Mes confidences érotiques Ch. 6: petit jeu coquin
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes confidences érotiques Ch. 6: petit jeu coquin
Chapitre 6 : petit jeu coquin
Carole est partie assez tôt lundi matin et dès que j’entends sa voiture s’éloigner, c’est mon oncle que j’entends monter les escaliers en courant pour venir me voir.
Mais, au lieu de me trouver nue, couchée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes en attente de sa bite, il me trouve habillée avec une petite jupette ultra courte et en train de lire un livre.
- Qu'est-ce qui se passe ? Me demande-t-il.
- Je suis désolé Tonton, mais ma chatte est encore un peu sensible.
- Tu plaisantes j'espère…
- Non, tonton, ça va mieux, mais je me suis bêtement blessée avec mon ongle la nuit dernière en mettant deux doigts dedans. Tu sais après que tu t’es branlé en me regardant…
- Tu étais réveillée ?
- J'ai un sommeil léger, et je pense que c'est le bruit de ta main qui branlait ta bite et tes halètements étouffés qui m'ont réveillé. Dis-je malicieusement.
- Bien sûr ça m'a excitée, et du coup je me suis masturbée quand tu es parti comme un voleur. Mais ne fais pas cette tête-là, Tonton, nous pouvons faire encore d'autres choses.
Je pose mon livre et je saute de mon lit. Je baisse son pantalon, arrache son slip et mes mains impatientes attrapent son pénis un peu gonflé que je commence à triturer dans tous les sens.
- Tu sais Tonton, j'adore prendre ton sexe dans ma main quand il est encore mou et tout doux et ensuite, quand j'arrive à le rendre gros et bien dur, je me sens femme et un peu putain à la fois. Laisse-moi te déshabiller pour que tu sois plus à l'aise.
À son regard, il doit penser que décidément sa nièce n'a pas fini de l’étonner.
Il me laisse faire et il s'allonge sur le lit. J’enroule mes mains autour de son pénis maintenant en pleine forme, je regarde son pubis et ses grosses couilles et je lui dis.
- J'ai eu une idée, tu me laisses faire ce que je veux ?
- Quoi ?
- Je veux te faire ce que tu m'as fait.
- Dans ce cas …alors, vas-y !
Répond-il sans savoir ce que j’ai en tête, mais il se dit que ça ne peut qu'être agréable.
Je file dans la salle de bain et je reviens avec un nécessaire de rasage et une bassine d'eau.
- Ne bouge pas ! Je vais te raser.
- Quoi ! Sophie, tu es complètement folle ! Je ne sais pas si…
- Tonton, tu ressembles à un ours poilu et je t'aime, mais je vais raser tes poils à la base de ta bite. Ce sera amusant, non ? Tu as un beau sexe, pourquoi le cacher.
- Sophie, je ne suis pas sûr que…
- Laisse-moi faire, tu as trop de poils en bas et je suis sûr que cela la fera paraitre encore plus grande qu'elle ne l'est déjà.
- Bon, mais sois prudente, je ne veux pas être castré comme un eunuque !
Je commence à le raser en tirant bien sur sa bite pour tendre la peau.
- Whaou ! dis-je en trempant le rasoir dans l'eau. Regarde tous ces poils ! Tu en avais vraiment trop !
Quand il sent le rasoir qui commence à passer en revue ses couilles, il n'en mène pas large.
- Fais très attention !......C'est fini, Sophie ?
- Presque…maintenant, retourne-toi et mets-toi à 4 pattes que je te finisse !
- Putain ! Tu ne vas quand même pas faire aussi mon petit trou !
Comme d'habitude il fait ce que je lui demande et mon rasoir file très délicatement sur le dessous de son scrotum et je pousse avec mes doigts le bord de sa rosace pour bien raser de chaque côté.
- Voilà ! Tu es chouette comme ça ! Tu veux voir.
Et je lui tends un miroir.
