Mes charmants hôtes II ( Initiation SM )
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Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Mes charmants hôtes II ( Initiation SM )
II
Après mon intrusion style espionne dans la maison lors de la soirée cuir de Charles et Marion. Je me fixais un but, séduire Charles au besoin en me servant de ce que je sais. Je doute que mes parents apprécient vraiment l’environnement que m’offre leurs amis. C’est mon côté “sale punaise” qui prend le dessus, mais j’ai tellement envie de me mêler à leurs fêtes. Ce soir-là revenant de mon expédition, je fus vite dévêtue et la main entre les cuisses sur mon lit je me faisais jouir plusieurs fois en fantasmant ma participation à ce genre de débauche.
Nous sommes mi-septembre il fait encore un temps magnifique et les rumeurs météo annonce cette belle période jusqu’à la fin octobre. J’ai donc encore du temps pour donner envie à Charles de s’intéresser à moi. Bien qu’il ait déclaré qu’il avait deux fois mon âge ses regards n’en restaient pas moins appuyés et semblaient même se libérer, il ne prenait même plus la peine de ne pas me montrer qu’il me matait. J’avais trouvé un bikini le plus mini possible., mes bourgeons étaient tout juste cachés par le haut, deux petits triangles jaune citron pour emballer mes tétons. Quant au bas, il ne masquait guère que mon clitoris. Je m’arrangeais pour être toujours proche de lui. Je remarquais que depuis que j’avais mis ce micro maillot il était plus assidu. Marion m’avait fait une remarque sur le ton de la plaisanterie, mais elle avait noté mon changement de maillot.
- Hélène tu va prendre froid avec ton maillot, ma jolie. Mais ça te va bien n’est-ce pas Charles ?
- Que veux-tu à cet âge tout leur va ma chère femme.
- Oh non. Tu sais bien que beaucoup de choses n’y tiendrais pas !! Dit-elle en riant.
Je ne compris pas l’allusion sur le coup, je comprendrais un peu plus tard et Marion disait vrai.
Un matin, je m’arrangeais pour être plus tôt à la piscine, je voulais frapper un grand coup, j’étais seule, j’ôtais mon peignoir. Je n’avais rien dessous, je me glissais nue dans la piscine, avec délice, car nager nue j’aime énormément çà, comme être nue à la maison. Encore aujourd’hui, quand je peux me promener sans rien chez nous c’est ma tenue préférée. Naturellement avec les enfants c’est plus compliqué. Même si je suis assez libre, mes deux garçons m’ont plus d’une fois aperçue nue. Ne serais ce que les fois où petits je les prenais avec moi sous la douche. Il est même arrivé que enfants et parents soit réunis.
Je faisais quelques longueurs quand Charles vint s’installer à sa place habituelle. Solange lui apporta café et les journaux. La domestique me fit un petit signe de la main et se rendit compte que j’étais peu couverte. Elle jeta un œil à Charles puis à moi, je lui faisais un petit coucou de la main et elle partit en souriant largement.
Le sort en était jeté, je sortais de la piscine, le cœur faisant des bonds dans ma poitrine. Charles comme toujours avait un short miteux horrible un vieux jean coupé par ses soins aux ciseaux. Il adorait çà quand il faisait un footing dans le parc ou quand la lubie lui prenait de passer la tondeuse. Pour avoir l’air utile disait il. Activité bien inutile puisque toutes les semaines une entreprise s’occupait de çà. Exactement comme Marion qui de temps en temps faisait le repas alors que c’était habituellement Solange qui tenait la maison et s’occupait de moi surtout quand j’étais petite. J’espérais qu’elle ne reviendrait pas. Charles m’avait entendu approcher dans l’eau. Je grimpais l’échelle dans ma tenue d’ Eve.
- Ah voilà une prédatrice sexuelle en herbe qui chasse le mâle ??
Ces mots je les entends encore. J’ai bien failli replonger et remonter a l’autre bout du bassin pour aller me cacher dans ma chambre.
- Je dois dire, que voilà un petit lot bien appétissant pour un vieux cochon dans mon genre dit Charles Tu crois que je n’ai pas compris ton manège?
Charles avait un ton que je n’avais jamais entendu.
- Je n’ai jamais voulu gêner personne. Mais je te trouve juste attirant. Vraiment. Et j’ai bien vu comment tu me regardais. Et maintenant que je sais ce qui se passe dans tes soirées. Je suis encore plus curieuse et tentée.
Je ne crois pas que mes parents soient heureux d’apprendre dans quel environnement je suis. Ils me pensent en sécurité. Ce n’est peut-être pas le cas?
- Chut tais-toi avant de dire une ânerie.
- Bon tu es au courant de nos petits travers à Marion et moi. Je n’apprécie pas beaucoup que tu essayes de faire une sorte de chantage avec ce que tu sais. Bon au moins tu n’es pas totalement idiote tu as compris la portée et le pouvoir que ça te donne. Mais je n’aime pas cette façon d’agir. Tu penses que j’ai envie de te baiser ? Je te signale, tu es la fille de nos amis. Je t’ai laissé penser, ou j’ai fait un geste qui te laisse penser que c’est ce que je veux ?
- Heu tu me regardes mais Non, non répondis je Je….
- Tais toi petite idiote !!
Mon cœur battait plus fort encore mais c’était une douche froide. Je ne m’étais pas rendue compte que j’allais vers le mur. Dans mes fantasmes, séduire Charles me paraissait facile. Il était charmant agissait comme un père. Sans doute une des raisons pour laquelle, j’avais cristallisé mes désirs sur sa personne, la découverte des soirées était un déclencheur. Il avait 30 ans de plus que moi ce qui ne me semblait pas un fossé si large. Mais là je commençais à me noyer.
