Mes charmants hôtes III (Donjon, Fuck Machine, Cravache et Syncope)

- Par l'auteur HDS Hellene39 -
Récit érotique écrit par Hellene39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Mes charmants hôtes III    (Donjon, Fuck Machine, Cravache et Syncope) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mes charmants hôtes III (Donjon, Fuck Machine, Cravache et Syncope)
III Donjon, Fuck Machine, Cravache et Syncope



Le soir même de cette première fois, j’emménageais dans la résidence principale. Ce soir-là je partageai la chambre de Marion et Charles, je partageais même le lit. Il n’y eut aucun acte SM. Mes orgasmes soudains de la matinée avaient écourté notre première fois avec Charles. Lui comme moi regrettions de ne pas avoir consommé cette toute nouvelle relation. On s'est rattrapés le soir, il m’a fait l’amour sans aucune violence, avec une extrême douceur même. J’ai encore eu plusieurs orgasmes, soit grâce à Charles soit avec la bouche de Marion qui m’a littéralement dévorée longuement.

Après cette journée, nous avons parlé de la suite. Charles voulait que je sois totalement consentante, il ne voulait en aucun cas que je sois forcée, que je sois peu sûre de ma décision. Il aurait eu beau jeu de se servir de mon enthousiasme, la nouveauté, la déstabilisation qu’avait fait naitre la découverte de mes gouts pour ces choses. Il me fit comprendre que Marion et lui m’avaient observé et en se basant sur leur longue expérience avaient tous deux conclus que j’avais l’esprit et l’instinct d’une soumise et d’une soumise très physique. L’humiliation de rabaissement de ma personne fait partie du jeu, mais ce n’est pas de là que nait mon plaisir. Cela y participe c’est vrai mais les sensations naissent de la douleur, des coups, des sévices divers. Cette première fois ce fut la flagellation qui a déclenché mes orgasmes ainsi que la pénétration du sexe de Charles bien sûr. Mais en analysant après coup, j’avais pris conscience que la sensation du cuir entamant ma peau, la brulure qui en naissait avait directement agis sur mon esprit et avait été le catalyseur de mon plaisir.

Dans l’immense chambre des maîtres une porte donnait sur une autre pièce. Faisant le tour du lieu avec Marion j’ai bien sur posé la main sur la poignée et prote close.

- Attends ma chérie, Charles te montrera tout à l’heure.

- D’accord, dis-moi Marion il y a longtemps que tu as tous ces bijoux tous ces piercings ?

- Oh oui cela fait des années maintenant. Charles m’a initiée très tôt après notre mariage. J’étais beaucoup moins emballée que toi par tout ça. Mais j’étais et suis amoureuse de Charles il a fini par me convaincre. Il m’a fallu plus d’un an pour admettre tout ça. Pour arriver a faire ce que tu viens de réussir, Charles a mis plusieurs mois pour m’amener ou tu en es maintenant.

- Tu crois que je suis comme çà naturellement ?

- Certainement je n’avais jamais vu une novice réclamer plus de coups. Et je te voyais trembler d’impatience de désir. Maintenant je réagis comme çà tu vas voir quand il va te promettre une punition, tu vas le voir dans ta tête, imaginer, ressentir les choses et tu finis par ne plus tenir il faut que tu le vives. Tu seras encore surprise par des orgasmes qui vont arriver simplement car tu attends la punition. Tu as remarqué comment c’était fort quand tu as joui ?

- Oui ce n’était pas pareil que ce que je ressens habituellement. Et en plus ça m’a donné plus envie de jouir encore et encore. Dis moi je vais avoir aussi des bijoux comme toi?

- Tu aimerais ?

