Mes confidences érotiques Ch.8: Stéphanie la ‘bonne copine’.
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 11 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Sophie69 ont reçu un total de 27 295 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2024 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 1 937 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Mes confidences érotiques Ch.8: Stéphanie la ‘bonne copine’.
Chapitre 8 : Stéphanie la ‘bonne copine’.
Jeudi et vendredi nous avons vécu comme de jeunes mariés en voyage de noces, mais sans bouger de la maison. Je suis constamment collée à lui et son sexe est mon jouet préféré.
Il passe de mes mains à ma bouche pour finir le plus souvent dans ma petite chatte gourmande. Je passe sur les parties de jambes en l’air avec mon tonton d’amour, car j’aurai l’occasion de revenir là-dessus.
Carole va nous foutre la paix, car elle s’est un peu engueulée avec Jacques au téléphone. Elle trouve qu’il ne pense pas beaucoup à elle depuis que je suis arrivée. Et pour cause ! Du coup elle part passer ses vacances dans sa famille.
Tonton vient de finir son petit déjeuner et il monte pour voir si je dors encore. Faut dire que la nuit a été courte après au moins 4 orgasmes ou je me suis écroulée sans force.
Je suis complètement nue et dès qu’il franchit la porte, je saute dans ses bras en le serrant contre mon corps et je l'embrasse sauvagement avant de m’exclamer.
– Jacques, ça va être formidable !
– Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
– J’ai eu ma copine Steph au téléphone et elle peut venir demain !
– Oooh, c’est formidable ! Tu l’aimes bien ta copine,
– Je l’adore ! C’est elle qui m’a déniaisée et qui m’a fait découvrir les plaisirs du sexe.
– Et bien…ça promet ! Dommage qu’elle ne soit pas là !
– OK, Jacques ! Pardon…Tonton. Tu permets que je t'appelle Jacques par moment… Jacques mon amant ! Déshabille-toi, j’ai envie de toi ! et j’ai une super idée !
Je retourne sur mon lit, prends mon portable et compose un numéro en lui disant
– Nous pouvons la faire participer et la rendre jalouse ou frustrée de n’être pas avec nous.
Sur mon dos, cuisses bien écartées, je lui tends mes bras.
– Viens Tonton, viens Jacques, fais-moi des bisous sur ma chatte. Des bisous avec ta langue…
Comment peut-il résister à une telle demande ? Il place sa tête entre mes cuisses si douces, sa bouche sur mon sexe pour que sa langue se régale de ma chatte déjà un peu humide tandis que je hurle presque dans le téléphone.
– Steph ? Sophie !
Je monte exprès le ton, car avec ses oreilles coincées entre mes cuisses, il risque de n'entendre que la moitié d'une conversation intéressante.
– Steph, devine ce que je fais ?
– ….
– Je me fais bouffer la chatte !... Veux-tu savoir par qui ? Par MON TONTON Jacques !
Je ne sais si je le choque un peu, mais ce n’est pas pour autant que sa langue quitte ma chatte et surtout mon clito maintenant sorti de son capuchon ni ne le dissuade d'avoir son nez à l'intérieur de ma chatte pour respirer le doux parfum de mon sexe et égarer sa langue vers mon anus. Je gémis fortement.
– Ouiiiii ! Continuuuuueeeee ! Avant d’ajouter.
– Mon Tonton est tellement cool ! Il a rasé ma chatte la semaine dernière.
Et me tournant vers lui.
– Elle est toujours aussi bonne, Tonton ?
Je n’entends qu’un grognement affirmatif, car sa tête est totalement enfouie dans mon entrecuisse et sa bouche dans son sexe.
– Nous avons hâte de te voir arriver. Tu vas t'arranger pour rester quelques jours…quoi ? Non… Je n’ai pas l’exclusivité. Oui, mais après nos retrouvailles. Ensuite tu pourras laisser mon Tonton d’amour te baiser. Je lui ai dit que tu aimerais te faire enculer… Ouiiiii, je sais…et sa bite est énorme ! Oh merde ! Il me fait jouir ! Aaaaahhhhhh…Tonton. Ouiiiiiiiiiii ! OOOooohhh, ouiiiiiii !
Le téléphone toujours en main, je crie ma jouissance. Son nez et sa bouche sont arrosés pendant que je me tortille sur le lit en hurlant dans le téléphone.
