Mes deux femmes
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2012 dans la catégorie Plus on est
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Mes deux femmes
Normalement quand je rentre du travail, vers 17 heures, je trouve souvent ma femme dans la chambre presque nue qui se masturbe. Elle le fait juste avant mon arrivée pour être certaine que je vais la baiser sinon, l’aider à jouir. Depuis des années 17 heures est son heure, même quand nous sommes en vacances loin de chez nous. Juste en entrant dans l’immeuble je croise une de ses copines de toujours, Annie- Bonjour, comment vas-tu ?
- Très bien, Huguette t’attend.
- Je sais qu’elle m’attend à cette heure.
- Oui, pour que tu la baise.
- Comment tu sais ça ?
- Elle vient de me le dire.
- Tu es un peu décoiffée.
- Oui en sortant de chez toi je me suis trop baissée et j’ai touché la rampe avec la tête ?
- Pas de mal ?
- Non, merci.
Elle me fait la bise habituelle avant de partir.
J’entre sans faire de bruit, comme toujours, Huguette m’entend quand même. Je vais dans la chambre.
Pour une fois elle est totalement nue.
- Bonjour mon amour,- Bonjour chérie.
- Je crois que j’ai fait une petite bêtise. Tu as du croiser Annie ?
- Oui pourquoi ?
- C’est elle ma bêtise.
- Comment ça ?
- Elle n’a pas osé t’en parler. Nous avons baisé ensemble et en plus je n’ai pas de remord.
J’ai comme un coup au cœur. Elle vient de me tromper avec une autre femme et elle a aimé ça.
Pourtant depuis longtemps je le lui demandais de faire l’amour avec une autre, mais devant moi, pas dans mon dos. Elle ajoute :- Elle revient demain samedi vers heures 15 heures plus tôt qu’aujourd’hui, tu nous verras ensemble, elle m’a même dit qu’elle était d’accord pour que tu la baise devant moi. Il me tarde de voir ta bite dans sa chatte ou son cul, je ne sais plus où elle aime le plus.
Donc demain j’aurais dans le lit outre ma femme de 35 ans, sa copine du même âge.
J’espère que mes reins de 40 ans auront la force de les baiser les deux. En un éclair je les vois enlacée elle blonde très claire et son amie brune comme une sicilienne.
Donc pour moi la baise de 17 heures n’a pas lieu. Nue toujours couchée, elle me tend ses lèvres pour m’embrasser. Pas possible, elle vient de sortir d’une séance de saphisme et elle a encore envie de jouir ? Pendant le baiser elle sort ma bite du pantalon pour me branler, car je bande depuis qu’elle me parle d’elle et de son amante. Je suis vite nu : elle embrasse un peu ma queue, comme pour se faire pardonner. Son godemichet est toujours sur le lit, il est encore rempli de traces douteuses.
Soit c’est sa cyprine soit c’est celle d’Annie.
- Baises moi une fois seulement, après tu me la mettras au cul.
- Annie ne t’a rien fait au cul ?
- Si mais ce n’est pas avec une langue qu’on remplace une bite.
Elle écarte bien les jambes pour se donner. J’entre dans une vulve toute mouillée des jouissances qu’elle a eues. Je glisse en elle trop facilement. Pourtant je commence à avoir envie de jouir moi aussi. Je me retire à temps. Pour me remercier en se retournant en levrette elle me donne un baiser sur la bite, sa langue lèche à peine sa cyprine.
Je suis sur son cul. Je remets mon prépuce sur le gland pour entrer sans problème.
Enfin elle me guide, comme si j’avais oublié depuis ce matin son anatomie. Je pensais forcer un minimum pour entrer.
- Elle m’a léché le cul un bon moment.
Je n’ai aucune raison de refuser d’entrer là où une langue de femme est déjà entrée.
Mais je vais plus loin qu’une simple langue. Je lime son postérieur longuement, assez pour qu’elle jouisse.
Portant quand à mon, tour quand mon sperme va se perdre dans la profondeur de on boyau, il me semble qu’elle jouit encore, ce qu’elle confirme.
