Mes confidences érotiques Ch.10 : Mon Oncle, Stéphanie et Moi
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2024 dans la catégorie Plus on est
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Mes confidences érotiques Ch.10 : Mon Oncle, Stéphanie et Moi
Chapitre 10 : Mon oncle, Stéphanie et Moi.
Le lendemain matin, Stéphanie est sous la douche et je suis dans la cuisine avec mon oncle.
– Alors Tonton, tu es content que ma copine soit venue me voir ?
Je lui pose cette question avec un sourire qui en dit long sur ce que je j’en pense.
– Oui et…non. Oui pour son côté petite salope que tout homme ne peut qu'apprécier et non, car j'aime bien être seul avec toi pour t'aimer à ma guise et quand je veux. Tu n'es sûrement pas aussi marie-salope qu'elle malgré ce que tu m'as raconté.
– Il faut que je te dise quelque chose, Tonton. Mais tout d'abord je dois savoir si les trucs que je fais avec Stéphanie… est-ce que ça te dérange ? Penses-tu que je sois dépravée ou quelque chose comme ça ? Je suis peut-être nymphomane ?
– Aucunement mon cœur, tu es une belle femme, et je pense que c'est merveilleux que tu puisses profiter des filles autant que des garçons. De cette façon tu peux voir toutes les facettes de l'amour et de l'acte sexuel.
– Je suis contente de t'entendre dire ça. Je ne voudrais surtout pas que tu penses que je suis une cochonne…une salope…
– Si je t'ai dit hier soir que tu es une fille très particulière, je n'ai pas du tout voulu dire ça.
– Je sais, mais je voulais être sûr que ce n'était même pas une supposition.
– Bon, et maintenant qu'est-ce que tu as à me dire de spécial.
– Tu te rappelles, quand nous avons commencé à faire l'amour…je t'ai parlé des garçons et de ce que j'ai fait avec eux…
– Bien sûr je me souviens, qu'est ce qui te préoccupe,
– Et bien… j'ai menti à ce sujet.
– Que veux-tu dire mon cœur ?
– J'ai… j'ai bien flirté avec des garçons, enfin tu vois…plus que flirter… comme sucer leurs bites et les branler … mais je n'ai jamais permis qu'ils me pénètrent.
– Tu…tu veux dire que tu étais vierge ?
– Oui, enfin…pas tout à fait… comme je ne prenais pas la pilule, je les autorisais à prendre mon petit trou du cul, mais à force de jouer avec ma chatte et les godes de Stéphanie, j'ai déchiré mon hymen…mais aucun homme ne m'a pénétré entièrement. Même mon prof de gym ne m'a mis que le bout de son gland avant que je lui dise de m’enculer. Je t'ai menti sur ce sujet, car j'avais peur que tu ne veuilles pas faire l'amour avec moi et prendre ma virginité. Je ne dis toujours pas tout à Stéphanie et je ne voulais pas qu'elle me prenne pour une gourde. Mais je voulais me garder pour toi que j'aime depuis longtemps. Tu es vraiment mon premier amant, tonton.
– Oh Sophie, mon bébé, dit-il en me serrant fort dans ses bras.
– Tu n'es pas en colère contre moi pour avoir menti ? C'est Stéphanie qui m'a conseillé de faire comme si j'étais une petite salope pour que tu me baises sans penser que tu fais çà avec ta nièce. Tu ne m'en veux pas ?
– Pas du tout ! Bien sûr que non, je ne pourrais jamais être en colère contre toi. Tu m'as offert le plus beau des cadeaux. Ta belle chatte pour ainsi dire vierge. Avant que tu viennes, j'étais presque mort, sans raison de vivre. Maintenant j'aime la vie, et même si ce que nous faisons n'est pas très bien…je m'en fous complètement ! Je t'aime !
Serrés l'un contre l'autre nous nous embrassons longuement, passionnément, et j'essuie une larme qui perle au coin de ma paupière.