– Ooooohhhhh…attend…Aaahhhh…
Je reprends ma conversation avec Stéphanie quand Jacques arrête de croquer ma chatte.
– Steph…Ooaiiiiis, oh que oui… il me fait bien jouir ! Tonton Jacques me bouffe la chatte aussi bien que toi, tu imagines ! Maintenant, je pense qu'il veut me baiser, pas vrai Jacques ?
Et ce n’est pas qu’une impression, car il a soulevé mes jambes pour placer mes mollets sur ses épaules et assis sur ses genoux, son érection palpitante de désir se trouve en face de ma chatte dégoulinante de cyprine.
En chuchotant, il me demande de raccrocher, mais je lui souris en secouant ma tête négativement
.
– Maintenant, Tonton va enfiler sa bite au fond de ma chatte, tu veux rester en ligne ?
– …..
– C'est bien ce que je pensais.
Tonton secoue encore sa tête pour dire non, mais j’attrape sa bite et je commence à la frotter dans l'entrée de mon sexe glissant pendant que je continue ma conversation.
– Oooohhhh, tout son gland vient de franchir l’entrée de ma petite chatte…Steph…il est en moi ! AAAAHHHHhhhhh, doucement Tonton, soit très doux.
– ….
– Oui, Steph, elle est grosse…tu ne peux pas savoir comment Jacques me baise bien et me fait jouir comme une folle. Mais il est si gros que la première fois ça m'a fait mal et on a dû attendre plusieurs jours pour qu'il recommence.
– Quoi ?... Oui, je t'ai dit qu'elle est longue aussi. Un peu plus que Michel ou Paul. Waouh, ça fait mal, mais c'est un mal qui va faire du bien. Il a maintenant la moitié de sa bite enfoncée. Quoi ? Ce qu'il… ? OK, attends !
J’attrape Jacques par le cou et heureusement que sa main sur sa bite se trouve entre mon pubis et le sien, car elle se serait enfoncée plus loin. Je coince le téléphone entre son cou et le côté de ma tête en murmurant :
– Dis bonjour à Stéphanie, Tonton.
– Euh, bonjour ...
Une voix impertinente lui répond :
– Tonton Jacques… que diable faites-vous à cette jeune fille ? T'as mis ta sale bite dans sa chatte, hein ?
– Ou...iii.
– Je parie que ça coince un peu si vous êtes aussi gros et long qu'elle semble le dire.
– Ouiiii, elle est très étroite ta copine.
– Tu devrais la prendre par le cul. C'est plus élastique et moins fragile. Elle t'a laissé le faire ?
– Non...pas encore…
– Ben merde alors, c'est encore une petite poulette vierge du cul ! Ça alors ! Je te laisserais m'enculer quand je serais avec vous deux. Je suis sûre que tu vas aimer ça !
– Heuuu, je ne l'ai jamais fait… Oooohhhhh, merde… Sophie…
– Difficile de parler et baiser en même temps Tonton ? Repasse-moi Sophie.
Tu parles ! Je suis accrochée à son cou, et je viens de m’empaler sur sa queue en me laissant tomber en arrière pour me retrouver en dessous de lui. Et je crie presque.
– Reste au téléphone Stéphanie, écoute-nous.
Je cale le téléphone à côté de moi sur le lit et je commence à exprimer mon plaisir en poussant des petits cris. Pendant que Jacques me baise, je donne des coups de reins pour m’enfoncer sur son pieu qu’il maintient dans une de ses mains pour ne pas aller trop loin.
Je le surprends une nouvelle fois par les mots vulgaires qui sortent de ma bouche.
– Vas-y vieux salaud, baise là ta petite nièce de merde ! Prends-moi comme une sale pute. Enfonce-toi à fond ! Plus loin ! Enlève ta main ! Plus fort ! Aaaaaahhhhhhh…l'enfoiré... il m'empale carrément ! Stéphanie…c'est presque un viol. Hooouuuuuu… à moi maintenant !
Je le bascule sur le dos, je me retourne et je m’assois à cheval sur lui en présentant mon cul.
- Steph…je viens de passer sur lui et je reprends sa queue en lui tournant le dos. Tu imagines ?
