Mes employeurs 2
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes employeurs 2
Laura ne retourne pas au parc pendant plusieurs jours, elle a peur du charme de Paul. Les jours se passent, Laura devient très, très nerveuse, le samedi approche, la tension monte encore d'un cran dans le corps de Laura. Son mari, remarque le trouble de sa femme, il lui dit :
-Eh bien ma chérie, on peut dire que tu es vraiment tendue, tu crains quoi !
Elle pince les lèvres et répond :
-Paul m'attire comme un aimant, il me fascine, j'ai peur de craquer mon chéri !
Marc l'embrasse tendrement et dit :
-Je t'avoue qu'Éléonore me plaît, il faut laisser parler nos sens, et prendre le plaisir là où il est !
Laura est dubitative, elle regarde son mari et lui dit :
-Si je te trompe, tu es prêt à l'accepter !
Marc réplique :
-Je sais que depuis un moment, je ne suis plus à la hauteur pour te faire l'amour, eh bien oui, je le souhaite même, que tu t'éclates avec Paul ou un autre, je te dois bien cela m'a chérie !
Ce sont les larmes plein les yeux que Laura, embrasse Marc comme jamais. Une fois au lit, comme par miracle, Marc réussi à lui fait l'amour comme au premier jour. Enfin le jour tant appréhendé arrive. Laura et Marc sont reçus comme des dieux, les embrassades durent un bon moment, les poignées de mains sont interminables.
Ils passent au salon pour l'apéro, les verres vides sont immédiatement remplis pas Paul. Les langues se délient, Paul se rapproche de Laura. Marc, en regardant de base en haut, Éléonore lui dit en se penchant vers elle :
-Cela doit bien tirer une grande cheminée comme ça !
Sans se démonter, Éléonore répond, sans quitter les yeux son interlocuteur :
-Il suffirait peut-être de mettre votre buche pour le constater mon ami !
Les deux se regardent longuement sans se dire un mot, la réponse de la femme, est sans ambiguïté. Pendant que Paul, face à Laura, il la drague finement avec de nombreux sous-entendus, ils semblent être seuls au monde. Laura est sous le charme de cet homme, bien décidé à faire d'elle son amante. Éléonore regarde intensément Marc, il est assis si près d'elle, que sans se soucier des réactions des autres personnes, elle pose carrément sa main sur l'entre-jambe de Marc et presse fortement la verge encore endormie. Marc grimace, mais ne repousse pas l'agresseuse. Les yeux d'Éléonore luisent, ils pétillent comme du champagne.
Elle lui souffle doucement :
-Entre nous, plus de vous, mais tu, et oublies que je suis la femme de ton patron !
La femme distinguée pétrit la verge de Marc en ne le quittant pas des yeux. Elle épie chacune de ses réactions en souriant. D'un geste habile, elle réussit à ouvrir la braguette et à extirper de son pantalon la queue. Avec art, elle étale les couilles bien en évidence sur le bas-ventre, La coquine veut voir l'attribut du mâle entièrement.
Le membre commence déjà, plus dur. Éléonore commence un branlage vigoureux en se pinçant les lèvres. De son côté, Paul ne reste pas inactif, il a sa main sous la jupe de Laura et lui caresse le bas-ventre, les soupirs qu'elle pousse sont bruyants, elle n'ose regarder vers son mari tellement elle a honte. Elle ignore que lui aussi est entre de bonnes mains.
Les caresses de Paul sur la vulve cachée sous le fin tissu de la culotte, suinte abondamment. Pour ne pas geindre, Laura serre les dents. Elle se cabre légèrement sur son siège en grimaçant, ses yeux sont embués, elle est au bord de la jouissance. Mais Paul ne veut pas qu'elle jouisse. Il retire sa main de l'entre-jambe, il la regarde droit dans les yeux et lui dit avec une voix douce :
-Non pas encore ma chérie, nous avons tout notre temps !
Il attend un petit moment que la tension retombe dans le corps de Laura avant de replacer sa main sur la vulve trempée et de recommencer à la caresser. Malgré la culotte, la caresse est très efficace, Laura s'agite en serrant fortement les dents. Mais à chaque fois que Laura est sur le point de jouir, le vicieux homme cesse de caresser la vulve en ébullition. Laura respire rapidement, ses mains tremblent.
