Mes confidences érotiques Ch.4: Enfin, il me baise !
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Mes confidences érotiques Ch.4: Enfin, il me baise !
Chapitre 4 : Enfin, il me baise !
Nous sommes vendredi et dans la soirée, ma mère me téléphone pour prendre de mes nouvelles. Après les banalités d'usage, elle me dit.
- J'espère que tu te tiens bien avec ton oncle et que tu ne le déranges pas trop.
- Bien sûr maman. Je l’aide le plus que je peux. Tiens, je te le passe, tu peux lui demander.
Je passe téléphone à Tonton qui après avoir demandé si elle allait bien lui dit pour la rassurer.
- Non, ça va. Elle est même charmante. Ce n'est plus une gamine et on se comprend mieux.
- Mais surveille là quand même. Pas de sorties nocturnes.
- Ne t'inquiète pas. Je vais la surveiller de près comme tu me l'as demandé.
- Merci, Jacques. Je suis rassuré de la savoir près de toi. J'avais peur qu'elle fasse des bêtises avec les garçons qu'elle fréquente et qui sont plus âgés qu'elle. Surveille-là bien.
- Pas de soucis ! Je m'en occupe. Je vais la serrer de près.
Il raccroche et en souriant il me dit.
- J’aurais peut-être dû lui dire que tu t'occupes très bien de ton Tonton d’amour, comme tu dis !
Mais je ne l’entends pas bien, car je suis en train de monter au premier étage pour regagner ma chambre.
Je retire ma petite robe d’été, seul vêtement que je porte et couchée sur le dos, nue comme une nymphe, j’attends mon tonton d’amour. Les mains derrière ma tête, lorsqu’il entre, je le regarde avec un air très coquin.
- Et bien, il t'en a fallu du temps ! J'attends…moi ! dis-je malicieusement.
- Ta mère aurait bien voulu te parler un peu plus, Sophie. Dis donc, tu n'as pas de pyjama ?
- Pourquoi faire mon Tonton d'amour…il fait chaud, je suis en chaleur et je veux te faire voir ma belle chatte que tu as si bien rasée.
Écartant très largement mes cuisses, je caresse ma chatte toute lisse et en écartant un peu mes grandes lèvres, je lui demande :
- Elle est belle comme ça…hein tonton ?
- Sophie ! Ce n'est pas possible ! Tu es une véritable catin ! Tu n'as donc aucune pudeur !
- Avec toi…non…aucune. Surtout depuis que je t'ai fait une pipe. Dis...tu as déjà rasé ton amie Carole ? Ça doit prendre un certain temps, parce que j'ai vu qu'elle est très poilue. Ça me rappelle ma meilleure amie, Stéphanie. Une fois nous nous sommes rasées l'une et l'autre partout et il m'a fallu du temps !
- Toi et ton amie Stéphanie vous vous êtes rasées ?
- Ouais, partout. Elle est tellement poilue qu'il m'a fallu m'y reprendre à deux fois pour tout raser son buisson sur sa chatte.
- Tu veux dire que… toi et …
- Oui…on se fait plaisir en rasant nos chattes…je rase la sienne et elle fait la mienne.
- Elle t'a…léché comme moi…
- Bien sûr, et elle n'a pas fait que ça… Ça te dérange, que je fasse ça avec une fille ?
- Eh bien… je ne sais pas. Non, je ne crois pas…
Il a l’air pensif et imagine dans sa tête, sa nièce et une jeune fille qui se font des caresses, tout comme dans les films pornos qu’il doit regarder lorsqu’il est seul. Je ne dois pas me tromper, car il rajuste un peu sa bite, qui manque de place dans son slip, après m’avoir écouté.
- D'ailleurs, peut-être que Stéphanie pourrait venir nous rendre visite avant la fin de l'été et tu pourras nous voir nous amuser ensemble. Peut-être même participer à nos jeux érotiques, car Stéphanie à une réelle préférence pour les grosses bites comme la tienne. Moi, je les aime toutes grandes ou petites !
Après çà, il doit me prendre pour une vraie petite salope ! Pauvre Tonton, lui qui me donnait le Bon Dieu sans confession… Qui n'osait pas me toucher de peur que je le prenne mal ! S’il s’était douté…Il m’aurait baisé plus tôt. Enfin quand il va enfin me baiser avec sa grosse bite.
Tout en lui parlant, je me caresse sans complexe et je vois qu’il est en admiration devant ma beauté. Je crois que pour un homme, qu'il n'y a rien de plus beau qu'une vulve de jeune fille imberbe, nette, douce, admirable et si attirante. Et je lui dis.
- Elle est belle, hein, Tonton ?
Il émerge et s’avance pour se pencher et passer sa langue de haut en bas dans ce creux humide qui le fait tant fantasmer. (Il me l’a avoué)
C'est doux et lisse et un doux parfum s'en dégage. Je frémis sous cette caresse et je lui demande :
- Tonton, est-ce que ta bite est bien dure maintenant ?