– Je me sens mieux maintenant Tonton, nous allons avoir de bons moments ensemble et je vais faire tout ce qu’il faut pour te rendre vraiment heureux.
– Oh, mais je le suis déjà, mais je suis sûre suis sûr que tu peux encore faire mieux.
Nous montons à l'étage et le bruit de la douche a cessé nous indiquant que nous n'allons pas tarder à voir Stéphanie.
– Sans vouloir me plaindre, je suis quand même moins femme que Stéphanie. Elle est plus vieille que moi, mais elle fait plus jeune avec ses petites fesses. Par contre elle a une poitrine superbe, hein, Tonton ? Tu as aimé sa paire de fesses rebondies et ses gros seins ? Ils sont beaux, hein ?
– Oui, mais elle est quand même un peu maigre du bas. Je préfère ton superbe cul qui me fait bander dès que je le vois. Et n'oublie pas ce que je t'ai dit hier soir.
– Je sais, mais elle est si bien développée… comme l'est une vraie femme, dit Sophie. Moi, je suis juste une...
– Vraie femme aussi, dit-il en me coupant la parole. Tu es aussi femme qu'elle, mais d'un genre différent. Et pour moi tu es la plus belle et la plus désirable. Ne t'attache pas à des choses superficielles. Rappelle-toi que dans un troupeau de femelles en chaleur, tu seras toujours ma reine.
Une minute après Stéphanie déboule dans le couloir et entre dans ma chambre où nous sommes assis.
– Je pensais que seriez déjà nus…
Dis Stéphanie complètement nue et encore un peu mouillée, souriante, une serviette à la main.
En plein jour est encore plus impressionnante que lorsqu’il l’a vue la veille au soir. Ses énormes seins semblent encore plus gros que jamais, captant son attention, avec ses grandes auréoles pourpres et ses gros tétons épais déjà bien tendus. Je lui demande.
– Veux-tu que je t'essuie, Stéphanie ?
Hochant de sa tête pour un accord silencieux, je prends la serviette et je commence à sécher son dos.
Stéphanie regarde Jacques en souriant et passe ses doigts dans ses cheveux courts, luisants et humides, qui semblent encore plus noirs que possible. Ces bras maigres, avec leur tatouage sur l'arrondi de l'épaule, sont soulevés en hauteur comme pour mettre en valeur sa sexualité animale et signaler qu'elle est prête à se faire monter.
Moi je les observe et je souris en frottant la serviette sous le bras de Stéphanie, pour sécher et démêler l'épaisse touffe de poils qui remplit les profondes crevasses avec une densité et un volume rarement vu chez une femme et même un homme
.
– Regarde Tonton, Stéphanie a comme une chevelure sous les bras. Je pense que tu devrais raser notre Stéphanie…
– Non ! Moi j'aime bien mes poils. Déclare Stéphanie. Qu'en pense notre Tonton ?
Jacques hoche la tête et avale avec difficulté sa salive. Maintenant, son érection naissante palpite dans son pantalon.
– Jacques m'a rasé plusieurs fois et c'était très amusant, n'est-ce pas Tonton. Et maintenant ça commence à repousser. Regarde.
Stéphanie glousse quand je lève mes bras pour lui montrer les petits feux follets de poils à peine visibles même après quelques jours.
Je reprends le séchage du corps de Stéphanie et je m'occupe des seins qu'elle a soulevés pour me permettre d'essuyer en dessous. Deux torpilles narguent mon oncle avant que je frotte l'épaisse toison qui entoure sa chatte.
– Muuummm, roucoule Stéphanie en écartant ses cuisses.
– Maintenant, enlève-moi ça.
Je soulève mes bras pour permettre à Stéphanie de retirer mon teeshirt au-dessus de ma tête, et je suis maintenant nue jusqu'à la taille.
Stéphanie est légèrement plus grande que moi, et quand elle m’embrasse, ses seins massifs s'écrasent contre mes petits tétons.
Mon oncle me dit que j’ai de beaux seins, mais à côté de ceux de Stéphanie, ils paraissent petits.