Bof je suis obligé de l’abandonner : elle a trop jouit. Je me vengerais demain. Sauf que pour une fois elle reste juste avec son peignoir transparent pout le reste de la soirée. Pour se faire pardonner, au cours du repas elle reçoit son plat de résistance quand après une fellation elle reçoit toute ma salve de sperme dans sa bouche. Elle ouvre bien la bouche pour me montrer la quantité de foutre qu’elle a reçue. Je ne pensais jamais en faire autant.
Nous regardons la télé sans y prêter attention. Une fois couché nous nous embrassons pour nous endormir aussitôt, elle n’a plus envie de jouir. Comme toujours en me couchant je me branle. J’ai cette manie depuis que je suis en âge de me branler, même en fréquentant une fille, je le fais toujours. Même Huguette n’a jamais compris pourquoi je faisais ça.
Le lendemain la matinée passe en courses diverses, le repas aussi passe vite : sans que nous nous en apercevions Annie est déjà là. Elle est habillée sexy à sa façon : une mini jupe ras de la touffe, une chemise d’homme fermée par deux boutons seulement.
Elle m’embrasse sur les joues, Huguette sur la bouche en lui mettant déjà bien avant l’heure une main sur la chatte.
- Salut vous deux, on baise tout à l’heure.
Je ne réponds que rapidement :- Ouaip, non baisons. Tu la veux où ?
- Je m’enfiche tu moment que te me la mets devant ta femme.
- Tu veux me gouter avant ?
- Je veux bien.
Elle sort ma bite sans scrupule devant mon épouse. Avec ses lèvres mon prépuce est vite descendu. Sa langue lèche le gland. Elle s’arrête là dès que je bande trop pour dire en se levant :- Oui tu as bon gout, je te sucerai après ta femme pour que j’ai aussi son gout avec le tien, ça doit être agréable le mélange de sa mouille et de ton sperme.
Nous sommes tombés sur une femme totalement libérée et sans pudeur aucune puisqu’elle embrasse ma femme à sa façon : elle lui lèche la lèvre avant de lui mettre toute sa langue dans la bouche. Ce doit être agréable à voir les mimiques de ma femme.
Je bande sans cesse pendant qu’elles se déshabillent totalement. Annie est sexy, plus qu’Huguette.
Quand elle prend ma femme dans ses bras ce n’est pas pour rien : elle la caresse partout, sa bouche est vite sur la poitrine. Huguette n’a même pas le temps de lui faire des choses affectueuses. Elle subit un peu.
Elles sont sur le même fauteuil, Huguette sur les genoux d’Annie. Elle écarte ses jambes sur la pression des mains d’Annie qui commencent enfin normalement par caresser l’intérieur des cuisses pour aller relativement lentement sur la chatte déjà bien mouillée de ma femme.
Je reste en spectateur devant le couple de lesbienne. Ma bite est au garde à vous : je ne peux plus me retenir, je la prends dans ma main et lentement je me branle. La main d’Annie est maintenant dans le trou d’amour de ma femme, elle en a mit trois doigts qu’elle fait aller et venir.
Huguette se laisse totalement aller au plaisir procuré. Annie y ajoute sa bouche sur un sein, là Huguette commence à jouir. Elle continue longtemps à avoir un spasme qui semble sans fin. Sa jouissance m’est inconnue. Je la vois remuer la tête dans tous les sens. Elle gémit sans cesse : elle n’a jamais joui ainsi avec moi.
Quand Annie arrête c’est pour qu’elle aussi ait sa part de festin. Elle se lève pour venir cette fois sur les genoux d’Huguette, qui n’hésite pas à lui caresser l’intérieur des cuisses. Elle ne fait que rendre la monnaie de sa pièce. Elle doit être assez douée pour arriver à la faire jouir autant qu’elle tout à l’heure.
Il y a quand même une grande différence, elle prend ma bite dans sa bouche. J’aime être ainsi sucé pendant qu’elle masturbe son amie. Elle me mordille un peu pour m’empêcher de jouir trop vite. Elle a raison, je tarde pour partir dans sa bouche. Quand elle me lâche je n’ai plus de sperme dans ma colonne. Elle donne sa bouche à Annie qui avale la part qu’elle lui donne. Ce baiser se prolonge un bon moment. Quand elles oublient la bouche de l’amante, Annie me parle enfin :- Tu as bon gout, je vais me régaler en aspirant ton jus.
- Et moi le tien ou celui de ton cul.
Ma femme intervient : - Tu veux nous baiser ensemble ?