Eléonore branle la verge de Marc en employant la même méthode que son mari. Elle ralentit terriblement, et cesse lorsque Marc est au bord de l'éjaculation. Elle ré-accélère lorsque qu'il devient plus calme. Pour Marc, c'est un calvaire, il dit à plusieurs fois ;
-Fais-moi, jouir, fais-moi jouir, je suis à bout !
Eléonore sourit et donne un forte tape sur la verge tendue, en disant :
-Non pas encore, allons diner avant, mais ne range pas ta bite mon étalon, j'en ai encore besoin. Comme un automate, Marc accompagné d'Eléonore se dirige vers la salle à manger. Sa bite est dressée comme un mât de cocagne. La femme d'âge mûre regarde de temps en temps en souriant le gourdin de chair qui ne débande pas. Elle le fait asseoir juste à côté d'elle.
Enfin, son mari et Laura font leur apparition. Paul regarde Laura qui le précède, il est en admiration devant le fessier qui balance comme un métronome. Laura semble ailleurs, ses yeux sont brumeux. Elle prend place à table, Paul se met à côté d'elle. Il lui pose la main sur la cuisse et lui remonte doucement la jupe. Il lui découvre le bas-ventre, constate que la culotte est trempée. L'employée vient servir l'entrée, sans se soucier de sa présence, il plaque sa main sur la partie humide de l'entre-jambe de Laura, et presse doucement les grandes lèvres, sous ses doigts, il sent le clito gonflé, il appuie dessus. Laura se cabre en poussant un soupir profond.
La boule de chair protégée que par la culotte est une proie facile pour Paul. Avec douceur, il la branle. Mais comme à chaque fois, il cesse lorsque Laura est sur le point d'exploser. Il retire sa main et invite Laura à manger. De l'autre côté de la table, Eléonore saisit le membre gonflé et l'agite férocement. Sa main habile décalotte à chaque descente de son poignet le gland large comme un cèpe. Le méat laisse échapper quelques perles de rosées. Marc grimace, Eléonore lâche le manche, qui se met à être pris de soubresauts.
Entre chaque plat, comme un rituel, les hôtes branlent leurs invités, mais sans le faire jouir, c'est atroce pour Laura, sa chatte est hyper gonflée, et la queue de Marc et douloureuse. Après le dessert. Eléonore reprend la chose en main, elle branle rageusement la verge gonflée, à chaque descente de son poignet, sa main frappe violemment les couilles de Marc, qui ne peut retenir ses gémissements. Soudain un formidable giclée, le fait cabrer, sa jouissance est terrible. Eléonore continue de branler la bite qui rejette encore son jus. Elle lui dit en souriant largement :
-Oui, oui, c'est bien, donne tout mon chéri, vide bien tes couilles !
Le pantalon de Marc et la main de la branleuse, sont englués de sperme odorant. Le branlage devient très, très lent, pour enfin cesser. Eléonore presse la hampe épaisse pour bien la vider de sa semence. Elle se lève, et prend Marc par ma main. Pour l'entrainer au salon. Mais en se levant à son tour, Marc ne peut cacher sa queue gluante et son pantalon taché, à sa femme et à Paul qui écarquillent les yeux en regardant le manche et les doigts d'Eléonore.
Laura ravale sa salive, elle vient de comprendre que son mari à subit une masturbation digne de ce nom de la part d'ELéonore. Elle les regarde s'éloigner. Paul, en souriant, lui dit, en lui donnant un baiser à la commissure de ses lèvres :
- À toi ma chérie, montre que toi aussi, tu peux jouir très, très fort !
Paul reprend en main le clito hyper gonflé, et au travers de la culotte le branle énergiquement. Sa technique est terrible, tout en branlant la boule de chair, il la presse fortement à intervalles réguliers. Laura gémit comme une bête, plus elle approche de la jouissance plus c'est violent. Elle se cambre comme un pont en poussant un long râle.
Une puissante giclée, vient frapper la culotte en la noyant davantage, son jus abondant lui coule le long des cuisses. Paul augmente le branlage, une seconde giclée fait hurler Laura de jouissance. Paul, enfin, cesse de branler le clito, mais il l'écrase fortement. Ce qui provoque une nouvelle giclée de jouissance. Laura tremble de tous ses membres, elle respire rapidement, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Jamais elle n'avait joui aussi fort.
