Mes confidences érotiques Ch. 9 : Le cul de Stéphanie
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes confidences érotiques Ch. 9 : Le cul de Stéphanie
Chapitre 9 : Le cul de Stéphanie
Le lendemain, après une nuit très agitée dans ma chambre pour célébrer chaudement nos retrouvailles, nous décidons de faire un tour en ville toute la journée.
Avant de partir, pendant que Stéphanie est dans la salle de bain, mon oncle m’a raconté ce que Stéphanie lui a fait (Ch.8) et je vois bien qu’il a encore en tête la bouche de Steph avalant entièrement son pénis, mais aussi ses deux grosses mamelles ou il mettrait bien sa queue pour un doux massage.
Dans la soirée, on rentre en rigolant comme de petites folles et tonton a juste droit à un petit bisou de ma part sur ses lèvres, suivi d'un autre de Stéphanie qui pousse sa langue une fraction de seconde entre ses lèvres. Pendant le diner et le reste de la soirée, Jacques n'arrête pas de mater les gros seins de cette petite garce de Stéphanie qui a juste un haut très, très, décolleté et sans soutien-gorge.
Ensuite on se retire tous deux dans ma chambre, et je ferme la porte derrière nous... Pour faire… des choses… inavouables à un gentil Tonton !
Pour la suite de ce chapitre, Jacques m'ayant tout raconté,je me mets à sa place pour que vous ressentiez mieux son vécu pendant votre lecture
**************
J'ai un mal fou à trouver le sommeil, car l'image de ma petite Sophie caressée par cette fille sexuellement agressive et contrainte à se soumettre à sa perversion ne me quitte pas. Ma bite restée en érection depuis le diner est ultra-sensible et la chatte toute chaude de ma nièce me manque pour me soulager.
Le bruit d'une chasse d'eau me tire de mes pensées et me donne envie de pisser. Je sors tranquillement du lit et je quitte ma chambre pour aller dans la salle de bain et soulager ma vessie. N'ayant aperçu personne, je retourne vers ma chambre, mais du côté de la chambre de Sophie, je vois une ombre bouger et une voix chuchote,
- Salut Tonton Jacques…
À moitié cachée dans le coin du couloir prés du sous-sol , je distingue les grandes lignes d'un corps nu. C'est Stéphanie !
- Tonton…tu veux jouer avec moi ? Au chat et à la souris…
Et elle disparait, mais je devine qu'elle descend l'escalier sans bruit.
Je la suis et je l'aperçois qui ouvre la porte du cellier et tâtonne à la recherche de l'interrupteur de lumière.
- Vous avez chaud Tonton Jacques…
Stéphanie, taquine, va dans le cellier avec moi qui la suis dans une chaude poursuite, car les petits aperçus de son dos nu et de ses fesses musclées me fournissent toute la motivation nécessaire.
Quand j'arrive en bas, Stéphanie s'est placée sur le côté du cellier, dans une des zones la moins encombrée, juste derrière l'ampoule qui illumine faiblement cet espace. Stéphanie est nue, et elle ne fait aucun effort pour se cacher, au contraire, elle fait tout son possible pour s'afficher comme si elle posait pour une revue porno.
Stéphanie tient la poutre au-dessus de sa tête avec ses deux mains, minaudant quand mon regard se promène sur tout son corps offert.
Elle a un sourire gourmand quand elle voit mon pyjama déformé par mon érection. Elle a l'air moins gore sans le macabre ombre à paupières et son maquillage, mais je remarque à peine son visage.
Je suis figé devant elle et son corps nu. Stéphanie est en effet une fille très mince, plus encore que Sophie, étroite du bassin, mais avec une très grosse poitrine. Je peux surement entourer ses bras entre mon pouce et l'index, mais il me faut surement 2 mains pour englober ses mamelles.