Mes larmes commençaient à couler. Je me sentais beaucoup moins désirable et sûre de moi à cet instant.
- Non tu ne vas pas pleurer comme une gamine !! Je te croyais prête à tout affronter, même draguer un vieux schnock pour participer à ces soirées coquines. C’est bien çà que tu veux ? Arrête de chouiner, réponds !
- Heu oui c’est ça que j’aimerais
- Et pour çà tu essayes de me faire chanter ? Je ne pensais pas avoir comme pensionnaire une petite salope qui fait chanter les gens et qui va cafter auprès de ses parents !
- J’éclatais en sanglots.
- Ah c’est quoi qui te gêne ? Petite salope ? Ou bien qui fait chanter les gens ? Bon ce que tu as découvert, c’est vrai on ne va pas le nier et on a aucune raison de le cacher maintenant. Mais on est adultes on peut faire ce que l’on veut. Tu crois qu’on va te faire participer à çà. Avec nos amis qui connaissent tes parents pour certains. Certains ont des enfants de ton âge avec lesquels tu es copine si je ne me trompe pas. Tu feras quoi quand tu vas les rencontrer, leur dire “ ah tiens j’ai baisé avec tes parents hier soir” Tu pourrais faire çà?
- Bah non je ne pourrais pas.
- Tu vois dans quel pétrin tu es maintenant ? On va faire quoi de toi ! Approche on fait la paix on va essayer d’arranger tout ça !! Tu sais que ton maquillage est en train de couler tu vas ressembler à un panda !
Une petite détente s’amorçait, je n’étais pas soulagée pour autant. Quelle débandade, mes espoirs fous venaient de faire pschitt et je passais pour une idiote et une salope j’étais choquée que Charles me traite ainsi. Mais il n’avait pas tort.
- J’approchais de Charles, j’avais le soleil dans le dos et il mettait sa main en casquette pour ne pas être éblouis. Debout à côté du transat, les joues pleines de larmes et la goutte au menton. Je n’étais pas la tombeuse que je rêvais d’être. Loin de là.
Charles posait ses mains sur mes hanches, et m’attirait vers lui.
- Approche idiote, tu es trop jolie, trop désirable. Je ne devrais pas le dire, pas le faire mais tu m’as forcé la main, jamais cela ne serait pas arrivé si tu n’avais pas joué à ce jeu dangereux. Oui depuis que tu es arrivée, je te regarde, mais tu es la fille de nos amis. Pourtant tu me fais envie je ne vais pas le nier. Il faudrait que je sois idiot non. Tu vois comment tu es foutue, y’a qu’un gay qui n’aurais pas envie de toi.
- C’est gentil Charles, je peux t’appeler Charles ?
- Bien sûr, et puis après ce qui risque de se passer tu le feras de toute façon.
- Mon cœur fit un petit bond, qu’allait-il se passer ? Je n’osais y croire
- Je crois que je vais devoir te céder, j’en ai trop envie moi-même. Petite salope.
Tandis qu’il parlait ses mains me caressaient, allaient et venaient sur ms flancs, mon dos, mes fesses, s’attardaient sur mes seins. Je ne pleurais plus, je tremblais comme une feuille. J’enjambais le transat et me collais contre la poitrine de Charles.
Tandis qu’il commençait à m’embrasser non pas comme la fille d’amis, mais comme une amante. Une fois assise sur son horrible short j’ai pu sentir à quel point il m’aimait.
Je ne pouvais rester de marbre. Je me penchais en avant et posait mes lèvres sur les siennes. Il entama un baiser qui me firent frissonner. Je n’avais jamais reçu un tel baiser.
Me regardant droit dans les yeux tout en caressant mes seins et agaçant mes pointes. Charles dit
- Tu as vu petite espionne, tu as vu le genre de soirée. Cela ne te fait pas peur ? C’est très spécial tu sais.
- Oui j’ai vu je sais et j’ai depuis longtemps très envie d’essayer çà !!
- Depuis longtemps ? Tu as 18 ans tu n’a surement pas beaucoup d’expérience. Tu n’es pas vierge au moins ?
- Oh non cela fait longtemps, et en plus je l’ai fait toute seule dis-je pour crâner.
- Ah mais dis-moi, tu es vraiment une chaude petite chienne. Et tu as fait çà comment te dépuceler ?
- Sans vraiment le faire exprès avec une canette de bière. J’étais trop excitée.
- Tu as vraiment le sexe dans la tête depuis longtemps, ma jolie.
- Oui je ne le fais pas exprès, c’est comme çà et puis je regarde trop de porno aussi.
- On va voir ce que l’on peut faire, ma chérie. Pour les soirées on va devoir éviter les amis que tes parents connaissent. Imagine s'il te reconnaissent et en parle à tes parents ?
- Je me jette dans la Seine, ils ne supporteraient pas.
- Tu sais j’ai à peu près le même âge que ton père.
- C’est pour çà..
- Pour çà quoi ?
- Que tu m’attires autant, j’aimerais que tu sois mon père.
- Mais tu as le vice au fond de toi, tu aimerais faire l’amour a ton père ?
- Oui c’est vrai. Dis-je en baissant les yeux et en rougissant.
- Tu es trop mignonne, çà veut baiser son père mais çà rougis en l’admettant. Ah oui tu es unique, ce serait un sacrilège de te louper. On va faire de toi une petite chienne, une esclave obéissante. Tu le veux ? Je te préviens si on commence il faudra aller au bout. Et pour commencer je vais te faire grimper au ciel, j’ai trop envie de toi depuis que tu es sur moi !
- Oui je sens bien ta grosse queue qui palpite parfois, dis-je posant ma main sur le sexe dans son short. J’ai envie de te sucer Charles, mon chéri.