- Très dure…
- As-tu aimé quand j'ai sucé ton gland et ta belle bite ?
- Oooohhhh… Oui ! T’es une sacrée suceuse !
- J'aurais voulu faire mieux… mais ta queue est si grosse et si longue que je ne pouvais la garder longtemps au fond de ma bouche avec ton gland dans ma gorge !
- C'était merveilleux, ma puce. Tu es une des rares femmes qui avale toute ma bite !
- Dit, Tonton, maintenant tu vas me faire l'amour ? Je n'ai plus mes règles.
Il hoche la tête en signe d'approbation.
- Je ne sais pas pourquoi je te demande ça… à voir ta grosse bite qui tend ton slip, je vois que tu es pas mal excité ! Et à la façon dont tu me regardes… regarde comme mes mamelons sont durs…
Il caresse mes seins, titille mes tétons et frotte mes mamelons dont la peau grumeleuse est bien tendue.
- Tu sais que je suis déjà humide pour toi, mon Tonton chéri, tu veux voir ?
Et tout en posant la question, je passe une jambe au-dessus de sa tête pour lui présenter de près ma cramouille effectivement très humide.
L'absence de poils facilite la vision de ma fente ouverte et luisante.
Il est ébloui par ma chatte de jeune fille, toute rose avec des nymphes délicatement ourlées.
Avec deux doigts, il les écarte doucement et plonge sa bouche sur cette friandise que je lui offre. Sa langue explore l'entrée de mon doux vagin avant de lécher mon clito déjà dégagé de son capuchon.
Je ne tarde pas à gémir doucement :
- Ouiiiiiiiiii…Oooohhhh, ouiiiii, muuummmmm….
Il y a surement des années qu’il a gouté à une chatte aussi douce et si érotiquement odorante de sa vie. Mais je veux jouer avec lui et encore gouter à sa belle queue avant qu’il me l’enfile dans mon sexe trempé. Je m’assois sur le bord du lit et je lui dis.
- Stop, arrête Tonton !
J’attrape son slip et je le tire vers le bas. Sa bite coincée jaillit comme un ressort trop comprimé et elle faillit frapper mon menton à quelques millimètres près.
Malgré que je lui aie déjà fait une belle pipe, je fixe longuement ce gros et long morceau de chair qui vibre devant mes grands yeux écarquillés.
Il a vraiment une bite magnifique et je l’excite tellement que sa queue n'a jamais eu une aussi belle érection.
- Whaou… elle est nettement plus grosse que celle de mon copain ! lui dis-je
Je la branle un peu avant de sucer son gland puis je l’avale en la glissant sur ma langue. Quelques allers-retours pour bien apprécier ce gourdin que je vais enfin prendre dans ma chatte.
Mon oncle a quand même acheté une huile spéciale en prévision d’une saillie avec une grosse bite comme la sienne, il en met dans le creux de ses mains et il masse son sexe et ses couilles avec.
- Je suis vraiment excitée, mais j'ai vraiment peur. Mes copains…enfin ceux avec qui j'ai couché, me disent toujours que j'ai une chatte très serrée, et toi… tu en as une beaucoup plus grosse et plus grande qu'eux.
- N'est pas peur mon bébé, tu n’es pas la première fille avec une petite chatte que je vais baiser.
Dit-il en arrêtant son vigoureux huilage sur sa queue.
- Mais je la veux ta grosse bite. Putain qu'elle est belle ! Alors, t'inquiète pas si je crie ou si je pleure, car je suis sûre que je vais l'aimer une fois que ma petite chatte sera habituée à elle.
Et je bascule sur mon dos et il place un oreiller sous mes fesses en grimpant sur le lit.
En tournant ma tête, je vois dans la glace de l'armoire une jeune fille minuscule, qui sort de l'adolescence, avec mes cuisses grandes ouvertes pour mon oncle, 90 kg et 1.80m.
Il me fait penser à un monstre lubrique de cartoons érotique avec sa grosse bite droite comme un pieu, prête à empaler une jeune vierge qu'on amène au supplice. Enfin…pour la vierge je repasserai.
Avec une fausse honte, j'avoue que le spectacle est fantastiquement érotique pour moi.
Son regard qui m’observait se redirige vers ma poitrine, s’attarde un instant, puis se fixe sur mon sexe. Il frotte mes lèvres humides avec le bout de son gland rouge comme une betterave tout en caressant mon clito avec son pouce.
Il écarte sans mal mes grandes lèvres déjà entrouvertes et glisse son gland un peu plus loin.
- Ahou !
Je n’ai pu retenir un petit cri, mais lorsqu’il s’est enfoncé encore un peu plus et que j’ai senti mes petites lèvres vaginales étrangler son gros gland, j’ai crié :
- Aaaaaahhhhhhh ! Ouuuuuuhhhhh…
Quand il tente de pénétrer plus avant dans ma chatte écartelée, mon oncle sens bien que son gland a du mal à se frayer un chemin dans mon petit vagin. Il doit se dire que ma chatte n'a pas dû voir autant de sexes que je veux lui faire croire.