- Oh oui je pense que oui, c’est très joli et ça te va super bien. Tu es adorable ma chérie. Tu sais tout ça c’est Charles qui me les a posés. J’ai préféré que ce soit lui qui le fasse. On aurait pu le faire faire par un pro sans douleur, avec anesthésie. Mais Charles m’a convaincue que dans ce cas cela ne signifierais plus rien. Quand j’ai souffert pour avoir ces anneaux c’était pour dire à Charles que si j’acceptais la douleur c’était pour lui. Tu feras comme tu le désire quand le temps sera venu ma belle. Mais si tu veux en être fière il te faudra souffrir.

- Tu aimes la douleur ? Demandais-je

- Au début non, j’ai appris à l’aimer. Toi je crois que tu l’aimes mais tu ne le sais pas vraiment clairement. Je n’aurais pas supporté ce que tu as supporté hier quand j’étais toute novice. En plus tu te permets d’avoir des orgasmes, moi j’ai mis longtemps à avoir des orgasmes uniquement par la douleur.

- Mais Charles me prenait aussi.

- Oui mais ce n’est pas lui qui t’a fait jouir ce sont mes coups. Tu est d’ailleurs toujours marquée fais voir.

- Elle releva mon t-shirt et passa doucement ses doigts sur mes marques. Avant de faire un baiser sur mon épaule nue.

- Cela ne va pas durer ma chérie. Deux jours et puis çà disparaitra.

Charles entra dans la chambre, l’air guilleret.

- Ah mes deux soumises préférées. Sont là. Hélène il faut qu’on parle. Viens suis moi.

Tirant de sa poche une clef Charles ouvrit la fameuse porte qui donnait dans la chambre, allumant il me fit passer devant lui.

La pièce était immense, tendue uniquement de velours rouge sang et de cuir ou de vinyle noir luisant. Un monde en 3 couleurs, Noir, Rouge, Argent de l’acier luisant sous la vive lumière. Des miroirs partout autour de la pièce.

- Mon donjon des supplices dit fièrement Charles. Marion pourra te raconter les heures qu’elle a passé ici à crier, hurler supplier et surtout jouir heureusement. Oui Hélène je prends plaisir à vous faire souffrir. Tu verras il m’arrive même d’en jouir sans avoir besoin d’autre chose que vos cris et la vision de vos corps punis. Mais petite Hélène tu a bien jouis hier sans que ce soit moi qui te fasse jouir non ? Tu commences a comprendre ce qui se passe ?

- Oui Maître. Commençais-je.

- Non Hélène non. Appelle moi Charles ou même chéri si tu veux, mais Maître c’est pour le jeu. Dans la vie on n’utilise pas çà. Vous êtes mes soumises, mes esclaves uniquement dans les moments de sexe. Je ne veux pas de çà 24/24. J’ai un immense bonheur d’avoir Marion comme femme et comme soumise depuis des années maintenant. Et avec toi cadeau du ciel une jeune et fringante pouliche, prometteuse. Ma petite on va devoir faire un contrat, oui tu entends bien avant de vraiment commencer ton éducation on va signer un contrat qui règle tout entre nous.

- C’est comme ça que cela se fait ? C’est étonnant. Dis-je

- Alors légalement cela n’a aucune valeur juridique c’est vrai c’est plus une sorte de formalisation des choses qui vont intervenir. Mais c’est aussi la trace de ton acceptation des choses. On signera les choses plus tard. Tu trouves comment notre coin secret.

- Impressionnant, quelle mise en scène.

- Tu vas vite comprendre que l’image compte énormément dans le SM. La mise en scène est primordiale, la façon dont les choses seront faites aussi. La douleur, il y en a c’est vrai mais tu comprendras que ce n’est pas si terrible que cela. Tout dépendra de ce que tu veux de quel niveau de douleur tu as besoin pour t’accomplir. Après hier je redoute que tu sois très demandeuse. C’est toi qui demanderas plus ou moins. Avec Marion je sais jusqu'où je peux aller. Avec toi je dois apprendre tes limites. Et tu dois surtout les apprendre toi. J’ai l’impression que ce sera compliqué pour toi car tu es enthousiaste. Tu ne t’imagines pas encore que cela peut vraiment te mettre en danger.