- J’allais te le demander.
Je m’agenouillais il s’était installé une jambe allongée sur le transat, et son autre pied appuyé sur le transat à côté. Je fis glisser la fermeture du jean. La queue de Charles était de très belle taille, mais surtout grosse et noueuse avec toutes les veines gonflées. Je remarquais qu’il portait un cock ring expliquant l’érection en acier qu’il me proposait.
Je posais mes mains sur la queue tendue, mes deux mains ne suffisaient pas à cacher ce membre. Tout le gland gonflé restait à découvert. Charles me regardait intensément avec ses yeux brillants, un petit sourire sur le visage. Je commençais par lécher le gland, comme une sucette, une glace. Je lapais, tout en mouillant cette chair gonflée. Sous mes doigts je sentais chaque tressaillement de la queue, les palpitations, les moments où elle enflait légèrement. Lentement je faisais glisser la peau vers le bas, le gland gonflait plus et le frein se tendait, les hommes adorent qu’on leur fasse çà. Ma langue passait et repassait sur ce petit voile de peau qu’est le frein je le faisait vibrer comme une corde de guitare. Sans oublier les deux petits points blancs, petits récepteurs hypersensibles. Je ne savais pas encore que : avec de la patiente et juste en les stimulants, je pouvais provoquer l’éjaculation et l’orgasme de l’homme. J’étais déjà pas mal douée mais j’avais énormément à apprendre.
J’étais vraiment excitée moi aussi, un léger fourmillement dans la zone de mon sexe me le prouvait. Je trouvais la queue de Charles vraiment magnifique. Jamais je n’avais eu de partenaire doté d’un tel engin. 20 cm sans doute et une épaisseur telle que j’arrivais à peine à en faire le tour avec ma main.
- Hmm pas mal murmura Charles, mais active toi un peu petite chienne.
Je pris alors son gland dans ma bouche, j’avais un peu de mal à le prendre dans ma bouche. Mais Charles m’aida en posant ses mains sur ma tête. Sans la moindre hésitation. Il appuyait ma tête sur son sexe tendu et c’est, contrainte que j’avalais son membre. J’étais à la fois furieuse qu’il ne m’ai pas laissé le temps de le faire moi même. D’un autre côté être obligée m’excitait encore plus. Son gland butait contre mes amygdales, ma gorge se contractait s’affolait. Charles aimait çà, j’entendais ses petits gémissements de plaisir. Ses mains se firent plus légére, je remontais jusqu’a laisser sortir son sexe de ma bouche, je reprenais mon souffle, tout en laissant couler sur ce membre un flot de salive qui me dégoulinais sur le menton, le cou et mes seins quand je relevais la tête pour le regarder.
- Pas trop mal pour une débutante petite salope.
J’entendis un lent applaudissement derrière moi. Puis la voix de Marion.
- Tu avais donc raison c’est bien cette petite pute qui nous a espionné l’autre soir. Elle est mignonne sans rien sur elle. Tu vas la dresser ?
- Certainement dit Charles, elle va devenir une esclave parfaite comme toi. Elle ne demande que çà, je le sens. Viens nous rejoindre, ma traînée, à poil.
Marion avait un peignoir de bain blanc et duveteux, elle le laissa tomber a ses pieds. L’autre soir je l’avais vu sucer Charles mais elle était de dos, là en pleine lumière je pouvais voir ses seins lourds, de gros anneaux pendaient au bout de ses tétons. Nombril percé, mais je voyais des tas d’anneaux entre ses cuisses Des gros aux grandes lèvres et des petits sur les petites lèvres. Ce qui attira mon regard c’était son clitoris qui était particulièrement, dégagé et gonflé il était percé de part en part avec une barre dorée avec une boule à chaque bout.
- Tu la regardes petite Dit Charles, tu voudrais être comme elle pleine de bijoux ?
- Oh oui c’est magnifique et excitant. Dis-je
- Tu vas devoir être obéissante et souffrir ma belle.
Soudain Charles me met une baffe énorme, ma tête suis la main qui viens de me heurter la joue droite. Ma joue est brulante, la douleur sérieuse. Je n’ai pas le temps de comprendre que de la gauche l’autre main me propulse dans l’autre sens. J’ai les joues en feu, les larmes aux yeux, elles coulent même, sur mes joues. Je ne sais pas ce que je ressens, trop soudain, trop incompréhensible. J’ai toujours la queue de Charles entre les mains. J’ai senti son membre se raidir quand il m’a giflée. Marion s’accroupi à côté de moi, pose sa main au creux de mes reins et me caresse doucement.
Charles me contemple intensément, il attend une réaction, je suis bloquée, perdue. Je suis sur le point de me lever et de partir en courant. Peut-être que la suite n’aurait jamais eu lieu.
- Dis Merci Maitre me susurre Marion à l’oreille.
- Merci Maitre dis-je
- Plus fort je n’entends rien fait Charles me plaçant une petite claque sur la joue droite. Sa main reste là à 10 cm de ma joue.
- Merci Maitre. Encore la main qui me frappe un peu plus fort que la précédente.
- Je n’entends pas. Dit Charles avec un sourire.
- MERCI MAITRE !! Cette fois j’ai crié à pleine gorge.
- C’est bien chienne, suce-moi bien maintenant.