Voyant mon visage marqué par la douleur il ne bouge plus. Lorsque ça va mieux, j’arque mon dos pour avancer mes fesses et l’aider à me pénétrer.
Les quelques cm de plus enfoncés dans mon vagin super serré me font encore pousser un petit cri, puis la douleur s’estompe progressivement pour finir sur un gémissement de contentement et de plaisir.
- AAAAHHHHhhhhh…Muuummmmm… Ouiiiiiiiiii…lààààààààà, stoooppp !
Je l'attrape par le cou et je pousse ma langue dans sa bouche pour un chaud baiser.
C'est notre premier baiser humide que nous échangeons. Puis je me cambre de nouveau et son gland pénètre plus profondément dans mon vagin. Ayant peur de me faire mal, ou égoïstement, pour profiter plus longtemps de ce moment, il se recule et sort un peu sa queue de mon sexe brulant pour le regarder, mais je suis son mouvement pour qu’il reste enfoncé en moi et lui faire comprendre que loin d'avoir mal, j’aime bien son intrusion.
Le dos et les reins cambrés, tout mon corps se tend vers son gros sexe qui me pénètre.
Sa bite, enfoncée de plus de la moitié de sa longueur, est écrasée par mon vagin. Il doit avoir l'impression que je suis encore vierge. Si je ne lui avais pas avoué avoir déjà couché avec des copains, il pourrait croire qu’il vient de me dépuceler. Je le supplie ;
- Reste ! Reste comme ça, ne bouge plus, Tonton.
Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, puis mes lèvres se reposent sur sa bouche pour l'embrasser amoureusement. Sa langue cherche immédiatement la mienne et on se roule un patin à en perdre notre souffle et je sens mon vagin qui palpite sur ma queue.
Lorsque je lâche ses lèvres pour reprendre ma respiration, il commence de petits va et viens en essayant d'introduire son pieu un peu plus loin à chaque fois.
Je serre mes dents et attrape à l'aveuglette la bouteille d'huile pour arroser généreusement nos deux sexes lorsque son gland est presque sorti de ma chatte.
Ça fait surement de l'effet, car je commence à trouver un peu plus facile sa pénétration dans ma chatte. Mon vagin bien lubrifié, accepte progressivement cet intrus qui dilate durement mon trou d'amour, mais qui l'excite en même temps.
- Putain ! Tonton ! J'ai l'impression d'éclater ! Ça fait un peu mal au début ! Non de Dieu ! Elle est grosse ta queue ! Mais maintenant j'aime la sentir qui remplit complètement mon ventre. Dis…t'as tout mis…elle est toute entière… dedans ?
- À peu près, ma chérie.
Mais quand je soulève ma tête pour regarder vers le bas, je vois qu'il reste au moins 5 cm.
- Tu es vraiment très étroite mon cœur et c'est extraordinaire comme je te sens bien !
Et il continue ses allers-retours en gagnant quelques mm à chaque fois.
- Fais-moi l’amour, Tonton ! Baise-moi bien ! N'est pas peur, maintenant j'adore, vas- y…vient encore un peu plus loin.
Et d'un léger coup de reins, il est au fond de mon ventre. J’en ai une contraction brutale de mon vagin, accompagnée d'un,
- AAAaahhh… ouiiiiiiiiiii, de plaisir.
En appui sur ses bras, il recommence à me baiser et sous ses coups de reins, je me contracte chaque fois violemment en gémissant continuellement.
Je voudrais faire durer longtemps ce moment, mais j’ai tellement envie de jouir que j’ai du mal à retenir la vague de plaisir qui roule dans mon ventre. Soudainement mon corps se tend sauvagement sous lui.
- Waouh ! Je... jouiiiiiisssssssss ! OHHHH ! AAAAAHHHH !!! Ouuuiiiiiiiiiii !
Sous mon orgasme et mes cris de jouissance, mon tonton d’amour perd le contrôle de sa queue pendant une minute et il plonge involontairement son pénis dans ma chatte palpitante. Son pubis vient claquer le mien en même temps que son gland s'écrase sur le col de mon utérus.
Comme je continue de jouir en hurlant de plaisir, il me baise de toutes ses forces et je participe aussi, sans même m’en rendre compte, à cette baise sauvage, en allant au-devant de sa magnifique bite sans pitié pour mon corps de jeune fille.
Il doit retrouver toute la fougue de sa jeunesse en faisant l'amour à sa jeune nièce et sans relâche sa bite laboure mon étroit tunnel et j’ai rapidement un nouvel orgasme.
- Ouiiiii ! Encore ! Ooooohhhhh que c'est boooonnnn… AAAAHHHHhhhhh….
Il reste enfoncé dans mon vagin maintenant bien lubrifié par l’huile et ma cyprine qui coule le long de sa bite. Il ne bouge plus, sauf sa queue qui palpite répondant aux spasmes incontrôlés de mes muscles vaginaux.