En parlant de mon oncle, celui-ci ne peut détourner ses yeux de ce tableau idyllique et il reste figé devant tant de beauté. Je lui demande.
– T'as un problème, Tonton ?
– Non mon cœur, vous êtes très belles enlacées ensemble.
– Notre Tonton peut aussi se déshabiller. Dis Stéphanie pendant qu'elle retire mon slip.
Elle ajoute.
– Nous allons l'aider, d'accord Sophie ?
Nous nous approchons de Jacques et Stéphanie déboutonne sa chemise, tandis que je la tire par le haut et l’embrasse dans le cou. Torse nu, Stéphanie laisse courir ses doigts dans ses poils gris qui couvrent sa poitrine, et taquine légèrement ses tétons.
En la regardant faire, je fais comme elle et maintenant nous sommes toutes les deux en train de sucer ses tétons.
– Ooooooh !
Tonton ne peut s’empêcher de gémir quand nous croquons le bout de ses seins. Tout son corps frissonne quand cette coquine de Stéphanie embrasse et mordille sa peau jusqu'à son épaule et son cou. Elle lève même son bras pour grignoter son aisselle, et bien sûr je copie et je sens ses genoux qui flageolent.
Stéphanie tombe à genoux, détache sa ceinture et son pantalon tombe au sol, le laissant juste en slip et chaussettes.
– Regarde l'effet que nous avons sur ton Tonton, Sophie,
Dit Stéphanie en passant sa main sur le renflement de son slip qui présente déjà une belle tache devant.
– On dirait que Tonton à des fuites. Ses couilles doivent être pleines et ça déborde déjà.
Avec une main sur ses hanches et une autre de Stéphanie, son slip a vite fait de disparaître. Sa belle bite voit le jour, arrogante, la veine qui court au milieu de sa queue n'a jamais été aussi boursouflée et son gland boursouflé est rouge violacé.
– Aaaahhhhh, ouiiiii…
C'est sorti tout seul quand il nous voit lécher les côtés de sa queue, à partir de la base rasée et sur toute la longueur de celle-ci, jusqu'à la couronne du prépuce avant de glisser vers le bas jusqu'à sa base.
Nous continuons encore et encore, et sa bite saute et tressaute, à chaque coup de langue des beautés nues à ses pieds.
Il met ses mains au sommet de nos têtes, caressant nos cheveux de ses doigts en regardant un de ses fantasmes devenus réalité. 2 filles à pour son plaisir.
– Regarde Tonton, ça coule un peu au bout. Attends, nous allons te nettoyer. Dis Steph’
Nos langues glissent sur la couronne du prépuce et se réunissent à la pointe de son gland. Avec des petits coups de langue, nous tamponnons et léchons son méat entrouvert puis le bout de nos langues entre dans un duel pour recueillir les gouttelettes qui suintent.
Des filaments de sperme s'étirent et sont lapés par 2 filles gourmandes, en attendant l'écoulement suivant. La main de Stéphanie va prendre ses couilles, pour les pétrir et accentuer les fuites au bout de son gland.
Je vois bien que Jacques a envie de jouir, mais il veut que ça dure encore et il serre les dents. Il a tellement de choses qu’il a envie de nous faire. Tant d'endroits qu’il veut baiser.
Il tire nos têtes légèrement vers le haut et nous nous levons. Stéphanie dit.
– On n'arrive pas à se décider qui va passer la première. Toi, tu as une idée, Tonton…
Puis Stéphanie ajoute comme si elle lisait dans son esprit.
– Moi j'aimerais bien te regarder enculer Sophie avec cette belle grosse chose, et moi ensuite. Sophie a sûrement envie…à moins qu'elle se dégonfle.
– Je ne vais pas me dégonfler.
Je réponds avec un air de défi en regardant mon oncle avec mes yeux de biche.
– T'as envie de me la mettre dans le cul, ce soir…tonton ?