La main de Marion me caresse le dos, glisse le long de ma colonne vertébrale, se perd entre mes fesses, glisse dans la fente. Le bout d’un doigt inquisiteur tourne autour de mon anus avant de le forcer. Ma réaction me surprend, je détends mes muscles et je sens ma rosette s’ouvrir légèrement. Le doigt de Marion entre en moi. La queue de Charles dans la bouche, mon cul forcé par Marion je suis envahie d’un désir qui me submerge. Je suis leur jouet, j’ai envie d’être a eu, je suis prête à tout faire tout ce qu’ils voudront. J’entre dans mon rôle d’esclave soumise. J’en suis à espérer qu’il me gifle à nouveau. Je suis comme enivrée, le cœur palpitant Mon sexe est surement déjà très mouillé et mon anus palpite autour du doigt de Marion, elle fait enfin ce que j’attendais, un second doigt me pénètre. Je gémis la bouche pleine de la queue de Charles
- Elle aime çà ta nouvelle esclave, une vraie petite pute.
- Une pute comme toi Marion, et tu aimes çà ma truie. Dit Charles
- Oh oui mon Maître.
- Toi petite chienne, viens t’empaler sur ma queue.
Je ne le fais pas attendre, je suis impatiente de le chevaucher, mon corps tremble d’excitation. Je me place au-dessus de sa queue luisante de ma salive. Mes doigts écartent mes lèvres trempées. Quand je suis excitée je mouille énormément, mais là je crois que c’est encore pire. Je descends lentement sur le chibre...
- Ahhrhhhhhhhh ce cri vient du fond de ma gorge.
Quand enfin le membre arrive au fond de moi je suis parcourue d’un tremblement incontrôlable. Instinctivement je pose mes doigts sur mon clito pour me caresser.
- Non on ne se touche pas ! Petite salope !
L’ordre est ponctué par une claque magistrale sur mon sein droit. Qui devient aussi brulant que mes joues. Je donne des coups de reins pour enfoncer la queue plus profondément en moi, je monte et descend dans un glissement facilité par l’humidité de mon sexe. En fait je coule littéralement sur la bite de mon maître.
Soudain un choc, une brûlure barre mon dos, un regard sur le côté, je vois Marion, debout sur ma gauche, légèrement en arrière une ceinture en cuir dans la main droite. Elle vient de me donner un coup qui m’a fait crier. Un second arrive je crie à nouveau. La brûlure est plus forte encore. Etrangement la douleur semble avoir un effet excitant au point que je désire presque sentir à nouveau la brulure.
- Gifle sur ma joue, puis mon sein gauche.
- On ne s’endort pas !! Continue à te baiser salope !! Hurle Charles.
J’avais cessé de monter et descendre sur la queue dressée. Rappel à l’ordre du maitre.
Marion me frappe à nouveau cette fois les reins à la naissance des fesses.
- Aiee !! Criais-je
- Ah tu sens bien comme on t’aime petite pute dit Marion le visage dur
Je remarque que la femme se branle d’une main se baissant légèrement pour ouvrir son sexe et y glisser ses doigts. Marion se rapproche et présente ses doigts a ma bouche, ils sont luisants de son jus de femelle. Je ne réfléchis pas je suce les doigts spontanément. Un gout une odeur un peu comme la mienne quand je suce mes doigts tandis que je me caresse.
- Mais elle a l’air d’aimer çà la petite salope dit Marion.
- Alors tu aimes çà me demande Charles.
Je mets un peu trop de temps à répondre il m’attrape les tétons entre le pouce et l’index de ses deux mains et il tord mes pointes, jusqu’à ce que je hurle. Tandis que Marion me gratifie de deux coups encore plus fort que les premiers. Je suis paumée, je sens une excitation intense, une honte, une peur qui m’envahie. Je sens confusément que ma vie est en train de basculer. La fille très branchée sexe que j'étais fait une mue, prend conscience de sa nature. C’est flou mais je me sens à ma place, je ne devrais pas être ailleurs, pas faire autre-chose.
Charles me regarde intensément alors qu’il tourne encore un peu mes tétons avant de les lâcher et de me gifler. Mon sexe palpite autour de sa queue, je n’ai pas cesser de m’empaler cette fois.
Je regarde Marion et entre mes dents, timidement je lui dis
- Cognes moi Maitresse
- Plus fort on ne comprends rien cries Charles giflant mes deux seins aux tétons endoloris.
- COGNES MOI MAITRESSE !!!
J’ai crié, hurlé surement. Marion souris et lève le bras, la ceinture s’abat avec un sifflement le cuir entame ma peau. La brulure irradie dans tout mon être et une onde de plaisir fait jaillir un orgasme.
- Encore criais je
Je suis “obéie” et je reçois deux coups qui me coupent le souffle. Je m’affale sur Charles car je viens d’avoir un second orgasme d’une rare violence.
D’un geste de la main Charles intime l’ordre à Marion de ne plus me frapper. Je suis quasiment comateuse. Mes nerfs ont été soumis à rude épreuve. Mes “tortionnaires” se muent en parents pleins de compassion. Marion passe sa main doucement sur mon dos en feu. Charles m’enlace et me caline doucement, en me faisant de petits baisers sur le visage.
- C’est bien petite chienne, tu peux être fière, je ne croyais pas que tu réagirais aussi bien. Tu ça devenir une esclave parfaire comme Marion. Dit Charles
- Elle est née pour çà, ce n’est pas possible autrement. Je ne l’ai pas ménagée et elle en redemande.
-Oui comme toi chérie Dit Charles.
Après mon intrusion style espionne dans la maison lors de la soirée cuir de Charles et Marion. Je me fixais un but, séduire Charles au besoin en me servant de ce que je sais. Je doute que mes parents apprécient vraiment l’environnement que m’offre leurs amis. C’est mon côté “sale punaise” qui prend le dessus, mais j’ai tellement envie de me mêler à leurs fêtes. Ce soir-là revenant de mon expédition, je fus vite dévêtue et la main entre les cuisses sur mon lit je me faisais jouir plusieurs fois en fantasmant ma participation à ce genre de débauche.
