Mes confidences érotiques. Chapitre 3
Récit érotique écrit par Sophie69 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mes confidences érotiques. Chapitre 3
Voici la suite. Peut être un peu long. A vous de voir
Chapitre 3 : Le coup du rasoir
Lorsque je me réveille, je remarque que le soleil entre dans ma chambre et qu’il est plus de 10 heures du matin. En arrivant dans la cuisine, je trouve un petit mot de mon oncle qui me dit qu’il est parti faire quelques courses.
En prenant mon petit-déj’ les événements de cette nuit me perturbent toujours et je me demande comment je vais aborder ce problème avec tonton. Je suis quasiment sûre de ne pas avoir rêvé, mais ce n’est pas impossible, car cela m’est déjà arrivé d’avoir ce genre de rêve quand je suis en manque de sexe. Je me suis même retrouvée un matin avec mon gode enfoncé dans ma chatte !
Je flemmarde un bon moment puis je me dis qu’il est temps de prendre ma douche. J’enfile ce qui me tombe sous la main, une mini robe à bretelle et en passant devant le salon, j’aperçois mon oncle.
Je vais lui faire la bise puis je vais m’assoir dans un fauteuil. Je suis sure, non, je sens que ses yeux ne quittent pas mon cul qui se balance devant lui. Je m'affale dans un fauteuil, impudique, les jambes croisées, dévoilant très largement une de mes cuisses. Je masse ma nuque d'une main ce qui lui permet de voir ma peau bien rasée au creux de mon aisselle et surement un peu plus loin vers l'arrondi de mes seins.
Et… "PAF" j’ai gagné ! Je vois un raffermissement de son sexe dans son short. Une belle bosse déforme le tissu. Avec un petit sourire narquois dans le coin de ma bouche je lui demande.
- Tu as bien dormi ?
- Pas très bien. Je ne me suis pas endormi tout de suite.
- Moi non plus, mais j’ai fait un beau rêve…
- Tu étais au paradis ?
- Pas tout à fait, mais un bel homme me faisait des bisous partout…
- C’est bien de ton âge de rêver à ton amoureux.
- Ce n’était pas mon amoureux. C’était quelqu’un qui te ressemblait… Tu ne serais pas venu dans ma chambre…par hasard…
- Arrête tes bêtises et va prendre une douche, ça te remettra les idées en place !
Bon, ça ne me dit pas si j’ai rêvé ou non.
- Bien, j’y vais. On fait quelque chose cet après-midi ?
- Tout ce que tu veux. Je suis à ton entière disposition.
Avec mon beau sourire qui le fait craquer à chaque fois que je lui demande quelque chose, je file dans la salle de bain en tortillant mes fesses.
Quelques minutes plus tard, je pousse un cri.
- Merde ! Ce n'est pas vrai ! Tonton tu peux venir ?
Il se précipite dans la salle de bain pour voir ce qui m’arrive et il me voit torse nu, juste avec mon soutien-gorge blanc qui met merveilleusement mes seins en valeur, sans slip. Je tiens un rasoir dans une de mes mains, l'autre cache mon sexe.
- Tonton, je me suis coupé en me rasant. As-tu un pansement ?
Il reste un peu figé en mâtant ma superbe poitrine et je le rappelle à l'ordre.
- Tonton, tu regarderas mes seins après, avant tu dois me soigner.
Il pique un fard et attrape une boîte de pansement.
- Tu t'es coupé où ?
- Là !
J’écarte mes cuisses pour lui montrer une légère coupure dans le creux de ma cuisse près de mon sexe que je continue de cacher de ma main. Il désinfecte cette minuscule coupure et colle un pansement dessus.
- Voilà, tu es sauvée mon Ange.
Je ne fais pas attention à ce qu’il me dit, car mes yeux sont dirigés vers son entrecuisse qui de toute évidence présente une grosseur anormale.
En rigolant, je lui dis :
- Dis donc Tonton tu ne serais pas un peu pervers. Ça te fait bander de me voir souffrir ?
Il ne sait même pas quoi répondre tellement je le surprends par mon langage et j’ajoute.
- Pour la peine tu vas finir de me raser. Moi je ne vois pas ce que je fais.
- Pardon ? Moi ?
Il n'en croit pas ses oreilles.
- Ben oui, toi. Allez vient, ça va être amusant. Montre-moi tes talents. Pour la peine j'enlève mon sous-tif et tu pourras voir mes seins que tu n'arrêtes pas de mater. Gros cochon !
Il me fait non de la tête, mais je ne tiens pas compte de sa négation et je retire mon soutient gorge. Un sourire très coquin se dessine sur mes lèvres et je lui demande.
- Je les trouve beaucoup trop gros ! Qu'en penses-tu ?
Ses yeux ne peuvent se détourner de mes seins qui ressemblent à 2 deux gros melons, parfaitement rond avec des petits tétons roses qui pointent légèrement. Une ligne de bronzage passe juste au-dessus pour les mettre encore plus en valeur. C'est tout juste s’il peut articuler.
- Heuuuuu, nooonn ! Ils sont magnifiques ! Tu es très belle Sophie, comme une princesse des mille et une nuit.
Je souris malicieusement et je prends sa main pour l’entrainer vers ma chambre en disant.
- Et toi tu seras mon prince. Suis-moi que je te donne ma récompense.
Après avoir mis une grande serviette sur le lit, je m'allonge dessus en posant mes pieds sur le pied de lit et je lui dis en souriant :
- Tu feras ça mieux que moi. Je n'aime pas me raser le pubis. Tu vas devenir mon barbier personnel.
Il n’en revient pas ! C'est comme si une pute lui offrait sa chatte. Entre mes cuisses, il peut voir le doux renflement de mon pubis recouvert de quelques poils dorés qui ont repoussé. Il ne peut admettre qu’il aimerait bien raser ce mont de vénus et prend ma demande à la rigolade.
- Sophie…tu es vraiment une sacrée coquine ! Ça t'amuse d'exciter ton Oncle ? Serais-tu devenue une vilaine fille ?
Je resserre mes bras sur le côté de mon torse pour gonfler encore plus mes seins avant d'ajouter.
- Tu me trouves vilaine ? Tonton, je veux juste que tu rases mon pubis.
- Sophie ! Tu peux le faire toi-même !
- Tonton… tu as vu comme je suis maladroite ! Toute seule je risque de me couper. Moi je vais bien tendre ma peau pendant que tu me raseras.
