Mes confidences érotiques Ch.11: J'offre mon petit cul à Jacques
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Plus on est
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Mes confidences érotiques Ch.11: J'offre mon petit cul à Jacques
Chapitre 11 : J'offre mon petit cul à Jacques
Jacques vient de nous faire jouir merveilleusement. Lui avec sa belle bite dans ma chatte et moi avec ma main entièrement enfoncée dans celle de Stéphanie.
Dès qu'elle se calme, Stéphanie annonce que c'est son tour.
– Mets là moi, Tonton. Comme hier soir, mais par devant. À fond, vite et fort !
Il retire sa bite recouverte de cyprine de ma chatte et c’est moi qui la mets devant la chatte de Stéph’ qui s'est couchée sur le dos, cuisses relevées et ouvertes.
Sa chatte, après le fisting que je viens de lui faire ressemble à un cratère de volcan bouillonnant de lave et Tonton pousse son gland dedans.
– Mets tout, Tonton ! Crie Stéphanie. Je veux que toute cette grosse queue soit en moi.
Stéphanie est une chaude jeune fille, une véritable salope à la recherche de tout ce qui peut lui apporter le sexe, mais sa manière de se comporter et de décider pour lui énerve un peu Jacques. D’un coup de reins, il enfonce brutalement toute sa bite dans le con de Stéph’ et je sens qu’il va la baiser comme une pute.
Il la bourre jusqu'aux couilles en claquant son pubis contre sa chatte le plus fort qu’il peut. Il écartèle encore plus ses cuisses de gamine et s’enfonce violemment dans son sexe trempé. Vu la taille de sa queue, son gland doit s'écraser violemment sur son utérus. Stéphanie pousse un cri si sauvage qu'un spasme ébranle ma chatte comme si c’était moi qui ressentais le choc de son gland en moi.
– AAAAAHHHHHH !!!
Crie encore Stéphanie quand il se retire et qu’il l'empale de nouveau de toute la puissance de sa queue hyper tendue et dure.
Il la tringle tellement vite et fort que son crâne cogne dans la tête de lit. Elle n'arrête pas de gueuler comme une truie qu'on égorge, mais ça n’arrête pas Jacques qui la possède avec une sauvagerie qui nous surprend tous les trois.
Stéphanie se tend et se raidit. Un nouvel orgasme balaye son corps. Je ne sais si sa chatte se contracte sur le bas de sa bite, mais cela n'empêche pas Jacques de continuer de la baiser comme un malade.
Il est en sueur, grogne comme un goret, mais il continue de baiser Stéphanie tandis que je les regarde avec un sourire pervers tout en pinçant mes petits nichons.
Je me demande comment Jacques arrive à ne pas jouir en défonçant de la sorte la chatte de ma copine et en me regardant tripoter mes tétons. Un spectacle qui habituellement l'envoie par-dessus bord, mais là, ça ne fonctionne pas.
Enfin, Stéphanie se détend, relève son torse et me regarde comme une possédée du diable, le visage tordu et torturé. Au frémissement de son pubis, je devine que sa chatte se contracte encore sur sa bite plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle retombe sur le lit, yeux révulsés, sa tête roulant de droite à gauche.
– Putain de salaud…qu'est-ce que tu m'as mis !
Gémit faiblement Stéphanie. Son attitude provocatrice et impertinente a disparu.
– Et si je t'enculais maintenant, Stéphanie ?
Dit-il en extrayant sa queue toujours en érection de sa chatte dégoulinante de jus.
– Plus tard... répond faiblement Stéphanie.
– C’est à moi, Tonton. Dis-je. Mets-toi sur le dos et laisse-moi monter sur toi. Tu pourras te reposer un peu et me regarder.
Si mon oncle est surpris, il ne le montre pas. Il se laisse tomber sur son dos, épuisé par sa cavalcade. Il me regarde chevaucher son corps et prendre délicatement sa queue toute dure en main.
Je reconnais à peine sa belle bite tellement elle est gonflée et violette dans ma petite main pâle. Je me demande s’il sait combien de temps il a baisé comme un dingue cette petite salope de Stéphanie.