Sa respiration s'arrête un instant pendant qu’il voit dans mes yeux un mélange d'excitation et de peur. Ce minuscule orifice, virginal et délicat, faisant sûrement l’objet de ses rêves ces dernières nuits, va donc lui appartenir.
– On verra plus tard pour ton petit cul.
Annonce Stéphanie devenue le maitre des opérations de toutes sortes.
– Tout d'abord je veux vous voir baiser ensemble !
Et sans attendre notre avis, elle me pousse sur le lit et laisse courir sa main sur mon pubis et ma chatte lisse et se retourne vers moi.
– Ooooooh ! Mais elle mouille la petite coquine !
Et elle plonge sa figure entre mes cuisses et commence à bouffer ma chatte.
Rien que de regarder les expressions de mon visage, Jacques voit très bien ce que je ressens sous les coups de langue de Stéphanie. Sa main caresse négligemment sa bite, comme s’il avait besoin de la garder en forme.
La bouche humide, Stéphanie s'écrit ;
– À toi, Tonton ! Elle est prête. Baise-là !
Il grimpe sur le lit et se place entre mes cuisses qu’il trouve si belles. Ses yeux s’attardent un instant sur mon mont de vénus lisse et brillant par ma cyprine et la salive de Stéphanie, avant de prendre sa bite d’une main pour frotter son gland le long de ma fente humide, j'entends Stéphanie gémir de satisfaction.
Elle est à genoux sur le lit à côté de nous avec ses jambes écartées. Une de ses mains serre un de ses gros seins tandis que son autre main s'agite furieusement entre ses jambes. Ses doigts enfuis dans sa toison noire, elle nous regarde.
– Allez…mets là ! Baise là Tonton.
– Ouiii, Tonton, prend-moi !
Il glisse son gland entre mes grandes lèvres déployées et l’introduit dans mon sexe.
Je gémis doucement de plaisir lorsqu’il repousse mes petites lèvres si sensibles et j'entends Stéphanie gémir aussi. Jacques s'enfonce lentement dans ma jeune chatte qui n'a connu, pour ainsi dire, que ma bite et lorsque son nœud cogne sur mon utérus, je ne gémis plus…je feule de plaisir.
– AAAAaaaaahhh…ouiiiiiiiii Tonton ! Baise-moi !
Son attention est détournée par les hurlements de Stéphanie.
Il la regarde, incrédule, car elle est déjà en train de jouir et des filets de cyprine coulent autour de sa main qui branle sa chatte sauvagement. Son corps tout entier est secoué par les spasmes de son orgasme.
Enfin, il détourne ses yeux pour revenir dans les miens et voir mon visage qui exprime le plaisir qu’il me donne quand il m’empale de son pieu de chair. Il ferme ses yeux et il savoure lui aussi ce plaisir merveilleux d'aller et venir lentement dans mon puits d'amour.
– Ouiii ! Baise là ! Baise là plus vigoureusement ! crie Stéphanie quand elle a récupéré. Putain ! C'est chaud ! Tu la sens bien sa queue, bébé ?
– Ouiii, elle est grosse et j'en ai plein la chatte ! Oooohhhh, ouiiiiiiiii…
J’arrive à répondre juste avant qu’il augmente le tempo de ses allers-retours dans ma chatte étroite.
– Mets tout dedans ! Bien à fond ! Gueule Stéphanie. Défonce sa chatte de jeune fille.
Et il y va un peu plus fort, mais sans me blesser, car il me baise de la manière qu’il sait que j’aime. Stéphanie attrape ma main la tire entre ses cuisses dans son buisson qui dégouline de jus de chatte.
– Vas-y ! Tu sais ce que je veux.
Bien sûr que je sais ce dont elle a envie cette petite salope.
Je joins mes doigts et glisse ma fine main entière dans la chatte de Stéphanie et je la baise avec ! Je la baise au même rythme que Tonton me baise.