Avec ses bras levés, j'aperçois une épaisse touffe de poils noirs qui remplit les creux de ses aisselles et au lieu de trouver cela dégoutant, ça m'excite encore plus.
Mais légèrement plus bas, se trouve la fierté de Stéphanie. Ses seins que Sophie m'a déjà décrits, mais ses mots ne leur rendent pas justice. Les seins gigantesques de Stéphanie se détachent comme des ballons de football, et leur taille est accentuée par le fait qu'ils sont attachés à un torse mince et étroit. Son corps ne fait pas ses 19 ans, mais ses seins disent le contraire.
Je m'avance dans un état second, mes mains atteignent et saisissent ses seins incroyablement fermes et qui malgré leur taille massive ne présentent aucun signe d'affaissement. Ses tétons sur ses mamelons graisseux sont longs et durs et s'incrustent dans mes paumes. Je soulève ces globes énormes et lourds. Stéphanie se tord et se tourne comme si elle était sur un axe fixé à la poutre au-dessus d'elle.
- Ooooooh, Tonton, gémit-elle, mes gros seins te plaisent ?
- Muuummm… Oui…ils sont incroyables !
Dis-je en continuant de les pétrir plus fermement.
- Tu veux gouter à quelque chose…Tonton ? Embrasse-moi et devine ce que j'ai mangé ?
Je l'embrasse et ses lèvres pleines se collent aux miennes alors que sa langue entame un combat avec la mienne et je me délecte d'une saveur excitante.
- Sophie, je réponds quand elle décolle ses lèvres des miennes.
- C'est bien, Tonton, et je parie que tu sais aussi de quelle partie d'elle vient cette saveur...
- Sa chatte ! J'ai l'impression de déguster sa chatte quand je t'embrasse.
- Tu es très fort, Tonton, et tu as fait aussi du bon travail, cette petite chatte rasée est agréable, Tonton Jacques. Pourquoi ne baisses-tu pas ce pyjama pour que je voie une chose qui m'attire.
Elle tire sur mon pyjama qui se coince sur ma bite, mais qui finit par bondir en l'air quand elle force un peu.
- Muuummmmm... pas mal pour un vieux fusil.
Dis Stéphanie qui examine mon corps âgé de 46 ans qui, heureusement pour moi, est encore pas mal conservé pour mon âge.
- Putain de merde ! Ta queue est exactement comme Sophie me l'a décrite. Et j'adore ta poitrine velue, Tonton. Les poils ne me répugnent pas. Ils m'excitent ! Et toi Tonton ? Tu aimes les miens ou tu veux me raser comme Sophie.
Mes mains ont glissé de ses énormes seins pour passer dans la touffe de poils sous ses bras, puis sur sa taille étroite et ses hanches et atterrir dans son entrecuisse.
Il m'est difficile de voir dans cette pénombre, mais il ne fait aucun doute que Stéphanie a un buisson de poils épais et sauvages autour de sa chatte. Ma main se perd dans cette fourrure épaisse, mais soyeuse.
- Tu aimes ma fourrure, hein, Tonton ? J'en ai aussi autour de mon trou du cul. Sophie m'a dit que tu n'as jamais baisé en enculant une fille ?
Je ne peux que hocher la tête en silence.
- Je me suis sentie prête pour toi quand je t'ai entendu aller pisser. Mais il m'est impossible de croire que tu n'as jamais mis ce beau morceau de viande dans un gros cul !
Stéphanie regarde autour d'elle et apercevant un vieux fauteuil elle saute dessus à genoux, le cul en l'air en s'agrippant au dossier.
- Vas-y, sers-toi, vite et fort ! Le cul c'est mon truc ! Sophie l'a déjà préparé avec ses doigts et sa langue.
Décidément la jeunesse d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celle de mon époque.
Je me présente derrière elle et de mes deux mains j'écarte ses fesses, petites, mais rebondies sur l'arrière.