Maintenant c’est mon tour.
Je baisse mes hanches et sa bite disparaît dans ma chatte étroite avec cette sensation familière que j'adore. Je monte et redescends lentement sur son pénis, à mon rythme, en prenant la longueur que je veux sentir dans mon corps si chaud. J’ai presque entièrement son sexe en moi et je fais une sorte de danse lascive avec mon cul en lui souriant, étudiant ses réactions. Je lui dis.
– Tu peux venir si tu veux…
– Les hommes ne marchent pas à la commande, ton oncle est un sacré coup et il tient la distance !
Dis Stéphanie avec un degré de respect dans sa voix, que je ne reconnais pas venant d'elle.
Je suis sûre que mon Tonton d’amour a envie de jouir, mais il a combattu son désir depuis si longtemps qu’il doit avoir du mal à se lâcher. Il est toujours dur comme un roc et aussi longtemps que ça dure je ne vais pas me plaindre. Surtout à son âge ! Il a sûrement pris une petite pilule.
Je me baise gentiment pendant un certain temps, et Stéphanie qui a récupéré de l'énergie grimpe au-dessus de sa tête pour se mettre à cheval sur son visage. Sa toison épaisse caresse ses joues et il glisse sa langue à l'intérieur de sa chatte rougie et glissante qu'elle entrouvre avec ses doigts.
Il la langue le plus loin possible, mais moi je vais bientôt exploser. Je m'affole sur sa bite, ma chatte écrase sa queue quand mon orgasme éclate en criant :
– Ouiiiiii…OOoohhhhh…ouiiiiii ! Aaaahhh, Tontooonnnn…
Je tombe sur le côté suivi par Stéphanie qui me dit,
– Je sais ce qu'il faut à Tonton pour le finir.
Elle caresse du bout des doigts sa queue cramoisie au gland pourpre, tellement tendue qu'elle semble prête à éclater.
– Il va défoncer ton petit cul !
Jacques me regarde, moi c’est sa bite que je regarde en mordant ma lèvre inférieure. Lorsque je le regarde en hochant laconiquement de la tête, il me dit.
– Tu n'es pas obligée de le faire, mon ange.
– Je suis sûre qu'elle veut, dit tout de suite Stéphanie, mais je veux l'entendre de la bouche de Sophie.
– Ou…oui, Tonton. Oui je le veux.
– Je vais te la préparer pour toi.
S'empresse de dire Stéphanie en prenant la bouteille d'huile pour bébé.
Je me mets à quatre pattes sur le lit et j’offre mon cul de jeune fille pas innocente, à la recherche de plaisirs pervers. Stéphanie arrose ses mains d'huile et en met entre mes fesses . Ma rondelle rose plissée est maintenant pleinement exposée et Stéphanie ne perd pas une seconde pour introduire son index dans mon petit trou pour le lubrifier. Je glapis :
– Ouuuhhhhh,.
– Va doucement, dit mon Oncle à Stéphanie
Qui extrait son doigt, regarde sa bite tremblante et lui dit :
– Oh, elle n'a pas encore mal, mais il faut que j'agrandisse un peu plus sa rosette.
Stéphanie remet son doigt dedans, le tourne à droite et à gauche, le ressort et en rentre deux pour les faire aller venir dans son anus qui se détend. Je commence à remuer mon cul en rythme avec la pénétration des doigts.
Stéphanie regarde Jacques, cligne de l'œil et soudainement sort ses doigts, écarte mes fesses, et plonge sa bouche entre elles.
Cette fille est incroyable et d’une telle perversion !
– Ooooohhhh !
Je crie quand la langue de Stéphanie entre dans mon cul, ressort et lèche mon trou du cul en écartant bien mes fesses avant de replonger sa langue dedans. Superbe anulingus avant qu'elle se retire de mon cul pour dire à Jacques qui caresse sa queue.
– Voilà ! Elle est toute à toi !
J’arrive à voir qu’il a un grand sourire pervers quand il grimpe sur le lit pour se placer en bonne position derrière les belles fesses de son adorable nièce.