D'une main j’attrape sa queue et je la renfonce dans ma chatte inondée de cyprine. J'aime cette position, car je peux mieux l’enfouir à ma guise, presque à fond.
Je pousse mon cul un bon coup et son sexe va jusqu'au bout de mon vagin Putain !
– Hiiiiiiii…Aaaaaahhhhhhh…
Cri qui couvre le sien.
La pensée d'être écouté stimule encore plus Jacques. Avec ses mains sous mes fesses, il guide mes mouvements pour que je profite pleinement de sa queue plongée dans mon étroite petite chatte.
Quelques minutes plus tard, son corps en sueur, il s'écroule sur moi après une jouissance peu commune qui nous fait hurler à pleins poumons.
Dès que je reprends ma respiration, je récupère le téléphone et je dis à Stéphanie à quel point c'était fort. Puis je tends le téléphone à Jacques.
– Whaaooouuu ! Tonton Jacques, c'était dingue ! Hurle Stéphanie dans son oreille. Je me suis presque enfoncé mon poing dans ma chatte quand vous avez eu tous les deux votre orgasme. Putain… j'ai hâte d'arriver !
– Et moi, aussi ! J'ai hâte de vous voir.
– Économise ton énergie, Tonton, je suis plus gourmande que Sophie. Il va falloir que tu assures. Deux chattes affamées à la maison il va falloir les nourrir !
– Je ferais de mon mieux
Un peu plus tard, il m’a dit qu’il n’était pas sûr de bien cerner ma copine. Elle est certainement impétueuse et un peu vulgaire, et il n’aime pas qu'elle l'appelle Tonton. En tout état de cause après ce qui vient de se passer il a envie de la baiser, car c’est elle qui a dévergondé sa jolie nièce. Pour son plus grand plaisir.
Quand Stéphanie arrive le lendemain Jacques est en courses. Comme il ne voit personne au rez-de-chaussée, il monte à l'étage pour dire bonjour à notre invitée.
Quand il arrive près de la porte de ma chambre qui est entrouverte, il jette un coup d'œil.
Quand il a vu Stéphanie, assise sur le lit, il m’a dit plus tard qu’elle a l'air un peu effrayante.
Les cheveux noirs, courts comme une coupe en brosse et beaucoup de maquillage sur les yeux lui donnent une apparence macabre bizarre, genre gore. Stéphanie porte des jeans et une veste kaki de l'armée qui ne donne aucune indication sur son corps.
Elle lève les yeux quand elle l’aperçoit dans l'embrasure de la porte.
– Hello, Tonton Jacques ! Dit-elle haut et fort,
Mon Oncle s'avance et sourit à cette jeune effrontée.
– Bonjour, Stéphanie, vous n'avez pas à m'appeler Tonton. Jacques fera l'affaire.
– Dommage, j'aime bien Tonton Jacques…
– Tonton, laisse-la faire… murmure Sophie
– Bon, très bien… je suis d'accord. Vous deux pouvez m'appeler comme ça… mais dans l'intimité. Bon je vous laisse à vos retrouvailles.
Il sort de ma chambre en pensant qu’il vient de s'engager dans une d'histoire dangereuse qui pourrait bien lui péter à la gueule.
Mais il n’a pas le temps de réfléchir plus loin, car une main le saisit par-derrière et l'entraîne dans la salle de bains… Stéphanie n’a pas perdu une minute pour lui sauter dessus.
Elle tire le verrou avant de sauter dans ses bras et elle écrase ses lèvres de sa bouche, pour chercher sa langue et l’embrasser furieusement. Puis, elle s’adosse au lavabo, soulève son polo et elle lui dévoile une paire de seins qu’il trouve gigantesques. Elle lui demande :
- Comment notre Tonton trouve-t-il mes seins
Il gémit tout de suite quand la main de Stéphanie se pose sur son pantalon à la recherche de sa bite et s’exclame.
– Ohhh, merde… la vache ! Tonton ! Tu bandes déjà !
Dis Stéphanie lorsque sa main trouve sa queue qui s’est rapidement mise sous tension à l'intérieur de son slip.
Stéphanie le tire vers elle en s’assoyant sur le siège des toilettes. Elle baisse son pantalon et libère son sexe pour le branler violemment plusieurs fois aux sons de ses gémissements de plaisir.