Et joignant le geste à la parole, je tire sur ma peau à côté de mon sexe. Une rose est en train d'éclore sous les yeux ahuris de mon oncle !
- Sophie ! Arrête ce petit jeu ! Mais qu'est-ce qui t'arrive ! Tu es en manque ou tu t'amuses à mes dépens.
- En manque…non. Mon nouveau petit ami se débrouille pas mal. Mais je reconnais que j'adore voir comment les hommes réagissent quand je les titille un peu. Réponds-moi franchement. Ça ne te plairait pas de raser…ma foufoune… mon sexe…Tonton chéri.
- Bien sûr, enfin …je crois…petite friponne. Mais c'est plutôt à toi de le faire à cet endroit. Je suis son Tonton chéri maintenant. C'est nouveau. Tu devrais être mal à l’aise qu’un homme te fasse cela.
- Oooh, moi ça ne me gêne pas du tout. C'est comme si j'allais dans un institut de beauté et j'aime qu'on prenne soin de moi. J'adore ça et ce sera encore plus agréable si c'est toi qui le fais.
Je m’allonge sur le dos et il peut constater que mes gros seins sont toujours aussi ronds tellement ils sont fermes. Mes tétons sont dressés comme de petits sexes d'enfants et à voir ses yeux écarquillés il doit trouver ça incroyablement beau et surtout excitant.
- Allez…tonton…soit un gentil Tonton. Aide une jeune fille en détresse…
Je mets mes mains derrière mes fesses et j’avance mon pubis, comme une offrande...
- Sophie, tu… je…on ne devrait peut-être pas.... Si ma belle-sœur me voyait, elle me tuerait sur le champ !
- Tonton, on ne fait encore rien de mal. Et tu as l'air de t'ennuyer et de tourner en rond. Aller, ça va être amusant.
Mon oncle ne s’est pas méfié du « encore », car il est troublé par ma grosse poitrine et mon sexe presque glabre qu’il a surement souvent imaginés dans sa tête en me regardant juste dans mon slip de bain mini qui ne cache presque rien.
Il capitule rapidement et la main un peu tremblante il met une petite boule de mousse dans sa paume et regardant sa nièce qui semble amusée de son trouble.
Sa main applique, comme une caresse, la crème sur mon pubis, frôle mes grandes lèvres légèrement gonflées qui ferment mon sexe. Il s'attarde plus que nécessaire et ses doigts glissent plus bas par moment.
Je vois bien qu’il a du mal à cacher le plaisir qu’il ressent. Par vice, je laisse même échapper un petit soupir de plaisir quand ses doigts frôlent mes grandes lèvres intimes.
Il prend plus de temps qu'il n'en faut et je me demande s’il se rend compte que sa bite en érection déforme de plus en plus son short.
En glissant la lame doucement, il rase consciencieusement les quelques poils qui ont repoussé autour de mon sexe, puis il prend un gant de toilette pour enlever les restes de crème et de poils.
- Voilà, petite coquine ! Toute lisse comme un bébé.
- Lisse et propre pour recevoir un baiser ?
Sous le charme, sans même réfléchir à cette demande si osée, il se penche et dépose un baiser sur ma peau douce et humide, juste au-dessus de la fente de ma belle chatte. Il ne peut pas s'empêcher de glisser sa langue le long de ma fente légèrement humide ce qui déclenche un frisson qui traverse mon corps.
Retirant sa tête il doit me voir les yeux fermés et ma bouche entrouverte avant que je murmure.
- Humm, c'est bon Tonton, et toi ? Qu'en penses-tu ?
Il ne sait pas très bien ce que je veux dire et il me répond :
- Tu es devenue un ange pervers, Sophie.
J’aurais préféré qu’il me réponde « que tout le plaisir était pour lui », mais il ne doit pas vouloir que je le prenne pour un vieux pervers et qu’il soit préférable qu’il s’éloigne de cette diablesse aux seins nus.
Il se lève et s’apprête à sortir de ma chambre, mais je l'attrape par le bras en disant.
- Tonton... Je parie que tu as une grosse queue.
Sous le choc, il pile instantanément et me regarde, les yeux écarquillés de surprise par ce que je viens de dire et par le mot qu'e j’ai employé.
- Sophie !
- Oh, ça va…ne joue pas les jeunes puceaux effarouchés. Depuis que nous sommes dans ma chambre, je vois ton érection grandir de plus en plus dans ton short et ton sexe me semble vraiment gros. Ta copine est une chanceuse ! Je me demande qu'elle longueur elle peut avoir ? Je parie qu'elle fait plus de 20 cm quand elle est en pleine érection.
- Sophie ! Arrête ! Je ne pense pas que ce soit un sujet approprié de discussion entre une Nièce et son Oncle.
Bêtement et sans réfléchir, il ajoute.
- Et il ne faut rien exagérer. 20, tout au plus. Tu es contente !
- Bon..., mais tu es quand même vieux jeu. À notre époque, parler de sexe n'est plus tabou. Quand une fille a envie d'un gars, elle lui fait comprendre !
- Sophie…à quoi tu joues ? Je suis peut-être vieux jeu, mais je ne suis pas de bois ! Et je n'ai pas ton âge !
- Mais Tonton, nous n'avons pas encore commencé à jouer !
Je me tourne et je m’assois sur le lit en face de lui. Nue, la poitrine arrogante et ma chatte toute lisse entre mes cuisses écartées.
- Allez... sort moi ça...montre là moi !
Il doit se demander s’il rêve ! Sa nièce si sexy, qui le fait fantasmer depuis qu'elle a quitté l'enfance, veut voir son sexe !
Je profite de son état pour l’attraper par sa ceinture et le maintenir en place
- Sophie, non... tu ne peux pas faire... Arrête ! Tu es folle !
- Tu veux que je te la sorte… à ta place ?
Lui dis-je en roucoulant avant d'empoigner la bosse qui déforme le tissu de son short pour caresser… quoi ? Sa…bite, sa queue ? Je ne prononce pas le mot, mais je pense qu’il sait, car j’ai utilisé le féminin.
Il peut, bien sûr, arrêter tout et partir, mais il reste figé pendant que j’excite sa bite à travers son short tendu à craquer. Il est complètement à l’ouest et ne fait pas un geste pour empêcher quoi que ce soit.
- Oooh, la vache ! T'en as une vraiment grosse, n'est-ce pas ?