Il pose son gland au milieu de cette couronne rose qui palpite et lui donne quelques coups timides, s'efforçant de faire le moindre mal à son amour de nièce. Moi, je pousse mon petit cul vers sa bite en essayant de forcer mon anus à s'ouvrir pour accueillir son gland.
– Je la veux, Tonton, dis je, ne t'inquiète pas, je sais qu'elle ne me fera que du bien.
– Pousse comme si tu étais sur les toilettes.
Sur ce conseil, je sens ma rosette s'ouvrir et il en profite pour introduire son gland qui repousse un peu les parois de cette magnifique corolle généralement interdite par beaucoup de femmes. Prenant sa bite en main, il pousse plus fort. Son gros champignon tout rouge force l'entrée de mon petit trou du cul et Jacques chasse de ses pensées les dommages éventuels qu’il pourrait faire à sa petite princesse.
Mon dieu… J’ai un gros cul, mais mon anus me semble encore plus étroit que ma chatte. Plop ! Son gland est absorbé et mon anneau se referme un peu sur sa bite. Il pousse de nouveau et plusieurs centimètres s'enfilent dans mon séduisant trou du cul. Je crie quand même et ça sonne comme une douleur. Il se recule vite fait. Je gémis:
– Non ! C'est bon Tonton. Vas-y, enfonce-toi.
Stéphanie qui surveille de près mon oncle, voit que mon trou de balle n'est plus plissé et qu'il est devenu tellement large qu'on pourrait faire tomber sans problème une balle de ping-pong dedans.
Jacques remet son gland dans ce boyau rose et il est comme aspiré lorsque mon muscle anal se referme après la couronne de son sexe. Sa bite s'enfonce beaucoup plus facilement cette fois, et après quelques petits allers-retours dans mon petit trou, il baise le cul sa petite chérie.
Il a quand même gardé son poing enroulé autour de sa bite pour ne pas aller plus loin et risquer de me déchirer. Sa bite est dans un étau… car mon cul est incroyablement étroit et…bouillant. Je crie qu’il me baise plus fort et plus loin. Stéphanie en dessous de Jacques serre ses couilles et tire dessus sauvagement.
Les minutes suivantes sont floues et je me souviens d'une série d'images des plus pornographiques.
Je hurlais sous les coups de bite de mon Oncle, mais je ne me souviens pas si je hurlais pour qu’il arrête ou qu’il n'arrête surtout pas.
Dans le miroir, je vois nos corps luisants de sueur s'écraser l'un contre l'autre, et Jacques accroupi au-dessus de moi comme un fauve qui va dévorer sa proie.
Stéphanie criait aussi et elle était derrière Tonton avec ses doigts qui entraient dans son cul et qui remuaient cherchant le point particulier de la prostate que finalement elle trouve.
Je suis en train de jouir, je pense… car mon cul broie sa bite en contractions successives.
Stéphanie ressort ses doigts et je suis sûre qu'elle écarte ses fesses pour fouiller le trou du cul de Jacques avec sa langue, car celui-ci hurle comme un fauve et nous traite, toutes les deux, de belles salopes avant de jouir comme jamais ça lui est arrivé !
Il crache un paquet de foutre dans mes entrailles pendant que la langue de Stéphanie lui fait des choses inimaginables pour lui quelques instants plus tôt.
Enfin, son orgasme commence à s'estomper après ce qui semble une éternité et tout doucement il retire son sexe de mon fondement qui me brûle un peu malgré le ruisseau de sperme qui s’écoule de mon petit trou malmené.
*********************
Voilà c'est la fin de ma confession sur mes premières relations sexuelles mémorables avec mon Oncle. Il est resté mon amant occasionnel pendant presque 20 ans. J'ai eu d'autres moments marquant par la suite. Je vous les raconterais peut-être si mes histoires vous intéressent.
Sophie.
Jacques vient de nous faire jouir merveilleusement. Lui avec sa belle bite dans ma chatte et moi avec ma main entièrement enfoncée dans celle de Stéphanie.
Dès qu'elle se calme, Stéphanie annonce que c'est son tour.