Nous sommes mi-septembre il fait encore un temps magnifique et les rumeurs météo annonce cette belle période jusqu’à la fin octobre. J’ai donc encore du temps pour donner envie à Charles de s’intéresser à moi. Bien qu’il ait déclaré qu’il avait deux fois mon âge ses regards n’en restaient pas moins appuyés et semblaient même se libérer, il ne prenait même plus la peine de ne pas me montrer qu’il me matait. J’avais trouvé un bikini le plus mini possible., mes bourgeons étaient tout juste cachés par le haut, deux petits triangles jaune citron pour emballer mes tétons. Quant au bas, il ne masquait guère que mon clitoris. Je m’arrangeais pour être toujours proche de lui. Je remarquais que depuis que j’avais mis ce micro maillot il était plus assidu. Marion m’avait fait une remarque sur le ton de la plaisanterie, mais elle avait noté mon changement de maillot.
- Hélène tu va prendre froid avec ton maillot, ma jolie. Mais ça te va bien n’est-ce pas Charles ?
- Que veux-tu à cet âge tout leur va ma chère femme.
- Oh non. Tu sais bien que beaucoup de choses n’y tiendrais pas !! Dit-elle en riant.
Je ne compris pas l’allusion sur le coup, je comprendrais un peu plus tard et Marion disait vrai.
Un matin, je m’arrangeais pour être plus tôt à la piscine, je voulais frapper un grand coup, j’étais seule, j’ôtais mon peignoir. Je n’avais rien dessous, je me glissais nue dans la piscine, avec délice, car nager nue j’aime énormément çà, comme être nue à la maison. Encore aujourd’hui, quand je peux me promener sans rien chez nous c’est ma tenue préférée. Naturellement avec les enfants c’est plus compliqué. Même si je suis assez libre, mes deux garçons m’ont plus d’une fois aperçue nue. Ne serais ce que les fois où petits je les prenais avec moi sous la douche. Il est même arrivé que enfants et parents soit réunis.
Je faisais quelques longueurs quand Charles vint s’installer à sa place habituelle. Solange lui apporta café et les journaux. La domestique me fit un petit signe de la main et se rendit compte que j’étais peu couverte. Elle jeta un œil à Charles puis à moi, je lui faisais un petit coucou de la main et elle partit en souriant largement.
Le sort en était jeté, je sortais de la piscine, le cœur faisant des bonds dans ma poitrine. Charles comme toujours avait un short miteux horrible un vieux jean coupé par ses soins aux ciseaux. Il adorait çà quand il faisait un footing dans le parc ou quand la lubie lui prenait de passer la tondeuse. Pour avoir l’air utile disait il. Activité bien inutile puisque toutes les semaines une entreprise s’occupait de çà. Exactement comme Marion qui de temps en temps faisait le repas alors que c’était habituellement Solange qui tenait la maison et s’occupait de moi surtout quand j’étais petite. J’espérais qu’elle ne reviendrait pas. Charles m’avait entendu approcher dans l’eau. Je grimpais l’échelle dans ma tenue d’ Eve.
- Ah voilà une prédatrice sexuelle en herbe qui chasse le mâle ??
Ces mots je les entends encore. J’ai bien failli replonger et remonter a l’autre bout du bassin pour aller me cacher dans ma chambre.
- Je dois dire, que voilà un petit lot bien appétissant pour un vieux cochon dans mon genre dit Charles Tu crois que je n’ai pas compris ton manège?
Charles avait un ton que je n’avais jamais entendu.
- Je n’ai jamais voulu gêner personne. Mais je te trouve juste attirant. Vraiment. Et j’ai bien vu comment tu me regardais. Et maintenant que je sais ce qui se passe dans tes soirées. Je suis encore plus curieuse et tentée.
Je ne crois pas que mes parents soient heureux d’apprendre dans quel environnement je suis. Ils me pensent en sécurité. Ce n’est peut-être pas le cas?
- Chut tais-toi avant de dire une ânerie.
- Bon tu es au courant de nos petits travers à Marion et moi. Je n’apprécie pas beaucoup que tu essayes de faire une sorte de chantage avec ce que tu sais. Bon au moins tu n’es pas totalement idiote tu as compris la portée et le pouvoir que ça te donne. Mais je n’aime pas cette façon d’agir. Tu penses que j’ai envie de te baiser ? Je te signale, tu es la fille de nos amis. Je t’ai laissé penser, ou j’ai fait un geste qui te laisse penser que c’est ce que je veux ?
- Heu tu me regardes mais Non, non répondis je Je….
- Tais toi petite idiote !!
Mon cœur battait plus fort encore mais c’était une douche froide. Je ne m’étais pas rendue compte que j’allais vers le mur. Dans mes fantasmes, séduire Charles me paraissait facile. Il était charmant agissait comme un père. Sans doute une des raisons pour laquelle, j’avais cristallisé mes désirs sur sa personne, la découverte des soirées était un déclencheur. Il avait 30 ans de plus que moi ce qui ne me semblait pas un fossé si large. Mais là je commençais à me noyer.
Mes larmes commençaient à couler. Je me sentais beaucoup moins désirable et sûre de moi à cet instant.
- Non tu ne vas pas pleurer comme une gamine !! Je te croyais prête à tout affronter, même draguer un vieux schnock pour participer à ces soirées coquines. C’est bien çà que tu veux ? Arrête de chouiner, réponds !
- Heu oui c’est ça que j’aimerais
- Et pour çà tu essayes de me faire chanter ? Je ne pensais pas avoir comme pensionnaire une petite salope qui fait chanter les gens et qui va cafter auprès de ses parents !
- J’éclatais en sanglots.