Il ne va surement pas tenir le coup aussi longtemps que je le veux, car la pression de ma chatte sur sa bite et ma jouissance l’excite beaucoup trop. En appui sur ses bras tendus, il regarde ma grosse poitrine gonflée et surtout mes tétons roses tendus qui le font encore plus bander.
Il ressort lentement sa queue pour éviter le pire, mais mes 2 mains saisissent ses fesses :
- Noooonnnnn ! OOOOhhhhh, nooonn…ne pars pas ! Reste encore en moi et donne-moi ton sperme, je prends la pilule.
Levant sa tête, il voit sa salope de nièce la bouche luisante et entrouverte, les yeux humides qui le supplient :
- Allez, Tonton jouit en moi. Je veux sentir ton foutre !
Son sexe toujours raide contre mon ventre me trouble un peu dans ce moment d'émotion, mais je le veux en moi.
Une de mes mains guide sa queue et l'autre l'attire vers moi.
Ce court moment de calme lui a évité de jouir tout de suite et il me reprend avec de lentes et longues pénétrations pour mon plaisir et le sien. J’ondule sous lui en gémissant de plus en plus fort avant de pousser une longue plainte sous un nouvel orgasme.
Mes yeux sont révulsés et ma tête retombe inerte à la fin de ma jouissance.
C'est trop pour lui et il voit bien que je ne simule pas ! Il regarde sa grosse queue s'enfoncer dans ma petite chatte tout écartelée et dégoulinante de cyprine et il explose en touchant de son gland l'extrémité de mon tunnel d'amour.
Je rouvre mes yeux et je crie de nouveau qu'en son sperme frappe mon utérus ;
- Aaaahhhhh, ouiiiii… je te sens ! Ouiiiiiiiiii vas-y, encoooore ! Inonde ma chatte qui me brule !
Mes gémissements ne s'arrêtent qu'à la fin de ma jouissance.
Au-dessus de moi, reprenant son souffle, il admire mon beau visage transfiguré par mes jouissances. Je l’entends murmurer.
- Mon Dieu que tu es belle mon amour !
Nos yeux se rencontrent et nous sourions tous deux. Il me dit ;
- Merci ma chérie, merci pour cette jouissance que tu m'as donnée avec ton sexe de jeune fille. C'est incroyable… magique ! Je n’ai jamais joui aussi fort et aussi longuement depuis des lustres.
Des larmes coulent de mes yeux quand je réponds :
- Oh, merci aussi ! Je n'ai jamais joui aussi longtemps avec plusieurs orgasmes ! J'ai eu mal au début, mais d'un seul coup la douleur a été remplacée par des vagues de plaisir et je voudrais que ça recommence mille fois ! Je n'imaginais pas pouvoir jouir aussi fort. Quand tu frappais le fond de mon ventre, à chaque fois ça déclenchait une véritable décharge de plaisir ! C'est formidable de baiser... avec toi… Tu es vraiment mon Tonton d'amour !
Il est rassuré, car malgré mes larmes, il est clair que j’ai aimé ça, même si j’ai un peu souffert au début.
Il retire sa bite dégonflée de mon vagin et après un dernier gémissement de ma part quand elle quitte ma chatte, il s'écroule à côté de moi, haletante, qui reprend ma respiration.
Ma main se pose sur mon ventre et mon sexe trempé par son sperme et ma cyprine. Je me caresse avant d'attraper son sexe à moitié bandé.
- Tonton… je t'aime…
- Moi aussi mon ange, mais veux-tu bien lâcher mon sexe.
- Pourquoi ? Je l'aime aussi ta belle bite maintenant. Tu mets longtemps à récupérer ?
- Sophie ! Tu veux remettre ça !
- Bien sûr mon tonton d'amour…je vais chercher à boire et après tu me donnes encore du plaisir
Il n'en revient pas, mais il m’a encore baisé 2 fois avant de crier grâce, car sa bite devenait douloureuse à sa dernière éjaculation et il aurait été incapable de me satisfaire à nouveau.
Heureusement, car ma chatte est ouverte, béante et rouge et je lui avoue que j’ai un peu mal après mon dernier orgasme lorsque ma jouissance s'est envolée.
Il m’a prise dans ses bras pour m'embrasser longuement et nous avons fini par nous endormir, collés l'un contre l'autre, mes fesses sur sa queue épuisée, une de ses mains sur un de mes gros seins et l’autre entre mes cuisses sur ma chatte dégoulinante de nos jus mélangés.
Nous sommes vendredi et dans la soirée, ma mère me téléphone pour prendre de mes nouvelles. Après les banalités d'usage, elle me dit.
- J'espère que tu te tiens bien avec ton oncle et que tu ne le déranges pas trop.
- Bien sûr maman. Je l’aide le plus que je peux. Tiens, je te le passe, tu peux lui demander.