- En danger ?? Dis-je.

- Oh oui, tu vas devoir comprendre que si tu es trop optimiste, si tu es avec des gens pas assez expérimentés tu peux même mettre ta vie en danger ou au moins risquer des blessures sérieuses.

- Vu sous cet angle cela fait peur.

- Ne t’inquiète pas trop dit Marion, moi je n’étais pas un sujet très idéal mais Charles et ses amis ont réussi a faire de moi une vraie accro à tout ça.

J’observais passait d’un instrument à un autre, je me doutais mais ne connaissais pas l’usage de tout cet attirail. Sur un mur un rack retenait bien alignés tout un tas de gode de formes et tailles variées. Le dernier noir luisant était vraiment énorme.

- Oh là là celui-là c’est pour le décor. Impossible avec un truc pareil !!

- Détrompe toi ma chérie dit Marion, je l’aime beaucoup ce lui-là.

- Hein ? Tu te moques de moi !! Dis-je

- Pas du tout, et tu auras l’occasion de le voir. Charles m’a transformée, il m’a même beaucoup élargie.

- Allons allons les filles. Vous n’êtes pas toutes sur le même modéle, Marion a pu accepter celui-là, Hélène tu ne pourras peut-être pas ou il te faudra plus gros on n'en sait rien maintenant.

Dans un coin un imposant meuble était plein de boitiers, avec des cadrans, des fils des pinces diverses. Je m’étonnais de trouver autant d’appareils electriques.

Et çà ?

- Ah les générateurs d’impulsion. Tu n’as jamais vu ça ? Même en vidéo ? Cela permet d’envoyer des impulsions électriques dans le corps, certaines parties surtout. C’est très efficace et on aime ou pas. Moi je trouve que c’est beaucoup plus utile pour les hommes que pour les femmes. Mais je te ferais essayer.

- Je vis dans un meuble une machine que j’avais déjà vu en action en vidéo. Une machine a baiser. Une boite avec une tige qui en sort, ça fait un mouvement alternatif, on met un gode sur le manche et le gode où vous voulez.

- Ah çà je veux bien essayer !! Ça à l’air pas mal dans les vidéos que j’ai vues.

- Ça ma petite tu changeras peut-être d’avis si on te laisse comme moi deux heures sur la machine à fond et que tu es attachée. Oh tu vas jouir plusieurs fois, mais ensuite c’est là que commence la torture, quand tu n’arrives plus à jouir qu’il te faudrait de l’aide pour y arriver. J’ai failli devenir folle avec çà.

- Marion on s'est excusés, oui on est parti chercher une bouteille et on a un peu oublié que tu étais dessus.

- Vous n’avez même pas eu l’idée de ramener Isabelle et de la baiser ici, vous êtes restés dans la chambre. Si au moins je vous avais vu la prendre a côté de moi j’aurais peut-être pu aller au bout. Mais là c’était la pire chose que j’ai subi. Dit Marion.

J’ai reparlé avec Marion de cet incident plus tard, elle dit que ce jour-là elle n’était pas en forme et que Charles pour lui donner une leçon l’a volontairement oubliée. Petite querelle sans conséquence mais qui avait marqué Marion. Il est vrai que j’ai pu le constater, parfois Marion fait un blocage et elle est incapable d’atteindre l’orgasme alors que tout son être ne demande que çà. Moi parfois cela peut être très long avant que j’atteigne le plaisir mais je n’ai jamais vraiment bloqué. C’est vrai que si ça arrive les coups vont m’aider.

- Tu veux essayer maintenant dit Charles ?

- Oh oui je veux bien

- Alors prépare toi, Marion va t’aider.

Je suis rapidement nue avec l’aide de Marion, qui m’embrasse, me caresse les seins, puis mets sa main entre mes cuisses caressant mon clito tout en m’embrassant avec voracité.

- Hélène déshabille Marion. Dit Charles

- Oui maître répondis je

- Bravo tu apprends vite me souffla Marion à l’oreille.