- Comment ?
- Allons dans la chambre, tu verras bien.
Nous voilà partis ensemble vers le lit : les deux femmes se tiennent comme des amoureux par la taille. Marchant derrière elles je me régale d’admirer ces paires de fesses. Je sens bien qu’elles ont envie encore l’une de l’autre. Si je pouvais être tout près je pourrais prendre chaque cul ensemble.
Dans la chambre, ma femme envoie promener tout : couvre lit, couverture et draps. Elle est gênée par Annie qui la taquine en lui mettant souvent sa main sur les fesses. Je m’occupe comme je peux en caressant les fesses d’Annie. Elle me laisse faire. En s’adressant à nous deux elle dit :- Si nous baisions maintenant. Toi, Pierre tu te couche sur le lit, avec Huguette nous te partagerons. Tu nous feras jouir et nous l’en ferons autant. Ta queue n’a qu’à bien se tenir droite et raide. Nous allons jouir ensemble.
Je suis d’accord. Pour le marquer je vais venir mes deux amantes près de moi. Je sors ma langue de la bouche et elles viennent poser les leurs sur la mienne. Drôle de baiser à trois, mais excitation garantie.
Je suis bien couché, Annie vient se branler sur ma bite. Huguette lui caresse les seins. Je m’avance déjà à caresser les fesses d’Huguette.
Je pense brusquement que nous vivons drôlement : un couple qui accepte l’amante pour baiser à trois.
Je regarde ce que fait l’amante justement. Cette fois le sérieux commence : elle s’empale sur ma bite en faisant lentement descendre son corps sur le mien. Je sens ses fesses contre mon pubis quand elle arrive à avoir toute ma queue dans son ventre. Elle murmure des mots sans suite : - Oui, baise moi, ta queue est bonne dans mon con, suce aussi ta femme, baise nous bien fort comme maintenant, mets moi la profond.
Tout ce qu’elle demande est fait : ma femme vient sur ma bouche. Entre sa bouche d’en bas et la mienne une drôle d’osmose se produit. C’est seulement ma langue qui bouge sur toute sa fente, selon les désirs non exprimés. Elle mouille tellement que je reçois sa cyprine à flots continus sur et dans ma bouche. Elle me donne son jus liquoreux sans restriction. Je dois en avoir plein le visage.
Elle se penche en avant pour chercher la bouche d’Annie. Je le devine simplement quand je sens ses orgasme se suivre presque sans arrêt.
Je sens également les jouissances d’Annie autour de ma bite. Bêtement je pensais qu’elle allait s’arrêter de se faire mettre après avoir joui. Elle ne se repose qu’un quelques secondes pour reprendre rapidement ses aller et venue. Elle n’attend qu’une seule chose, que je jouisse pour lui donner dans le ventre un dose de sperme.
Nous nous effondrons tous dans une surdose de jouissance. Je suis couché entre les deux femmes, elles ne demandent qu’une seule chose : les caresses post accouplement. Je fais ce que je peux pour les satisfaire. J’embrasse l’un et l’autre sans qu’elle s’en formalise. La jalousie n’a pas cour chez nous. Elles caressent toujours ma bite molle qui ne le reste pas longtemps à ce régime.
Elles commencent à en vouloir encore. Je regarde ma bite : elle me semble en état de marche, avec son mat bien droit et son bout à peine rougeâtre. Mes couilles sont cachées et en levant la tête je les vois bien relevées sur le bas ventre : tout est OK.
Les femmes aussi sont en bon état. Huguette a besoin de la bouche et la langue de son amante sur son cul. Annie se positionne sur le lit, la tête tout près de la rondelle de ma femme. Je m’accroupis pour regarder la chose. Huguette agrandit le compas de ses jambes pendant que la langue d ’Annie est tendue. En regardant attentivement je vois le bout de langue entourer le rectum de ma femme, lentement pour ensuite se poser directement dessus. J’assiste à la pénétration d’une langue dans un cul. Je ne me retiens plus, je me branle doucement. Huguette jouit assez vite.
- Peux-tu me lécher le cul aussi ?
- Toi un homme ?
- Pourquoi, ça te gêne ?