Je passe téléphone à Tonton qui après avoir demandé si elle allait bien lui dit pour la rassurer.
- Non, ça va. Elle est même charmante. Ce n'est plus une gamine et on se comprend mieux.
- Mais surveille là quand même. Pas de sorties nocturnes.
- Ne t'inquiète pas. Je vais la surveiller de près comme tu me l'as demandé.
- Merci, Jacques. Je suis rassuré de la savoir près de toi. J'avais peur qu'elle fasse des bêtises avec les garçons qu'elle fréquente et qui sont plus âgés qu'elle. Surveille-là bien.
- Pas de soucis ! Je m'en occupe. Je vais la serrer de près.
Il raccroche et en souriant il me dit.
- J’aurais peut-être dû lui dire que tu t'occupes très bien de ton Tonton d’amour, comme tu dis !
Mais je ne l’entends pas bien, car je suis en train de monter au premier étage pour regagner ma chambre.
Je retire ma petite robe d’été, seul vêtement que je porte et couchée sur le dos, nue comme une nymphe, j’attends mon tonton d’amour. Les mains derrière ma tête, lorsqu’il entre, je le regarde avec un air très coquin.
- Et bien, il t'en a fallu du temps ! J'attends…moi ! dis-je malicieusement.
- Ta mère aurait bien voulu te parler un peu plus, Sophie. Dis donc, tu n'as pas de pyjama ?
- Pourquoi faire mon Tonton d'amour…il fait chaud, je suis en chaleur et je veux te faire voir ma belle chatte que tu as si bien rasée.
Écartant très largement mes cuisses, je caresse ma chatte toute lisse et en écartant un peu mes grandes lèvres, je lui demande :
- Elle est belle comme ça…hein tonton ?
- Sophie ! Ce n'est pas possible ! Tu es une véritable catin ! Tu n'as donc aucune pudeur !
- Avec toi…non…aucune. Surtout depuis que je t'ai fait une pipe. Dis...tu as déjà rasé ton amie Carole ? Ça doit prendre un certain temps, parce que j'ai vu qu'elle est très poilue. Ça me rappelle ma meilleure amie, Stéphanie. Une fois nous nous sommes rasées l'une et l'autre partout et il m'a fallu du temps !
- Toi et ton amie Stéphanie vous vous êtes rasées ?
- Ouais, partout. Elle est tellement poilue qu'il m'a fallu m'y reprendre à deux fois pour tout raser son buisson sur sa chatte.
- Tu veux dire que… toi et …
- Oui…on se fait plaisir en rasant nos chattes…je rase la sienne et elle fait la mienne.
- Elle t'a…léché comme moi…
- Bien sûr, et elle n'a pas fait que ça… Ça te dérange, que je fasse ça avec une fille ?
- Eh bien… je ne sais pas. Non, je ne crois pas…
Il a l’air pensif et imagine dans sa tête, sa nièce et une jeune fille qui se font des caresses, tout comme dans les films pornos qu’il doit regarder lorsqu’il est seul. Je ne dois pas me tromper, car il rajuste un peu sa bite, qui manque de place dans son slip, après m’avoir écouté.
- D'ailleurs, peut-être que Stéphanie pourrait venir nous rendre visite avant la fin de l'été et tu pourras nous voir nous amuser ensemble. Peut-être même participer à nos jeux érotiques, car Stéphanie à une réelle préférence pour les grosses bites comme la tienne. Moi, je les aime toutes grandes ou petites !
Après çà, il doit me prendre pour une vraie petite salope ! Pauvre Tonton, lui qui me donnait le Bon Dieu sans confession… Qui n'osait pas me toucher de peur que je le prenne mal ! S’il s’était douté…Il m’aurait baisé plus tôt. Enfin quand il va enfin me baiser avec sa grosse bite.
Tout en lui parlant, je me caresse sans complexe et je vois qu’il est en admiration devant ma beauté. Je crois que pour un homme, qu'il n'y a rien de plus beau qu'une vulve de jeune fille imberbe, nette, douce, admirable et si attirante. Et je lui dis.
- Elle est belle, hein, Tonton ?
Il émerge et s’avance pour se pencher et passer sa langue de haut en bas dans ce creux humide qui le fait tant fantasmer. (Il me l’a avoué)
C'est doux et lisse et un doux parfum s'en dégage. Je frémis sous cette caresse et je lui demande :
- Tonton, est-ce que ta bite est bien dure maintenant ?
- Très dure…
- As-tu aimé quand j'ai sucé ton gland et ta belle bite ?
- Oooohhhh… Oui ! T’es une sacrée suceuse !
- J'aurais voulu faire mieux… mais ta queue est si grosse et si longue que je ne pouvais la garder longtemps au fond de ma bouche avec ton gland dans ma gorge !
- C'était merveilleux, ma puce. Tu es une des rares femmes qui avale toute ma bite !
- Dit, Tonton, maintenant tu vas me faire l'amour ? Je n'ai plus mes règles.
Il hoche la tête en signe d'approbation.