– Mets là moi, Tonton. Comme hier soir, mais par devant. À fond, vite et fort !
Il retire sa bite recouverte de cyprine de ma chatte et c’est moi qui la mets devant la chatte de Stéph’ qui s'est couchée sur le dos, cuisses relevées et ouvertes.
Sa chatte, après le fisting que je viens de lui faire ressemble à un cratère de volcan bouillonnant de lave et Tonton pousse son gland dedans.
– Mets tout, Tonton ! Crie Stéphanie. Je veux que toute cette grosse queue soit en moi.
Stéphanie est une chaude jeune fille, une véritable salope à la recherche de tout ce qui peut lui apporter le sexe, mais sa manière de se comporter et de décider pour lui énerve un peu Jacques. D’un coup de reins, il enfonce brutalement toute sa bite dans le con de Stéph’ et je sens qu’il va la baiser comme une pute.
Il la bourre jusqu'aux couilles en claquant son pubis contre sa chatte le plus fort qu’il peut. Il écartèle encore plus ses cuisses de gamine et s’enfonce violemment dans son sexe trempé. Vu la taille de sa queue, son gland doit s'écraser violemment sur son utérus. Stéphanie pousse un cri si sauvage qu'un spasme ébranle ma chatte comme si c’était moi qui ressentais le choc de son gland en moi.
– AAAAAHHHHHH !!!
Crie encore Stéphanie quand il se retire et qu’il l'empale de nouveau de toute la puissance de sa queue hyper tendue et dure.
Il la tringle tellement vite et fort que son crâne cogne dans la tête de lit. Elle n'arrête pas de gueuler comme une truie qu'on égorge, mais ça n’arrête pas Jacques qui la possède avec une sauvagerie qui nous surprend tous les trois.
Stéphanie se tend et se raidit. Un nouvel orgasme balaye son corps. Je ne sais si sa chatte se contracte sur le bas de sa bite, mais cela n'empêche pas Jacques de continuer de la baiser comme un malade.
Il est en sueur, grogne comme un goret, mais il continue de baiser Stéphanie tandis que je les regarde avec un sourire pervers tout en pinçant mes petits nichons.
Je me demande comment Jacques arrive à ne pas jouir en défonçant de la sorte la chatte de ma copine et en me regardant tripoter mes tétons. Un spectacle qui habituellement l'envoie par-dessus bord, mais là, ça ne fonctionne pas.
Enfin, Stéphanie se détend, relève son torse et me regarde comme une possédée du diable, le visage tordu et torturé. Au frémissement de son pubis, je devine que sa chatte se contracte encore sur sa bite plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle retombe sur le lit, yeux révulsés, sa tête roulant de droite à gauche.
– Putain de salaud…qu'est-ce que tu m'as mis !
Gémit faiblement Stéphanie. Son attitude provocatrice et impertinente a disparu.
– Et si je t'enculais maintenant, Stéphanie ?
Dit-il en extrayant sa queue toujours en érection de sa chatte dégoulinante de jus.
– Plus tard... répond faiblement Stéphanie.
– C’est à moi, Tonton. Dis-je. Mets-toi sur le dos et laisse-moi monter sur toi. Tu pourras te reposer un peu et me regarder.
Si mon oncle est surpris, il ne le montre pas. Il se laisse tomber sur son dos, épuisé par sa cavalcade. Il me regarde chevaucher son corps et prendre délicatement sa queue toute dure en main.
Je reconnais à peine sa belle bite tellement elle est gonflée et violette dans ma petite main pâle. Je me demande s’il sait combien de temps il a baisé comme un dingue cette petite salope de Stéphanie.
Maintenant c’est mon tour.
Je baisse mes hanches et sa bite disparaît dans ma chatte étroite avec cette sensation familière que j'adore. Je monte et redescends lentement sur son pénis, à mon rythme, en prenant la longueur que je veux sentir dans mon corps si chaud. J’ai presque entièrement son sexe en moi et je fais une sorte de danse lascive avec mon cul en lui souriant, étudiant ses réactions. Je lui dis.