Elle vient sur moi, passe sa tête entre mes jambes comme si j’étais une femme. Après tout pourquoi je n’aurais pas droit à ce traitement spécial. Elle arrive pour d’abord prendre ma bite dans la main, me branler un peu, pour finir elle arrive sur mon anus. Je sens sa langue lécher lentement, presque trop lentement. Ca dure un bon moment. Je commence à bander plus fort : je sens cette sensation bizarre sur et ensuite juste à l’entrée de mon cul. Elle lâche ma pine pour se consacrer uniquement à mon cul, comme elle vient de le faire à ma femme. C’est elle qui ajoute un atout supplémentaire en m’embrassant profondément sur la bouche. Elle n’hésite pas à prendre ma bite dans sa main.
Je reste à la merci des deux femmes, l’amante de ma femme me lèche le cul et mon épouse, celle que j’aime me masturbe. Sans que rien ne le laisse supposer, je sens ma jouissance partir de mon cul pour venir me faire éjaculer sur le visage de ma femme. Je ne pensais jamais jouir dans de telles conditions.
Libres maintenant, débarrassées un instant de moi, elles se font encore l’amour en 69.
Pourtant elles ajoutent un tout petit supplément. Le gode d’Huguette est de sorti, ainsi que celui du sac d’Annie. Elles se bourrent le cul en se léchant les clitoris.
En tournant sur elles même, elle me donne à voir tout leur corps. Le spectacle, digne d’un film porno me donne plus que la vue : il me fait encore bander.
Cette fois j’ai envie de baiser, pas d’enculer. Pourtant je ne gagne pas, encore une foi Annie me veut. Elle vient sur moi me donner sa chatte à sucer pendant qu’elle prend ma queue dans sa bouche, à croire qu’elle n’a pas sucé assez de sexe depuis son arrivée. Je ne suis pas perdant dans l’affaire : si seule sa langue lèche, ses lèvres se transforment en véritable sexe féminin. Elle semble répondre à ce que je lui donne avec ma langue. Je crois même qu’elle me fait arriver sur sa glotte. Mon gland est continuellement sollicité soit pas ses lèvres et sa langue soit par ses joues.
Elle me fait partir dans les limbes de l’orgasme. Je jouis pour la dernière fois en lui donnant le plus qu’il soit possible de sperme. Elle n’en perd pas une seule goutte qu’elle partage avec ma femme.
Je les laisse baiser encore un peu jusqu’à ce qu’elles aussi s’arrêtent rompues par une baise qui dure depuis plus de 5 heures.
- Très bien, Huguette t’attend.
- Je sais qu’elle m’attend à cette heure.
- Oui, pour que tu la baise.
- Comment tu sais ça ?
- Elle vient de me le dire.
- Tu es un peu décoiffée.
- Oui en sortant de chez toi je me suis trop baissée et j’ai touché la rampe avec la tête ?
- Pas de mal ?
- Non, merci.
Elle me fait la bise habituelle avant de partir.
J’entre sans faire de bruit, comme toujours, Huguette m’entend quand même. Je vais dans la chambre.
Pour une fois elle est totalement nue.
- Bonjour mon amour,- Bonjour chérie.
- Je crois que j’ai fait une petite bêtise. Tu as du croiser Annie ?
- Oui pourquoi ?
- C’est elle ma bêtise.
- Comment ça ?
- Elle n’a pas osé t’en parler. Nous avons baisé ensemble et en plus je n’ai pas de remord.
J’ai comme un coup au cœur. Elle vient de me tromper avec une autre femme et elle a aimé ça.
Pourtant depuis longtemps je le lui demandais de faire l’amour avec une autre, mais devant moi, pas dans mon dos. Elle ajoute :- Elle revient demain samedi vers heures 15 heures plus tôt qu’aujourd’hui, tu nous verras ensemble, elle m’a même dit qu’elle était d’accord pour que tu la baise devant moi. Il me tarde de voir ta bite dans sa chatte ou son cul, je ne sais plus où elle aime le plus.
Donc demain j’aurais dans le lit outre ma femme de 35 ans, sa copine du même âge.
J’espère que mes reins de 40 ans auront la force de les baiser les deux. En un éclair je les vois enlacée elle blonde très claire et son amie brune comme une sicilienne.