- Je ne sais pas pourquoi je te demande ça… à voir ta grosse bite qui tend ton slip, je vois que tu es pas mal excité ! Et à la façon dont tu me regardes… regarde comme mes mamelons sont durs…
Il caresse mes seins, titille mes tétons et frotte mes mamelons dont la peau grumeleuse est bien tendue.
- Tu sais que je suis déjà humide pour toi, mon Tonton chéri, tu veux voir ?
Et tout en posant la question, je passe une jambe au-dessus de sa tête pour lui présenter de près ma cramouille effectivement très humide.
L'absence de poils facilite la vision de ma fente ouverte et luisante.
Il est ébloui par ma chatte de jeune fille, toute rose avec des nymphes délicatement ourlées.
Avec deux doigts, il les écarte doucement et plonge sa bouche sur cette friandise que je lui offre. Sa langue explore l'entrée de mon doux vagin avant de lécher mon clito déjà dégagé de son capuchon.
Je ne tarde pas à gémir doucement :
- Ouiiiiiiiiii…Oooohhhh, ouiiiii, muuummmmm….
Il y a surement des années qu’il a gouté à une chatte aussi douce et si érotiquement odorante de sa vie. Mais je veux jouer avec lui et encore gouter à sa belle queue avant qu’il me l’enfile dans mon sexe trempé. Je m’assois sur le bord du lit et je lui dis.
- Stop, arrête Tonton !
J’attrape son slip et je le tire vers le bas. Sa bite coincée jaillit comme un ressort trop comprimé et elle faillit frapper mon menton à quelques millimètres près.
Malgré que je lui aie déjà fait une belle pipe, je fixe longuement ce gros et long morceau de chair qui vibre devant mes grands yeux écarquillés.
Il a vraiment une bite magnifique et je l’excite tellement que sa queue n'a jamais eu une aussi belle érection.
- Whaou… elle est nettement plus grosse que celle de mon copain ! lui dis-je
Je la branle un peu avant de sucer son gland puis je l’avale en la glissant sur ma langue. Quelques allers-retours pour bien apprécier ce gourdin que je vais enfin prendre dans ma chatte.
Mon oncle a quand même acheté une huile spéciale en prévision d’une saillie avec une grosse bite comme la sienne, il en met dans le creux de ses mains et il masse son sexe et ses couilles avec.
- Je suis vraiment excitée, mais j'ai vraiment peur. Mes copains…enfin ceux avec qui j'ai couché, me disent toujours que j'ai une chatte très serrée, et toi… tu en as une beaucoup plus grosse et plus grande qu'eux.
- N'est pas peur mon bébé, tu n’es pas la première fille avec une petite chatte que je vais baiser.
Dit-il en arrêtant son vigoureux huilage sur sa queue.
- Mais je la veux ta grosse bite. Putain qu'elle est belle ! Alors, t'inquiète pas si je crie ou si je pleure, car je suis sûre que je vais l'aimer une fois que ma petite chatte sera habituée à elle.
Et je bascule sur mon dos et il place un oreiller sous mes fesses en grimpant sur le lit.
En tournant ma tête, je vois dans la glace de l'armoire une jeune fille minuscule, qui sort de l'adolescence, avec mes cuisses grandes ouvertes pour mon oncle, 90 kg et 1.80m.
Il me fait penser à un monstre lubrique de cartoons érotique avec sa grosse bite droite comme un pieu, prête à empaler une jeune vierge qu'on amène au supplice. Enfin…pour la vierge je repasserai.
Avec une fausse honte, j'avoue que le spectacle est fantastiquement érotique pour moi.
Son regard qui m’observait se redirige vers ma poitrine, s’attarde un instant, puis se fixe sur mon sexe. Il frotte mes lèvres humides avec le bout de son gland rouge comme une betterave tout en caressant mon clito avec son pouce.
Il écarte sans mal mes grandes lèvres déjà entrouvertes et glisse son gland un peu plus loin.
- Ahou !
Je n’ai pu retenir un petit cri, mais lorsqu’il s’est enfoncé encore un peu plus et que j’ai senti mes petites lèvres vaginales étrangler son gros gland, j’ai crié :
- Aaaaaahhhhhhh ! Ouuuuuuhhhhh…
Quand il tente de pénétrer plus avant dans ma chatte écartelée, mon oncle sens bien que son gland a du mal à se frayer un chemin dans mon petit vagin. Il doit se dire que ma chatte n'a pas dû voir autant de sexes que je veux lui faire croire.
Voyant mon visage marqué par la douleur il ne bouge plus. Lorsque ça va mieux, j’arque mon dos pour avancer mes fesses et l’aider à me pénétrer.
Les quelques cm de plus enfoncés dans mon vagin super serré me font encore pousser un petit cri, puis la douleur s’estompe progressivement pour finir sur un gémissement de contentement et de plaisir.
- AAAAHHHHhhhhh…Muuummmmm… Ouiiiiiiiiii…lààààààààà, stoooppp !