- Ah c’est quoi qui te gêne ? Petite salope ? Ou bien qui fait chanter les gens ? Bon ce que tu as découvert, c’est vrai on ne va pas le nier et on a aucune raison de le cacher maintenant. Mais on est adultes on peut faire ce que l’on veut. Tu crois qu’on va te faire participer à çà. Avec nos amis qui connaissent tes parents pour certains. Certains ont des enfants de ton âge avec lesquels tu es copine si je ne me trompe pas. Tu feras quoi quand tu vas les rencontrer, leur dire “ ah tiens j’ai baisé avec tes parents hier soir” Tu pourrais faire çà?
- Bah non je ne pourrais pas.
- Tu vois dans quel pétrin tu es maintenant ? On va faire quoi de toi ! Approche on fait la paix on va essayer d’arranger tout ça !! Tu sais que ton maquillage est en train de couler tu vas ressembler à un panda !
Une petite détente s’amorçait, je n’étais pas soulagée pour autant. Quelle débandade, mes espoirs fous venaient de faire pschitt et je passais pour une idiote et une salope j’étais choquée que Charles me traite ainsi. Mais il n’avait pas tort.
- J’approchais de Charles, j’avais le soleil dans le dos et il mettait sa main en casquette pour ne pas être éblouis. Debout à côté du transat, les joues pleines de larmes et la goutte au menton. Je n’étais pas la tombeuse que je rêvais d’être. Loin de là.
Charles posait ses mains sur mes hanches, et m’attirait vers lui.
- Approche idiote, tu es trop jolie, trop désirable. Je ne devrais pas le dire, pas le faire mais tu m’as forcé la main, jamais cela ne serait pas arrivé si tu n’avais pas joué à ce jeu dangereux. Oui depuis que tu es arrivée, je te regarde, mais tu es la fille de nos amis. Pourtant tu me fais envie je ne vais pas le nier. Il faudrait que je sois idiot non. Tu vois comment tu es foutue, y’a qu’un gay qui n’aurais pas envie de toi.
- C’est gentil Charles, je peux t’appeler Charles ?
- Bien sûr, et puis après ce qui risque de se passer tu le feras de toute façon.
- Mon cœur fit un petit bond, qu’allait-il se passer ? Je n’osais y croire
- Je crois que je vais devoir te céder, j’en ai trop envie moi-même. Petite salope.
Tandis qu’il parlait ses mains me caressaient, allaient et venaient sur ms flancs, mon dos, mes fesses, s’attardaient sur mes seins. Je ne pleurais plus, je tremblais comme une feuille. J’enjambais le transat et me collais contre la poitrine de Charles.
Tandis qu’il commençait à m’embrasser non pas comme la fille d’amis, mais comme une amante. Une fois assise sur son horrible short j’ai pu sentir à quel point il m’aimait.
Je ne pouvais rester de marbre. Je me penchais en avant et posait mes lèvres sur les siennes. Il entama un baiser qui me firent frissonner. Je n’avais jamais reçu un tel baiser.
Me regardant droit dans les yeux tout en caressant mes seins et agaçant mes pointes. Charles dit
- Tu as vu petite espionne, tu as vu le genre de soirée. Cela ne te fait pas peur ? C’est très spécial tu sais.
- Oui j’ai vu je sais et j’ai depuis longtemps très envie d’essayer çà !!
- Depuis longtemps ? Tu as 18 ans tu n’a surement pas beaucoup d’expérience. Tu n’es pas vierge au moins ?
- Oh non cela fait longtemps, et en plus je l’ai fait toute seule dis-je pour crâner.
- Ah mais dis-moi, tu es vraiment une chaude petite chienne. Et tu as fait çà comment te dépuceler ?
- Sans vraiment le faire exprès avec une canette de bière. J’étais trop excitée.
- Tu as vraiment le sexe dans la tête depuis longtemps, ma jolie.
- Oui je ne le fais pas exprès, c’est comme çà et puis je regarde trop de porno aussi.
- On va voir ce que l’on peut faire, ma chérie. Pour les soirées on va devoir éviter les amis que tes parents connaissent. Imagine s'il te reconnaissent et en parle à tes parents ?
- Je me jette dans la Seine, ils ne supporteraient pas.
- Tu sais j’ai à peu près le même âge que ton père.
- C’est pour çà..
- Pour çà quoi ?
- Que tu m’attires autant, j’aimerais que tu sois mon père.
- Mais tu as le vice au fond de toi, tu aimerais faire l’amour a ton père ?
- Oui c’est vrai. Dis-je en baissant les yeux et en rougissant.
- Tu es trop mignonne, çà veut baiser son père mais çà rougis en l’admettant. Ah oui tu es unique, ce serait un sacrilège de te louper. On va faire de toi une petite chienne, une esclave obéissante. Tu le veux ? Je te préviens si on commence il faudra aller au bout. Et pour commencer je vais te faire grimper au ciel, j’ai trop envie de toi depuis que tu es sur moi !
- Oui je sens bien ta grosse queue qui palpite parfois, dis-je posant ma main sur le sexe dans son short. J’ai envie de te sucer Charles, mon chéri.
- J’allais te le demander.
Je m’agenouillais il s’était installé une jambe allongée sur le transat, et son autre pied appuyé sur le transat à côté. Je fis glisser la fermeture du jean. La queue de Charles était de très belle taille, mais surtout grosse et noueuse avec toutes les veines gonflées. Je remarquais qu’il portait un cock ring expliquant l’érection en acier qu’il me proposait.