– Whaaaa
! Sophie ne plaisantait pas…T'as vraiment une grosse bite, dit-elle avant de la porter à sa bouche.
Jacques regarde son nœud disparaitre à l'intérieur de sa bouche et ses lèvres glissent avidement vers le bas de son pénis pour essayer de le prendre entièrement.
Stéphanie étant un peu plus âgée que moi, Jacques se rend vite compte qu’elle a beaucoup plus d'expérience et que c’est une experte en tailleuse de pipe.
Sa main branle sa bite tandis que ses lèvres suivent le mouvement tout en utilisant adroitement sa langue.
Quand sa main descend sur ses couilles, sa bouche absorbe sa queue entièrement et Jacques sent son gland passer ses amygdales pour rentrer dans sa gorge.
– Aaaarrrrrgh !
Il gémit de plaisir, car c’est la première fois que son gros gland passe dans la gorge d’une femme…que dis-je…d’une jeune fille ! Si elle continue comme ça, il ne va pas tarder à lui balancer son foutre dans sa gueule de salope.
Mais un bruit vient de la porte fermée au verrou.
Stéphanie sort sa bite de sa bouche et dit.
– Quoi !
– C’est moi, Sophie. Je n’en ai pas pour très longtemps. J’ai une grosse envie !
– Une minute, j’ai bientôt fini.
– Oh, excuse-moi ! je suis désolée ! Prends ton temps. Ça ne presse pas tant que ça ! Je t’attends dans la chambre.
Stéphanie serre ses couilles d’une main et reprend sa fellation profonde.
Elle le suce encore un peu et sa langue passe sur son gland pour récolter la perle de pré sperme qui suinte avant de tirer la chasse des toilettes, puis de se laver les mains avant de sortir et de murmurer à son oreille.
– Huuummm, j’aime le gout de ta queue et la saveur de ton jus, Tonton. Je me sauve, mais je sens que je vais bientôt me régaler !
Tonton, surpris qu'elle le laisse en plan, attend deux minutes avant de sortir de la salle de bains et ridiculement, il se sauve comme un voleur pour se réfugier dans son bureau.
Il ne sait pas bien ce que j’ai prévu de faire avec ma copine, mais ce qui est sûr, c’est qu’il va se payer cette grosse salope.
Jeudi et vendredi nous avons vécu comme de jeunes mariés en voyage de noces, mais sans bouger de la maison. Je suis constamment collée à lui et son sexe est mon jouet préféré.
Il passe de mes mains à ma bouche pour finir le plus souvent dans ma petite chatte gourmande. Je passe sur les parties de jambes en l’air avec mon tonton d’amour, car j’aurai l’occasion de revenir là-dessus.
Carole va nous foutre la paix, car elle s’est un peu engueulée avec Jacques au téléphone. Elle trouve qu’il ne pense pas beaucoup à elle depuis que je suis arrivée. Et pour cause ! Du coup elle part passer ses vacances dans sa famille.
Tonton vient de finir son petit déjeuner et il monte pour voir si je dors encore. Faut dire que la nuit a été courte après au moins 4 orgasmes ou je me suis écroulée sans force.
Je suis complètement nue et dès qu’il franchit la porte, je saute dans ses bras en le serrant contre mon corps et je l'embrasse sauvagement avant de m’exclamer.
– Jacques, ça va être formidable !
– Quoi ? Qu’est-ce qui se passe ?
– J’ai eu ma copine Steph au téléphone et elle peut venir demain !
– Oooh, c’est formidable ! Tu l’aimes bien ta copine,
– Je l’adore ! C’est elle qui m’a déniaisée et qui m’a fait découvrir les plaisirs du sexe.
– Et bien…ça promet ! Dommage qu’elle ne soit pas là !
– OK, Jacques ! Pardon…Tonton. Tu permets que je t'appelle Jacques par moment… Jacques mon amant ! Déshabille-toi, j’ai envie de toi ! et j’ai une super idée !
Je retourne sur mon lit, prends mon portable et compose un numéro en lui disant
– Nous pouvons la faire participer et la rendre jalouse ou frustrée de n’être pas avec nous.
Sur mon dos, cuisses bien écartées, je lui tends mes bras.