- Je ne sais pas, Sophie
- Foutaise ! Tous les mecs savent bien s'ils en ont une grosse ou non, et la tienne me semble énorme !
- OK... elle est de bonne taille, enfin, généralement elle plaisait bien aux filles dans mon jeune temps.
- OOhh, le temps ne change rien apparemment. Je pense qu'elle me plaira aussi. Tu veux bien que je la mette à l'air maintenant ?
- Sophie ! On ne peut pas faire ça… voyons ! Tu es ma Nièce !
- Alors là, je m'en fous complètement et c’est par alliance ! Tout ce que je veux c'est m'assurer que je ne rêve pas.
- Sophie, ce n'est pas bien d'exciter un homme et de le laisser en plan après. Un jour il t'arrivera des bricoles et tu pourrais le regretter.
- Tout ce que je suis sûre, c'est que si tu ne me montres pas ce qui se cache là-dessous je vais le regretter ! Et les bricoles de ce genre, moi j'aime ça. Ce n'est pas le bon moment pour moi cette semaine. Mais il faut que je touche… ta…bite ! Mon Tonton d'amour.
- NON ! Tu es complètement folle !
Suppliante comme je sais bien le faire quand je veux quelque chose, je le regarde avec mes yeux de biche et une moue de Lolita vicieuse :
- S'il te plait, Tonton... Juste une belle branlette ? Tu sais… je ne suis plus une jeune fille innocente. J'aime tenir une queue dans ma main. J'adore caresser un sexe pour le sentir palpiter dans ma main.
Il est tellement estomaqué par mon audace, mon vocabulaire, qu’il ne trouve rien à dire et je prends ça pour un accord tacite. Je déboucle sa ceinture et comme un beau salaud ou un vieux pervers, il me laisse faire.
J’enlève sa ceinture et descends son pantalon. En 1 mn et 3 mouvements, il se retrouve en slip et chaussette devant une belle petite garce qui passe son polo par-dessus sa tête.
- Assieds-toi, Tonton.
Nous changeons de place sur le lit.
- J'aime ta poitrine Tonton, pas trop poilue, juste ce qu'il faut.
Lui dis-je en passant ma main dans ses poils argentés qui couvrent sa poitrine.
- Oh putain, regardez la taille de ce gros bébé...
Dans ces moments-là…je ne surveille plus mon langage.
Avec ma main je caresse la bosse dans son boxer qui s'étend vers le bas de sa cuisse.
- Dit, mon Tonton, tu aimes quand je le frotte comme ça ?
- Oui, dit-il faiblement.
- Allez, on enlève tout ça et je vais faire joujou avec ta belle bite.
- Sophie, s'il te plait… (Mais vraiment sans conviction). Je crois qu'on devrait en rester là.
Je ne l'écoute pas et mes mains tirent sur l'élastique de son slip que je descends rapidement vers le bas et sa bite se redresse pour venir frapper son estomac.
- Whaou ! Oh Tonton ! Ta bite est vraiment belle !
Je prends immédiatement sa bite en main, l'attire vers moi et en la serrant le mieux que je peux, ma main glisse lentement vers le bas, tout le long de sa queue. Il bande tellement que les veines qui courent sur son pénis sont gonflées et semblent palpiter.
- Dis donc, Tonton, je comprends pourquoi ton amie pousse des gémissements la nuit. Elle doit se régaler avec une si belle chose ! J'espère qu'elle en profite souvent.
- Oh non, ouiiii…enfin…nous n'avons pas... ce n'est pas si fréquent que ça.
Il ne s’étend pas plus sur le sujet et grogne de plaisir sous cette mignonne petite main qui va et vient sur son sexe en de voluptueuses caresses. Une perle de pré sperme pointe déjà son nez sur le bout de son gland que j’ai décalotté.
- Menteur ! Je vous ai entendu souvent. Je descendais même pour voir si la porte de votre chambre est ouverte. La dernière fois, elle était sur toi et elle avait l'air de prendre son pied. Est-ce qu'elle te suce bien ?
Là, il manque de s’étouffer ! Ce ne peut pas être sa nièce qui lui demande ça ! Et j'ai joué les voyeuses !
La bouche entrouverte, souriante, avec un bout de langue gourmande sur le bord de mes lèvres, je ne le quitte pas des yeux. Ma main glisse le long de son sexe pour bien décalotter son gland d’un beau rose brillant et je passe le bout de ma langue dessus avant de la glisser plus bas en faisant le tour. Le gout et l'odeur, j'adore ça.
Je suis presque sûre qu’il croit être encore dans un de ses rêves que je lui provoquais à chaque fois que je venais le voir et que je m’exhibais presque à poil pour l’exciter.
Agenouillée entre ses jambes, j’ouvre ma bouche devant ce pénis sur lequel j'ai tant fantasmé. Mes yeux doivent briller de lubricité et d'envie. Je ferme mes yeux et mes lèvres roses entoure son gland si gonflé que j'ai peur qu’il éclate avant que j’absorbe sa bite frémissante.
Je baisse ma tête sur son sexe et ma langue la presse pendant qu'il s'enfonce assez loin dans ma petite bouche.
Tonton ne peut s'empêcher de gémir bruyamment.
- Oooohhhh, Noooonnnnn. Putaiiinnnn !
- Si, mon Tonton d'amour, je vais te donner du plaisir et te faire jouir.
Je crache dans mes mains et j’enduis consciencieusement sa bite de salive pourtant déjà bien humide. Je commence une branlette sur sa queue bandée à mort en tournant mes deux mains en sens inverse quand elles glissent sur sa bite de haut en bas sans que ma bouche ou mes lèvres quittent son sexe.
Vicieusement ma langue lape mon gland. Ce n'est pas ma première pipe et je remercie celui qui m’a appris une des façons pour donner du plaisir un homme.
Je flatte ou j’agace magistralement son gland avec le bout de mon pouce ou de ma langue avant de pomper son sexe avec un rythme doux.
Je sens ses couilles frémir et il doit sacrément se retenir pour ne pas m’envoyer tout son foutre sur ma belle petite gueule d'ange dévergondé. J’arrête d'exciter son sexe pendant une minute et je le regarde avec des yeux brillants de plaisir.
- Tonton, ça fait longtemps que j'en ai envie. Depuis plusieurs années, je la mâte ta grosse bite, mais je n'ai jamais osé. Tu as de sacrées boules !