De prime abord il parait surpris. La base de mon jouet d'amour est rose et lisse, sans bronzage, tout comme ses couilles. La différence d'aspect est assez troublante, car sa bite est entièrement dévoilée sans ce buisson de poils déjà un peu argentés.
- C'est beau, hein, Tonton, elle est belle comme ça ! Je l'aime encore plus ! Je suis amoureuse de ta queue mon tonton d'amour…
Je caresse son sexe tout en admirant cette merveille de la nature.
- Sophie… fais-moi jouir.
- Tu dois d'abord regarder si ma chatte n'a pas de petits poils qui repoussent.
Je lui tends le rasoir avec mon sourire coquin.
- Vraiment… tu n’es qu’une petite garce !
- Oui et c’est de ta faute ! Regarde-moi cette belle bite !
Il allait peut-être répondre, mais il reste la bouche ouverte, car en moins d’une seconde, j’ai retiré ma jupe et comme je ne porte pas de slip, il peut voir ma belle petite chatte qui n'a plus aucun poil autour de sa fente et cela l’excite encore plus.
Si moi je suis toujours en admiration devant son sexe lui, c’est ce que j’ai entre mes deux cuisses féminines douces et soyeuses.
Sa bouche se referme et il me regarde en disant.
- Tu veux vraiment que je fasse çà !
- Ouais, je veux que tu fasses ça ! Vérifie avec ta langue si tu sens des repousses désagréables.
Et il s'exécute. Il lèche mon pubis puis mes grandes lèvres bien visibles avant de pousser le bout de sa langue entre celles-ci pour remonter vers mon clito.
- Oooh…
- Quoi, mon cœur ?
- Mon clito est hyper sensible !
Pour la forme, il donne deux coups de rasoir puis en soulevant mes fesses, il inspecte la zone glabre entre ma chatte et mon anus.
Je vois bien qu’il a une attirance particulière pour mon anus parfaitement dessiné alors qu’il n’a jamais porté d'intérêt à un trou du cul jusqu'à maintenant. Enfin c’est ce qu’il m’a dit. Mais on est tous vulnérables et il trouve mon petit anneau plissé très excitant, bien dessiné comme une rosace.
Sa langue descend entre les lèvres de chatte, en dessous, dans la zone sensible entre les deux orifices, mais il ne va pas plus loin.
- Tonton… t'as fini de me raser ?
- Euh, oui Sophie, dit-il en revenant sur terre. Tout est parfait. Tu es toute lisse comme un bébé.
J’écarte mes jambes et j’attrape le miroir pour vérifier elle-même.
- Whaaooouuu ! Ma chatte est toute propre et toute lisse. Elle est belle, hein, Tonton.
- Je la trouve toujours belle, mais comme ça elle est vraiment magnifique. Si tu es amoureuse de mon sexe, moi c'est de ta chatte. Un vrai bijou, une œuvre d’art et un délicieux fruit exotique.
Il replonge sa tête entre mes cuisses pour introduire sa langue dans ma jolie fente toute rose qui perle légèrement. Je ne dis rien et je me laisse faire, mes mains sur sa tête.
Sa bite durcit encore un peu plus et il me demande.
- Je peux t'enfiler ma queue ma chérie, tout doucement…
- Demain, Tonton, ça ira sûrement mieux. Mais on peut faire autrement. Viens là et mets ta queue entre mes cuisses.
Je mets un oreiller sous mes fesses et il s’agenouille entre mes cuisses que j’ai relevées pour glisser sa bite entre elles que je maintiens serrée.
- Ooooooh, Tonton, dis-je en roucoulant. Je la sens bien. Qu'est-ce que c'est bon de l'avoir entre mes cuisses.
Je bouge un peu pour lui permettre de frotter son gland sur mon clitoris et je commence à agiter mes hanches, comme lui.
-Oooohhhh, ouiiiii…ton gland me fait des bisous sur mon petit clito !
