Mes chers hôtes V Initiation pinces et zipper - histoire érotique

Mon éducation avec Charles et Marion prenait la forme de sessions particulières dans lesquelles je découvrais de nouveaux aspects du BDSM et des nouvelles techniques douloureuses ce qui était mon point de focalisation. Charles insistait sur l’obéoissance de tous les instants et ce n’était pas mon point fort. Mais me confronter a de nouveaux défis douloureux et j’accourais. Ils savaient tous les deux que c’était ma nature profonde. Charles et Marion en avait pris leur parti, ils essayaient de faire le mieux pour moi. Ce soir-là Charles était absent. Marion me l’apprit au souper, de même que la soirée serait studieuse. Les soirées habituelles étaient toujours studieuses et placées sous le signe du sexe bien évidemment. On se retrouvait fréquemment tous les trois au lit. Il n’y avait pas toujours de sévices ? Parfois c'était câlin mais il y avait toujours un moment où je prenais une fessée, une gifle. Ce qui était toujours présent c’est le plaisir. Charles et Marion mettaient un point d’honneur à me faire connaitre le maximum d’orgasmes.
De mon côté j’adorais faire jouir Charles. Il adorait prendre ma bouche sans fin. Et il ne finissait toujours par me donner tout son foutre. Marion elle adorais tous les petits amusements, faire trainer l’instant où elle allait me libérer, je dois dire qu’elle m'épuisait totalement.



- Ce soir ma chérie tu va faire connaissance avec les zipper, les zip les fermetures éclair. C’est simple. Regarde

Marion avait un panier avec de toutes bêtes pinces à linge utilisées pour étendre la lessive. Elle avait çà et plusieurs longueurs de ficelles. Elle commença a me poser des épingles à linge sur l’épaule. Pinçant un peu la peau elle mettait la pince sur le petit bourrelet formé. Puis descendant de 5 cm une autre pince. Elle prenait soin de passer dans le trou du ressort la ficelle. Reliant ainsi toutes les pinces sur une seule ficelle.
Les pinces serraient un peu, mais supportable, enfin dans la durée la morsure devenait plus sensible. Marion équipé mon autre bras je commençais a ressembler a un petit hérisson. Cette fois elle plaçait les pinces tout autour de mes seins la première étant elle une pince placée sur mon téton. Elle faisait plus mal celle-là. Après avoir fait le tour de la courbe de mes seins par le bas elle mit une longue ligne de pinces qui descendaient jusqu'au pli de l'aine. Le bout de la ficelle marquée par un petit collant rouge.

- Regardez moi çà. Je ne te fais rien et tu es déjà toute trempée une vraie petite salope!!

- Et j’aimes çà être votre petite salope, toit çà est un rêve Marion. Je n’aurais jamais cru que çà arriverais.

- En lui parlant je jouais avec les gros anneaux de ses seins. J’avais très envie d’en avoir à mon tour.

- Ah tu voudrais avoir les mêmes ma jolie. Mais tu sais tout çà je l’ai payé avec toute la sueur de mon corps et ma douleur. Charles voulait que je souffre énormément pour avoir tous mes bijoux. Je crois qu’il fera pareil avec toi ce sera peut-être pire. Quand je vois ce que tu supportes à ton âge. Tu auras l’occasion de rencontrer quelques femmes soumises exceptionnelles qui sont dans nos amies. Je ne souhaite pas que tu arrives à ce niveau. Je ne voudrais pas que pour faire pareil ou mieux qu’elles, tu acceptes des mutilations. Je n’en dis pas plus çà viendras en son temps.

Marion, caressais mon corps, effleurant les pinces, puis elle mit sa main entre mes cuisses et me caressa le clito. J’étais déjà humide.



- Tu es déjà mouillée ma chérie, quelle petite putain nous avons déniché là

- Ah oui montre moi ta chatte on va voir si je suis la seule pute dans ce lit

- Marion ouvre ses cuisses en grand et avec ses anneaux écarte les lèvres. Elle est trempée au moins autant que moi.

- T’est contente ? Dit Marion. Pour la peine vient me bouffer un peu

Je me trainais à 4 pattes pour aller lui manger la chatte. Elle tenait son con ouvert et ma langue lapant toute la liqueur d’elle fournissait abondamment. Je suçais son clito annelé la faisant bondir.

Marion me repoussa sur le dos et prenant un vibro elle vint le poser sur ma chatte écartelée. Enfonçant même la tête dans mon vagin dégoulinant.

- OOhhhhh ouii putain mmm c’est bon pas trop fort : pas trop vite..

- Oh si vite tu va jouir et vite.. Je vais te montrer a qui serve les pinces.

- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhh c’est fort !!!!!

Laissant le vibro appuyé elle attrape la ficelle. Je suis au seuil de l’orgasme, dans cette zone grise qui précède le déchainement. D’un coup sec Marion tire violemment. Toutes les pinces ripent l’une après l’autre.



- Aurggggggggggggggggggggggggghhhhh aie aie aie

Je hurle de douleur mais en même temps l’orgasme arrive. Violent et dévastateur. Marion pousse encore le vibro qui entre dans ma chatte. Secouée de l’intérieur je sens monter un nouvel orgasme.

- Ah tu le prends bien petite salope. Tu en veux encore hein demande moi si tu veux jouir.

- Maitresse fait moi jouir encore.

Elle laisse le vibro saper ma résistance, une paire de gifles me remémore mas condition d’esclave.
Marion a dans les mains les 3 ficelles 2 qui sont sur mes seins et la première que mon autre bras. Quand je vois la sensation ressentie sur une je suis inquiète.

- Vas-y ma belle !! Viens !! Oui branles ton clito

Elle aussi se branle vu le bruit de ses anneaux qui s’entrechoquent

- Ouiiii ouiiii opuiiii criais je au bord de la jouissance.

D’’un coup elle arrache toutes les pinces et je hurle encore alors que mon vagin se contracte expulse le vibro sur le lit. Et en même temps un long jet va tomber sur la cuisse de Marion

- Ah salope !! Tu squirte en plus quelle pute tu fais !!

Tout à mon plaisir je ne fais pas attention aux paroles qu’elle disait.

Cet orgasme me met hors-jeu quelques minutes. Marion me caresse doucement le dos me faisait frissonner. D’instinct j’ai posé ma tête sur son ventre recroquevillée. Ma respiration ralentit lentement.

- Alors bébé c’est comment les zipper ? Demanda Marion

- C’est dingue ! Putain ça fait un mal fou. J’ai été surprise, mais j’ai joui comme une folle. Je crois même que j’ai un peu mouillé des choses.

- Oui ma puce tu m’a lâché un gros squirt Tu a l’air de le faire naturellement

- Je n’arrive pas à me retenir dis-je

- Alors laisse toi aller. Charles adore çà et moi aussi

Marion sortit une paire de pinces à tétons. Et une autre paire de pinces en métal sombre.

- Celles-là tu connais tu en as eu l’autre fois, je vais les mettre là sur tes lèvres

Marion place les pinces reliées par une chainette que mes petites lèvres, elle tire et les tends.

- Aie Aie çà tire

- Douillette ma chérie. Alors tu vas adorer celles-là sur tes bouts de seins.

Elles sont bizarres une sorte de ressort en U avec des patins à chaque bout et sur le côté un levier cranté qui se bloque sur la position de notre choix. Marion positionne la première sur mon téton droit et la referme un petit clic elle est accrochée à mon téton. C’est sensible, ça pince bien mais franchement moins que les autres fixées à mes lèvres. Apréqs avoir capturé mon second téton Marion me dit.

- Petite chérie, tu vas te branler bien fort pour te faire jouir je vais te montrer le pouvoir de ces pinces.

Je commence à me caresser, j’aimes le faire devant les autres, le regard de Marion en dit long sur son envie de me lécher et me faire jouir. Je suis déjà sérieusement mouillée, je glisse mes doigts dans ma chatte et masse mon bouton en l’enduisant de ma mouille. Ça glisse tout seul. Je tâtonne et trouve le vibro je le met en marche et j’applique la tête au centre de mon sexe. Les vibrations se communiquent à tout mon corps. Marion avec deux doigts massent mon clito. Je commence a donner des coups de reins, a gémir.;

- Ohh oui c’est bon. Regarde moi je mouille pour toi...

- Oui ma chérie vas-y continues encore encore que tu sois presque au bout.

Je suis rapidement arrivée au point de non-retour, alors Marion me dit.

- Je vais refermer tes pinces maintenant.

Pour moi elles sont fermées. Je comprends enfin. Avec cette crémaillère on peu augmenter la puissance je vais souffrir .

- Vu comme tu trembles petite chienne tu viens de comprendre comment ça marche. Serre les dents poupée.

Disant cela Marion est a genoux prés de moi. Ses deux mains sur les pinces elle appuie sur le petit levier. Un petit clic chaque fois qu’elle se verrouille. Une fois deux fois.. La pression est intenable. Marion me souris me regarde dans les yeux et cinq ou six crans sont passés. Mes tétons explosent la douleur est si forte que je rejette la tête en arrière et mon cri est silencieux bloqué dans ma gorge. Marion a les yeux brillants rivés sur moi. Elle prend plaisir a me martyriser.

