Mes débuts de sissy

- Par l'auteur HDS nicotark -
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Récit libertin : Mes débuts de sissy Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mes débuts de sissy
Tout d'abord, une rapide présentation.
Je m'appelle Nicolas, 26 ans, habitant la région niçoise depuis quelques années. 1m72 pour 62kg, cheveux mi long et châtains.
Après une longue relation hétéro qui s'est terminée dans l'indifférence d'une monotonie quotidienne, je me suis tourné vers le porno et rapidement, la catégorie "Sissy" m'a passionnée.
L'idée qu'un homme puisse devenir "la petite amie" d'un autre me fascinait. Il faut dire que personne ne m'a jamais considéré comme un mâle alpha, ou comme une cible potentielle en soirée. Je ne semble pas être une option pour la gent féminine.
Jamais une femme ne m'a dragué, renforçant mon sentiment de "mâle de seconde zone".
Enfin côté intimité, sans en être complexé, mon pénis atteint les 14cm en érection. Pas de quoi me vanter ou apporter un surplus de confiance.


Bref, j'avais atteint un âge où je cherchais la femme de ma vie, mais aussi un peu de frissons et ainsi, je fini par m'inscrire sur un site de rencontre du coin.
Après plusieurs soirées à discuter avec plusieurs hommes, jouant quelques jeux de rôles, je parvins à affiner mes choix et envies.
Jusqu'à tomber sur un profil : Éric.
Les informations étaient succinctes : 43 ans, 1m84, 82kg.
Je me décidais à le contacter par une approche banale, et il prit tout de suite le contrôle de la discussion.
Par je ne sais quelle magie, il dictait le rythme de nos échanges virtuels. Je me suis par la suite rendu compte que dans ces premiers contacts, j'étais la midinette en demande. Je répondais toujours vite à ses messages, pendu au téléphone tandis qu'il me faisait, volontairement ou non, languir d'impatience.
Rapidement, j'ai obtenu plus d'informations : Eric était bisexuel, niçois de naissance, avait plusieurs plans culs féminins, pas d'enfant, et fourni d'un membre de 19cm.
Il restait discret sur ses activités mais semblait mener un bon train de vie.
J'étais celui qui posait les questions, mais il finit par me demander ce que je cherchais.
Aussi lui répondis-je le plus franchement possible, et après quelques minutes à tenir fébrilement mon téléphone, sa réponse sonna :
"Je vois, rendez-vous au cours Saleya samedi à 17h30, on discutera"
Mon coeur se mit à battre la chamade et une multitude de questions se bousculèrent : allais-je vraiment rencontrer un homme ? Suis-je prêt ? Que va t-on faire ?
Je repris mes esprits. Si jamais la rencontre ne se passait pas bien, il n'y aurait pas de suite et voilà tout.
Je répondis comme d'habitude, en demandeur : "c'est noté, j'ai hâte". Ce à quoi il ne prit pas la peine de répondre.


Ce samedi, il faisait plutôt beau sur la côte. Un petit 20°C. J'avais opté pour un style simple, jean, chemise manche courte et baskets.
Je me mis en route et tentais de calmer mon stress. Non Nicolas, tu n'as pas à paniquer. Tu es juste un homme qui va discuter avec un autre, c'est tout, d'égal à égal.
Je suis arrivé quelques minutes avant lui et lorsque je le vis s'approcher, toutes mes certitudes ont volées en éclat en une seule seconde.
Eric était beau, tout simplement. Pas bien bâti, extraordinairement musclé ou vêtu d'habits onéreux, il était charismatique.
Il avait une paire de bateaux, un petit chino gris et une chemise blanche aux manches retroussées, laissant apparaître une jolie montre.
Son visage était carré, avec une barbe de 2 jours, des cheveux noirs grisonnant sur les tempes.
J'étais encore assis lorsqu'il me salua, et son mètre 84 me parut immense. Sa poignée de main pris le dessus sur la mienne, mais sans me faire de mal, naturellement je m'y adaptais.
Il s'assied, me demanda ce que je voulais consommer :
"Heu un coca"
Il appela la serveuse : "deux coca s'il vous plaît"
Puis se tourna vers moi :
"Bien Nicolas, comment vas-tu"
"Un peu stressé, c'est la première fois que je fais ça"
"Je le sais, tu me l'as déjà dit"
"Désolé ..."
La serveuse revint entre temps, nous servant à la vitesse de l'éclair. Étais-ce dû à la façon de commander d'Éric, qui l'avait hélée plutôt que d'avoir attendu ? Cette réflexion me fit me rendre compte que jamais je n'aurais fait ça, que j'aurais attendu patiemment l'arrivée de la serveuse.
"Ce n'était pas un reproche. Pourquoi as-tu choisi d'aller voir de l'autre côté ?"
"Après ma longue relation avec mon ex, je me suis rendu compte qu'elle ne m'apportait pas ce que j'espérais..."
"Je sais ce qu'il te faut"
"Tu penses ?"
"Oui, mais tu t'en rendras compte par toi-même. Ne t'inquiète plus, je gère pour nous deux à présent."
Il sorti son portefeuille et posa un billet sur la table pour régler les consommations, que nous n'avions même pas terminées, se leva et me fit signe de le suivre.
Naturellement je me suis mis à ses côtés, lui emboîtant le pas. Nous avons marché quelques minutes, bavardant de choses et d'autres avant de lui demander :
"Mais où allons-nous ?"
"On va chez moi." Répondit Éric, le plus naturellement du monde. Sa réponse fut sans ambiguïté et prononcé d'un ton auxquels il était impossible de répondre par la négative.
Ce n'était pas un ordre, juste la volonté d'un homme exprimée, tout simplement.
Plutôt que de me demander si c'était vraiment une bonne idée, je m'inquiétais pour autre chose :
"Mais j'ai laissé ma voiture au parking public"
"Tu reviendras la chercher"
À nouveau, l'idée de dire que ça ne m'arrangeait pas était inconcevable.