Paul l'aide à se lever, péniblement Laura suit Paul. Ils arrivent à leur tour au salon. Ce qu'ils voient fait sourire Paul, mais pour ce qui est de Laura, elle se pince les lèvres. Eléonore à en bouche la bite de Marc, la coquine lui fait une fellation dont il s'en souviendra toute sa vie. Les yeux vitreux de Marc se posent sur sa femme, il lui dit :
-Ma chérie, elle est divine cette femme, c'est un monstre de plaisir, oh comme elle suce !
Laura déglutie bruyant. Paul la fait tomber sans brusquerie sur le canapé. Il lui passe ses mains sous la jupe et délicatement retire la culotte trempée. Avec douceur, il lui retrousse la jupe sur la taille et délicatement lui ouvre les cuisses. Il regarde un bon moment la vulve suintante, avant d'y enfoncer doucement deux doigts. Laura se cabre en poussant un gémissement. Les visiteurs s'enfoncent profondément dans son intimité et se mettent en mouvement. Les doigts agiles tournent, voyagent sans un seul répit dans la fournaise chauffée jusqu'à ébullition. Un troisiéme doigts est necessaire pour faire geindre encore plus fort Laura. Paul est si méticuleux que son travail porte ses fruits. Laura pousse un cri en se cabrant de jouissance. Elle regarde son bienfaiteur en haletant fortement.
Eléonore, elle, s'active sur la verge de Marc qui est au bord de la syncope. Elle est si douée, que Marc défaille à chaque succion sur son gland. Malgré son âge, Eléonore est, jusqu'à présent une amante parfaite. Elle suce en triturant les couilles velues de Marc, qui ne cesse de grogner de plaisir. Une ultime aspiration le fait cabre, il envoie sans prévenir sa semence dans la bouche de son hôte, elle si dévouée pour le faire jouir. Eléonore ne peut qu'avaler le sperme. C'est d'ailleurs dans ce but qu'elle a sucé si avidement la bite de Marc, elle raffole de ce breuvage. Pour parfaire sa fellation, elle donne quelques coups de langue sur la verge et le gland pour les nettoyer du surplus de semence.
-Eh bien ma chérie, on peut dire que tu es vraiment tendue, tu crains quoi !
Elle pince les lèvres et répond :
-Paul m'attire comme un aimant, il me fascine, j'ai peur de craquer mon chéri !
Marc l'embrasse tendrement et dit :
-Je t'avoue qu'Éléonore me plaît, il faut laisser parler nos sens, et prendre le plaisir là où il est !
Laura est dubitative, elle regarde son mari et lui dit :
-Si je te trompe, tu es prêt à l'accepter !
Marc réplique :
-Je sais que depuis un moment, je ne suis plus à la hauteur pour te faire l'amour, eh bien oui, je le souhaite même, que tu t'éclates avec Paul ou un autre, je te dois bien cela m'a chérie !
Ce sont les larmes plein les yeux que Laura, embrasse Marc comme jamais. Une fois au lit, comme par miracle, Marc réussi à lui fait l'amour comme au premier jour. Enfin le jour tant appréhendé arrive. Laura et Marc sont reçus comme des dieux, les embrassades durent un bon moment, les poignées de mains sont interminables.
Ils passent au salon pour l'apéro, les verres vides sont immédiatement remplis pas Paul. Les langues se délient, Paul se rapproche de Laura. Marc, en regardant de base en haut, Éléonore lui dit en se penchant vers elle :
-Cela doit bien tirer une grande cheminée comme ça !
Sans se démonter, Éléonore répond, sans quitter les yeux son interlocuteur :
-Il suffirait peut-être de mettre votre buche pour le constater mon ami !
Les deux se regardent longuement sans se dire un mot, la réponse de la femme, est sans ambiguïté. Pendant que Paul, face à Laura, il la drague finement avec de nombreux sous-entendus, ils semblent être seuls au monde. Laura est sous le charme de cet homme, bien décidé à faire d'elle son amante. Éléonore regarde intensément Marc, il est assis si près d'elle, que sans se soucier des réactions des autres personnes, elle pose carrément sa main sur l'entre-jambe de Marc et presse fortement la verge encore endormie. Marc grimace, mais ne repousse pas l'agresseuse. Les yeux d'Éléonore luisent, ils pétillent comme du champagne.