- Branle-toi fort allez je veux que tu jouisses comme une petite pute.

Disant cela elle prend la chainette par le milieu et tire les surfaces sont lisses les pinces vont riper. Lentement elles glissent de mes tétons. Je me tords de douleur et de plaisir. Je suis sur le point de hurler, Marion le sent et d’un coup sec arrache les pinces. Je fais un bond dans e lit, un éblouissement, je hurle en jouissant a nouveau je squirte abondamment et Marion entretien cette ondée en enfonçant des doigts dans ma chatte les jets finissent sur le ventre et les seins de Marion qui est rapidement ruisselante.

- Arghhhh arghhjh aaahhh ahhhhh trop fort !!!!

- Calme-toi .. Respire ma chérie

Je suis au bord de la crise de nerf tant ce que je viens de subir est violent.

Ces pinces peuvent vraiment écraser des mamelons si on ne laisse pas un minimum d’espace elles pourraient blesser sur les tétons, les lèvres du sexe voir sur le clito elles sont infernales. C’est un des rares outils BDSM qui me fait trembler si je ne connais pas le dominant qui s’en sert

- Ohhh Marion c’est trop dur!! Vraiment regarde j’en tremble de partout.

Ce n’est rien chérie tu sais quand Charles me les a fait essayer la première fois j’ai tout laissé partie en courant avec les pinces qui m’écrasaient les petits bouts. Il m’a retrouvé dans le couloir recroquevillé dans un coin de porte. Alors toi tu a passé le test comme une grande. Mais tu a bien jouis quand même.

- Bien ? Je ne dirais pas bien, c’était plus violent que ce que je ressens habituellement mais il faudra voir si je m’y fais.

Pour cause je ne me suis jamais habituée à ces pinces. Je suis sure qu'encore maintenant ce serais vraiment une punition pour un mauvais comportement. Charles les utilisait peu à la fin. Quand il les sortait c’est que j’avais fait une grosse bêtise.

Marion me câlinait comme une mère quand je vois ce qu’est devenue notre relation, j’en pleure encore. Je lui en veux de penser que Charles c’est suicidé à cause de mon départ avec Mika. Charles était aussi peiné que moi de devoir mettre un terme à notre relation. Mais il savait que c’était la seule solution et il m’a convaincue. Ensuite ce qui s'est passé et pourquoi je n’ai que des hypothèses

- Bon ma chérie je vais devoir récupérer les pinces qui sont sur tes lèvres mets toi à quatre pattes

Je m’installe à quatre pattes comme une petite chienne que je suis. Marion à pris un gode basique qui représente une belle queue d’homme elle fait quelques allez retour dans ma chatte pour le graisser et elle me prend le cul fermement. J’aimes me faire enculer et je gémis de plaisir. Alors qu’elle me baise avec vigueur mon petit trou.

- Ma chérie attrape la chaine avec ta main, et quand tu seras près de jouir tu vas tirer et arracher les pinces de tes lèvres.

- Ohhh Marion ..

- Tais-toi petite salope dit-elle en me mettant un coup de godemiché sur les fesses

Je branle mon clitoris qui est bien saillant et dur, ma chatte dégouline j’y fourres mes doigts tandis que le mouvement lancinant ans mon cul fais monter mon désir. Marion me colle quelques claques sur les fesses qui sont bien rouges J’aurais aimé quelques coups de fouet mais je n’ose pas réclamer. Marion passe sa main sous mes seins et viens tordre mes tétons toujours très sensibles après les pinces.

- Ensuite ma petite pute, tu va me bouffer la chatte et me faire jouir moi aussi. Tu a bien trop jouis toi.

Le gode coulisse parfaitement dans mon cul, mon anus est bien ouvert. Mes caresses font monter des vagues de plaisir dans mon ventre.

- Allez chienne, arrache moi ces pinces vite. !! Cries Marion.

Je tire un coup sec. Je crie elles ont bougé mais se sont arrêtés à la bordure des lèvres plus épaisses. Un coup sur mon cul me rappelle à l’ordre. Le gode est en train de me labourer et je suis au seuil de l’orgasme. J’attends d’arriver à celui-ci et quand il déferle je tire un grand coup au moment où je jouis. Je me retrouve à genoux sur le lit les pubis en avant tétanisée. Mon orgasme et long et je squirte intensément secouée de spasmes.

- Arhhhhhhh arhhhh oui oui oui !!!!!

- Jouis chérie jouis encore

Marion est maternelle aussi vite qu’elle devient domina. Là elle me soutient voyant l’intensité de mes sensations. Je me laisse aller dans ses bras, elle me repose doucement sur le lit. Me baisant le front.