Que je prends dans ma main avant d’ajouter.
- Je parie qu'un grand nombre de filles t on courut après, avant que tu te maries ?
- Certaines en avaient envie, d'autres étaient un peu craintives devant la grosseur et la longueur.
- Quelles connes ! Elles auraient au moins dû essayer ! Qui ne risque rien n'a rien ! En tout cas, moi je vais m'en occuper !
Il est surement étonné par la maturité que j’ai pour une jeune fille qui a tout juste 18 ans, mais il écarte bien ses cuisses pour me faciliter l'accès à ses couilles effectivement très gonflées.
Je palpe d'une main ses boules et reprends ma douce masturbation avec l'autre.
- Whaou, qu’elle est belle. Je sens que ces vacances seront les meilleures de ma vie. Ta bite est encore plus grande et plus grosse que celle de Pierre, le mec avec qui je suis en ce moment.
Il doit bien se rendre compte que ce n'est pas ma première branlette, car je le branle comme une professionnelle et il doit avoir du mal pour repousser le moment fatidique.
Il me regarde astiquer son manche et voit bien que j’aime vraiment ça. Je sais et je sens bien quand je dois ralentir ou serrer fortement la base de sa queue quand il est sur le point de venir. Contrairement à l'impression que je donne quand on me regarde je ne suis plus une gamine innocente.
Après dix minutes de cette exquise manipulation, son gland d'une couleur rose est passé à une teinte entre le pourpre et le violet.
Je prends une de ses mains pour la poser sur un de mes seins qu’il masse tendrement sans se poser de question. Il prend même un de mes tétons durs et pointus pour le rouler entre ses doigts.
- Huuummm, Ouiiiii, Tonton, c'est boooonnnn. Continue…
- Ouiiiii, petite coquine, c'est sacrément bon ! Mais je vais jouir Sophie, j'en peux plus !
- Je vais t'autoriser à jouir, mais tu vas me promettre de me faire l'amour dès que je ne serais plus indisposée.
- Impossible ! On ne peut pas faire ça ! Je te rappelle que tu es ma nièce ! Et tout juste majeure !
- Surement pas sexuellement ! Si mes copains étaient là, ils te le confirmeraient !
- Peut-être, mais ils ont ton âge !
- Pas tout à fait…ils ont entre 18 et 25 ans. Mais ils sont bien moins montés que toi ! Je tiens ta grosse bite dans ma main, mais je voudrais la sentir dans mon minou. Je veux la sentir me pénétrer et que tu la rentres entièrement en moi. Tu vas m'éclater la chatte et je suis sûre que tu en as envie aussi. N'est-ce pas que tu as envie de me fourrer ta grosse bite dans ma petite chatte ! Dis-le !
Je fais exprès de lui parler avec un langage de charretier pour l’exciter encore plus et qu’il se rende compte qu’elles ont bien évolué les jeunes filles ! Internet nous fournit des lectures et des vidéos pour faire notre apprentissage sexuel.
Je sais qu’il est à ma merci lorsque, par défi, il lâche.
- Oui ! Oooh, ouiiiii. Oui. Je veux te baiser ! Et même t'enculer petite catin !
- Accord conclu ! Mais pour le cul on verra…plus tard !
Et j’avale carrément sa bite, le plus loin possible dans ma petite bouche, avant de commencer une fellation des plus sensuelle en utilisant mes mains, ma bouche et ma langue. J’emprisonne son gland entre mes lèvres, je reste un moment immobile pendant que sa bite tremble de plaisir, puis du bout de ma langue, je titille l'entrée du méat.
- Oh, que c'est bon, Sophie… j'ai du mal à me retenir.
Ouvrant mes lèvres, je descends ma bouche sur sa queue chaude et si dure. Son bassin bouge doucement de bas en haut et son sexe gonflé pénètre et sort de ma bouche. Il geint et ne se retient pas pour exprimer le plaisir que je lui donne.
Ma bouche se baisse encore plus pour engloutir doucement son sexe. J’ai du mal à respirer, mais je suis autant excitée que lui que je veux faire comme je fais avec la bite de mon copain, l’avaler entièrement. Son gland touche le fond de ma gorge et je reste immobile pendant quelques secondes, savourant les battements qui agitent spasmodiquement son sexe bandé.
Puis je sors sa bite de ma bouche et je la lèche, la suce, trouvant rapidement les endroits où il réagit le plus fortement.
Le seul contact de ma bouche lui donne la chair de poule et lorsque mon front s’appuie sur son ventre, je le sens palpiter et se contracter tellement il a envie de jouir. Il se demande peut-être si je suis prête à accepter une éjaculation abondante dans ma gorge, contre mon palais ou doit-il juste éclabousser seulement ma bouche, mes joues, mes seins. Ou il ne veut pas me souiller du tout !
Je dois guider sa conduite. Quelle récompense j’attends de lui pour me faire plaisir.
- Tonton… je veux te voir gicler ton foutre, mais j'aime tellement la caresser et la sucer ! Alors, retiens-toi le plus longtemps possible !
S’il ne savait pas comment se comporter, maintenant il sait ce que sa cochonne de nièce veut et il doit se retenir le plus longtemps possible !
- Aaaahhh Sophie… c'est…Oooh, mon ange…j'ai l'impression d'être dans un rêve ! Ce n'est pas possible !
- Tu ne rêves pas ! C'est bien moi Tonton !
Maintenant je sais que je ne rêve pas, je suis bien éveillée et lui aussi en regardant la petite tête blonde de sa nièce, qui s'agite entre ses cuisses et qui lui fait une superbe fellation !
Il referme ses yeux, et son adorable et si jolie nièce reprend sa fellation.
Moi comme lui n’avons plus besoin de fantasmer et de faire des rêves impurs pour revoir le visage de mon oncle se pâmer devant mes beaux yeux brillants de désir en m'activant avec lubricité sur son sexe pour lui donner du plaisir.
Je le suce encore plus vite et je serre ses couilles dans une de mes mains.
Il ne peut plus se retenir. Il pousse un cri et il jouit comme jamais sous les yeux de sa petite salope de nièce qui regarde son sexe qui sursaute dans ma main et qui projette son sperme sur ma bouche ouverte puis sur mes seins aux tétons tous gonflés, pour finir sur mon ventre et sur ma chatte qu’il vient de raser.