Je posais mes mains sur la queue tendue, mes deux mains ne suffisaient pas à cacher ce membre. Tout le gland gonflé restait à découvert. Charles me regardait intensément avec ses yeux brillants, un petit sourire sur le visage. Je commençais par lécher le gland, comme une sucette, une glace. Je lapais, tout en mouillant cette chair gonflée. Sous mes doigts je sentais chaque tressaillement de la queue, les palpitations, les moments où elle enflait légèrement. Lentement je faisais glisser la peau vers le bas, le gland gonflait plus et le frein se tendait, les hommes adorent qu’on leur fasse çà. Ma langue passait et repassait sur ce petit voile de peau qu’est le frein je le faisait vibrer comme une corde de guitare. Sans oublier les deux petits points blancs, petits récepteurs hypersensibles. Je ne savais pas encore que : avec de la patiente et juste en les stimulants, je pouvais provoquer l’éjaculation et l’orgasme de l’homme. J’étais déjà pas mal douée mais j’avais énormément à apprendre.
J’étais vraiment excitée moi aussi, un léger fourmillement dans la zone de mon sexe me le prouvait. Je trouvais la queue de Charles vraiment magnifique. Jamais je n’avais eu de partenaire doté d’un tel engin. 20 cm sans doute et une épaisseur telle que j’arrivais à peine à en faire le tour avec ma main.
- Hmm pas mal murmura Charles, mais active toi un peu petite chienne.
Je pris alors son gland dans ma bouche, j’avais un peu de mal à le prendre dans ma bouche. Mais Charles m’aida en posant ses mains sur ma tête. Sans la moindre hésitation. Il appuyait ma tête sur son sexe tendu et c’est, contrainte que j’avalais son membre. J’étais à la fois furieuse qu’il ne m’ai pas laissé le temps de le faire moi même. D’un autre côté être obligée m’excitait encore plus. Son gland butait contre mes amygdales, ma gorge se contractait s’affolait. Charles aimait çà, j’entendais ses petits gémissements de plaisir. Ses mains se firent plus légére, je remontais jusqu’a laisser sortir son sexe de ma bouche, je reprenais mon souffle, tout en laissant couler sur ce membre un flot de salive qui me dégoulinais sur le menton, le cou et mes seins quand je relevais la tête pour le regarder.
- Pas trop mal pour une débutante petite salope.
J’entendis un lent applaudissement derrière moi. Puis la voix de Marion.
- Tu avais donc raison c’est bien cette petite pute qui nous a espionné l’autre soir. Elle est mignonne sans rien sur elle. Tu vas la dresser ?
- Certainement dit Charles, elle va devenir une esclave parfaite comme toi. Elle ne demande que çà, je le sens. Viens nous rejoindre, ma traînée, à poil.
Marion avait un peignoir de bain blanc et duveteux, elle le laissa tomber a ses pieds. L’autre soir je l’avais vu sucer Charles mais elle était de dos, là en pleine lumière je pouvais voir ses seins lourds, de gros anneaux pendaient au bout de ses tétons. Nombril percé, mais je voyais des tas d’anneaux entre ses cuisses Des gros aux grandes lèvres et des petits sur les petites lèvres. Ce qui attira mon regard c’était son clitoris qui était particulièrement, dégagé et gonflé il était percé de part en part avec une barre dorée avec une boule à chaque bout.
- Tu la regardes petite Dit Charles, tu voudrais être comme elle pleine de bijoux ?
- Oh oui c’est magnifique et excitant. Dis-je
- Tu vas devoir être obéissante et souffrir ma belle.
Soudain Charles me met une baffe énorme, ma tête suis la main qui viens de me heurter la joue droite. Ma joue est brulante, la douleur sérieuse. Je n’ai pas le temps de comprendre que de la gauche l’autre main me propulse dans l’autre sens. J’ai les joues en feu, les larmes aux yeux, elles coulent même, sur mes joues. Je ne sais pas ce que je ressens, trop soudain, trop incompréhensible. J’ai toujours la queue de Charles entre les mains. J’ai senti son membre se raidir quand il m’a giflée. Marion s’accroupi à côté de moi, pose sa main au creux de mes reins et me caresse doucement.
Charles me contemple intensément, il attend une réaction, je suis bloquée, perdue. Je suis sur le point de me lever et de partir en courant. Peut-être que la suite n’aurait jamais eu lieu.
- Dis Merci Maitre me susurre Marion à l’oreille.
- Merci Maitre dis-je
- Plus fort je n’entends rien fait Charles me plaçant une petite claque sur la joue droite. Sa main reste là à 10 cm de ma joue.
- Merci Maitre. Encore la main qui me frappe un peu plus fort que la précédente.
- Je n’entends pas. Dit Charles avec un sourire.
- MERCI MAITRE !! Cette fois j’ai crié à pleine gorge.
- C’est bien chienne, suce-moi bien maintenant.
La main de Marion me caresse le dos, glisse le long de ma colonne vertébrale, se perd entre mes fesses, glisse dans la fente. Le bout d’un doigt inquisiteur tourne autour de mon anus avant de le forcer. Ma réaction me surprend, je détends mes muscles et je sens ma rosette s’ouvrir légèrement. Le doigt de Marion entre en moi. La queue de Charles dans la bouche, mon cul forcé par Marion je suis envahie d’un désir qui me submerge. Je suis leur jouet, j’ai envie d’être a eu, je suis prête à tout faire tout ce qu’ils voudront. J’entre dans mon rôle d’esclave soumise. J’en suis à espérer qu’il me gifle à nouveau. Je suis comme enivrée, le cœur palpitant Mon sexe est surement déjà très mouillé et mon anus palpite autour du doigt de Marion, elle fait enfin ce que j’attendais, un second doigt me pénètre. Je gémis la bouche pleine de la queue de Charles
- Elle aime çà ta nouvelle esclave, une vraie petite pute.
- Une pute comme toi Marion, et tu aimes çà ma truie. Dit Charles
- Oh oui mon Maître.