Marion était maintenant nue, mais elle portait sous sa robe, un harnais de cuir qui pouvait servir à la maitriser sur certains outils de la salle apparemment. C’était je trouve asse joli et excitant, ses seins étaient entourés par le cuir. Sa taille enserrée lui faisait des hanches encore plus opulentes. J’étais éblouie par tous ses bijoux et je rêvais d’en avoir autant.

- Allez en place dit Charles installe toi. Ah une chose choisi un mot que tu prononceras sir tu veux arrêter si c’est trop fort ou désagréable. On arrêtera tout. Tu as compris dis-moi le mot et dit moi que tu acceptes les règles.

- Oh oui j’ai bien compris les règles, mon mot est ROUGE

- Ok ton mot de sécurité est rouge.

- On t’installe petite esclave.

C’était une sorte de banc couvert de cuir noir, une sorte de coussin se positionnait sous mes hanches pour rehausser mon bassin et mettre mes orifices a portée. Mes jambes étaient attachées a deux montants placés en V au bout de ce banc. Charles attacha mes chevilles, puis mes cuisses. Une large sangle passait sur mon ventre, il la serra si fort que j’en avais le souffle coupé. Il la desserra d’un cran en voyant que je ne pouvais plus respirer. Autour de ma gorge un arceau métallique fut refermé. Mes poignets furent entravés par les bracelets et chaines qui pendaient le long du banc.

- Charles me mit une gifle forte sur les seins en disant.

- Tu vois petite chienne maintenant je peux faire tout ce que je veux de ton corps même si je décidais de te couper en morceaux tu ne pourrais pas m’échapper.

Ces paroles me firent froid dans le dos, il cherchait sans doute à me faire peur. Mais il disait vrai dans cet appareil j’étais vulnérable à 100%. Les coups de martinet qu’il me mit sur les fesses en était la preuve. Je criais de douleur. A droite Marion observait avec le sourire et je remarquais sa main entre ses cuisses et ses doigts agités, tandis que les doigts de son autre main, tournaient et tiraient l’anneau de son seins gauche. Jes anneaux de sa chatte faisait un petit bruit métallique en s’entrechoquant.

- Marion arrête de te branler, lubrifie la petite chienne on ne va pas la détruire tout de suite.

- Oui maitre fit Marion baissant la tête et cessant de se caresser.

J’allais parler quand je fus giflée par Charles.


- L’esclave se tait, petite salope tu vas bien prendre crois moi !!

Marion me lubrifiait copieusement, suite a ses caresses j’étais déjà bien mouillée, mais la elle faisait pénétrer le gel épais et filant, dans mn vagin et mon anus. Cette lubrification était e, même temps des caresses qui faisaient monter mon excitation, malgré mon inquiétude que les paroles de Charles avaient générée. Je n’étais pas vraiment convaincue de la possibilité d’un dérapage, mais c’était un risque et je me trouvais totalement à la merci de Charles et Marion. Cette peur sourde, fait m’excitait. Mon intellect pédalait à fond, fantasmant sur des tortures qui me mèneraient à la dernière extrémité. Je découvrais mes désirs les plus fous. Je ne dis pas que j’espérais une folie soudaine de mes partenaires mais cette possibilité faisait monter mon excitation.

Charles approchait la machine de mon entre cuisse. Les godes mis au bout des grandes tiges étaient de belles tailles. Charles plaçait le gode à l’entrée de mon sexe, engageant le gland doucement, puis il mit en route lentement la machine.

Je sentis une poussée progressive, les chairs de mon sexe cédaient sans problème. Je soupirais de plaisir, alors que l’engin me remplissait, la sensation était semblable à une queue réelle. Mais la puissance de la pénétration était sensible. Le gode butait au fond de mon sexe, il continuait à essayer d’avancer, me tirant un cri. Charles ajustait alors la pénétration en reculant l’engin, pour qu'il bute mais fasse marche arrière après avoir touché le cul de sac de mon sexe. Et ce choc est important, j’aime sentir ce coup qui se répands en moi comme une onde de choc et fais monter mon désir, mon plaisir.