Pendant quelques minutes, nous couinons toutes les deux de plaisir et j’ai un bel orgasme lorsque Stéphanie jouit une nouvelle fois, avec ma main qu'elle maintient enfoncée dans son sexe de ses deux mains.
Le lendemain matin, Stéphanie est sous la douche et je suis dans la cuisine avec mon oncle.
– Alors Tonton, tu es content que ma copine soit venue me voir ?
Je lui pose cette question avec un sourire qui en dit long sur ce que je j’en pense.
– Oui et…non. Oui pour son côté petite salope que tout homme ne peut qu'apprécier et non, car j'aime bien être seul avec toi pour t'aimer à ma guise et quand je veux. Tu n'es sûrement pas aussi marie-salope qu'elle malgré ce que tu m'as raconté.
– Il faut que je te dise quelque chose, Tonton. Mais tout d'abord je dois savoir si les trucs que je fais avec Stéphanie… est-ce que ça te dérange ? Penses-tu que je sois dépravée ou quelque chose comme ça ? Je suis peut-être nymphomane ?
– Aucunement mon cœur, tu es une belle femme, et je pense que c'est merveilleux que tu puisses profiter des filles autant que des garçons. De cette façon tu peux voir toutes les facettes de l'amour et de l'acte sexuel.
– Je suis contente de t'entendre dire ça. Je ne voudrais surtout pas que tu penses que je suis une cochonne…une salope…
– Si je t'ai dit hier soir que tu es une fille très particulière, je n'ai pas du tout voulu dire ça.
– Je sais, mais je voulais être sûr que ce n'était même pas une supposition.
– Bon, et maintenant qu'est-ce que tu as à me dire de spécial.
– Tu te rappelles, quand nous avons commencé à faire l'amour…je t'ai parlé des garçons et de ce que j'ai fait avec eux…
– Bien sûr je me souviens, qu'est ce qui te préoccupe,
– Et bien… j'ai menti à ce sujet.
– Que veux-tu dire mon cœur ?
– J'ai… j'ai bien flirté avec des garçons, enfin tu vois…plus que flirter… comme sucer leurs bites et les branler … mais je n'ai jamais permis qu'ils me pénètrent.
– Tu…tu veux dire que tu étais vierge ?
– Oui, enfin…pas tout à fait… comme je ne prenais pas la pilule, je les autorisais à prendre mon petit trou du cul, mais à force de jouer avec ma chatte et les godes de Stéphanie, j'ai déchiré mon hymen…mais aucun homme ne m'a pénétré entièrement. Même mon prof de gym ne m'a mis que le bout de son gland avant que je lui dise de m’enculer. Je t'ai menti sur ce sujet, car j'avais peur que tu ne veuilles pas faire l'amour avec moi et prendre ma virginité. Je ne dis toujours pas tout à Stéphanie et je ne voulais pas qu'elle me prenne pour une gourde. Mais je voulais me garder pour toi que j'aime depuis longtemps. Tu es vraiment mon premier amant, tonton.
– Oh Sophie, mon bébé, dit-il en me serrant fort dans ses bras.
– Tu n'es pas en colère contre moi pour avoir menti ? C'est Stéphanie qui m'a conseillé de faire comme si j'étais une petite salope pour que tu me baises sans penser que tu fais çà avec ta nièce. Tu ne m'en veux pas ?
– Pas du tout ! Bien sûr que non, je ne pourrais jamais être en colère contre toi. Tu m'as offert le plus beau des cadeaux. Ta belle chatte pour ainsi dire vierge. Avant que tu viennes, j'étais presque mort, sans raison de vivre. Maintenant j'aime la vie, et même si ce que nous faisons n'est pas très bien…je m'en fous complètement ! Je t'aime !
Serrés l'un contre l'autre nous nous embrassons longuement, passionnément, et j'essuie une larme qui perle au coin de ma paupière.
– Je me sens mieux maintenant Tonton, nous allons avoir de bons moments ensemble et je vais faire tout ce qu’il faut pour te rendre vraiment heureux.