Il regarde ma chatte et son gland sonde un peu le trou de ma chatte. Je vois bien qu’il a du mal à ne pas aller plus loin.
- Non ! Tonton, n'entre pas ! Frotte ta bite le long de mes lèvres ! J'adore la voir et la sentir comme çà.
De sa main il aide sa bite à caresser toute la longueur de ma chatte et tourne autour de mon clitoris qu’il aperçoit bien, car j’écarte le plus possible mes lèvres intimes avec le bout de mes doigts.
Je sens mes cuisses trembler, mes joues rougissent par un afflux de sang et elle je m'écrie :
- Je jouiiiiiisssssssss ! OOOooohhhh, Tonton ! Tu me fais jooouuuiiiir !
Ses yeux ne lâchent pas sa bite qui abuse de mon clitoris tendu et qui le frappe comme un petit sac de boxe. Une petite giclée de mon fluide intime jailli de ma chatte et éclabousse sa bite pendant que mon corps est pris d'une série de convulsions.
Impuissant à se retenir, sa bite entre en éruption, crache d’épaisses giclées de sperme, sublimant mon pubis fraîchement rasé et ma chatte tremblante, pour se mélanger avec mon propre jus qui sort entre mes lèvres intimes. Il tire sauvagement sur sa bite, pour éjecter les dernières gouttes de sa semence et il regarde le filet de liquide qui coule de ma chatte entre mes jambes, pour finir sur le drap en dessous.
- Oh, Tonton, c'est formidable ! Je sentais tes giclées de sperme sur ma peau et dans ma fente pendant que je jouissais comme une dingue !
- Oui, ma chérie, c'est merveilleux comme tu prends vite du plaisir. Tu es une amante exceptionnelle et je t'aime.
Nous avons réussi à jouir ensemble malgré tout, et je lui ai promis que demain ce serait encore mieux.
Ce n'est pas le cas, car il doit se contenter de fellations et de branlettes. Il sent bien que j’ai peur d'avoir mal et il ne veut surtout pas me forcer même si je suis une belle petite salope en herbe. Mais je lui promets.
- Dans 1 ou 2 jours, je suis sûre que nous pourrons nous aimer à nouveau, et aussi longtemps que nous pourrons le faire. Promit Tonton !
Dans la nuit je fais un rêve…ou un cauchemar… Dans ce rêve tonton est sur moi et quand il me pénètre, je lui demande d'arrêter, car il me fait mal. Il ne m’écoute pas et il va encore plus loin. Je pleure et je lui dis que ça fait encore plus mal.
Ça ne l’arrête pas et me retournant sur le ventre il force sa grosse bite à l'intérieur de mon sexe le plus fort qu’il peut. Je hurle et chiale en l’implorant de se retirer, mais il continue de me perforer et de me déchirer avec son gros dard.
Je crie et j’appelle à l'aide, mais il écarte mes fesses et il m’encule d'un seul coup ! Je sens mes tendres chairs craquer sous son implacable assaut et il jouit dans mon trou du cul éclaté !
Je me réveille en sueur toute perturbée. Est-ce vraiment ce dont j'ai envie ? Est-ce que je suis aussi perverse que ça ou suis-je une nymphomane qui s’ignore ?
La porte de ma chambre s’ouvre en faisant du bruit et mon oncle se précipite vers moi.
- Sophie ! Qu'est-ce qui se passe ?
Il m’embrasse sur le front et je lui dis.
- Rien… juste un putain de mauvais rêve. Tu peux te recoucher, rendors-toi.
Je réalise que j'ai des relations sexuelles avec mon oncle qui a l’âge de mon père et que je rêve de sa grosse bite qui pourrait défoncer mon petit trou du cul.
Vivement que Stéphanie vienne me donner un coup de main. Elle adore se faire enculer, car c’est comme ça qu’elle a connu ses premières relations sexuelles avec son voisin.