Je l'attrape par le cou et je pousse ma langue dans sa bouche pour un chaud baiser.
C'est notre premier baiser humide que nous échangeons. Puis je me cambre de nouveau et son gland pénètre plus profondément dans mon vagin. Ayant peur de me faire mal, ou égoïstement, pour profiter plus longtemps de ce moment, il se recule et sort un peu sa queue de mon sexe brulant pour le regarder, mais je suis son mouvement pour qu’il reste enfoncé en moi et lui faire comprendre que loin d'avoir mal, j’aime bien son intrusion.
Le dos et les reins cambrés, tout mon corps se tend vers son gros sexe qui me pénètre.
Sa bite, enfoncée de plus de la moitié de sa longueur, est écrasée par mon vagin. Il doit avoir l'impression que je suis encore vierge. Si je ne lui avais pas avoué avoir déjà couché avec des copains, il pourrait croire qu’il vient de me dépuceler. Je le supplie ;
- Reste ! Reste comme ça, ne bouge plus, Tonton.
Nous restons ainsi un temps qui nous semble infini, tout à notre plaisir, puis mes lèvres se reposent sur sa bouche pour l'embrasser amoureusement. Sa langue cherche immédiatement la mienne et on se roule un patin à en perdre notre souffle et je sens mon vagin qui palpite sur ma queue.
Lorsque je lâche ses lèvres pour reprendre ma respiration, il commence de petits va et viens en essayant d'introduire son pieu un peu plus loin à chaque fois.
Je serre mes dents et attrape à l'aveuglette la bouteille d'huile pour arroser généreusement nos deux sexes lorsque son gland est presque sorti de ma chatte.
Ça fait surement de l'effet, car je commence à trouver un peu plus facile sa pénétration dans ma chatte. Mon vagin bien lubrifié, accepte progressivement cet intrus qui dilate durement mon trou d'amour, mais qui l'excite en même temps.
- Putain ! Tonton ! J'ai l'impression d'éclater ! Ça fait un peu mal au début ! Non de Dieu ! Elle est grosse ta queue ! Mais maintenant j'aime la sentir qui remplit complètement mon ventre. Dis…t'as tout mis…elle est toute entière… dedans ?
- À peu près, ma chérie.
Mais quand je soulève ma tête pour regarder vers le bas, je vois qu'il reste au moins 5 cm.
- Tu es vraiment très étroite mon cœur et c'est extraordinaire comme je te sens bien !
Et il continue ses allers-retours en gagnant quelques mm à chaque fois.
- Fais-moi l’amour, Tonton ! Baise-moi bien ! N'est pas peur, maintenant j'adore, vas- y…vient encore un peu plus loin.
Et d'un léger coup de reins, il est au fond de mon ventre. J’en ai une contraction brutale de mon vagin, accompagnée d'un,
- AAAaahhh… ouiiiiiiiiiii, de plaisir.
En appui sur ses bras, il recommence à me baiser et sous ses coups de reins, je me contracte chaque fois violemment en gémissant continuellement.
Je voudrais faire durer longtemps ce moment, mais j’ai tellement envie de jouir que j’ai du mal à retenir la vague de plaisir qui roule dans mon ventre. Soudainement mon corps se tend sauvagement sous lui.
- Waouh ! Je... jouiiiiiisssssssss ! OHHHH ! AAAAAHHHH !!! Ouuuiiiiiiiiiii !
Sous mon orgasme et mes cris de jouissance, mon tonton d’amour perd le contrôle de sa queue pendant une minute et il plonge involontairement son pénis dans ma chatte palpitante. Son pubis vient claquer le mien en même temps que son gland s'écrase sur le col de mon utérus.
Comme je continue de jouir en hurlant de plaisir, il me baise de toutes ses forces et je participe aussi, sans même m’en rendre compte, à cette baise sauvage, en allant au-devant de sa magnifique bite sans pitié pour mon corps de jeune fille.
Il doit retrouver toute la fougue de sa jeunesse en faisant l'amour à sa jeune nièce et sans relâche sa bite laboure mon étroit tunnel et j’ai rapidement un nouvel orgasme.
- Ouiiiii ! Encore ! Ooooohhhhh que c'est boooonnnn… AAAAHHHHhhhhh….
Il reste enfoncé dans mon vagin maintenant bien lubrifié par l’huile et ma cyprine qui coule le long de sa bite. Il ne bouge plus, sauf sa queue qui palpite répondant aux spasmes incontrôlés de mes muscles vaginaux.
Il ne va surement pas tenir le coup aussi longtemps que je le veux, car la pression de ma chatte sur sa bite et ma jouissance l’excite beaucoup trop. En appui sur ses bras tendus, il regarde ma grosse poitrine gonflée et surtout mes tétons roses tendus qui le font encore plus bander.