– Oh, mais je le suis déjà, mais je suis sûre suis sûr que tu peux encore faire mieux.
Nous montons à l'étage et le bruit de la douche a cessé nous indiquant que nous n'allons pas tarder à voir Stéphanie.
– Sans vouloir me plaindre, je suis quand même moins femme que Stéphanie. Elle est plus vieille que moi, mais elle fait plus jeune avec ses petites fesses. Par contre elle a une poitrine superbe, hein, Tonton ? Tu as aimé sa paire de fesses rebondies et ses gros seins ? Ils sont beaux, hein ?
– Oui, mais elle est quand même un peu maigre du bas. Je préfère ton superbe cul qui me fait bander dès que je le vois. Et n'oublie pas ce que je t'ai dit hier soir.
– Je sais, mais elle est si bien développée… comme l'est une vraie femme, dit Sophie. Moi, je suis juste une...
– Vraie femme aussi, dit-il en me coupant la parole. Tu es aussi femme qu'elle, mais d'un genre différent. Et pour moi tu es la plus belle et la plus désirable. Ne t'attache pas à des choses superficielles. Rappelle-toi que dans un troupeau de femelles en chaleur, tu seras toujours ma reine.
Une minute après Stéphanie déboule dans le couloir et entre dans ma chambre où nous sommes assis.
– Je pensais que seriez déjà nus…
Dis Stéphanie complètement nue et encore un peu mouillée, souriante, une serviette à la main.
En plein jour est encore plus impressionnante que lorsqu’il l’a vue la veille au soir. Ses énormes seins semblent encore plus gros que jamais, captant son attention, avec ses grandes auréoles pourpres et ses gros tétons épais déjà bien tendus. Je lui demande.
– Veux-tu que je t'essuie, Stéphanie ?
Hochant de sa tête pour un accord silencieux, je prends la serviette et je commence à sécher son dos.
Stéphanie regarde Jacques en souriant et passe ses doigts dans ses cheveux courts, luisants et humides, qui semblent encore plus noirs que possible. Ces bras maigres, avec leur tatouage sur l'arrondi de l'épaule, sont soulevés en hauteur comme pour mettre en valeur sa sexualité animale et signaler qu'elle est prête à se faire monter.
Moi je les observe et je souris en frottant la serviette sous le bras de Stéphanie, pour sécher et démêler l'épaisse touffe de poils qui remplit les profondes crevasses avec une densité et un volume rarement vu chez une femme et même un homme
.
– Regarde Tonton, Stéphanie a comme une chevelure sous les bras. Je pense que tu devrais raser notre Stéphanie…
– Non ! Moi j'aime bien mes poils. Déclare Stéphanie. Qu'en pense notre Tonton ?
Jacques hoche la tête et avale avec difficulté sa salive. Maintenant, son érection naissante palpite dans son pantalon.
– Jacques m'a rasé plusieurs fois et c'était très amusant, n'est-ce pas Tonton. Et maintenant ça commence à repousser. Regarde.
Stéphanie glousse quand je lève mes bras pour lui montrer les petits feux follets de poils à peine visibles même après quelques jours.
Je reprends le séchage du corps de Stéphanie et je m'occupe des seins qu'elle a soulevés pour me permettre d'essuyer en dessous. Deux torpilles narguent mon oncle avant que je frotte l'épaisse toison qui entoure sa chatte.
– Muuummm, roucoule Stéphanie en écartant ses cuisses.
– Maintenant, enlève-moi ça.
Je soulève mes bras pour permettre à Stéphanie de retirer mon teeshirt au-dessus de ma tête, et je suis maintenant nue jusqu'à la taille.
Stéphanie est légèrement plus grande que moi, et quand elle m’embrasse, ses seins massifs s'écrasent contre mes petits tétons.
Mon oncle me dit que j’ai de beaux seins, mais à côté de ceux de Stéphanie, ils paraissent petits.
En parlant de mon oncle, celui-ci ne peut détourner ses yeux de ce tableau idyllique et il reste figé devant tant de beauté. Je lui demande.