Carole est partie assez tôt lundi matin et dès que j’entends sa voiture s’éloigner, c’est mon oncle que j’entends monter les escaliers en courant pour venir me voir.
Mais, au lieu de me trouver nue, couchée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes en attente de sa bite, il me trouve habillée avec une petite jupette ultra courte et en train de lire un livre.
- Qu'est-ce qui se passe ? Me demande-t-il.
- Je suis désolé Tonton, mais ma chatte est encore un peu sensible.
- Tu plaisantes j'espère…
- Non, tonton, ça va mieux, mais je me suis bêtement blessée avec mon ongle la nuit dernière en mettant deux doigts dedans. Tu sais après que tu t’es branlé en me regardant…
- Tu étais réveillée ?
- J'ai un sommeil léger, et je pense que c'est le bruit de ta main qui branlait ta bite et tes halètements étouffés qui m'ont réveillé. Dis-je malicieusement.
- Bien sûr ça m'a excitée, et du coup je me suis masturbée quand tu es parti comme un voleur. Mais ne fais pas cette tête-là, Tonton, nous pouvons faire encore d'autres choses.
Je pose mon livre et je saute de mon lit. Je baisse son pantalon, arrache son slip et mes mains impatientes attrapent son pénis un peu gonflé que je commence à triturer dans tous les sens.
- Tu sais Tonton, j'adore prendre ton sexe dans ma main quand il est encore mou et tout doux et ensuite, quand j'arrive à le rendre gros et bien dur, je me sens femme et un peu putain à la fois. Laisse-moi te déshabiller pour que tu sois plus à l'aise.
À son regard, il doit penser que décidément sa nièce n'a pas fini de l’étonner.
Il me laisse faire et il s'allonge sur le lit. J’enroule mes mains autour de son pénis maintenant en pleine forme, je regarde son pubis et ses grosses couilles et je lui dis.
- J'ai eu une idée, tu me laisses faire ce que je veux ?
- Quoi ?
- Je veux te faire ce que tu m'as fait.
- Dans ce cas …alors, vas-y !
Répond-il sans savoir ce que j’ai en tête, mais il se dit que ça ne peut qu'être agréable.
Je file dans la salle de bain et je reviens avec un nécessaire de rasage et une bassine d'eau.
- Ne bouge pas ! Je vais te raser.
- Quoi ! Sophie, tu es complètement folle ! Je ne sais pas si…
- Tonton, tu ressembles à un ours poilu et je t'aime, mais je vais raser tes poils à la base de ta bite. Ce sera amusant, non ? Tu as un beau sexe, pourquoi le cacher.
- Sophie, je ne suis pas sûr que…
- Laisse-moi faire, tu as trop de poils en bas et je suis sûr que cela la fera paraitre encore plus grande qu'elle ne l'est déjà.
- Bon, mais sois prudente, je ne veux pas être castré comme un eunuque !
Je commence à le raser en tirant bien sur sa bite pour tendre la peau.
- Whaou ! dis-je en trempant le rasoir dans l'eau. Regarde tous ces poils ! Tu en avais vraiment trop !
Quand il sent le rasoir qui commence à passer en revue ses couilles, il n'en mène pas large.
- Fais très attention !......C'est fini, Sophie ?
- Presque…maintenant, retourne-toi et mets-toi à 4 pattes que je te finisse !
- Putain ! Tu ne vas quand même pas faire aussi mon petit trou !
Comme d'habitude il fait ce que je lui demande et mon rasoir file très délicatement sur le dessous de son scrotum et je pousse avec mes doigts le bord de sa rosace pour bien raser de chaque côté.
- Voilà ! Tu es chouette comme ça ! Tu veux voir.
Et je lui tends un miroir.
De prime abord il parait surpris. La base de mon jouet d'amour est rose et lisse, sans bronzage, tout comme ses couilles. La différence d'aspect est assez troublante, car sa bite est entièrement dévoilée sans ce buisson de poils déjà un peu argentés.