Elle lui souffle doucement :
-Entre nous, plus de vous, mais tu, et oublies que je suis la femme de ton patron !
La femme distinguée pétrit la verge de Marc en ne le quittant pas des yeux. Elle épie chacune de ses réactions en souriant. D'un geste habile, elle réussit à ouvrir la braguette et à extirper de son pantalon la queue. Avec art, elle étale les couilles bien en évidence sur le bas-ventre, La coquine veut voir l'attribut du mâle entièrement.
Le membre commence déjà, plus dur. Éléonore commence un branlage vigoureux en se pinçant les lèvres. De son côté, Paul ne reste pas inactif, il a sa main sous la jupe de Laura et lui caresse le bas-ventre, les soupirs qu'elle pousse sont bruyants, elle n'ose regarder vers son mari tellement elle a honte. Elle ignore que lui aussi est entre de bonnes mains.
Les caresses de Paul sur la vulve cachée sous le fin tissu de la culotte, suinte abondamment. Pour ne pas geindre, Laura serre les dents. Elle se cabre légèrement sur son siège en grimaçant, ses yeux sont embués, elle est au bord de la jouissance. Mais Paul ne veut pas qu'elle jouisse. Il retire sa main de l'entre-jambe, il la regarde droit dans les yeux et lui dit avec une voix douce :
-Non pas encore ma chérie, nous avons tout notre temps !
Il attend un petit moment que la tension retombe dans le corps de Laura avant de replacer sa main sur la vulve trempée et de recommencer à la caresser. Malgré la culotte, la caresse est très efficace, Laura s'agite en serrant fortement les dents. Mais à chaque fois que Laura est sur le point de jouir, le vicieux homme cesse de caresser la vulve en ébullition. Laura respire rapidement, ses mains tremblent.
Eléonore branle la verge de Marc en employant la même méthode que son mari. Elle ralentit terriblement, et cesse lorsque Marc est au bord de l'éjaculation. Elle ré-accélère lorsque qu'il devient plus calme. Pour Marc, c'est un calvaire, il dit à plusieurs fois ;
-Fais-moi, jouir, fais-moi jouir, je suis à bout !
Eléonore sourit et donne un forte tape sur la verge tendue, en disant :
-Non pas encore, allons diner avant, mais ne range pas ta bite mon étalon, j'en ai encore besoin. Comme un automate, Marc accompagné d'Eléonore se dirige vers la salle à manger. Sa bite est dressée comme un mât de cocagne. La femme d'âge mûre regarde de temps en temps en souriant le gourdin de chair qui ne débande pas. Elle le fait asseoir juste à côté d'elle.
Enfin, son mari et Laura font leur apparition. Paul regarde Laura qui le précède, il est en admiration devant le fessier qui balance comme un métronome. Laura semble ailleurs, ses yeux sont brumeux. Elle prend place à table, Paul se met à côté d'elle. Il lui pose la main sur la cuisse et lui remonte doucement la jupe. Il lui découvre le bas-ventre, constate que la culotte est trempée. L'employée vient servir l'entrée, sans se soucier de sa présence, il plaque sa main sur la partie humide de l'entre-jambe de Laura, et presse doucement les grandes lèvres, sous ses doigts, il sent le clito gonflé, il appuie dessus. Laura se cabre en poussant un soupir profond.
La boule de chair protégée que par la culotte est une proie facile pour Paul. Avec douceur, il la branle. Mais comme à chaque fois, il cesse lorsque Laura est sur le point d'exploser. Il retire sa main et invite Laura à manger. De l'autre côté de la table, Eléonore saisit le membre gonflé et l'agite férocement. Sa main habile décalotte à chaque descente de son poignet le gland large comme un cèpe. Le méat laisse échapper quelques perles de rosées. Marc grimace, Eléonore lâche le manche, qui se met à être pris de soubresauts.