Il ressort lentement sa queue pour éviter le pire, mais mes 2 mains saisissent ses fesses :
- Noooonnnnn ! OOOOhhhhh, nooonn…ne pars pas ! Reste encore en moi et donne-moi ton sperme, je prends la pilule.
Levant sa tête, il voit sa salope de nièce la bouche luisante et entrouverte, les yeux humides qui le supplient :
- Allez, Tonton jouit en moi. Je veux sentir ton foutre !
Son sexe toujours raide contre mon ventre me trouble un peu dans ce moment d'émotion, mais je le veux en moi.
Une de mes mains guide sa queue et l'autre l'attire vers moi.
Ce court moment de calme lui a évité de jouir tout de suite et il me reprend avec de lentes et longues pénétrations pour mon plaisir et le sien. J’ondule sous lui en gémissant de plus en plus fort avant de pousser une longue plainte sous un nouvel orgasme.
Mes yeux sont révulsés et ma tête retombe inerte à la fin de ma jouissance.
C'est trop pour lui et il voit bien que je ne simule pas ! Il regarde sa grosse queue s'enfoncer dans ma petite chatte tout écartelée et dégoulinante de cyprine et il explose en touchant de son gland l'extrémité de mon tunnel d'amour.
Je rouvre mes yeux et je crie de nouveau qu'en son sperme frappe mon utérus ;
- Aaaahhhhh, ouiiiii… je te sens ! Ouiiiiiiiiii vas-y, encoooore ! Inonde ma chatte qui me brule !
Mes gémissements ne s'arrêtent qu'à la fin de ma jouissance.
Au-dessus de moi, reprenant son souffle, il admire mon beau visage transfiguré par mes jouissances. Je l’entends murmurer.
- Mon Dieu que tu es belle mon amour !
Nos yeux se rencontrent et nous sourions tous deux. Il me dit ;
- Merci ma chérie, merci pour cette jouissance que tu m'as donnée avec ton sexe de jeune fille. C'est incroyable… magique ! Je n’ai jamais joui aussi fort et aussi longuement depuis des lustres.
Des larmes coulent de mes yeux quand je réponds :
- Oh, merci aussi ! Je n'ai jamais joui aussi longtemps avec plusieurs orgasmes ! J'ai eu mal au début, mais d'un seul coup la douleur a été remplacée par des vagues de plaisir et je voudrais que ça recommence mille fois ! Je n'imaginais pas pouvoir jouir aussi fort. Quand tu frappais le fond de mon ventre, à chaque fois ça déclenchait une véritable décharge de plaisir ! C'est formidable de baiser... avec toi… Tu es vraiment mon Tonton d'amour !
Il est rassuré, car malgré mes larmes, il est clair que j’ai aimé ça, même si j’ai un peu souffert au début.
Il retire sa bite dégonflée de mon vagin et après un dernier gémissement de ma part quand elle quitte ma chatte, il s'écroule à côté de moi, haletante, qui reprend ma respiration.
Ma main se pose sur mon ventre et mon sexe trempé par son sperme et ma cyprine. Je me caresse avant d'attraper son sexe à moitié bandé.
- Tonton… je t'aime…
- Moi aussi mon ange, mais veux-tu bien lâcher mon sexe.
- Pourquoi ? Je l'aime aussi ta belle bite maintenant. Tu mets longtemps à récupérer ?
- Sophie ! Tu veux remettre ça !
- Bien sûr mon tonton d'amour…je vais chercher à boire et après tu me donnes encore du plaisir
Il n'en revient pas, mais il m’a encore baisé 2 fois avant de crier grâce, car sa bite devenait douloureuse à sa dernière éjaculation et il aurait été incapable de me satisfaire à nouveau.
Heureusement, car ma chatte est ouverte, béante et rouge et je lui avoue que j’ai un peu mal après mon dernier orgasme lorsque ma jouissance s'est envolée.
Il m’a prise dans ses bras pour m'embrasser longuement et nous avons fini par nous endormir, collés l'un contre l'autre, mes fesses sur sa queue épuisée, une de ses mains sur un de mes gros seins et l’autre entre mes cuisses sur ma chatte dégoulinante de nos jus mélangés.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très jolie fin qui ne me laisse pas indifférent, j’ai jouis en te lisant j’espère qu’il y aura une suite. J’aime ta façon de décrire ton n plaisir et tes sensations. Merci du plaisir que tu m’as offert. Bises
Premièrement, ce n'est pas de l'inceste car ce n'est qu'un oncle par alliance .
Aucun lien de parenté ni sanguin.
Je ne suis pas un vieux pervers . Seulement une femme qui était sexuellement active à 18 ans.
Aucun lien de parenté ni sanguin.
Je ne suis pas un vieux pervers . Seulement une femme qui était sexuellement active à 18 ans.
Tant que ça ne sort pas de la famille (!!!...)
Encore un fantasme écrit par un vieux pervers, cela s'appelle de l'inceste et doit être puni pénalement?
Encore un fantasme écrit par un vieux pervers, cela s'appelle de l'inceste et doit être puni pénalement?