Stéphanie a un tatouage d'aigle ou quelque chose de ressemblant sur son dos, je le remarque tout en faisant glisser ma bite dans la fente toute lisse et lubrifiée de ses fesses . Même dans la pénombre, je peux voir les poils qui poussent abondamment autour de sa chatte pour s'étendre jusqu'à son trou du cul, que la tête de ma bite trouve bientôt.
- Je la veux complètement en moi Tonton,
Grogne assez fort Stéphanie quand mon gland passe sans difficulté son sphincter et que ma queue pénètre un peu dans son trou du cul poilu.
Je pousse doucement mon pieu dans ce tunnel accueillant et brulant et Stéphanie gémit assez fort :
- Ouiiiii, baise mon cul ! C'est bon ton gland qui se fraye un chemin !
Crache Stéphanie au fur et à mesure que ma grosse queue remplit son rectum.
- Plus fort, vas-y à fond ! Défonce mon petit trou du cul.
- Tais-toi ! Petite Salope, je siffle avec colère,
Car même si nous sommes au fond de la cave,je ne suis pas sûr que le bruit ne monte pas dans la maison silencieuse et bêtement ça me gênerait que ma nièce nous entende.
Une fois bien enfoncé dans son cul, je commence des vas et viens en prenant soin de faire glisser toute ma queue dans la chaleur de sa cavité qui, incroyablement pour moi, prend toute mon énorme bite, mais qui retrouve mon gland sans effort quand je glisse par mégarde hors de son trou du cul.
Mes poussées sont de plus en plus fortes et Stéphanie grogne chaque fois que je percute son cul avec mon pubis et mes couilles.
Je voudrais bien attraper ses seins, mais la position est assez inconfortable alors je me contente de la baiser comme un fou.
Je m'enfonce bien à fond dans son cul et je fais une petite pose en me recalant bien sur mes jambes qui ont tendance à glisser sur le sol de la cave.
Cette garce de Stéphanie, sentant mes couilles qui danse la gigue sur ses fesses, passe la main entre, et après avoir massé mes couilles, ses doigts glissent sur mon scrotum et titille ma rondelle.
J'entends Stéphanie qui commence à pleurnicher un peu, et son trou du cul est pris de convulsions pendant qu'elle arrive à me dire d'une vois étouffée,
- Lâche-toi dans mon cul, vas-y ! Graisse-moi mes boyaux, Tonton…
Une vraie pute cette môme ! Mes couilles comprimées par la main de Stéphanie, je n'ai aucun problème pour exécuter ses ordres et tire mes giclées de sperme au fond de son cul.
- Aaaahhhhh… Tiens, enculée de salope… prend mon foutre dans ton trou à bites.
Sous mon orgasme, Stéphanie jouit et grogne à chaque giclée de sperme que je projette dans son cul et ses genoux glissent sous la force de mes poussées. Je me retrouve sur elle, mais je reste bien au fond de son trou du cul si chaud qui palpite.
Je sens les muscles de son cul qui essayent de repousser ma bite et je la laisse faire. Ma queue sortie, Stéphanie se retire de sa position inconfortable et se remet sur ses pieds.
- Muuummm, c'est bon. Et toi…Tonton Jacques ?
Me demande Stéphanie pendant que j'embrasse ses seins,
- T'as aimé me prendre dans le cul, n'est-ce pas ?
- Oooh, Ouii, j'adore ton cul !
- Je crois qu'on ferait mieux d'aller dormir, Tonton Jacques, dit doucement Stéphanie en embrassant mon cou. On va passer des journées et des soirées inoubliables, je veux que tu prennes Sophie comme tu viens de me prendre.
- Je ne pense pas. Elle ne veut pas.
- Elle voudra, Tonton, déclare Stéphanie. Crois-moi et fais-moi confiance, elle va aimer çà ma petite chérie.