Entre chaque plat, comme un rituel, les hôtes branlent leurs invités, mais sans le faire jouir, c'est atroce pour Laura, sa chatte est hyper gonflée, et la queue de Marc et douloureuse. Après le dessert. Eléonore reprend la chose en main, elle branle rageusement la verge gonflée, à chaque descente de son poignet, sa main frappe violemment les couilles de Marc, qui ne peut retenir ses gémissements. Soudain un formidable giclée, le fait cabrer, sa jouissance est terrible. Eléonore continue de branler la bite qui rejette encore son jus. Elle lui dit en souriant largement :
-Oui, oui, c'est bien, donne tout mon chéri, vide bien tes couilles !
Le pantalon de Marc et la main de la branleuse, sont englués de sperme odorant. Le branlage devient très, très lent, pour enfin cesser. Eléonore presse la hampe épaisse pour bien la vider de sa semence. Elle se lève, et prend Marc par ma main. Pour l'entrainer au salon. Mais en se levant à son tour, Marc ne peut cacher sa queue gluante et son pantalon taché, à sa femme et à Paul qui écarquillent les yeux en regardant le manche et les doigts d'Eléonore.
Laura ravale sa salive, elle vient de comprendre que son mari à subit une masturbation digne de ce nom de la part d'ELéonore. Elle les regarde s'éloigner. Paul, en souriant, lui dit, en lui donnant un baiser à la commissure de ses lèvres :
- À toi ma chérie, montre que toi aussi, tu peux jouir très, très fort !
Paul reprend en main le clito hyper gonflé, et au travers de la culotte le branle énergiquement. Sa technique est terrible, tout en branlant la boule de chair, il la presse fortement à intervalles réguliers. Laura gémit comme une bête, plus elle approche de la jouissance plus c'est violent. Elle se cambre comme un pont en poussant un long râle.
Une puissante giclée, vient frapper la culotte en la noyant davantage, son jus abondant lui coule le long des cuisses. Paul augmente le branlage, une seconde giclée fait hurler Laura de jouissance. Paul, enfin, cesse de branler le clito, mais il l'écrase fortement. Ce qui provoque une nouvelle giclée de jouissance. Laura tremble de tous ses membres, elle respire rapidement, son cœur bat à se rompre dans sa poitrine. Jamais elle n'avait joui aussi fort.
Paul l'aide à se lever, péniblement Laura suit Paul. Ils arrivent à leur tour au salon. Ce qu'ils voient fait sourire Paul, mais pour ce qui est de Laura, elle se pince les lèvres. Eléonore à en bouche la bite de Marc, la coquine lui fait une fellation dont il s'en souviendra toute sa vie. Les yeux vitreux de Marc se posent sur sa femme, il lui dit :
-Ma chérie, elle est divine cette femme, c'est un monstre de plaisir, oh comme elle suce !
Laura déglutie bruyant. Paul la fait tomber sans brusquerie sur le canapé. Il lui passe ses mains sous la jupe et délicatement retire la culotte trempée. Avec douceur, il lui retrousse la jupe sur la taille et délicatement lui ouvre les cuisses. Il regarde un bon moment la vulve suintante, avant d'y enfoncer doucement deux doigts. Laura se cabre en poussant un gémissement. Les visiteurs s'enfoncent profondément dans son intimité et se mettent en mouvement. Les doigts agiles tournent, voyagent sans un seul répit dans la fournaise chauffée jusqu'à ébullition. Un troisiéme doigts est necessaire pour faire geindre encore plus fort Laura. Paul est si méticuleux que son travail porte ses fruits. Laura pousse un cri en se cabrant de jouissance. Elle regarde son bienfaiteur en haletant fortement.
Eléonore, elle, s'active sur la verge de Marc qui est au bord de la syncope. Elle est si douée, que Marc défaille à chaque succion sur son gland. Malgré son âge, Eléonore est, jusqu'à présent une amante parfaite. Elle suce en triturant les couilles velues de Marc, qui ne cesse de grogner de plaisir. Une ultime aspiration le fait cabre, il envoie sans prévenir sa semence dans la bouche de son hôte, elle si dévouée pour le faire jouir. Eléonore ne peut qu'avaler le sperme. C'est d'ailleurs dans ce but qu'elle a sucé si avidement la bite de Marc, elle raffole de ce breuvage. Pour parfaire sa fellation, elle donne quelques coups de langue sur la verge et le gland pour les nettoyer du surplus de semence.
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Ouah que du bonheur
Giselle
Giselle