– Tu peux venir si tu veux…
– Les hommes ne marchent pas à la commande, ton oncle est un sacré coup et il tient la distance !
Dis Stéphanie avec un degré de respect dans sa voix, que je ne reconnais pas venant d'elle.
Je suis sûre que mon Tonton d’amour a envie de jouir, mais il a combattu son désir depuis si longtemps qu’il doit avoir du mal à se lâcher. Il est toujours dur comme un roc et aussi longtemps que ça dure je ne vais pas me plaindre. Surtout à son âge ! Il a sûrement pris une petite pilule.
Je me baise gentiment pendant un certain temps, et Stéphanie qui a récupéré de l'énergie grimpe au-dessus de sa tête pour se mettre à cheval sur son visage. Sa toison épaisse caresse ses joues et il glisse sa langue à l'intérieur de sa chatte rougie et glissante qu'elle entrouvre avec ses doigts.
Il la langue le plus loin possible, mais moi je vais bientôt exploser. Je m'affole sur sa bite, ma chatte écrase sa queue quand mon orgasme éclate en criant :
– Ouiiiiii…OOoohhhhh…ouiiiiii ! Aaaahhh, Tontooonnnn…
Je tombe sur le côté suivi par Stéphanie qui me dit,
– Je sais ce qu'il faut à Tonton pour le finir.
Elle caresse du bout des doigts sa queue cramoisie au gland pourpre, tellement tendue qu'elle semble prête à éclater.
– Il va défoncer ton petit cul !
Jacques me regarde, moi c’est sa bite que je regarde en mordant ma lèvre inférieure. Lorsque je le regarde en hochant laconiquement de la tête, il me dit.
– Tu n'es pas obligée de le faire, mon ange.
– Je suis sûre qu'elle veut, dit tout de suite Stéphanie, mais je veux l'entendre de la bouche de Sophie.
– Ou…oui, Tonton. Oui je le veux.
– Je vais te la préparer pour toi.
S'empresse de dire Stéphanie en prenant la bouteille d'huile pour bébé.
Je me mets à quatre pattes sur le lit et j’offre mon cul de jeune fille pas innocente, à la recherche de plaisirs pervers. Stéphanie arrose ses mains d'huile et en met entre mes fesses . Ma rondelle rose plissée est maintenant pleinement exposée et Stéphanie ne perd pas une seconde pour introduire son index dans mon petit trou pour le lubrifier. Je glapis :
– Ouuuhhhhh,.
– Va doucement, dit mon Oncle à Stéphanie
Qui extrait son doigt, regarde sa bite tremblante et lui dit :
– Oh, elle n'a pas encore mal, mais il faut que j'agrandisse un peu plus sa rosette.
Stéphanie remet son doigt dedans, le tourne à droite et à gauche, le ressort et en rentre deux pour les faire aller venir dans son anus qui se détend. Je commence à remuer mon cul en rythme avec la pénétration des doigts.
Stéphanie regarde Jacques, cligne de l'œil et soudainement sort ses doigts, écarte mes fesses, et plonge sa bouche entre elles.
Cette fille est incroyable et d’une telle perversion !
– Ooooohhhh !
Je crie quand la langue de Stéphanie entre dans mon cul, ressort et lèche mon trou du cul en écartant bien mes fesses avant de replonger sa langue dedans. Superbe anulingus avant qu'elle se retire de mon cul pour dire à Jacques qui caresse sa queue.
– Voilà ! Elle est toute à toi !
J’arrive à voir qu’il a un grand sourire pervers quand il grimpe sur le lit pour se placer en bonne position derrière les belles fesses de son adorable nièce.
Il pose son gland au milieu de cette couronne rose qui palpite et lui donne quelques coups timides, s'efforçant de faire le moindre mal à son amour de nièce. Moi, je pousse mon petit cul vers sa bite en essayant de forcer mon anus à s'ouvrir pour accueillir son gland.
– Je la veux, Tonton, dis je, ne t'inquiète pas, je sais qu'elle ne me fera que du bien.
– Pousse comme si tu étais sur les toilettes.