- Toi petite chienne, viens t’empaler sur ma queue.
Je ne le fais pas attendre, je suis impatiente de le chevaucher, mon corps tremble d’excitation. Je me place au-dessus de sa queue luisante de ma salive. Mes doigts écartent mes lèvres trempées. Quand je suis excitée je mouille énormément, mais là je crois que c’est encore pire. Je descends lentement sur le chibre...
- Ahhrhhhhhhhh ce cri vient du fond de ma gorge.
Quand enfin le membre arrive au fond de moi je suis parcourue d’un tremblement incontrôlable. Instinctivement je pose mes doigts sur mon clito pour me caresser.
- Non on ne se touche pas ! Petite salope !
L’ordre est ponctué par une claque magistrale sur mon sein droit. Qui devient aussi brulant que mes joues. Je donne des coups de reins pour enfoncer la queue plus profondément en moi, je monte et descend dans un glissement facilité par l’humidité de mon sexe. En fait je coule littéralement sur la bite de mon maître.
Soudain un choc, une brûlure barre mon dos, un regard sur le côté, je vois Marion, debout sur ma gauche, légèrement en arrière une ceinture en cuir dans la main droite. Elle vient de me donner un coup qui m’a fait crier. Un second arrive je crie à nouveau. La brûlure est plus forte encore. Etrangement la douleur semble avoir un effet excitant au point que je désire presque sentir à nouveau la brulure.
- Gifle sur ma joue, puis mon sein gauche.
- On ne s’endort pas !! Continue à te baiser salope !! Hurle Charles.
J’avais cessé de monter et descendre sur la queue dressée. Rappel à l’ordre du maitre.
Marion me frappe à nouveau cette fois les reins à la naissance des fesses.
- Aiee !! Criais-je
- Ah tu sens bien comme on t’aime petite pute dit Marion le visage dur
Je remarque que la femme se branle d’une main se baissant légèrement pour ouvrir son sexe et y glisser ses doigts. Marion se rapproche et présente ses doigts a ma bouche, ils sont luisants de son jus de femelle. Je ne réfléchis pas je suce les doigts spontanément. Un gout une odeur un peu comme la mienne quand je suce mes doigts tandis que je me caresse.
- Mais elle a l’air d’aimer çà la petite salope dit Marion.
- Alors tu aimes çà me demande Charles.
Je mets un peu trop de temps à répondre il m’attrape les tétons entre le pouce et l’index de ses deux mains et il tord mes pointes, jusqu’à ce que je hurle. Tandis que Marion me gratifie de deux coups encore plus fort que les premiers. Je suis paumée, je sens une excitation intense, une honte, une peur qui m’envahie. Je sens confusément que ma vie est en train de basculer. La fille très branchée sexe que j'étais fait une mue, prend conscience de sa nature. C’est flou mais je me sens à ma place, je ne devrais pas être ailleurs, pas faire autre-chose.
Charles me regarde intensément alors qu’il tourne encore un peu mes tétons avant de les lâcher et de me gifler. Mon sexe palpite autour de sa queue, je n’ai pas cesser de m’empaler cette fois.
Je regarde Marion et entre mes dents, timidement je lui dis
- Cognes moi Maitresse
- Plus fort on ne comprends rien cries Charles giflant mes deux seins aux tétons endoloris.
- COGNES MOI MAITRESSE !!!
J’ai crié, hurlé surement. Marion souris et lève le bras, la ceinture s’abat avec un sifflement le cuir entame ma peau. La brulure irradie dans tout mon être et une onde de plaisir fait jaillir un orgasme.
- Encore criais je
Je suis “obéie” et je reçois deux coups qui me coupent le souffle. Je m’affale sur Charles car je viens d’avoir un second orgasme d’une rare violence.
D’un geste de la main Charles intime l’ordre à Marion de ne plus me frapper. Je suis quasiment comateuse. Mes nerfs ont été soumis à rude épreuve. Mes “tortionnaires” se muent en parents pleins de compassion. Marion passe sa main doucement sur mon dos en feu. Charles m’enlace et me caline doucement, en me faisant de petits baisers sur le visage.
- C’est bien petite chienne, tu peux être fière, je ne croyais pas que tu réagirais aussi bien. Tu ça devenir une esclave parfaire comme Marion. Dit Charles
- Elle est née pour çà, ce n’est pas possible autrement. Je ne l’ai pas ménagée et elle en redemande.
-Oui comme toi chérie Dit Charles.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le plaisir sexuel et la douleur mélangés sont tout simplement explosifs. Il faut l'avoir vécu pour comprendre
Bonjour Hélène,
Merci pour ce texte fort et intense on sent la force de la réalité au travers de tes mots.
Le côté psychologique est très bien rendu
Thallium
Merci pour ce texte fort et intense on sent la force de la réalité au travers de tes mots.
Le côté psychologique est très bien rendu
Thallium
Beau récit. J'attends la suite avec impatience. Mademoiselle est prometteuse...
Merci @Hellene39
Tu as une écriture intense et délicieuse.
Je pense que Charles et Marion sauront parfaitement t'éduquer
Vite la suite s'il te plaît
Tu as une écriture intense et délicieuse.
Je pense que Charles et Marion sauront parfaitement t'éduquer
Vite la suite s'il te plaît
Bravo toujours aussi bien écrit avec détails j’attendais un peu cette suite qui m’à enflammé tu demarres crescendo mais très vite tu re très dans le vif du sujet avec un Charles Maître dominant une Marion soumise et annelee et notre héroïne qui en redemande et accepte d’être soumise au couple toutefois comme je l’avais pensé est-ce que son corps et sa peau fine de rousse va accepter les coups. Je pense que dans un prochain chapitre ses parents seront de la fête. Daniel
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