– Viens Tonton, viens Jacques, fais-moi des bisous sur ma chatte. Des bisous avec ta langue…
Comment peut-il résister à une telle demande ? Il place sa tête entre mes cuisses si douces, sa bouche sur mon sexe pour que sa langue se régale de ma chatte déjà un peu humide tandis que je hurle presque dans le téléphone.
– Steph ? Sophie !
Je monte exprès le ton, car avec ses oreilles coincées entre mes cuisses, il risque de n'entendre que la moitié d'une conversation intéressante.
– Steph, devine ce que je fais ?
– ….
– Je me fais bouffer la chatte !... Veux-tu savoir par qui ? Par MON TONTON Jacques !
Je ne sais si je le choque un peu, mais ce n’est pas pour autant que sa langue quitte ma chatte et surtout mon clito maintenant sorti de son capuchon ni ne le dissuade d'avoir son nez à l'intérieur de ma chatte pour respirer le doux parfum de mon sexe et égarer sa langue vers mon anus. Je gémis fortement.
– Ouiiiii ! Continuuuuueeeee ! Avant d’ajouter.
– Mon Tonton est tellement cool ! Il a rasé ma chatte la semaine dernière.
Et me tournant vers lui.
– Elle est toujours aussi bonne, Tonton ?
Je n’entends qu’un grognement affirmatif, car sa tête est totalement enfouie dans mon entrecuisse et sa bouche dans son sexe.
– Nous avons hâte de te voir arriver. Tu vas t'arranger pour rester quelques jours…quoi ? Non… Je n’ai pas l’exclusivité. Oui, mais après nos retrouvailles. Ensuite tu pourras laisser mon Tonton d’amour te baiser. Je lui ai dit que tu aimerais te faire enculer… Ouiiiii, je sais…et sa bite est énorme ! Oh merde ! Il me fait jouir ! Aaaaahhhhhh…Tonton. Ouiiiiiiiiiii ! OOOooohhh, ouiiiiiii !
Le téléphone toujours en main, je crie ma jouissance. Son nez et sa bouche sont arrosés pendant que je me tortille sur le lit en hurlant dans le téléphone.
– Ooooohhhhh…attend…Aaahhhh…
Je reprends ma conversation avec Stéphanie quand Jacques arrête de croquer ma chatte.
– Steph…Ooaiiiiis, oh que oui… il me fait bien jouir ! Tonton Jacques me bouffe la chatte aussi bien que toi, tu imagines ! Maintenant, je pense qu'il veut me baiser, pas vrai Jacques ?
Et ce n’est pas qu’une impression, car il a soulevé mes jambes pour placer mes mollets sur ses épaules et assis sur ses genoux, son érection palpitante de désir se trouve en face de ma chatte dégoulinante de cyprine.
En chuchotant, il me demande de raccrocher, mais je lui souris en secouant ma tête négativement
.
– Maintenant, Tonton va enfiler sa bite au fond de ma chatte, tu veux rester en ligne ?
– …..
– C'est bien ce que je pensais.
Tonton secoue encore sa tête pour dire non, mais j’attrape sa bite et je commence à la frotter dans l'entrée de mon sexe glissant pendant que je continue ma conversation.
– Oooohhhh, tout son gland vient de franchir l’entrée de ma petite chatte…Steph…il est en moi ! AAAAHHHHhhhhh, doucement Tonton, soit très doux.
– ….
– Oui, Steph, elle est grosse…tu ne peux pas savoir comment Jacques me baise bien et me fait jouir comme une folle. Mais il est si gros que la première fois ça m'a fait mal et on a dû attendre plusieurs jours pour qu'il recommence.
– Quoi ?... Oui, je t'ai dit qu'elle est longue aussi. Un peu plus que Michel ou Paul. Waouh, ça fait mal, mais c'est un mal qui va faire du bien. Il a maintenant la moitié de sa bite enfoncée. Quoi ? Ce qu'il… ? OK, attends !
J’attrape Jacques par le cou et heureusement que sa main sur sa bite se trouve entre mon pubis et le sien, car elle se serait enfoncée plus loin. Je coince le téléphone entre son cou et le côté de ma tête en murmurant :
– Dis bonjour à Stéphanie, Tonton.
– Euh, bonjour ...
Une voix impertinente lui répond :
– Tonton Jacques… que diable faites-vous à cette jeune fille ? T'as mis ta sale bite dans sa chatte, hein ?