- C'est beau, hein, Tonton, elle est belle comme ça ! Je l'aime encore plus ! Je suis amoureuse de ta queue mon tonton d'amour…
Je caresse son sexe tout en admirant cette merveille de la nature.
- Sophie… fais-moi jouir.
- Tu dois d'abord regarder si ma chatte n'a pas de petits poils qui repoussent.
Je lui tends le rasoir avec mon sourire coquin.
- Vraiment… tu n’es qu’une petite garce !
- Oui et c’est de ta faute ! Regarde-moi cette belle bite !
Il allait peut-être répondre, mais il reste la bouche ouverte, car en moins d’une seconde, j’ai retiré ma jupe et comme je ne porte pas de slip, il peut voir ma belle petite chatte qui n'a plus aucun poil autour de sa fente et cela l’excite encore plus.
Si moi je suis toujours en admiration devant son sexe lui, c’est ce que j’ai entre mes deux cuisses féminines douces et soyeuses.
Sa bouche se referme et il me regarde en disant.
- Tu veux vraiment que je fasse çà !
- Ouais, je veux que tu fasses ça ! Vérifie avec ta langue si tu sens des repousses désagréables.
Et il s'exécute. Il lèche mon pubis puis mes grandes lèvres bien visibles avant de pousser le bout de sa langue entre celles-ci pour remonter vers mon clito.
- Oooh…
- Quoi, mon cœur ?
- Mon clito est hyper sensible !
Pour la forme, il donne deux coups de rasoir puis en soulevant mes fesses, il inspecte la zone glabre entre ma chatte et mon anus.
Je vois bien qu’il a une attirance particulière pour mon anus parfaitement dessiné alors qu’il n’a jamais porté d'intérêt à un trou du cul jusqu'à maintenant. Enfin c’est ce qu’il m’a dit. Mais on est tous vulnérables et il trouve mon petit anneau plissé très excitant, bien dessiné comme une rosace.
Sa langue descend entre les lèvres de chatte, en dessous, dans la zone sensible entre les deux orifices, mais il ne va pas plus loin.
- Tonton… t'as fini de me raser ?
- Euh, oui Sophie, dit-il en revenant sur terre. Tout est parfait. Tu es toute lisse comme un bébé.
J’écarte mes jambes et j’attrape le miroir pour vérifier elle-même.
- Whaaooouuu ! Ma chatte est toute propre et toute lisse. Elle est belle, hein, Tonton.
- Je la trouve toujours belle, mais comme ça elle est vraiment magnifique. Si tu es amoureuse de mon sexe, moi c'est de ta chatte. Un vrai bijou, une œuvre d’art et un délicieux fruit exotique.
Il replonge sa tête entre mes cuisses pour introduire sa langue dans ma jolie fente toute rose qui perle légèrement. Je ne dis rien et je me laisse faire, mes mains sur sa tête.
Sa bite durcit encore un peu plus et il me demande.
- Je peux t'enfiler ma queue ma chérie, tout doucement…
- Demain, Tonton, ça ira sûrement mieux. Mais on peut faire autrement. Viens là et mets ta queue entre mes cuisses.
Je mets un oreiller sous mes fesses et il s’agenouille entre mes cuisses que j’ai relevées pour glisser sa bite entre elles que je maintiens serrée.
- Ooooooh, Tonton, dis-je en roucoulant. Je la sens bien. Qu'est-ce que c'est bon de l'avoir entre mes cuisses.
Je bouge un peu pour lui permettre de frotter son gland sur mon clitoris et je commence à agiter mes hanches, comme lui.
-Oooohhhh, ouiiiii…ton gland me fait des bisous sur mon petit clito !
Il regarde ma chatte et son gland sonde un peu le trou de ma chatte. Je vois bien qu’il a du mal à ne pas aller plus loin.
- Non ! Tonton, n'entre pas ! Frotte ta bite le long de mes lèvres ! J'adore la voir et la sentir comme çà.