Stéphanie se dirige vers le haut de l’escalier, et je la suis lentement derrière elle. Pas si lentement pour ne pas rater la vue de dos de Stéphanie qui monte les marches devant moi. Son petit cul rebondi ondule au gré de la montée des marches et sur l'intérieur de ses cuisses coule un jus qui vient de ma bite.
Cette petite salope est incroyable. Vue de dos c'est une petite adolescente, vue de face, c'est une femme aux seins incroyablement bien développés.
Un court passage par la salle de bain avant d'aller me coucher et je regagne ma chambre.
Je reprends la main.
Lorsque Jacques revient dans sa chambre, je suis debout près de son lit, nue, seule.
- Salut Tonton…
Lui dis-je d’une petite voix volontairement triste pour qu’il se sente coupable de m’avoir trompé. Il s’avance vers moi et je le regarde avec un brave petit sourire sur mon visage qui ne cache pas mes sentiments. Il me prend dans ses bras et me serre contre lui.
- C'était bon, Tonton Jacques ? dis-je d'une voix hésitante.
- Oui Sophie, c'était bien.
Au moins il me répond honnêtement, mais mon corps tendu réagit quand même et il le sent.
- J'ai dit, bien, mais pas aussi bon que lorsque je suis avec toi, mon bébé d'amour.
- Vraiment …
- Incontestablement. Tu es une fille très particulière et une amante merveilleuse.
Il porte ses mains sur mes seins et caresse doucement mes petits bourgeons insolents.
- Surtout tu ne t'inquiètes pas et gardes le moral. Tu es beaucoup plus belle et surtout plus sexy qu'elle ne l'est. Je l'aime bien, mais toi je t'aime. Tu es la jeune fille de mes rêves et de tous mes fantasmes. Tu ne le sais pas encore ?
Je hoche de la tête et j’ai un vrai sourire de joie malgré une petite larme qui coule sur ma joue qu’il embrasse avant de quitter à contrecœur mes petits seins.
- Va te coucher maintenant, va rejoindre ta copine, elle t'attend surement avec impatience.
- Bonne nuit, Tonton, je t'aime aussi, fort, fort, fort !
Le lendemain, après une nuit très agitée dans ma chambre pour célébrer chaudement nos retrouvailles, nous décidons de faire un tour en ville toute la journée.
Avant de partir, pendant que Stéphanie est dans la salle de bain, mon oncle m’a raconté ce que Stéphanie lui a fait (Ch.8) et je vois bien qu’il a encore en tête la bouche de Steph avalant entièrement son pénis, mais aussi ses deux grosses mamelles ou il mettrait bien sa queue pour un doux massage.
Dans la soirée, on rentre en rigolant comme de petites folles et tonton a juste droit à un petit bisou de ma part sur ses lèvres, suivi d'un autre de Stéphanie qui pousse sa langue une fraction de seconde entre ses lèvres. Pendant le diner et le reste de la soirée, Jacques n'arrête pas de mater les gros seins de cette petite garce de Stéphanie qui a juste un haut très, très, décolleté et sans soutien-gorge.
Ensuite on se retire tous deux dans ma chambre, et je ferme la porte derrière nous... Pour faire… des choses… inavouables à un gentil Tonton !
Pour la suite de ce chapitre, Jacques m'ayant tout raconté,je me mets à sa place pour que vous ressentiez mieux son vécu pendant votre lecture
**************
J'ai un mal fou à trouver le sommeil, car l'image de ma petite Sophie caressée par cette fille sexuellement agressive et contrainte à se soumettre à sa perversion ne me quitte pas. Ma bite restée en érection depuis le diner est ultra-sensible et la chatte toute chaude de ma nièce me manque pour me soulager.
Le bruit d'une chasse d'eau me tire de mes pensées et me donne envie de pisser. Je sors tranquillement du lit et je quitte ma chambre pour aller dans la salle de bain et soulager ma vessie. N'ayant aperçu personne, je retourne vers ma chambre, mais du côté de la chambre de Sophie, je vois une ombre bouger et une voix chuchote,
- Salut Tonton Jacques…
À moitié cachée dans le coin du couloir prés du sous-sol , je distingue les grandes lignes d'un corps nu. C'est Stéphanie !