Rapidement, nous atteignîmes sa voiture : un suv Toyota, propre, bien entretenu. Au moment d'ouvrir les portières, il établit un premier contact physique : sa main se pose sur ma hanche et me poussa légèrement.
Une fois au volant, il mit le contact et posa sa main autour de ma nuque, laissant son pouce caresser le bas de mes cheveux. Une chair de poule m'envahit aussitôt, il démarra, passa sa main sur ma cuisse avant de reprendre le volant.
Le trajet fut plutôt court. Nous nous sommes engouffrés dans le parking souterrain d'une résidence cossue. Eric se gara dans son box, me regarda puis mis sa main sur mon menton, le pouce sur ma lèvre inférieur.
"Comment te sens-tu ?"
Je le regardais, la bouche entrouverte et balbutia :
"Ça va, merci de m'avoir conduit"
"Je t'ai dit que je nous prenais en charge maintenant. Allez viens"
Nous sommes descendus de la voiture et avons atteint l'ascenseur. Eric appuya sur le 6eme étage, le dernier.
Nous n'étions que tous les deux dans la cabine, et je me sentais bien. Un peu anxieux mais aussi étreint par un sentiment de sécurité, comme si avec cet homme à mes côtés, il ne pouvait rien arriver.
Je me situais au fond de l'ascenseur et lorsque je trouvais enfin le courage de regarder le visage d'Éric, j'ai vu qu'il me fixait droit dans les yeux. Il s'approcha, posa une main sur ma hanche, me poussa délicatement contre la paroi et posa un baiser sur ma bouche.
Celui-ci fût rapide, mais tendre et attentionné. Le tintement de l'étage sonna et sans un mot, il sorti de l'ascenseur.
Je pressais le pas derrière lui, et une fois devant la porte, il me la tint ouverte pour me faire entrer.
J'y mis un pied comme chez des invités, en regardant à gauche et à droite. C'était un bel appartement, au dernier étage d'un immeuble bien situé sur les hauteurs de Nice.
3 pièces, dont le principal attrait était un salon illuminé donnant sur une superbe terrasse, vue mer.
La décoration était moderne, tout comme les meubles. L'ensemble était agencé avec goût.
"C'est sublime"
"Content que ça te plaise. Je te sers un verre ?"
"Avec plaisir"
Il ouvrit le buffet et sorti un du Martini. À nouveau, il choisissait sans imposer.
"Tu aimes ?"
"Ça m'ira très bien"
Eric nous servit deux verres bien remplis. Durant ce temps, je n'osais pas m'asseoir, attendant sagement son retour.
Lorsqu'il revint, il me tendit le verre, s'asseya sur le canapé et tapota à côté de lui.
Je m'empressais de le rejoindre, le remerciant encore une fois.
Nous discutames encore un peu, parlant de ses voyages, mais aussi de ses expériences sexuelles. Il m'expliqua qu'il était un homme simple, qui avait souvent ce qu'il voulait et que du coup, il ne s'embarassait pas de relations exclusives.
Peu à peu, je compris que le charisme et la prestance étaient des attributs innés. Certains en ont, d'autres pas. Je me jugeais moi-même dans la seconde catégorie et classait sans peine Éric dans la première.