Une fois réglé, il augmenta la cadence de la pénétration, et des ondes de plaisir commencèrent à me submerger.

- Oh oui oui encore !!

- Tu aimes çà petite chienne dit Charles

- Oui maitre ohh c’est bon plus vite !

Il augmentait la vitesse, le gode plongeais et sortait de mon sexe a une allure folle. Je sentais couler ma chatte, mes fesses étaient trempées. Dans les miroirs au-dessus, en face sur le côté je me voyais sous tous les angles. Mon corps lié à ce banc était agité de soubresauts que les vagues de plaisir généraient. Le plastique noir du gode se couvrait maintenant d’une crème mousseuse blanche.

Mon plaisir enflait rapidement, cette machine faisait merveille. Sur un geste de Charles Marion allait chercher un vibromasseur a grosse tête ronde qu’elle mit en marche et vint placer sur mon clitoris déja terriblement gonflé et saillant, tout sorti de son capuchon. Le premier contact me fit hurler tellement la sensation était forte.

- Aiihhhhhhhhhh non aiiiiii

- N’oublie pas le mot si tu veux stopper dit Charles, je lui fis signe que non.

- Pas encore assez résistante ma chérie dit Marion

Elle baissa l’intensité de la vibration et évita de trop appuyer directement sur mon clito. Au lieu de cette souffrance insupportable, la vibration me fit me cambrer, je m’approchais de plus en plus de l’orgasme, je le voulais.

Soudain, Charles prit le fouet et me frappa les seins la longueur des lanières permettait de frapper mes deux seins en même temps, mais le droit sur lequel les lanières venaient buter était plus touché par le bout des lanières qui me marquaient rapidement la base du sein. Comme le ceinturon près de la piscine le fouet me mis en transe.

Ohhhh Putain !! Oui Encore Encore

Charles s’arrêta me regardant fixement et armant un nouveau coup qui ne venait pas. Je réagis instantanément.

- Encore maître !! Cognez moï !! Fort !!

- Bien petite chienne tu apprends vite. Tiens prends çà.

Il abattit le fouet très fort au travers de ma poitrine. Les lanières heurtèrent terriblement fort mes deux tétons simultanément.

- Arghhhh oh ouiiiiiiiiii putain !!!!!!!!!!!! Criais-je

Le coup irradiait tout on corps, mes seins me brulaient, j’en voulais encore Je voyais mon corps se tordant dans les liens le gode allant et venant était totalement couvert de mousse blanche comme de la chantilly.

- Elle commence à squirter légèrement dit Marion elle vient de lâcher quelques petits jets.

- Bien dit Charles, on va lui combler le petit trou maintenant.

A mon grand désespoir il arrêtait la machine.

- Oh non je veux continuer.

- Je veux continuer Maitre dit Charles en me giflant

- Je veux continuer Maitre s’il vous plait.

Charles se pencha sur moi et posa sa bouche sur la mienne. Je rendais le baiser qui dura un petit instant mais en disait long sur Charles, en même temps il passa sa main sur mes seins brulants. Pui il pris un autre god, une succession de 7 ou 8 boules dont le diamètre augmentait les dernières paraissaient bien trop grosses pour mon anus.

Marion me lubrifiait de nouveau, la chatte et mon anus en glissant ces doigts dedans, je ressentais un immense plaisir à cette pénétration. Je suis très anale, j’aime me défoncer le cul avec un gode j’adore qu’on jouisse dans mon petit trou. Vous pouvez le pensez le dire, me le dire je suis une vraie salope, une pute. Contrairement a cette époque aujourd’hui j’ai tout essayé en sexe même le plus interdit dont je ne peux même pas parler ici. Autant avec le meilleur ami de l’homme qu’avec la plus belle conquête de l’homme. La seule chose que je ne ferais pas ce sera la scatologie. Impensable. L’Uro sous toutes ses formes oui, Scat non.