– Ou...iii.
– Je parie que ça coince un peu si vous êtes aussi gros et long qu'elle semble le dire.
– Ouiiii, elle est très étroite ta copine.
– Tu devrais la prendre par le cul. C'est plus élastique et moins fragile. Elle t'a laissé le faire ?
– Non...pas encore…
– Ben merde alors, c'est encore une petite poulette vierge du cul ! Ça alors ! Je te laisserais m'enculer quand je serais avec vous deux. Je suis sûre que tu vas aimer ça !
– Heuuu, je ne l'ai jamais fait… Oooohhhhh, merde… Sophie…
– Difficile de parler et baiser en même temps Tonton ? Repasse-moi Sophie.
Tu parles ! Je suis accrochée à son cou, et je viens de m’empaler sur sa queue en me laissant tomber en arrière pour me retrouver en dessous de lui. Et je crie presque.
– Reste au téléphone Stéphanie, écoute-nous.
Je cale le téléphone à côté de moi sur le lit et je commence à exprimer mon plaisir en poussant des petits cris. Pendant que Jacques me baise, je donne des coups de reins pour m’enfoncer sur son pieu qu’il maintient dans une de ses mains pour ne pas aller trop loin.
Je le surprends une nouvelle fois par les mots vulgaires qui sortent de ma bouche.
– Vas-y vieux salaud, baise là ta petite nièce de merde ! Prends-moi comme une sale pute. Enfonce-toi à fond ! Plus loin ! Enlève ta main ! Plus fort ! Aaaaaahhhhhhh…l'enfoiré... il m'empale carrément ! Stéphanie…c'est presque un viol. Hooouuuuuu… à moi maintenant !
Je le bascule sur le dos, je me retourne et je m’assois à cheval sur lui en présentant mon cul.
- Steph…je viens de passer sur lui et je reprends sa queue en lui tournant le dos. Tu imagines ?
D'une main j’attrape sa queue et je la renfonce dans ma chatte inondée de cyprine. J'aime cette position, car je peux mieux l’enfouir à ma guise, presque à fond.
Je pousse mon cul un bon coup et son sexe va jusqu'au bout de mon vagin Putain !
– Hiiiiiiii…Aaaaaahhhhhhh…
Cri qui couvre le sien.
La pensée d'être écouté stimule encore plus Jacques. Avec ses mains sous mes fesses, il guide mes mouvements pour que je profite pleinement de sa queue plongée dans mon étroite petite chatte.
Quelques minutes plus tard, son corps en sueur, il s'écroule sur moi après une jouissance peu commune qui nous fait hurler à pleins poumons.
Dès que je reprends ma respiration, je récupère le téléphone et je dis à Stéphanie à quel point c'était fort. Puis je tends le téléphone à Jacques.
– Whaaooouuu ! Tonton Jacques, c'était dingue ! Hurle Stéphanie dans son oreille. Je me suis presque enfoncé mon poing dans ma chatte quand vous avez eu tous les deux votre orgasme. Putain… j'ai hâte d'arriver !
– Et moi, aussi ! J'ai hâte de vous voir.
– Économise ton énergie, Tonton, je suis plus gourmande que Sophie. Il va falloir que tu assures. Deux chattes affamées à la maison il va falloir les nourrir !
– Je ferais de mon mieux
Un peu plus tard, il m’a dit qu’il n’était pas sûr de bien cerner ma copine. Elle est certainement impétueuse et un peu vulgaire, et il n’aime pas qu'elle l'appelle Tonton. En tout état de cause après ce qui vient de se passer il a envie de la baiser, car c’est elle qui a dévergondé sa jolie nièce. Pour son plus grand plaisir.
Quand Stéphanie arrive le lendemain Jacques est en courses. Comme il ne voit personne au rez-de-chaussée, il monte à l'étage pour dire bonjour à notre invitée.
Quand il arrive près de la porte de ma chambre qui est entrouverte, il jette un coup d'œil.
Quand il a vu Stéphanie, assise sur le lit, il m’a dit plus tard qu’elle a l'air un peu effrayante.
Les cheveux noirs, courts comme une coupe en brosse et beaucoup de maquillage sur les yeux lui donnent une apparence macabre bizarre, genre gore. Stéphanie porte des jeans et une veste kaki de l'armée qui ne donne aucune indication sur son corps.