De sa main il aide sa bite à caresser toute la longueur de ma chatte et tourne autour de mon clitoris qu’il aperçoit bien, car j’écarte le plus possible mes lèvres intimes avec le bout de mes doigts.
Je sens mes cuisses trembler, mes joues rougissent par un afflux de sang et elle je m'écrie :
- Je jouiiiiiisssssssss ! OOOooohhhh, Tonton ! Tu me fais jooouuuiiiir !
Ses yeux ne lâchent pas sa bite qui abuse de mon clitoris tendu et qui le frappe comme un petit sac de boxe. Une petite giclée de mon fluide intime jailli de ma chatte et éclabousse sa bite pendant que mon corps est pris d'une série de convulsions.
Impuissant à se retenir, sa bite entre en éruption, crache d’épaisses giclées de sperme, sublimant mon pubis fraîchement rasé et ma chatte tremblante, pour se mélanger avec mon propre jus qui sort entre mes lèvres intimes. Il tire sauvagement sur sa bite, pour éjecter les dernières gouttes de sa semence et il regarde le filet de liquide qui coule de ma chatte entre mes jambes, pour finir sur le drap en dessous.
- Oh, Tonton, c'est formidable ! Je sentais tes giclées de sperme sur ma peau et dans ma fente pendant que je jouissais comme une dingue !
- Oui, ma chérie, c'est merveilleux comme tu prends vite du plaisir. Tu es une amante exceptionnelle et je t'aime.
Nous avons réussi à jouir ensemble malgré tout, et je lui ai promis que demain ce serait encore mieux.
Ce n'est pas le cas, car il doit se contenter de fellations et de branlettes. Il sent bien que j’ai peur d'avoir mal et il ne veut surtout pas me forcer même si je suis une belle petite salope en herbe. Mais je lui promets.
- Dans 1 ou 2 jours, je suis sûre que nous pourrons nous aimer à nouveau, et aussi longtemps que nous pourrons le faire. Promit Tonton !
Dans la nuit je fais un rêve…ou un cauchemar… Dans ce rêve tonton est sur moi et quand il me pénètre, je lui demande d'arrêter, car il me fait mal. Il ne m’écoute pas et il va encore plus loin. Je pleure et je lui dis que ça fait encore plus mal.
Ça ne l’arrête pas et me retournant sur le ventre il force sa grosse bite à l'intérieur de mon sexe le plus fort qu’il peut. Je hurle et chiale en l’implorant de se retirer, mais il continue de me perforer et de me déchirer avec son gros dard.
Je crie et j’appelle à l'aide, mais il écarte mes fesses et il m’encule d'un seul coup ! Je sens mes tendres chairs craquer sous son implacable assaut et il jouit dans mon trou du cul éclaté !
Je me réveille en sueur toute perturbée. Est-ce vraiment ce dont j'ai envie ? Est-ce que je suis aussi perverse que ça ou suis-je une nymphomane qui s’ignore ?
La porte de ma chambre s’ouvre en faisant du bruit et mon oncle se précipite vers moi.
- Sophie ! Qu'est-ce qui se passe ?
Il m’embrasse sur le front et je lui dis.
- Rien… juste un putain de mauvais rêve. Tu peux te recoucher, rendors-toi.
Je réalise que j'ai des relations sexuelles avec mon oncle qui a l’âge de mon père et que je rêve de sa grosse bite qui pourrait défoncer mon petit trou du cul.
Vivement que Stéphanie vienne me donner un coup de main. Elle adore se faire enculer, car c’est comme ça qu’elle a connu ses premières relations sexuelles avec son voisin.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je peux prendre rendez-vous pour un rasage. Je veux bien faire le cobaye. Tu m’as bien fait bander une fois de plus. Merci
Jolie suite j’adore tu m’as bien fait bandé merci pour ce moment de plaisir
Tres bien