- Tonton…tu veux jouer avec moi ? Au chat et à la souris…
Et elle disparait, mais je devine qu'elle descend l'escalier sans bruit.
Je la suis et je l'aperçois qui ouvre la porte du cellier et tâtonne à la recherche de l'interrupteur de lumière.
- Vous avez chaud Tonton Jacques…
Stéphanie, taquine, va dans le cellier avec moi qui la suis dans une chaude poursuite, car les petits aperçus de son dos nu et de ses fesses musclées me fournissent toute la motivation nécessaire.
Quand j'arrive en bas, Stéphanie s'est placée sur le côté du cellier, dans une des zones la moins encombrée, juste derrière l'ampoule qui illumine faiblement cet espace. Stéphanie est nue, et elle ne fait aucun effort pour se cacher, au contraire, elle fait tout son possible pour s'afficher comme si elle posait pour une revue porno.
Stéphanie tient la poutre au-dessus de sa tête avec ses deux mains, minaudant quand mon regard se promène sur tout son corps offert.
Elle a un sourire gourmand quand elle voit mon pyjama déformé par mon érection. Elle a l'air moins gore sans le macabre ombre à paupières et son maquillage, mais je remarque à peine son visage.
Je suis figé devant elle et son corps nu. Stéphanie est en effet une fille très mince, plus encore que Sophie, étroite du bassin, mais avec une très grosse poitrine. Je peux surement entourer ses bras entre mon pouce et l'index, mais il me faut surement 2 mains pour englober ses mamelles.
Avec ses bras levés, j'aperçois une épaisse touffe de poils noirs qui remplit les creux de ses aisselles et au lieu de trouver cela dégoutant, ça m'excite encore plus.
Mais légèrement plus bas, se trouve la fierté de Stéphanie. Ses seins que Sophie m'a déjà décrits, mais ses mots ne leur rendent pas justice. Les seins gigantesques de Stéphanie se détachent comme des ballons de football, et leur taille est accentuée par le fait qu'ils sont attachés à un torse mince et étroit. Son corps ne fait pas ses 19 ans, mais ses seins disent le contraire.
Je m'avance dans un état second, mes mains atteignent et saisissent ses seins incroyablement fermes et qui malgré leur taille massive ne présentent aucun signe d'affaissement. Ses tétons sur ses mamelons graisseux sont longs et durs et s'incrustent dans mes paumes. Je soulève ces globes énormes et lourds. Stéphanie se tord et se tourne comme si elle était sur un axe fixé à la poutre au-dessus d'elle.
- Ooooooh, Tonton, gémit-elle, mes gros seins te plaisent ?
- Muuummm… Oui…ils sont incroyables !
Dis-je en continuant de les pétrir plus fermement.
- Tu veux gouter à quelque chose…Tonton ? Embrasse-moi et devine ce que j'ai mangé ?
Je l'embrasse et ses lèvres pleines se collent aux miennes alors que sa langue entame un combat avec la mienne et je me délecte d'une saveur excitante.
- Sophie, je réponds quand elle décolle ses lèvres des miennes.
- C'est bien, Tonton, et je parie que tu sais aussi de quelle partie d'elle vient cette saveur...
- Sa chatte ! J'ai l'impression de déguster sa chatte quand je t'embrasse.
- Tu es très fort, Tonton, et tu as fait aussi du bon travail, cette petite chatte rasée est agréable, Tonton Jacques. Pourquoi ne baisses-tu pas ce pyjama pour que je voie une chose qui m'attire.
Elle tire sur mon pyjama qui se coince sur ma bite, mais qui finit par bondir en l'air quand elle force un peu.
- Muuummmmm... pas mal pour un vieux fusil.