Chapitre 3 : Le coup du rasoir
Lorsque je me réveille, je remarque que le soleil entre dans ma chambre et qu’il est plus de 10 heures du matin. En arrivant dans la cuisine, je trouve un petit mot de mon oncle qui me dit qu’il est parti faire quelques courses.
En prenant mon petit-déj’ les événements de cette nuit me perturbent toujours et je me demande comment je vais aborder ce problème avec tonton. Je suis quasiment sûre de ne pas avoir rêvé, mais ce n’est pas impossible, car cela m’est déjà arrivé d’avoir ce genre de rêve quand je suis en manque de sexe. Je me suis même retrouvée un matin avec mon gode enfoncé dans ma chatte !
Je flemmarde un bon moment puis je me dis qu’il est temps de prendre ma douche. J’enfile ce qui me tombe sous la main, une mini robe à bretelle et en passant devant le salon, j’aperçois mon oncle.
Je vais lui faire la bise puis je vais m’assoir dans un fauteuil. Je suis sure, non, je sens que ses yeux ne quittent pas mon cul qui se balance devant lui. Je m'affale dans un fauteuil, impudique, les jambes croisées, dévoilant très largement une de mes cuisses. Je masse ma nuque d'une main ce qui lui permet de voir ma peau bien rasée au creux de mon aisselle et surement un peu plus loin vers l'arrondi de mes seins.
Et… "PAF" j’ai gagné ! Je vois un raffermissement de son sexe dans son short. Une belle bosse déforme le tissu. Avec un petit sourire narquois dans le coin de ma bouche je lui demande.
- Tu as bien dormi ?
- Pas très bien. Je ne me suis pas endormi tout de suite.
- Moi non plus, mais j’ai fait un beau rêve…
- Tu étais au paradis ?
- Pas tout à fait, mais un bel homme me faisait des bisous partout…
- C’est bien de ton âge de rêver à ton amoureux.
- Ce n’était pas mon amoureux. C’était quelqu’un qui te ressemblait… Tu ne serais pas venu dans ma chambre…par hasard…
- Arrête tes bêtises et va prendre une douche, ça te remettra les idées en place !
Bon, ça ne me dit pas si j’ai rêvé ou non.
- Bien, j’y vais. On fait quelque chose cet après-midi ?
- Tout ce que tu veux. Je suis à ton entière disposition.
Avec mon beau sourire qui le fait craquer à chaque fois que je lui demande quelque chose, je file dans la salle de bain en tortillant mes fesses.
Quelques minutes plus tard, je pousse un cri.
- Merde ! Ce n'est pas vrai ! Tonton tu peux venir ?
Il se précipite dans la salle de bain pour voir ce qui m’arrive et il me voit torse nu, juste avec mon soutien-gorge blanc qui met merveilleusement mes seins en valeur, sans slip. Je tiens un rasoir dans une de mes mains, l'autre cache mon sexe.
- Tonton, je me suis coupé en me rasant. As-tu un pansement ?
Il reste un peu figé en mâtant ma superbe poitrine et je le rappelle à l'ordre.
- Tonton, tu regarderas mes seins après, avant tu dois me soigner.
Il pique un fard et attrape une boîte de pansement.
- Tu t'es coupé où ?
- Là !
J’écarte mes cuisses pour lui montrer une légère coupure dans le creux de ma cuisse près de mon sexe que je continue de cacher de ma main. Il désinfecte cette minuscule coupure et colle un pansement dessus.
- Voilà, tu es sauvée mon Ange.
Je ne fais pas attention à ce qu’il me dit, car mes yeux sont dirigés vers son entrecuisse qui de toute évidence présente une grosseur anormale.
En rigolant, je lui dis :
- Dis donc Tonton tu ne serais pas un peu pervers. Ça te fait bander de me voir souffrir ?
Il ne sait même pas quoi répondre tellement je le surprends par mon langage et j’ajoute.
- Pour la peine tu vas finir de me raser. Moi je ne vois pas ce que je fais.
- Pardon ? Moi ?
Il n'en croit pas ses oreilles.
- Ben oui, toi. Allez vient, ça va être amusant. Montre-moi tes talents. Pour la peine j'enlève mon sous-tif et tu pourras voir mes seins que tu n'arrêtes pas de mater. Gros cochon !
Il me fait non de la tête, mais je ne tiens pas compte de sa négation et je retire mon soutient gorge. Un sourire très coquin se dessine sur mes lèvres et je lui demande.
- Je les trouve beaucoup trop gros ! Qu'en penses-tu ?
Ses yeux ne peuvent se détourner de mes seins qui ressemblent à 2 deux gros melons, parfaitement rond avec des petits tétons roses qui pointent légèrement. Une ligne de bronzage passe juste au-dessus pour les mettre encore plus en valeur. C'est tout juste s’il peut articuler.
- Heuuuuu, nooonn ! Ils sont magnifiques ! Tu es très belle Sophie, comme une princesse des mille et une nuit.
Je souris malicieusement et je prends sa main pour l’entrainer vers ma chambre en disant.
- Et toi tu seras mon prince. Suis-moi que je te donne ma récompense.
Après avoir mis une grande serviette sur le lit, je m'allonge dessus en posant mes pieds sur le pied de lit et je lui dis en souriant :
- Tu feras ça mieux que moi. Je n'aime pas me raser le pubis. Tu vas devenir mon barbier personnel.
Il n’en revient pas ! C'est comme si une pute lui offrait sa chatte. Entre mes cuisses, il peut voir le doux renflement de mon pubis recouvert de quelques poils dorés qui ont repoussé. Il ne peut admettre qu’il aimerait bien raser ce mont de vénus et prend ma demande à la rigolade.
- Sophie…tu es vraiment une sacrée coquine ! Ça t'amuse d'exciter ton Oncle ? Serais-tu devenue une vilaine fille ?
Je resserre mes bras sur le côté de mon torse pour gonfler encore plus mes seins avant d'ajouter.
- Tu me trouves vilaine ? Tonton, je veux juste que tu rases mon pubis.
- Sophie ! Tu peux le faire toi-même !
- Tonton… tu as vu comme je suis maladroite ! Toute seule je risque de me couper. Moi je vais bien tendre ma peau pendant que tu me raseras.
Et joignant le geste à la parole, je tire sur ma peau à côté de mon sexe. Une rose est en train d'éclore sous les yeux ahuris de mon oncle !
