérieuse. Dit Maitre Maurice

- Oui on sait dit Charles on a remarqué qu’elle dérape sous l’effet de l’excitation. Elle n’a pas de freins quand elle est poussée à bout, pourtant elle a le chic pour nous obliger à la mener jusqu’au sommet de ce qu’elle peut supporter.

- Mais on ne peut pas la laisser tomber, si on fait çà elle trouvera d’autres dominants peut être moins scrupuleux que nous et ce sera la catastrophe elle est trop adorable pour qu’on fasse çà ) non ? Dit Marion

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour Hélène merci pour ces récits de soumission.
Je reste un peut sur ma faim j'aurais aimé lire des passages sur la soumission urophile et sur vos relations avec d'autres maîtres et avec les meilleurs amis de l'homme voir plus....
Je suis armateur des récits hards ...
Au plaisir de vous lire cordialement Aldo

Histoire Erotique
Merci encore pour cette très bélle histoire ; magnifiquement écrite ; donnant beaucoup de plaisir à la lecture d’une thématique peu courante ; le plaisir, l’excitation, la mise en tension, tout y est ;

Ce qui est troublant, c’est l'ambiguïté de la relation père/fils/belle-fille ; c’est peu courant et terriblement excitant ; y-a-t-il eu d’autres interactions entre eux et vous ensemble ? Dans ce que vous decrivez, c’est surtout les interactions avec des personnalités fortes qui parait vous attirer et donner du plaisir ;

Vivement la suite ; vous etes un bonheur de lecture

Yass

@ Mes lecteurs
Merci à tous pour vos avis, commentaires compliments
@ Au plus bavard et premier a donner son avis: Excellent et qui a saisi mes motivations. Ce n'est pas un personnage c'est juste moi . Je me suis épanouie dans la vanilla life que grâce a mon amour pour mon mari et que rapidement nous avons pratiqué l'échangisme, qui satisfaisait une partie de ma libido, qui fait de moi une nymphomane d'un type un peu particulier. Et oui la soumission n'est pas une fin en soi. Je suis soumise si cela me mêne a des punitions , punitions physiques, l'humiliation marche un peu mais marginalement. C'est vraiment la douleur qui me fait vibrer. La preuve les aiguilles suffisent a me conduite a l'orgasme presque sans aucune caresses et pourtant c'est de l'auto punition ce qui est très différent et frustrant. Par des mains étrangères là c'est le pied, l'attente, la vitesse tout entre en ligne de compte. Si on traverse un téton ou le clito rapidement la douleur est vive mais passagère. Quand on le fait lentement la douleur persiste et irradie dans tout les abords puis le corps quand on se fait percer ainsi il y a un petit crissement de l'acier dans la chair que je ressens particulièrement et qui me met en transe au même titre que la douleur.
Mo dilemme c'est bien la non implication volontaire de mon mari dans ces jeux. il n'est pas prude, echangisme, bisexualité tout pour me plaire, mais compte tenu de ma jeunesse étrange il ne souhaitais pas me voir poursuivre surtout que j'ai tendant a me mettre en danger. Mais avec lui a mes côtés je sais qu'il me protégera m'empêchera d'aller trop loin.
Mon actuelle quête c'est ce retour vers le bdsm avec mon mari comme dominant

Comme tu le dis cher lecteur, c'est un exutoire une thérapie presque, les lecteurs ne le savent pas mais ma formation fais de moi une psychologue j'ai un peu pratiqué milieu hospitalier, et j'ai enseigné la psychologie disposant de 2 master en Psychologie Clinique. C'est un façon pour moi de dire les choses que je ne peux pas dire dans la vie.. Je me vois mal dans un diner mondain commencer a parler de mon gout pour les aiguilles au travers de mon clito.. çà jetterais un froid.

@Daniel mon adorable jardinier.
En effet le mot limites ou interdit a peu de sens pour moi .. a mes risques et périls je sais

@ Lecteur ?
Etais ce bien utile ?

@jef
Je pense au 4 mains je dois m'y mettre sérieusement

Belle écriture comme d’hab !
Violent scénario, intéressant …

Histoire Erotique
Là le maître du maître a été invité pour confirmer que tu étais "no limit" et il t’a testé avec son pommeau et sa canne sous l’exitatoon et le besoin d’orgasmes tu étais prête à mourir. Autrement texte toujours parfaitement écrit puisque l’on est amené à visualiser et à participer. Daniel

Histoire Erotique
?

Histoire Erotique
comme je suis le premier à commenter, je ne serais pas noyé dans la foule...
J'ai lu tous les textes je pense, et hellene a un bon coup de style...
J'adore son personnage, je suis surpris qu'elle s'épanouisse dans une vie vanille, même si le niveau de son masochisme serait un risque pour elle même dans une vie en continue dans le monde SM.
J'ai l'impression que ses textes sont des exutoires, à ce jour, de son besoin de replonger très au fond de ces pratiques.
On voit bien que la soumission n'est qu'une transition vers la douleur, la D/s n'est pas son crédo, elle est maso, point...
La sensualité passe par des actes hors normes, bien décrits ici et dans les autres textes, tout est bon pour l'obtention d'un orgasme ravageur...
Je pressens un retour imminent dans le cercle du plaisir par la douleur, dommage de l'avoir refouler si longtemps...
Difficile à concilier avec une vie de famille normale, surtout si Monsieur ne veut pas entrer dans le jeu.
A lire passionnément les prochains épisodes...



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