Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 7. Orgie d’une famille recomposée. - histoire érotique

Mes frères, ma belle-mère et son neveu. 7
Orgie d’une famille recomposée.
Nos langues se cherchent, nos lèvres se collent. Il est au paroxysme du plaisir entre nous deux. Je viens m’agenouiller à côté de sa tante qui généreuse, me prête pour quelques instants ce bâton brûlant de désir. Maintenant c'est lui qui passe de l'une à l'autre, prenant notre tête entre ses mains et se servant de notre bouche comme d’un sexe offert. Il donne des coups de plus en plus amples nous forçant à accepter de bon gré ou non son manche le plus loin que nous pouvons dans notre bouche.

Suite :
A ce petit jeu-là, il arrive au bout de quelques minutes à un point de non-retour et nous repousse pour se branler vigoureusement devant nous.
- Espèce de salopes ! Oohh vous voulez me faire jouir, et bien c'est réussi, faites comme vous voulez mais je ne veux pas qu'une seule goutte ne se perde !

Nous savons toutes les deux à quoi nous attendre et ouvrons notre bouche au maximum pour recevoir la divine liqueur. Il n'y a pas de jalouses car il dirige sa lance de l'une à l'autre relâchant la pression de sa main à la base de son chibre à chaque fois qu'il est en face de la cible. Bien que nous soyons deux, nous recevons chacune une dose de sperme importante qu’enviraient la plupart des hommes.
Une fois qu'il s'est bien vidé les burnes, nous fermons la bouche et déglutissons puis nous lui montrons que nous avons bien tout avalé puis nous nous tournons l'une vers l'autre pour lécher les quelques gouttes qui ont manqué leur objectif.
Je glisse quelques mots à l'oreille de Jeanne qui opine. Nous nous déshabillons mutuellement et comme deux gouines, nous nous caressons, nous embrassons avant de se mettre tête-bêche pour goûter chacune au suc de l’autre que notre petite séance avec Jules a fait couler abondamment. Je ne sais pas pour Jeanne mais pour moi ce n'est pas une pratique habituelle mais je dois dire que donner du plaisir à une autre femme sous le regard d'un homme est jouissif.
On a presque oublié la présence de Jules mais quand enfin je le regarde, ce petit vicelard rebande déjà comme un taureau. Il faut dire que le spectacle que nous lui offrons y est pour quelque chose. Je réponds aux caresses linguales de Jeanne en lui rendant la pareille. Mon petit bouton est prisonnier entre ses lèvres habiles et le sien entre les miennes. Je suis étendue sur le dos avec une vue imprenable sur deux grandes lèvres charnues quand soudain une ombre s'approche. Jules s'est glissé entre les cuisses de sa tante le sabre au clair. Je saisis d'une main le chibre imposant et le guide dans la matrice. Je suis à la meilleure place pour voir disparaître centimètre après centimètre la trique formidable de Jules dans l'antre accueillante de Jeanne. Il ne bouge plus, comme embourbé dans ce cloaque jusqu'aux couilles, j'arrive en soulevant la tête à gober l’une d’entre elles. Il patiente quelques instants puis commence à donner des coups de reins, d'abord de quelques centimètres et puis de plus en plus amples. J’essaie dans la mesure du possible de donner des coups de langue sur la hampe magnifique de ce garçon. Pour me récompenser de temps en temps il se retire complètement de la chatte de sa « mère adoptive » pour que je puisse téter son gland enduit de la cyprine de Jeanne.
Je suis déçue car il vient de se relever et je reprends le gamahuchage de la vulve bombée quand je sens mes cuisses se soulever et reposer sur celle de Jules. Jeanne me rend la pareille en guidant le missile de Jules dans mon vagin. A chaque fois et malgré une bonne expérience avec lui, je suis toujours agréablement surprise et comblée en acceptant en moi sa poutre formidable. Dans cette position j'ai le dos très cambré et apprécie chaque centimètre de cette verge hors norme.
Il s'amuse ainsi quelques moments avant de nous demander de nous mettre dans une autre position. Jeanne est sur les genoux et les coudes, la tête reposant sur un coussin et moi je suis sur elle mes seins comprimés sur son dos, les pieds et les mains touchant à peine le sol. Jules s’est positionné derrière nous et nous subissons à tour de rôle ses pénétrations. Mais le petit salaud en profite pour s'égarer dans les deux autres trous offerts. Comme le temps de récupération a été assez court depuis sa première éjaculation, le bougre nous travaille pendant un temps infini. Notre position n'est pas des plus reposantes et lui faisons savoir. Il nous fait alors relever et me dit de me pencher les deux mains appuyées sur le mur. Il se positionne alors derrière moi et me prends avec vigueur puis passe ses bras sous mes cuisses et vient pauser ses deux mains derrière ma nuque. La position est loin d'être agréable mais elle devient presque insupportable quand il me décolle du mur. Mes seuls points d'appui sont mes jambes contre ses cuisses, ses mains derrière ma tête et sa queue qui s'active dans ma chatte. La position est tellement acrobatique qu'il ne peut la tenir que quelques minutes à mon plus grand soulagement. Je ne l'aurais pas cru capable d'utiliser une telle position. Et comment la connaît-il d'ailleurs ?
Il ne peut pas la reproduire avec Jeanne car elle est beaucoup plus lourde que moi. Je ne sais pas si Jules s’abreuve de films pornos pour parfaire son éducation sexuelle très limitée, mais le petit garçon ignorant veut maintenant tester ce qu'il a vu mélangeant dans sa tête les scènes très hard avec la réalité. Jeanne et moi sommes les deux en position de levrette, elle a serré entre ses dents un godemichet vibrant qu’elle introduit dans ma chatte qui a du mal à le supporter tellement l’excitation est folle avec sa vibration. Pendant ce temps, Jules ne reste pas inactif derrière elle qu'il prend si violemment qu’à chaque fois qu'il s'enfonce en elle jusqu'à la garde, le corps de Jeanne est projeté en avant et CQFD, le gode rentre au plus profond de moi. Je ne compte plus le nombre de fois que cet instrument déclenche en moi un plaisir presque insoutenable.
-Donne-moi le gode Rose ! M’ordonne-t-il.