Donc pour moi la baise de 17 heures n’a pas lieu. Nue toujours couchée, elle me tend ses lèvres pour m’embrasser. Pas possible, elle vient de sortir d’une séance de saphisme et elle a encore envie de jouir ? Pendant le baiser elle sort ma bite du pantalon pour me branler, car je bande depuis qu’elle me parle d’elle et de son amante. Je suis vite nu : elle embrasse un peu ma queue, comme pour se faire pardonner. Son godemichet est toujours sur le lit, il est encore rempli de traces douteuses.
Soit c’est sa cyprine soit c’est celle d’Annie.
- Baises moi une fois seulement, après tu me la mettras au cul.
- Annie ne t’a rien fait au cul ?
- Si mais ce n’est pas avec une langue qu’on remplace une bite.
Elle écarte bien les jambes pour se donner. J’entre dans une vulve toute mouillée des jouissances qu’elle a eues. Je glisse en elle trop facilement. Pourtant je commence à avoir envie de jouir moi aussi. Je me retire à temps. Pour me remercier en se retournant en levrette elle me donne un baiser sur la bite, sa langue lèche à peine sa cyprine.
Je suis sur son cul. Je remets mon prépuce sur le gland pour entrer sans problème.
Enfin elle me guide, comme si j’avais oublié depuis ce matin son anatomie. Je pensais forcer un minimum pour entrer.
- Elle m’a léché le cul un bon moment.
Je n’ai aucune raison de refuser d’entrer là où une langue de femme est déjà entrée.
Mais je vais plus loin qu’une simple langue. Je lime son postérieur longuement, assez pour qu’elle jouisse.
Portant quand à mon, tour quand mon sperme va se perdre dans la profondeur de on boyau, il me semble qu’elle jouit encore, ce qu’elle confirme.
Bof je suis obligé de l’abandonner : elle a trop jouit. Je me vengerais demain. Sauf que pour une fois elle reste juste avec son peignoir transparent pout le reste de la soirée. Pour se faire pardonner, au cours du repas elle reçoit son plat de résistance quand après une fellation elle reçoit toute ma salve de sperme dans sa bouche. Elle ouvre bien la bouche pour me montrer la quantité de foutre qu’elle a reçue. Je ne pensais jamais en faire autant.
Nous regardons la télé sans y prêter attention. Une fois couché nous nous embrassons pour nous endormir aussitôt, elle n’a plus envie de jouir. Comme toujours en me couchant je me branle. J’ai cette manie depuis que je suis en âge de me branler, même en fréquentant une fille, je le fais toujours. Même Huguette n’a jamais compris pourquoi je faisais ça.
Le lendemain la matinée passe en courses diverses, le repas aussi passe vite : sans que nous nous en apercevions Annie est déjà là. Elle est habillée sexy à sa façon : une mini jupe ras de la touffe, une chemise d’homme fermée par deux boutons seulement.
Elle m’embrasse sur les joues, Huguette sur la bouche en lui mettant déjà bien avant l’heure une main sur la chatte.
- Salut vous deux, on baise tout à l’heure.
Je ne réponds que rapidement :- Ouaip, non baisons. Tu la veux où ?
- Je m’enfiche tu moment que te me la mets devant ta femme.
- Tu veux me gouter avant ?
- Je veux bien.
Elle sort ma bite sans scrupule devant mon épouse. Avec ses lèvres mon prépuce est vite descendu. Sa langue lèche le gland. Elle s’arrête là dès que je bande trop pour dire en se levant :- Oui tu as bon gout, je te sucerai après ta femme pour que j’ai aussi son gout avec le tien, ça doit être agréable le mélange de sa mouille et de ton sperme.
Nous sommes tombés sur une femme totalement libérée et sans pudeur aucune puisqu’elle embrasse ma femme à sa façon : elle lui lèche la lèvre avant de lui mettre toute sa langue dans la bouche. Ce doit être agréable à voir les mimiques de ma femme.
Je bande sans cesse pendant qu’elles se déshabillent totalement. Annie est sexy, plus qu’Huguette.
Quand elle prend ma femme dans ses bras ce n’est pas pour rien : elle la caresse partout, sa bouche est vite sur la poitrine. Huguette n’a même pas le temps de lui faire des choses affectueuses. Elle subit un peu.