- Sophie ! Arrête ce petit jeu ! Mais qu'est-ce qui t'arrive ! Tu es en manque ou tu t'amuses à mes dépens.
- En manque…non. Mon nouveau petit ami se débrouille pas mal. Mais je reconnais que j'adore voir comment les hommes réagissent quand je les titille un peu. Réponds-moi franchement. Ça ne te plairait pas de raser…ma foufoune… mon sexe…Tonton chéri.
- Bien sûr, enfin …je crois…petite friponne. Mais c'est plutôt à toi de le faire à cet endroit. Je suis son Tonton chéri maintenant. C'est nouveau. Tu devrais être mal à l’aise qu’un homme te fasse cela.
- Oooh, moi ça ne me gêne pas du tout. C'est comme si j'allais dans un institut de beauté et j'aime qu'on prenne soin de moi. J'adore ça et ce sera encore plus agréable si c'est toi qui le fais.
Je m’allonge sur le dos et il peut constater que mes gros seins sont toujours aussi ronds tellement ils sont fermes. Mes tétons sont dressés comme de petits sexes d'enfants et à voir ses yeux écarquillés il doit trouver ça incroyablement beau et surtout excitant.
- Allez…tonton…soit un gentil Tonton. Aide une jeune fille en détresse…
Je mets mes mains derrière mes fesses et j’avance mon pubis, comme une offrande...
- Sophie, tu… je…on ne devrait peut-être pas.... Si ma belle-sœur me voyait, elle me tuerait sur le champ !
- Tonton, on ne fait encore rien de mal. Et tu as l'air de t'ennuyer et de tourner en rond. Aller, ça va être amusant.
Mon oncle ne s’est pas méfié du « encore », car il est troublé par ma grosse poitrine et mon sexe presque glabre qu’il a surement souvent imaginés dans sa tête en me regardant juste dans mon slip de bain mini qui ne cache presque rien.
Il capitule rapidement et la main un peu tremblante il met une petite boule de mousse dans sa paume et regardant sa nièce qui semble amusée de son trouble.
Sa main applique, comme une caresse, la crème sur mon pubis, frôle mes grandes lèvres légèrement gonflées qui ferment mon sexe. Il s'attarde plus que nécessaire et ses doigts glissent plus bas par moment.
Je vois bien qu’il a du mal à cacher le plaisir qu’il ressent. Par vice, je laisse même échapper un petit soupir de plaisir quand ses doigts frôlent mes grandes lèvres intimes.
Il prend plus de temps qu'il n'en faut et je me demande s’il se rend compte que sa bite en érection déforme de plus en plus son short.
En glissant la lame doucement, il rase consciencieusement les quelques poils qui ont repoussé autour de mon sexe, puis il prend un gant de toilette pour enlever les restes de crème et de poils.
- Voilà, petite coquine ! Toute lisse comme un bébé.
- Lisse et propre pour recevoir un baiser ?
Sous le charme, sans même réfléchir à cette demande si osée, il se penche et dépose un baiser sur ma peau douce et humide, juste au-dessus de la fente de ma belle chatte. Il ne peut pas s'empêcher de glisser sa langue le long de ma fente légèrement humide ce qui déclenche un frisson qui traverse mon corps.
Retirant sa tête il doit me voir les yeux fermés et ma bouche entrouverte avant que je murmure.
- Humm, c'est bon Tonton, et toi ? Qu'en penses-tu ?
Il ne sait pas très bien ce que je veux dire et il me répond :
- Tu es devenue un ange pervers, Sophie.
J’aurais préféré qu’il me réponde « que tout le plaisir était pour lui », mais il ne doit pas vouloir que je le prenne pour un vieux pervers et qu’il soit préférable qu’il s’éloigne de cette diablesse aux seins nus.
Il se lève et s’apprête à sortir de ma chambre, mais je l'attrape par le bras en disant.
- Tonton... Je parie que tu as une grosse queue.
Sous le choc, il pile instantanément et me regarde, les yeux écarquillés de surprise par ce que je viens de dire et par le mot qu'e j’ai employé.
- Sophie !
- Oh, ça va…ne joue pas les jeunes puceaux effarouchés. Depuis que nous sommes dans ma chambre, je vois ton érection grandir de plus en plus dans ton short et ton sexe me semble vraiment gros. Ta copine est une chanceuse ! Je me demande qu'elle longueur elle peut avoir ? Je parie qu'elle fait plus de 20 cm quand elle est en pleine érection.
- Sophie ! Arrête ! Je ne pense pas que ce soit un sujet approprié de discussion entre une Nièce et son Oncle.
Bêtement et sans réfléchir, il ajoute.
- Et il ne faut rien exagérer. 20, tout au plus. Tu es contente !
- Bon..., mais tu es quand même vieux jeu. À notre époque, parler de sexe n'est plus tabou. Quand une fille a envie d'un gars, elle lui fait comprendre !
- Sophie…à quoi tu joues ? Je suis peut-être vieux jeu, mais je ne suis pas de bois ! Et je n'ai pas ton âge !
- Mais Tonton, nous n'avons pas encore commencé à jouer !
Je me tourne et je m’assois sur le lit en face de lui. Nue, la poitrine arrogante et ma chatte toute lisse entre mes cuisses écartées.
- Allez... sort moi ça...montre là moi !
Il doit se demander s’il rêve ! Sa nièce si sexy, qui le fait fantasmer depuis qu'elle a quitté l'enfance, veut voir son sexe !
Je profite de son état pour l’attraper par sa ceinture et le maintenir en place
- Sophie, non... tu ne peux pas faire... Arrête ! Tu es folle !
- Tu veux que je te la sorte… à ta place ?
Lui dis-je en roucoulant avant d'empoigner la bosse qui déforme le tissu de son short pour caresser… quoi ? Sa…bite, sa queue ? Je ne prononce pas le mot, mais je pense qu’il sait, car j’ai utilisé le féminin.
Il peut, bien sûr, arrêter tout et partir, mais il reste figé pendant que j’excite sa bite à travers son short tendu à craquer. Il est complètement à l’ouest et ne fait pas un geste pour empêcher quoi que ce soit.
- Oooh, la vache ! T'en as une vraiment grosse, n'est-ce pas ?
- Je ne sais pas, Sophie
- Foutaise ! Tous les mecs savent bien s'ils en ont une grosse ou non, et la tienne me semble énorme !
- OK... elle est de bonne taille, enfin, généralement elle plaisait bien aux filles dans mon jeune temps.