Le temps défilait et Éric me servit un second verre.
"Alors Nico, as-tu les idées un peu plus claires sur ce que tu recherches ?"
Un silence tomba. J'avais envie de lui crier : "toi Éric, c'est toi que je recherche, c'est tout ce que tu es, ce que tu génères, ce magnétisme animal qui émane de toi que je recherche !"
Mais Éric était le genre d'homme à comprendre ce type de silence.
Aussi il agrippa ma main, la posa sur son entrejambe et me dit : "moi, je sais ce que je peux t'apporter"
Son chino était déformé par son érection. Elle était tellement visible que je devinais parfaitement la forme de son pénis à travers ses vêtements.
Il y a encore quelques heures, je n'aurais jamais imaginé toucher un membre masculin et me voilà, sur son canapé, la main dessus.
J'étais flatté, terriblement flatté par l'effet que je lui faisais. Loin d'être horrifié ou rebuté, j'étais heureux de procurer de l'envie, surtout chez cet homme. Il déboutonna son bouton de la main gauche et passa sa main droite dans les cheveux à l'arrière de ma tête. Je posais alors ma tête sur son épaule et entrepris de terminer son acte en dézzipant sa braguette.
Son membre sortit alors et il était de belle taille. Il n'avait pas menti, évidemment. Son pénis était bien droit, le gland en ressortait et ses couilles étaient massives.
Pas une seconde je n'ai pensé à mon propre membre. Le sien était hypnotisant, mes yeux étaient fixés dessus à chaque seconde, et ma main commença à la parcourir de toute sa longueur.
Ma vue et mon touché étaient comblés, mon coeur battait à 100 à l'heure tandis qu'Eric continuait ses papouilles à l'arrière de mon crâne. Il reprit une gorgée de boisson et me laissa tout le loisir de profiter de son être.
Lové dans le creux de son bras, le branlant doucement, je prenais le temps passer la main sur l'intérieur de ses cuisses, ses couilles et bien sûr, son sublime pénis.
Il déplaça sa main autour de mon menton et me le releva, m'embrassant à nouveau, cette fois un peu plus longtemps. Je posais alors la main sur sa poitrine et une pensée me traversa l'esprit : je suis à lui.
La suite s'exécuta d'elle-même. Sans qu'il ne le demande, ou en fasse signe, je me suis penché et ai englobé sa bite avec mes lèvres. Un léger soupir me fit comprendre que j'étais sur le bon chemin. Je ressortais ce pénis de ma bouche, l'attrapa avec ma main puis l'y guida une nouvelle fois, cette fois sans l'en enlever. C'était ma première fellation et en tant qu'homme, je savais tout de même ce qui plaisait à la gent masculine.
Aussi j'alternais les moments rapides où je savais et branlais en même temps, avec des moments plus lents où je prenais le temps de la lécher de haut en bas en palpant ses couilles.
Eric m'encourageait :
"Tu vois, j'ai tout ce qu'il te faut"
"Prends-en bien soin, tu t'en serviras"
Et une autre phrase qui me fit rougir :
"Depuis que je t'ai vu au café, j'attendais ce moment"
Cette dernière tirade décupla mon envie de bien faire et j'entrepris de vraiment tout donner.
Je me suis placé entre ses genoux et ai englouti son pénis, le poussant aussi loin que possible, je le branlais énergiquement, suçant également ses couilles tandis que son membre me recouvrait le visage. Les bruits de succions envahissaient la pièce et je me rendis compte que c'était ça. Ça que j'attendais, que je voulais, que je désirais. Qu'un homme, un vrai, prenne soin de moi.
Et qu'en retour, je m'en occupe aussi.
Sur ses pensées, Eric m'avertit : il allait éjaculer.
Encore une fois, j'ai pensé que c'était sympa de me prévenir, très avenant. Je n'étais pas prêt à avaler. J'appréciais le goût de son liquide séminal mêlé à ma bave, mais j'appréhendais quand même un peu, aussi a t'il tout lâché sur mon torse.
J'étais heureux et fier. J'avais fait éjaculer un homme, quelle première fois !
Éric se leva, le sexe encore bandant, luisant de sperme. Je restais à genoux et pris en bouche son gland pour lécher ce qu'il restait. Le goût était surprenant, mais pas dégoûtant. Il me regarda l'air satisfait puis me dis qu'il allait prendre sa douche.
Je me redressais en reprenant mes esprits. Merde, il était tard, la voiture était loin, bon ...
Après quelques minutes, Eric sorti et me dit d'y aller à mon tour. J'entrais dans la salle de bain. Il sortait à peine de la douche et je le voyais entièrement nu pour la première fois. Il était bien sculpté, et surtout son sexe pendait harmonieusement entre ses jambes, j'étais subjugué.
"Je t'ai sorti des serviettes"
"Merci, mais je vais peut-être y aller, j'ai encore de la route"
"Non, tu restes ici ce soir"
Impossible de refuser, son charisme m'écrasait. Mais il fallait qu'on clarifie un point :
"Je ne suis pas prêt à... Tu vois"
"Ne t'inquiète pas, j'attendrais. Je ne compte pas te violer, tu viendras à moi" dit-il avec un sourire.

Et effectivement, je le savais déjà. C'est moi qui viendrais à lui.
Après la douche, nous nous sommes tout simplement couchés. Eric m'a prêté un boxer, que j'étais loin de remplir, c'était gênant mais il n'en releva rien.
Je me suis couché auprès de lui, me lovant dans son bras et balbutiant un "merci".
En réponse, il posa un baiser sur mon front, et je m'endormis instantanément.

Les avis des lecteurs

Bonjour et BRAVO. Je lis la première histoire que tu publie et je suis charmé. Belle écriture qui maîtrise l'orthographe et la grammaire. Rares sont les récits qui allient la maîtrise de l'écriture avec un récit construit et langoureux. Voici don un couple en devenir qui se rencontre avec des envies fortes mais qui prends le temps de se connaître, de se désirer, de monter en chaleur. Vite, racontes nous la suite . Merci

Histoire Erotique
Très belle histoire, on n'attend que la suite !
Bravo !!!



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