Dis Stéphanie qui examine mon corps âgé de 46 ans qui, heureusement pour moi, est encore pas mal conservé pour mon âge.
- Putain de merde ! Ta queue est exactement comme Sophie me l'a décrite. Et j'adore ta poitrine velue, Tonton. Les poils ne me répugnent pas. Ils m'excitent ! Et toi Tonton ? Tu aimes les miens ou tu veux me raser comme Sophie.
Mes mains ont glissé de ses énormes seins pour passer dans la touffe de poils sous ses bras, puis sur sa taille étroite et ses hanches et atterrir dans son entrecuisse.
Il m'est difficile de voir dans cette pénombre, mais il ne fait aucun doute que Stéphanie a un buisson de poils épais et sauvages autour de sa chatte. Ma main se perd dans cette fourrure épaisse, mais soyeuse.
- Tu aimes ma fourrure, hein, Tonton ? J'en ai aussi autour de mon trou du cul. Sophie m'a dit que tu n'as jamais baisé en enculant une fille ?
Je ne peux que hocher la tête en silence.
- Je me suis sentie prête pour toi quand je t'ai entendu aller pisser. Mais il m'est impossible de croire que tu n'as jamais mis ce beau morceau de viande dans un gros cul !
Stéphanie regarde autour d'elle et apercevant un vieux fauteuil elle saute dessus à genoux, le cul en l'air en s'agrippant au dossier.
- Vas-y, sers-toi, vite et fort ! Le cul c'est mon truc ! Sophie l'a déjà préparé avec ses doigts et sa langue.
Décidément la jeunesse d'aujourd'hui n'a rien à voir avec celle de mon époque.
Je me présente derrière elle et de mes deux mains j'écarte ses fesses, petites, mais rebondies sur l'arrière.
Stéphanie a un tatouage d'aigle ou quelque chose de ressemblant sur son dos, je le remarque tout en faisant glisser ma bite dans la fente toute lisse et lubrifiée de ses fesses . Même dans la pénombre, je peux voir les poils qui poussent abondamment autour de sa chatte pour s'étendre jusqu'à son trou du cul, que la tête de ma bite trouve bientôt.
- Je la veux complètement en moi Tonton,
Grogne assez fort Stéphanie quand mon gland passe sans difficulté son sphincter et que ma queue pénètre un peu dans son trou du cul poilu.
Je pousse doucement mon pieu dans ce tunnel accueillant et brulant et Stéphanie gémit assez fort :
- Ouiiiii, baise mon cul ! C'est bon ton gland qui se fraye un chemin !
Crache Stéphanie au fur et à mesure que ma grosse queue remplit son rectum.
- Plus fort, vas-y à fond ! Défonce mon petit trou du cul.
- Tais-toi ! Petite Salope, je siffle avec colère,
Car même si nous sommes au fond de la cave,je ne suis pas sûr que le bruit ne monte pas dans la maison silencieuse et bêtement ça me gênerait que ma nièce nous entende.
Une fois bien enfoncé dans son cul, je commence des vas et viens en prenant soin de faire glisser toute ma queue dans la chaleur de sa cavité qui, incroyablement pour moi, prend toute mon énorme bite, mais qui retrouve mon gland sans effort quand je glisse par mégarde hors de son trou du cul.
Mes poussées sont de plus en plus fortes et Stéphanie grogne chaque fois que je percute son cul avec mon pubis et mes couilles.
Je voudrais bien attraper ses seins, mais la position est assez inconfortable alors je me contente de la baiser comme un fou.
Je m'enfonce bien à fond dans son cul et je fais une petite pose en me recalant bien sur mes jambes qui ont tendance à glisser sur le sol de la cave.
Cette garce de Stéphanie, sentant mes couilles qui danse la gigue sur ses fesses, passe la main entre, et après avoir massé mes couilles, ses doigts glissent sur mon scrotum et titille ma rondelle.