- OOhh, le temps ne change rien apparemment. Je pense qu'elle me plaira aussi. Tu veux bien que je la mette à l'air maintenant ?
- Sophie ! On ne peut pas faire ça… voyons ! Tu es ma Nièce !
- Alors là, je m'en fous complètement et c’est par alliance ! Tout ce que je veux c'est m'assurer que je ne rêve pas.
- Sophie, ce n'est pas bien d'exciter un homme et de le laisser en plan après. Un jour il t'arrivera des bricoles et tu pourrais le regretter.
- Tout ce que je suis sûre, c'est que si tu ne me montres pas ce qui se cache là-dessous je vais le regretter ! Et les bricoles de ce genre, moi j'aime ça. Ce n'est pas le bon moment pour moi cette semaine. Mais il faut que je touche… ta…bite ! Mon Tonton d'amour.
- NON ! Tu es complètement folle !
Suppliante comme je sais bien le faire quand je veux quelque chose, je le regarde avec mes yeux de biche et une moue de Lolita vicieuse :
- S'il te plait, Tonton... Juste une belle branlette ? Tu sais… je ne suis plus une jeune fille innocente. J'aime tenir une queue dans ma main. J'adore caresser un sexe pour le sentir palpiter dans ma main.
Il est tellement estomaqué par mon audace, mon vocabulaire, qu’il ne trouve rien à dire et je prends ça pour un accord tacite. Je déboucle sa ceinture et comme un beau salaud ou un vieux pervers, il me laisse faire.
J’enlève sa ceinture et descends son pantalon. En 1 mn et 3 mouvements, il se retrouve en slip et chaussette devant une belle petite garce qui passe son polo par-dessus sa tête.
- Assieds-toi, Tonton.
Nous changeons de place sur le lit.
- J'aime ta poitrine Tonton, pas trop poilue, juste ce qu'il faut.
Lui dis-je en passant ma main dans ses poils argentés qui couvrent sa poitrine.
- Oh putain, regardez la taille de ce gros bébé...
Dans ces moments-là…je ne surveille plus mon langage.
Avec ma main je caresse la bosse dans son boxer qui s'étend vers le bas de sa cuisse.
- Dit, mon Tonton, tu aimes quand je le frotte comme ça ?
- Oui, dit-il faiblement.
- Allez, on enlève tout ça et je vais faire joujou avec ta belle bite.
- Sophie, s'il te plait… (Mais vraiment sans conviction). Je crois qu'on devrait en rester là.
Je ne l'écoute pas et mes mains tirent sur l'élastique de son slip que je descends rapidement vers le bas et sa bite se redresse pour venir frapper son estomac.
- Whaou ! Oh Tonton ! Ta bite est vraiment belle !
Je prends immédiatement sa bite en main, l'attire vers moi et en la serrant le mieux que je peux, ma main glisse lentement vers le bas, tout le long de sa queue. Il bande tellement que les veines qui courent sur son pénis sont gonflées et semblent palpiter.
- Dis donc, Tonton, je comprends pourquoi ton amie pousse des gémissements la nuit. Elle doit se régaler avec une si belle chose ! J'espère qu'elle en profite souvent.
- Oh non, ouiiii…enfin…nous n'avons pas... ce n'est pas si fréquent que ça.
Il ne s’étend pas plus sur le sujet et grogne de plaisir sous cette mignonne petite main qui va et vient sur son sexe en de voluptueuses caresses. Une perle de pré sperme pointe déjà son nez sur le bout de son gland que j’ai décalotté.
- Menteur ! Je vous ai entendu souvent. Je descendais même pour voir si la porte de votre chambre est ouverte. La dernière fois, elle était sur toi et elle avait l'air de prendre son pied. Est-ce qu'elle te suce bien ?
Là, il manque de s’étouffer ! Ce ne peut pas être sa nièce qui lui demande ça ! Et j'ai joué les voyeuses !
La bouche entrouverte, souriante, avec un bout de langue gourmande sur le bord de mes lèvres, je ne le quitte pas des yeux. Ma main glisse le long de son sexe pour bien décalotter son gland d’un beau rose brillant et je passe le bout de ma langue dessus avant de la glisser plus bas en faisant le tour. Le gout et l'odeur, j'adore ça.
Je suis presque sûre qu’il croit être encore dans un de ses rêves que je lui provoquais à chaque fois que je venais le voir et que je m’exhibais presque à poil pour l’exciter.
Agenouillée entre ses jambes, j’ouvre ma bouche devant ce pénis sur lequel j'ai tant fantasmé. Mes yeux doivent briller de lubricité et d'envie. Je ferme mes yeux et mes lèvres roses entoure son gland si gonflé que j'ai peur qu’il éclate avant que j’absorbe sa bite frémissante.
Je baisse ma tête sur son sexe et ma langue la presse pendant qu'il s'enfonce assez loin dans ma petite bouche.
Tonton ne peut s'empêcher de gémir bruyamment.
- Oooohhhh, Noooonnnnn. Putaiiinnnn !
- Si, mon Tonton d'amour, je vais te donner du plaisir et te faire jouir.
Je crache dans mes mains et j’enduis consciencieusement sa bite de salive pourtant déjà bien humide. Je commence une branlette sur sa queue bandée à mort en tournant mes deux mains en sens inverse quand elles glissent sur sa bite de haut en bas sans que ma bouche ou mes lèvres quittent son sexe.
Vicieusement ma langue lape mon gland. Ce n'est pas ma première pipe et je remercie celui qui m’a appris une des façons pour donner du plaisir un homme.
Je flatte ou j’agace magistralement son gland avec le bout de mon pouce ou de ma langue avant de pomper son sexe avec un rythme doux.
Je sens ses couilles frémir et il doit sacrément se retenir pour ne pas m’envoyer tout son foutre sur ma belle petite gueule d'ange dévergondé. J’arrête d'exciter son sexe pendant une minute et je le regarde avec des yeux brillants de plaisir.
- Tonton, ça fait longtemps que j'en ai envie. Depuis plusieurs années, je la mâte ta grosse bite, mais je n'ai jamais osé. Tu as de sacrées boules !
Que je prends dans ma main avant d’ajouter.
- Je parie qu'un grand nombre de filles t on courut après, avant que tu te maries ?
- Certaines en avaient envie, d'autres étaient un peu craintives devant la grosseur et la longueur.