Elles sont sur le même fauteuil, Huguette sur les genoux d’Annie. Elle écarte ses jambes sur la pression des mains d’Annie qui commencent enfin normalement par caresser l’intérieur des cuisses pour aller relativement lentement sur la chatte déjà bien mouillée de ma femme.
Je reste en spectateur devant le couple de lesbienne. Ma bite est au garde à vous : je ne peux plus me retenir, je la prends dans ma main et lentement je me branle. La main d’Annie est maintenant dans le trou d’amour de ma femme, elle en a mit trois doigts qu’elle fait aller et venir.
Huguette se laisse totalement aller au plaisir procuré. Annie y ajoute sa bouche sur un sein, là Huguette commence à jouir. Elle continue longtemps à avoir un spasme qui semble sans fin. Sa jouissance m’est inconnue. Je la vois remuer la tête dans tous les sens. Elle gémit sans cesse : elle n’a jamais joui ainsi avec moi.
Quand Annie arrête c’est pour qu’elle aussi ait sa part de festin. Elle se lève pour venir cette fois sur les genoux d’Huguette, qui n’hésite pas à lui caresser l’intérieur des cuisses. Elle ne fait que rendre la monnaie de sa pièce. Elle doit être assez douée pour arriver à la faire jouir autant qu’elle tout à l’heure.
Il y a quand même une grande différence, elle prend ma bite dans sa bouche. J’aime être ainsi sucé pendant qu’elle masturbe son amie. Elle me mordille un peu pour m’empêcher de jouir trop vite. Elle a raison, je tarde pour partir dans sa bouche. Quand elle me lâche je n’ai plus de sperme dans ma colonne. Elle donne sa bouche à Annie qui avale la part qu’elle lui donne. Ce baiser se prolonge un bon moment. Quand elles oublient la bouche de l’amante, Annie me parle enfin :- Tu as bon gout, je vais me régaler en aspirant ton jus.
- Et moi le tien ou celui de ton cul.
Ma femme intervient : - Tu veux nous baiser ensemble ?
- Comment ?
- Allons dans la chambre, tu verras bien.
Nous voilà partis ensemble vers le lit : les deux femmes se tiennent comme des amoureux par la taille. Marchant derrière elles je me régale d’admirer ces paires de fesses. Je sens bien qu’elles ont envie encore l’une de l’autre. Si je pouvais être tout près je pourrais prendre chaque cul ensemble.
Dans la chambre, ma femme envoie promener tout : couvre lit, couverture et draps. Elle est gênée par Annie qui la taquine en lui mettant souvent sa main sur les fesses. Je m’occupe comme je peux en caressant les fesses d’Annie. Elle me laisse faire. En s’adressant à nous deux elle dit :- Si nous baisions maintenant. Toi, Pierre tu te couche sur le lit, avec Huguette nous te partagerons. Tu nous feras jouir et nous l’en ferons autant. Ta queue n’a qu’à bien se tenir droite et raide. Nous allons jouir ensemble.
Je suis d’accord. Pour le marquer je vais venir mes deux amantes près de moi. Je sors ma langue de la bouche et elles viennent poser les leurs sur la mienne. Drôle de baiser à trois, mais excitation garantie.
Je suis bien couché, Annie vient se branler sur ma bite. Huguette lui caresse les seins. Je m’avance déjà à caresser les fesses d’Huguette.
Je pense brusquement que nous vivons drôlement : un couple qui accepte l’amante pour baiser à trois.
Je regarde ce que fait l’amante justement. Cette fois le sérieux commence : elle s’empale sur ma bite en faisant lentement descendre son corps sur le mien. Je sens ses fesses contre mon pubis quand elle arrive à avoir toute ma queue dans son ventre. Elle murmure des mots sans suite : - Oui, baise moi, ta queue est bonne dans mon con, suce aussi ta femme, baise nous bien fort comme maintenant, mets moi la profond.
Tout ce qu’elle demande est fait : ma femme vient sur ma bouche. Entre sa bouche d’en bas et la mienne une drôle d’osmose se produit. C’est seulement ma langue qui bouge sur toute sa fente, selon les désirs non exprimés. Elle mouille tellement que je reçois sa cyprine à flots continus sur et dans ma bouche. Elle me donne son jus liquoreux sans restriction. Je dois en avoir plein le visage.
Elle se penche en avant pour chercher la bouche d’Annie. Je le devine simplement quand je sens ses orgasme se suivre presque sans arrêt.