J'entends Stéphanie qui commence à pleurnicher un peu, et son trou du cul est pris de convulsions pendant qu'elle arrive à me dire d'une vois étouffée,
- Lâche-toi dans mon cul, vas-y ! Graisse-moi mes boyaux, Tonton…
Une vraie pute cette môme ! Mes couilles comprimées par la main de Stéphanie, je n'ai aucun problème pour exécuter ses ordres et tire mes giclées de sperme au fond de son cul.
- Aaaahhhhh… Tiens, enculée de salope… prend mon foutre dans ton trou à bites.
Sous mon orgasme, Stéphanie jouit et grogne à chaque giclée de sperme que je projette dans son cul et ses genoux glissent sous la force de mes poussées. Je me retrouve sur elle, mais je reste bien au fond de son trou du cul si chaud qui palpite.
Je sens les muscles de son cul qui essayent de repousser ma bite et je la laisse faire. Ma queue sortie, Stéphanie se retire de sa position inconfortable et se remet sur ses pieds.
- Muuummm, c'est bon. Et toi…Tonton Jacques ?
Me demande Stéphanie pendant que j'embrasse ses seins,
- T'as aimé me prendre dans le cul, n'est-ce pas ?
- Oooh, Ouii, j'adore ton cul !
- Je crois qu'on ferait mieux d'aller dormir, Tonton Jacques, dit doucement Stéphanie en embrassant mon cou. On va passer des journées et des soirées inoubliables, je veux que tu prennes Sophie comme tu viens de me prendre.
- Je ne pense pas. Elle ne veut pas.
- Elle voudra, Tonton, déclare Stéphanie. Crois-moi et fais-moi confiance, elle va aimer çà ma petite chérie.
Stéphanie se dirige vers le haut de l’escalier, et je la suis lentement derrière elle. Pas si lentement pour ne pas rater la vue de dos de Stéphanie qui monte les marches devant moi. Son petit cul rebondi ondule au gré de la montée des marches et sur l'intérieur de ses cuisses coule un jus qui vient de ma bite.
Cette petite salope est incroyable. Vue de dos c'est une petite adolescente, vue de face, c'est une femme aux seins incroyablement bien développés.
Un court passage par la salle de bain avant d'aller me coucher et je regagne ma chambre.
Je reprends la main.
Lorsque Jacques revient dans sa chambre, je suis debout près de son lit, nue, seule.
- Salut Tonton…
Lui dis-je d’une petite voix volontairement triste pour qu’il se sente coupable de m’avoir trompé. Il s’avance vers moi et je le regarde avec un brave petit sourire sur mon visage qui ne cache pas mes sentiments. Il me prend dans ses bras et me serre contre lui.
- C'était bon, Tonton Jacques ? dis-je d'une voix hésitante.
- Oui Sophie, c'était bien.
Au moins il me répond honnêtement, mais mon corps tendu réagit quand même et il le sent.
- J'ai dit, bien, mais pas aussi bon que lorsque je suis avec toi, mon bébé d'amour.
- Vraiment …
- Incontestablement. Tu es une fille très particulière et une amante merveilleuse.
Il porte ses mains sur mes seins et caresse doucement mes petits bourgeons insolents.
- Surtout tu ne t'inquiètes pas et gardes le moral. Tu es beaucoup plus belle et surtout plus sexy qu'elle ne l'est. Je l'aime bien, mais toi je t'aime. Tu es la jeune fille de mes rêves et de tous mes fantasmes. Tu ne le sais pas encore ?
Je hoche de la tête et j’ai un vrai sourire de joie malgré une petite larme qui coule sur ma joue qu’il embrasse avant de quitter à contrecœur mes petits seins.
- Va te coucher maintenant, va rejoindre ta copine, elle t'attend surement avec impatience.
- Bonne nuit, Tonton, je t'aime aussi, fort, fort, fort !
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