- Quelles connes ! Elles auraient au moins dû essayer ! Qui ne risque rien n'a rien ! En tout cas, moi je vais m'en occuper !
Il est surement étonné par la maturité que j’ai pour une jeune fille qui a tout juste 18 ans, mais il écarte bien ses cuisses pour me faciliter l'accès à ses couilles effectivement très gonflées.
Je palpe d'une main ses boules et reprends ma douce masturbation avec l'autre.
- Whaou, qu’elle est belle. Je sens que ces vacances seront les meilleures de ma vie. Ta bite est encore plus grande et plus grosse que celle de Pierre, le mec avec qui je suis en ce moment.
Il doit bien se rendre compte que ce n'est pas ma première branlette, car je le branle comme une professionnelle et il doit avoir du mal pour repousser le moment fatidique.
Il me regarde astiquer son manche et voit bien que j’aime vraiment ça. Je sais et je sens bien quand je dois ralentir ou serrer fortement la base de sa queue quand il est sur le point de venir. Contrairement à l'impression que je donne quand on me regarde je ne suis plus une gamine innocente.
Après dix minutes de cette exquise manipulation, son gland d'une couleur rose est passé à une teinte entre le pourpre et le violet.
Je prends une de ses mains pour la poser sur un de mes seins qu’il masse tendrement sans se poser de question. Il prend même un de mes tétons durs et pointus pour le rouler entre ses doigts.
- Huuummm, Ouiiiii, Tonton, c'est boooonnnn. Continue…
- Ouiiiii, petite coquine, c'est sacrément bon ! Mais je vais jouir Sophie, j'en peux plus !
- Je vais t'autoriser à jouir, mais tu vas me promettre de me faire l'amour dès que je ne serais plus indisposée.
- Impossible ! On ne peut pas faire ça ! Je te rappelle que tu es ma nièce ! Et tout juste majeure !
- Surement pas sexuellement ! Si mes copains étaient là, ils te le confirmeraient !
- Peut-être, mais ils ont ton âge !
- Pas tout à fait…ils ont entre 18 et 25 ans. Mais ils sont bien moins montés que toi ! Je tiens ta grosse bite dans ma main, mais je voudrais la sentir dans mon minou. Je veux la sentir me pénétrer et que tu la rentres entièrement en moi. Tu vas m'éclater la chatte et je suis sûre que tu en as envie aussi. N'est-ce pas que tu as envie de me fourrer ta grosse bite dans ma petite chatte ! Dis-le !
Je fais exprès de lui parler avec un langage de charretier pour l’exciter encore plus et qu’il se rende compte qu’elles ont bien évolué les jeunes filles ! Internet nous fournit des lectures et des vidéos pour faire notre apprentissage sexuel.
Je sais qu’il est à ma merci lorsque, par défi, il lâche.
- Oui ! Oooh, ouiiiii. Oui. Je veux te baiser ! Et même t'enculer petite catin !
- Accord conclu ! Mais pour le cul on verra…plus tard !
Et j’avale carrément sa bite, le plus loin possible dans ma petite bouche, avant de commencer une fellation des plus sensuelle en utilisant mes mains, ma bouche et ma langue. J’emprisonne son gland entre mes lèvres, je reste un moment immobile pendant que sa bite tremble de plaisir, puis du bout de ma langue, je titille l'entrée du méat.
- Oh, que c'est bon, Sophie… j'ai du mal à me retenir.
Ouvrant mes lèvres, je descends ma bouche sur sa queue chaude et si dure. Son bassin bouge doucement de bas en haut et son sexe gonflé pénètre et sort de ma bouche. Il geint et ne se retient pas pour exprimer le plaisir que je lui donne.
Ma bouche se baisse encore plus pour engloutir doucement son sexe. J’ai du mal à respirer, mais je suis autant excitée que lui que je veux faire comme je fais avec la bite de mon copain, l’avaler entièrement. Son gland touche le fond de ma gorge et je reste immobile pendant quelques secondes, savourant les battements qui agitent spasmodiquement son sexe bandé.
Puis je sors sa bite de ma bouche et je la lèche, la suce, trouvant rapidement les endroits où il réagit le plus fortement.
Le seul contact de ma bouche lui donne la chair de poule et lorsque mon front s’appuie sur son ventre, je le sens palpiter et se contracter tellement il a envie de jouir. Il se demande peut-être si je suis prête à accepter une éjaculation abondante dans ma gorge, contre mon palais ou doit-il juste éclabousser seulement ma bouche, mes joues, mes seins. Ou il ne veut pas me souiller du tout !
Je dois guider sa conduite. Quelle récompense j’attends de lui pour me faire plaisir.
- Tonton… je veux te voir gicler ton foutre, mais j'aime tellement la caresser et la sucer ! Alors, retiens-toi le plus longtemps possible !
S’il ne savait pas comment se comporter, maintenant il sait ce que sa cochonne de nièce veut et il doit se retenir le plus longtemps possible !
- Aaaahhh Sophie… c'est…Oooh, mon ange…j'ai l'impression d'être dans un rêve ! Ce n'est pas possible !
- Tu ne rêves pas ! C'est bien moi Tonton !
Maintenant je sais que je ne rêve pas, je suis bien éveillée et lui aussi en regardant la petite tête blonde de sa nièce, qui s'agite entre ses cuisses et qui lui fait une superbe fellation !
Il referme ses yeux, et son adorable et si jolie nièce reprend sa fellation.
Moi comme lui n’avons plus besoin de fantasmer et de faire des rêves impurs pour revoir le visage de mon oncle se pâmer devant mes beaux yeux brillants de désir en m'activant avec lubricité sur son sexe pour lui donner du plaisir.
Je le suce encore plus vite et je serre ses couilles dans une de mes mains.
Il ne peut plus se retenir. Il pousse un cri et il jouit comme jamais sous les yeux de sa petite salope de nièce qui regarde son sexe qui sursaute dans ma main et qui projette son sperme sur ma bouche ouverte puis sur mes seins aux tétons tous gonflés, pour finir sur mon ventre et sur ma chatte qu’il vient de raser.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cela m'aide à connaître la langue française de toutes les manières possibles.
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Le plus important c’est de lécher les dernières gouttes et sucer le glan après l’ejaculation super histoire j’aurais aimé être à sa place. Merci moi tu m’as fait juter
Délicieux, je bandais tellement que j'ai finis par éjaculer moi aussi.