Charles me fit embrasser et lécher le god a boules.

- Allez salope, lèche ce gode il va te défoncer la rondelle, tu vas aimer çà ?

- Oh oui Maître tout ce que vous voulez.

Charles plaçait le gode sur la barre inférieure et réglait de façon que la petite boule soit dans mon anus.Il avait mis les choses en ordre, quand la machine allait prendre mon cul elle se retirerait de ma chatte. Une alternance allait se faire.
Marion avait le vibro entre les cuisses et avec les anneaux dorés cela faisait un cliquetis incroyable. Charles lui mis un coup de fouet sur les seins. Marion avança et se cambrant offrit a nouveau ses seins pour un autre coup. Charles y mit une force certaines, tirant un cri à Marion dont les seins furent vite barrés de rouge. Je me demandais si elle ne venait pas de jouir, elle me dit que oui après. Tout son corps avait été secoué par un long tremblement sa tête rejetée en arrière elle. La voir ainsi me fit contracter mon sexe et mon anus. J’étais impatiente que tout redémarre.

Charles mis en marche la machine, et de nouveau le gode investit mon vagin puis se retire et le gode anal me pénètre, çà glisse facilement et lentement chaque boule m’ouvre un peu plus, les premières entre facilement, puis la pression est plus forte et a chaque boule je pousse un cri de soulagement. La sensation quand il se retire est démente. Les boules qui me quittent font des ondes de sensation, et juste avant que le gode entre dans ma chatte. Je sens que je lâche un petit jet d’urine ou un squirt

- Ah quelle petite chienne elle adore se faire prendre des deux côtés en même temps dit Charles, puis à Marion, vas donc lécher la petite et bois son humidité ma grosse salope. Me voilà ave deux esclaves

Charles approcha de moi la queue tendue, il la posa sur ma bouche je ne me faisais pas prier pour prendre son gland, je tournais la tête vers lui. Entravée je ne pouvais que le laisser baiser mes lèvres. Ce qu’il faisait me poussant sa queue au fond de la gorge.Et quand Marion commençât à me lécher je jouissais violemment. Sans pouvoir crier mon plaisir. Je me tortillais dans mes entraves. Ma peau était luisante de gouttes de sueur Dans les miroirs je me trouvais belle, désirable, excitante. Dans mon esprit j’étais la femme dont tous les hommes rêvent. Hélas je me trompais lourdement. C’est l’inverse, au lieu de me désirer par la promesse de ce que je peux leur offrir beaucoup sinon la plupart craignent surtout de ne pas pouvoir assumer mes désirs Avec Marion et Charles nous avons rencontré des tas de couples et beaucoup d’hommes n’ont pas souhaité concrétiser.

Mon mari actuel refuse de me soumettre et d’user de violence avec moi et j’en suis frustrée. Mais notre vie sexuelle n’est pas conventionnelle et sage. Sinon je n’aurais pas pu continuer depuis ces années. J’espère toujours le convaincre pour m'éclater avant d’être trop vieille Déjà revenir à l’échangisme que nous avions pratiqué assez longtemps.

Avec Marion et Charles je vais devenir une salope qui sera un condensé de perversion pure. Une esclave sans limites ou presque. C’est mon désir de devenir un morceau de viande pour satisfaire les hommes et les femmes qui me feront hurler de douleur et de plaisir.

Charles se retire de ma bouche les godes ont accélérer leur mouvement juste avant que le gode entre dans ma chatte maintenant un jet de plus en plus fort et abondante gicle de mon urètre. Intercepté par la bouche de Marion qui bois à ma source. Soudain brûlure sur mes seins, puis une autre, une autre et encore un peu à côté. Charles à trois grosses bougies rouges dans les mains et il laisse couler la cire brulante sur mon corps. Rapidement mes seins sont constellés de tâches de cire, mon ventre il descend vers mon pubis, puis vers mon sexe les gouttes pleuvent sur ma chatte défoncée par les godes, les godes eux même reçoive de la cire qu’ils font entrer dans mon vagin ou mon anus.