Obéissante, j’obtempère et peux enfin récupérer de cette jouissance sans fin. Jules s'est retiré complètement de la chatte de sa tante pour y plonger l'objet vibrant. Il la travaille un moment avec l'instrument la faisant elle aussi vibrer sous l'appareil en fonctionnement. Mais pour lui ce n'est pas encore suffisant et son gland puissant vient peser sur la fente déjà occupée. Jeanne regimbe un peu pour le principe mais ne peut s’opposer à ce qui l’attend. D'une poussée monstrueuse, Jules boute les chairs et introduit son braquemard dans la chatte hyper dilatée par les deux intrus. Les vibrations du gode qui frotte sur la verge de Jules doivent lui être pratiquement insupportables et il s'active comme un damné dans le conduit extrêmement dilaté comme si la rapidité de ses coups de reins pouvait diminuer les sensations que transmet l’instrument vibrant. Mais il ne peut plus résister et je vois ses boules remonter dans leur sac pour se coller de chaque côté de la hampe massive, annonciatrices de son éjaculation imminente.
Dans un grognement de bête fauve, il se retire de son propre piège et son chibre comme doté d'une vie propre monte est baisse sur les fesses de Jeanne. Quand la contraction fait remonter la bête à son apogée, des jets de foutre d'une extrême violence s'envolent dans les airs avant de retomber. Les premiers sont si violents qu’ils crépissent d'une semence surabondante le corps de Jeanne du creux des reins jusque dans ses cheveux et même au-delà. J'aurais dû prévoir une serpillière pour nettoyer le sol après un tel exploit. Bien que maintenant avec son traitement, le flot ininterrompu est beaucoup moins important que lors de notre première expérience, la dose reste cependant monstrueuse. Je subodore que la vibration du gode y est pour quelque chose.
Après un tel exploit, la bête est fatiguée et vient se réfugier lentement en se décongestionnant sur les sacs à semence largement vidées. Je dois aider Jeanne à se relever après lui avoir retiré l'organe de torture de son sexe et je l'accompagne sous la douche pour la nettoyer de l'énorme couche de crème qui zèbre son dos et goutte sur le sol, laissant une trace très facilement reconnaissable sur le carrelage.

Plus tard, j’ai une discussion avec mes frères :
-Nous avons dévergondé Jeanne puis son neveu. Il faut se méfier de l’eau qui dort. Le petit ruisseau de montagne s’est transformé comme les pluies Cévenoles en énorme torrent indomptable et même les gorges profondes de jeanne ne peuvent endiguer un tel débit.
-Tu a raison sœurette, approuve Paul, heureusement que nous sommes là pour lui dégorger le poireau avant la catastrophe.
-Ça tu peux le dire, surenchérit Stan, mais je terme est inexact, je parlerais plutôt de concombre…

Nous nous regardons et éclatons de rire. Nous sommes trois petits vicieux et je dois dire que ce défi nous convient à tous les trois. Il faudra longtemps avant que nous nous lassions de toutes les possibilités que nous offrent Jules et sa tante…

Fin.