Sur ce conseil, je sens ma rosette s'ouvrir et il en profite pour introduire son gland qui repousse un peu les parois de cette magnifique corolle généralement interdite par beaucoup de femmes. Prenant sa bite en main, il pousse plus fort. Son gros champignon tout rouge force l'entrée de mon petit trou du cul et Jacques chasse de ses pensées les dommages éventuels qu’il pourrait faire à sa petite princesse.
Mon dieu… J’ai un gros cul, mais mon anus me semble encore plus étroit que ma chatte. Plop ! Son gland est absorbé et mon anneau se referme un peu sur sa bite. Il pousse de nouveau et plusieurs centimètres s'enfilent dans mon séduisant trou du cul. Je crie quand même et ça sonne comme une douleur. Il se recule vite fait. Je gémis:
– Non ! C'est bon Tonton. Vas-y, enfonce-toi.
Stéphanie qui surveille de près mon oncle, voit que mon trou de balle n'est plus plissé et qu'il est devenu tellement large qu'on pourrait faire tomber sans problème une balle de ping-pong dedans.
Jacques remet son gland dans ce boyau rose et il est comme aspiré lorsque mon muscle anal se referme après la couronne de son sexe. Sa bite s'enfonce beaucoup plus facilement cette fois, et après quelques petits allers-retours dans mon petit trou, il baise le cul sa petite chérie.
Il a quand même gardé son poing enroulé autour de sa bite pour ne pas aller plus loin et risquer de me déchirer. Sa bite est dans un étau… car mon cul est incroyablement étroit et…bouillant. Je crie qu’il me baise plus fort et plus loin. Stéphanie en dessous de Jacques serre ses couilles et tire dessus sauvagement.
Les minutes suivantes sont floues et je me souviens d'une série d'images des plus pornographiques.
Je hurlais sous les coups de bite de mon Oncle, mais je ne me souviens pas si je hurlais pour qu’il arrête ou qu’il n'arrête surtout pas.
Dans le miroir, je vois nos corps luisants de sueur s'écraser l'un contre l'autre, et Jacques accroupi au-dessus de moi comme un fauve qui va dévorer sa proie.
Stéphanie criait aussi et elle était derrière Tonton avec ses doigts qui entraient dans son cul et qui remuaient cherchant le point particulier de la prostate que finalement elle trouve.
Je suis en train de jouir, je pense… car mon cul broie sa bite en contractions successives.
Stéphanie ressort ses doigts et je suis sûre qu'elle écarte ses fesses pour fouiller le trou du cul de Jacques avec sa langue, car celui-ci hurle comme un fauve et nous traite, toutes les deux, de belles salopes avant de jouir comme jamais ça lui est arrivé !
Il crache un paquet de foutre dans mes entrailles pendant que la langue de Stéphanie lui fait des choses inimaginables pour lui quelques instants plus tôt.
Enfin, son orgasme commence à s'estomper après ce qui semble une éternité et tout doucement il retire son sexe de mon fondement qui me brûle un peu malgré le ruisseau de sperme qui s’écoule de mon petit trou malmené.
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Voilà c'est la fin de ma confession sur mes premières relations sexuelles mémorables avec mon Oncle. Il est resté mon amant occasionnel pendant presque 20 ans. J'ai eu d'autres moments marquant par la suite. Je vous les raconterais peut-être si mes histoires vous intéressent.
Sophie.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Réponse à Dant060
Exact. Sous un autre pseudo et avec quelques variantes
Exact. Sous un autre pseudo et avec quelques variantes
TRÈS TRÈS BANDANT COMME HISTOIRES OK MAIS JE DÉJÀ VUE SUR AUTRES SITES MÊME HISTOIRES OK SUR XSTORY, HISTOIRES DE NOUS 2 ONCLES ET NIÈCES
J'adore
Linsee
Linsee
Superbes histoires, lues avec beaucoup de plaisir.
C'est avec impatience que j'attend la suite de vos récits
Bonne écriture
Olivier
C'est avec impatience que j'attend la suite de vos récits
Bonne écriture
Olivier