Marion très excitée présente ses seins a Charles, il lui fait couler longuement la cire sur ses gros seins elle crie se tortille mais reste pour en recevoir encore. Puis Charles prend deux bougies une dans chaque main et les éteint en les plaquant sur les tétons de Marion. Une longue plainte sors de sa gorge alors qu’elle se met à trembler. Elle est encore dans cet état quand Charles applique la 3eme bougie sur la chatte ouverte de Marion qui cette fois hurle à gorge déployée.

Ce spectacle me fait jouir a nouveau et alors que Charles accélère la machine je jouis coup sur coup squirtant comme une folle de longs jets Que Mario essaie de boire, mais qui l’inonde de la tête au pied. Charles a repris une cravache et frappes mes seins en cadence tandis que Marion me branle le clito. Les orgasmes se succèdent. A tel point que j’ai l’impression d’un orgasme permanent. Je suis sur le point de crier “ROUGE” quand le monde s’estompe devient gris, les bruits sont étouffés. Mon esprit à une dernière pensée “ tu es en train de mourir” .......................néant noir complet.



Un rai de lumière, on m’appelle dans une sorte de brume, autre rai de lumière mes paupières lourdes s’ouvrent péniblement. Je sens a peine mon corps, je suis exténuée. Deux visages deviennent plus nets. Charles et Marion penchés sur moi. Une forte odeur agresse mes narines et me réveille cette fois.

- Te voilà revenue adorable petite chienne dis donc c’était très fort pour une première. Je pensais que tu demanderais grâce plus vite. Au lieu de çà tu vas à fond et me fais une syncope. Tu mérites mon respect, ma chérie dit Charles en caressant ma joue

- Tu m’as fait peur dit Marion quand te yeux se sont révulsés après les hurlements que tu as poussés Charles me disait que c’était de la jouissance, j’en doutais mais il avait raison on dirait.

- Oh j’en peux plus, je vais dormir, mais on le refait plus tard.

Ensuite tout est flou, ils m’ont mise au lit et sont venus me rejoindre le soir, j’ai échangé quelques mots, quelques caresses douces aves Marion et Charles, la dernière image et sensation c’est les lèvres de Marion qui quittent ma bouche et me murmure bonne nuit ma petite chérie.





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Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour Hélène

Sacré texte et expériences. Impressionnant d'intensité et de sensations mêlées.

Merci pour ce partage

Thallium

@ Prospero
Merci pour le gentil commentaire et on poursuit en mail les discussion.

@ Daniel
On peut en parler via le mail je n'aime pas les incompréhensions
AU moins tu a lu tout le texte un progrès

Chère Hélène
récit bluffant. Moi qui ai été en couple avec une femme de votre nature j'ai senti votre implication, le plaisir qui est le votre malgré les apparences. Je vous comprend d'autant mieux que je dominais ma compagne qui comme vous avait des limites extensibles.
Chacune de vos tranches de vie font écho aux choses que j'ai vécu.
Je vais vous contacter par mail pour parler de tout çà.
Bravo encore pour votre écriture.
Gilles

Histoire Erotique
Hélène jamais je n’ai lu jusqu'au bout un texte traitant de la BDSM je trouvais cela dégradant et humiliant pour la soumise (car souvent c’est des femmes)mais cette fois ci j’ai lu tout ton texte et j’ai partiellement compris tes explications tes descriptions et ton ressenti m’a aidé à mieux appréhender. J’ai bien compris que le maître se devait d’être bien formé toutefois dans ton récit le passage ou tu as expliqué qu’il avait lui même apposé les anneaux sans anesthésie ni formation en indiquant que pour la soumise c’était mieux j’en doute médicalement parlant. Daniel



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