Je sens également les jouissances d’Annie autour de ma bite. Bêtement je pensais qu’elle allait s’arrêter de se faire mettre après avoir joui. Elle ne se repose qu’un quelques secondes pour reprendre rapidement ses aller et venue. Elle n’attend qu’une seule chose, que je jouisse pour lui donner dans le ventre un dose de sperme.
Nous nous effondrons tous dans une surdose de jouissance. Je suis couché entre les deux femmes, elles ne demandent qu’une seule chose : les caresses post accouplement. Je fais ce que je peux pour les satisfaire. J’embrasse l’un et l’autre sans qu’elle s’en formalise. La jalousie n’a pas cour chez nous. Elles caressent toujours ma bite molle qui ne le reste pas longtemps à ce régime.
Elles commencent à en vouloir encore. Je regarde ma bite : elle me semble en état de marche, avec son mat bien droit et son bout à peine rougeâtre. Mes couilles sont cachées et en levant la tête je les vois bien relevées sur le bas ventre : tout est OK.
Les femmes aussi sont en bon état. Huguette a besoin de la bouche et la langue de son amante sur son cul. Annie se positionne sur le lit, la tête tout près de la rondelle de ma femme. Je m’accroupis pour regarder la chose. Huguette agrandit le compas de ses jambes pendant que la langue d ’Annie est tendue. En regardant attentivement je vois le bout de langue entourer le rectum de ma femme, lentement pour ensuite se poser directement dessus. J’assiste à la pénétration d’une langue dans un cul. Je ne me retiens plus, je me branle doucement. Huguette jouit assez vite.
- Peux-tu me lécher le cul aussi ?
- Toi un homme ?
- Pourquoi, ça te gêne ?
Elle vient sur moi, passe sa tête entre mes jambes comme si j’étais une femme. Après tout pourquoi je n’aurais pas droit à ce traitement spécial. Elle arrive pour d’abord prendre ma bite dans la main, me branler un peu, pour finir elle arrive sur mon anus. Je sens sa langue lécher lentement, presque trop lentement. Ca dure un bon moment. Je commence à bander plus fort : je sens cette sensation bizarre sur et ensuite juste à l’entrée de mon cul. Elle lâche ma pine pour se consacrer uniquement à mon cul, comme elle vient de le faire à ma femme. C’est elle qui ajoute un atout supplémentaire en m’embrassant profondément sur la bouche. Elle n’hésite pas à prendre ma bite dans sa main.
Je reste à la merci des deux femmes, l’amante de ma femme me lèche le cul et mon épouse, celle que j’aime me masturbe. Sans que rien ne le laisse supposer, je sens ma jouissance partir de mon cul pour venir me faire éjaculer sur le visage de ma femme. Je ne pensais jamais jouir dans de telles conditions.
Libres maintenant, débarrassées un instant de moi, elles se font encore l’amour en 69.
Pourtant elles ajoutent un tout petit supplément. Le gode d’Huguette est de sorti, ainsi que celui du sac d’Annie. Elles se bourrent le cul en se léchant les clitoris.
En tournant sur elles même, elle me donne à voir tout leur corps. Le spectacle, digne d’un film porno me donne plus que la vue : il me fait encore bander.
Cette fois j’ai envie de baiser, pas d’enculer. Pourtant je ne gagne pas, encore une foi Annie me veut. Elle vient sur moi me donner sa chatte à sucer pendant qu’elle prend ma queue dans sa bouche, à croire qu’elle n’a pas sucé assez de sexe depuis son arrivée. Je ne suis pas perdant dans l’affaire : si seule sa langue lèche, ses lèvres se transforment en véritable sexe féminin. Elle semble répondre à ce que je lui donne avec ma langue. Je crois même qu’elle me fait arriver sur sa glotte. Mon gland est continuellement sollicité soit pas ses lèvres et sa langue soit par ses joues.
Elle me fait partir dans les limbes de l’orgasme. Je jouis pour la dernière fois en lui donnant le plus qu’il soit possible de sperme. Elle n’en perd pas une seule goutte qu’elle partage avec ma femme.
Je les laisse baiser encore un peu jusqu’à ce qu’elles aussi s’arrêtent rompues par une baise qui dure depuis plus de 5 heures.
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