– T'as un problème, Tonton ?
– Non mon cœur, vous êtes très belles enlacées ensemble.
– Notre Tonton peut aussi se déshabiller. Dis Stéphanie pendant qu'elle retire mon slip.
Elle ajoute.
– Nous allons l'aider, d'accord Sophie ?
Nous nous approchons de Jacques et Stéphanie déboutonne sa chemise, tandis que je la tire par le haut et l’embrasse dans le cou. Torse nu, Stéphanie laisse courir ses doigts dans ses poils gris qui couvrent sa poitrine, et taquine légèrement ses tétons.
En la regardant faire, je fais comme elle et maintenant nous sommes toutes les deux en train de sucer ses tétons.
– Ooooooh !
Tonton ne peut s’empêcher de gémir quand nous croquons le bout de ses seins. Tout son corps frissonne quand cette coquine de Stéphanie embrasse et mordille sa peau jusqu'à son épaule et son cou. Elle lève même son bras pour grignoter son aisselle, et bien sûr je copie et je sens ses genoux qui flageolent.
Stéphanie tombe à genoux, détache sa ceinture et son pantalon tombe au sol, le laissant juste en slip et chaussettes.
– Regarde l'effet que nous avons sur ton Tonton, Sophie,
Dit Stéphanie en passant sa main sur le renflement de son slip qui présente déjà une belle tache devant.
– On dirait que Tonton à des fuites. Ses couilles doivent être pleines et ça déborde déjà.
Avec une main sur ses hanches et une autre de Stéphanie, son slip a vite fait de disparaître. Sa belle bite voit le jour, arrogante, la veine qui court au milieu de sa queue n'a jamais été aussi boursouflée et son gland boursouflé est rouge violacé.
– Aaaahhhhh, ouiiiii…
C'est sorti tout seul quand il nous voit lécher les côtés de sa queue, à partir de la base rasée et sur toute la longueur de celle-ci, jusqu'à la couronne du prépuce avant de glisser vers le bas jusqu'à sa base.
Nous continuons encore et encore, et sa bite saute et tressaute, à chaque coup de langue des beautés nues à ses pieds.
Il met ses mains au sommet de nos têtes, caressant nos cheveux de ses doigts en regardant un de ses fantasmes devenus réalité. 2 filles à pour son plaisir.
– Regarde Tonton, ça coule un peu au bout. Attends, nous allons te nettoyer. Dis Steph’
Nos langues glissent sur la couronne du prépuce et se réunissent à la pointe de son gland. Avec des petits coups de langue, nous tamponnons et léchons son méat entrouvert puis le bout de nos langues entre dans un duel pour recueillir les gouttelettes qui suintent.
Des filaments de sperme s'étirent et sont lapés par 2 filles gourmandes, en attendant l'écoulement suivant. La main de Stéphanie va prendre ses couilles, pour les pétrir et accentuer les fuites au bout de son gland.
Je vois bien que Jacques a envie de jouir, mais il veut que ça dure encore et il serre les dents. Il a tellement de choses qu’il a envie de nous faire. Tant d'endroits qu’il veut baiser.
Il tire nos têtes légèrement vers le haut et nous nous levons. Stéphanie dit.
– On n'arrive pas à se décider qui va passer la première. Toi, tu as une idée, Tonton…
Puis Stéphanie ajoute comme si elle lisait dans son esprit.
– Moi j'aimerais bien te regarder enculer Sophie avec cette belle grosse chose, et moi ensuite. Sophie a sûrement envie…à moins qu'elle se dégonfle.
– Je ne vais pas me dégonfler.
Je réponds avec un air de défi en regardant mon oncle avec mes yeux de biche.
– T'as envie de me la mettre dans le cul, ce soir…tonton ?
Sa respiration s'arrête un instant pendant qu’il voit dans mes yeux un mélange d'excitation et de peur. Ce minuscule orifice, virginal et délicat, faisant sûrement l’objet de ses rêves ces dernières nuits, va donc lui appartenir.