Elle lève les yeux quand elle l’aperçoit dans l'embrasure de la porte.
– Hello, Tonton Jacques ! Dit-elle haut et fort,
Mon Oncle s'avance et sourit à cette jeune effrontée.
– Bonjour, Stéphanie, vous n'avez pas à m'appeler Tonton. Jacques fera l'affaire.
– Dommage, j'aime bien Tonton Jacques…
– Tonton, laisse-la faire… murmure Sophie
– Bon, très bien… je suis d'accord. Vous deux pouvez m'appeler comme ça… mais dans l'intimité. Bon je vous laisse à vos retrouvailles.
Il sort de ma chambre en pensant qu’il vient de s'engager dans une d'histoire dangereuse qui pourrait bien lui péter à la gueule.
Mais il n’a pas le temps de réfléchir plus loin, car une main le saisit par-derrière et l'entraîne dans la salle de bains… Stéphanie n’a pas perdu une minute pour lui sauter dessus.
Elle tire le verrou avant de sauter dans ses bras et elle écrase ses lèvres de sa bouche, pour chercher sa langue et l’embrasser furieusement. Puis, elle s’adosse au lavabo, soulève son polo et elle lui dévoile une paire de seins qu’il trouve gigantesques. Elle lui demande :
- Comment notre Tonton trouve-t-il mes seins
Il gémit tout de suite quand la main de Stéphanie se pose sur son pantalon à la recherche de sa bite et s’exclame.
– Ohhh, merde… la vache ! Tonton ! Tu bandes déjà !
Dis Stéphanie lorsque sa main trouve sa queue qui s’est rapidement mise sous tension à l'intérieur de son slip.
Stéphanie le tire vers elle en s’assoyant sur le siège des toilettes. Elle baisse son pantalon et libère son sexe pour le branler violemment plusieurs fois aux sons de ses gémissements de plaisir.
– Whaaaa
! Sophie ne plaisantait pas…T'as vraiment une grosse bite, dit-elle avant de la porter à sa bouche.
Jacques regarde son nœud disparaitre à l'intérieur de sa bouche et ses lèvres glissent avidement vers le bas de son pénis pour essayer de le prendre entièrement.
Stéphanie étant un peu plus âgée que moi, Jacques se rend vite compte qu’elle a beaucoup plus d'expérience et que c’est une experte en tailleuse de pipe.
Sa main branle sa bite tandis que ses lèvres suivent le mouvement tout en utilisant adroitement sa langue.
Quand sa main descend sur ses couilles, sa bouche absorbe sa queue entièrement et Jacques sent son gland passer ses amygdales pour rentrer dans sa gorge.
– Aaaarrrrrgh !
Il gémit de plaisir, car c’est la première fois que son gros gland passe dans la gorge d’une femme…que dis-je…d’une jeune fille ! Si elle continue comme ça, il ne va pas tarder à lui balancer son foutre dans sa gueule de salope.
Mais un bruit vient de la porte fermée au verrou.
Stéphanie sort sa bite de sa bouche et dit.
– Quoi !
– C’est moi, Sophie. Je n’en ai pas pour très longtemps. J’ai une grosse envie !
– Une minute, j’ai bientôt fini.
– Oh, excuse-moi ! je suis désolée ! Prends ton temps. Ça ne presse pas tant que ça ! Je t’attends dans la chambre.
Stéphanie serre ses couilles d’une main et reprend sa fellation profonde.
Elle le suce encore un peu et sa langue passe sur son gland pour récolter la perle de pré sperme qui suinte avant de tirer la chasse des toilettes, puis de se laver les mains avant de sortir et de murmurer à son oreille.
– Huuummm, j’aime le gout de ta queue et la saveur de ton jus, Tonton. Je me sauve, mais je sens que je vais bientôt me régaler !
Tonton, surpris qu'elle le laisse en plan, attend deux minutes avant de sortir de la salle de bains et ridiculement, il se sauve comme un voleur pour se réfugier dans son bureau.
Il ne sait pas bien ce que j’ai prévu de faire avec ma copine, mais ce qui est sûr, c’est qu’il va se payer cette grosse salope.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sophie69
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...