– On verra plus tard pour ton petit cul.
Annonce Stéphanie devenue le maitre des opérations de toutes sortes.
– Tout d'abord je veux vous voir baiser ensemble !
Et sans attendre notre avis, elle me pousse sur le lit et laisse courir sa main sur mon pubis et ma chatte lisse et se retourne vers moi.
– Ooooooh ! Mais elle mouille la petite coquine !
Et elle plonge sa figure entre mes cuisses et commence à bouffer ma chatte.
Rien que de regarder les expressions de mon visage, Jacques voit très bien ce que je ressens sous les coups de langue de Stéphanie. Sa main caresse négligemment sa bite, comme s’il avait besoin de la garder en forme.
La bouche humide, Stéphanie s'écrit ;
– À toi, Tonton ! Elle est prête. Baise-là !
Il grimpe sur le lit et se place entre mes cuisses qu’il trouve si belles. Ses yeux s’attardent un instant sur mon mont de vénus lisse et brillant par ma cyprine et la salive de Stéphanie, avant de prendre sa bite d’une main pour frotter son gland le long de ma fente humide, j'entends Stéphanie gémir de satisfaction.
Elle est à genoux sur le lit à côté de nous avec ses jambes écartées. Une de ses mains serre un de ses gros seins tandis que son autre main s'agite furieusement entre ses jambes. Ses doigts enfuis dans sa toison noire, elle nous regarde.
– Allez…mets là ! Baise là Tonton.
– Ouiii, Tonton, prend-moi !
Il glisse son gland entre mes grandes lèvres déployées et l’introduit dans mon sexe.
Je gémis doucement de plaisir lorsqu’il repousse mes petites lèvres si sensibles et j'entends Stéphanie gémir aussi. Jacques s'enfonce lentement dans ma jeune chatte qui n'a connu, pour ainsi dire, que ma bite et lorsque son nœud cogne sur mon utérus, je ne gémis plus…je feule de plaisir.
– AAAAaaaaahhh…ouiiiiiiiii Tonton ! Baise-moi !
Son attention est détournée par les hurlements de Stéphanie.
Il la regarde, incrédule, car elle est déjà en train de jouir et des filets de cyprine coulent autour de sa main qui branle sa chatte sauvagement. Son corps tout entier est secoué par les spasmes de son orgasme.
Enfin, il détourne ses yeux pour revenir dans les miens et voir mon visage qui exprime le plaisir qu’il me donne quand il m’empale de son pieu de chair. Il ferme ses yeux et il savoure lui aussi ce plaisir merveilleux d'aller et venir lentement dans mon puits d'amour.
– Ouiii ! Baise là ! Baise là plus vigoureusement ! crie Stéphanie quand elle a récupéré. Putain ! C'est chaud ! Tu la sens bien sa queue, bébé ?
– Ouiii, elle est grosse et j'en ai plein la chatte ! Oooohhhh, ouiiiiiiiii…
J’arrive à répondre juste avant qu’il augmente le tempo de ses allers-retours dans ma chatte étroite.
– Mets tout dedans ! Bien à fond ! Gueule Stéphanie. Défonce sa chatte de jeune fille.
Et il y va un peu plus fort, mais sans me blesser, car il me baise de la manière qu’il sait que j’aime. Stéphanie attrape ma main la tire entre ses cuisses dans son buisson qui dégouline de jus de chatte.
– Vas-y ! Tu sais ce que je veux.
Bien sûr que je sais ce dont elle a envie cette petite salope.
Je joins mes doigts et glisse ma fine main entière dans la chatte de Stéphanie et je la baise avec ! Je la baise au même rythme que Tonton me baise.
Pendant quelques minutes, nous couinons toutes les deux de plaisir et j’ai un bel orgasme lorsque Stéphanie jouit une nouvelle fois, avec ma main qu'elle maintient enfoncée dans son sexe de ses deux mains.
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