MES JEUNES VOISINS

- Par l'auteur HDS Tamalou -
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : MES JEUNES VOISINS Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MES JEUNES VOISINS
Mes jeunes voisins ont emménagé derrière chez moi il y a 3 ans, au début de l’automne. Ce n’est pas exactement derrière chez moi, c’est la maison en diagonale par rapport à la mienne. Dans notre lotissement, entre deux rues parallèles, les maisons vont par paire, rangées en rang d’oignons. Leur maison est derrière celle de mon voisin.

Depuis un moment, j’avais envie de raconter cette histoire. C’est en voyant la camionnette bleue garée devant chez eux, ce week-end, que je me suis décidée. Enfin, bon, ce n’est pas vraiment une camionnette, mais un gros S.U.V, que les jeunes appellent un truck, un gros machin, haut sur pattes, avec une cabine et une benne. C’est le véhicule à la mode quand on veut se faire remarquer.

Un jeune couple, entre 20 et 30 ans, a emménagé au début de l’automne. Au début, beaucoup d’activité dans le jardin. La pelouse, les haies, tout devait être impeccable. Je travaillais encore à cette époque, je n’ai pris ma retraite qu’au printemps suivant. Et le week-end, installée sur ma terrasse, avec mon chien qui gambadait autour de moi, j'appréciais la vue du jeune corps tonique qui se trémoussait en travaillant au jardin.

Un petit cul musclé, serré dans un mini-short étroit, un débardeur sans manche et profondément décolleté, avec ses seins libres de toute entrave, qui se balançaient en cadence. De mon temps, les jeunes femmes ne s’exposaient pas ainsi. Est-ce que c’était mieux avant ? Pas sûr …
Les saisons passent, l’hiver je ne les ais pas vu souvent. Au printemps, je remarque que la jeune femme est enceinte de plusieurs mois. Sa fille est née à l'automne, la mère et la fille se portent bien. Premier né dans les deux familles, et c’est le défilé des grands-parents. Souvent, un couple de grands-parents emmène le bébé pour le week-end.

Avec les beaux jours, les tenues légères sont de retour. Maintenant que je suis à la retraite, le spectacle de son cul rond et de ses seins gonflés qui s’agitent, meublent ma solitude. 10 ans déjà que mon mari a été emporté par un mal incurable.

Pendant l'été, mes jeunes voisins accueillent 4 à 6 couples d’amis le week-end. Tous dans la même tranche d’âge, presque la trentaine. Tous blancs, seul un couple est métissé, le gars est noir, la fille est blanche. Tous semblent être amis de longue date. Barbecue, salade et bière sont leur régime de base. Jeux variés, rigolade, ils chahutent et le brasero reste allumé tard dans la nuit.

Je ne fais pas très attention à eux, ils ne me dérangent pas, je ne les embête pas. Un week-end, pendant la canicule, il fait étouffant et moite. Le barbecue du soir commence. Ils ont chahuté tout l’après-midi, il a fait soif, ils ont vidé quelques bières. Les femmes ont des tenues légères.

Ma jeune voisine a son cul rebondi serré dans un mini-short en éponge, orange. Flashy. En haut, un débardeur rose et largement échancré. Jamais, à son âge, je me serais exposée ainsi.

Dans la soirée, à la tombée du jour, j'ai fait sortir mon chien pour qu’il s'occupe de ses affaires. En l’attendant, je me promène le long de la haie. Le jeune black est allongé sur une chaise longue, ma jeune voisine est blottie entre ses jambes écartées.

Mais oui, je n’ai pas la berlue, ce n’est pas sa femme qui est blottie entre ses jambes, mais ma jeune voisine. D’autres couples, sur d’autres transats, sont occupés à se caresser, mais je ne les connais pas assez pour savoir si ce sont les couples légitimes ou pas.

Plus tard, je sors une dernière fois mon chien avant d'aller me coucher. À ce moment, le feu n’est plus qu’un tas de braises, et j’ai du mal à distinguer les gens blottis dans l'ombre.

Soudain, une lumière en provenance de la maison, éclaire brièvement la scène. Ma jeune voisine est allongée sur le transat, enlacée au jeune black, la tête rejetée en arrière, elle lui offre sa bouche.

Le short et la culotte poussés vers le bas, son cul blanc s’agite et ondule légèrement, car le black a sa main entre ses cuisses, et ses doigts probablement occupés à la sonder.

J'ai regardé pendant un instant, personne ne parlait, alors j'ai ramené mon chien à l'intérieur. Je n’ai pas de fenêtre de ce côté, juste une petite ouverture dans la salle de bain, et elle est haut perchée. Je n'ai pas pu résister. J’ai grimpé sur un tabouret et je me suis installée à mon poste d’observation.

Par chance, quelques minutes plus tard, un trait de lumière m’a permis de voir ma jeune voisine, à quatre pattes sur le transat, le visage enfoui dans un coussin, le short et la culotte enroulés autour de sa cheville. Le grand black la chevauchait en levrette, les mains solidement accrochées à ses hanches.

Je les ai regardé attentivement pendant que la lumière était allumée. Ensuite, mes yeux se sont habitués à l'obscurité, je savais où regarder, et avec le peu de lumière de la lune et des réverbères, j'ai pu "voir" le black continuer son assaut.

Quelques minutes passèrent et le jeune black commença à pilonner plus durement le cul de la jeune dame. Je pouvais entendre distinctement claquer les chairs, et les plaintes de la jeune femme. Je l’ai vue tendre sa main derrière elle, tenter de le repousser, comme pour lui dire «vas-y moins fort», mais il lui a tordu le bras dans le dos pour la baiser encore plus fort.

Les cris de la jeune femme ont grimpé dans les aigus, mais il lui a claqué les fesses à plusieurs reprises, afin qu’elle soit plus discrète. Le rythme n’a pas baissé, jusqu’à un grognement du mâle, et les gémissements étouffés de la femelle.

Je suppose qu'il a jouit en elle car je ne l’ai pas vu se retirer. Je me suis couchée.

Le lendemain matin, j’ai croisé ce jeune homme noir très séduisant à la boulangerie. J’avais une tenue d’été, jupe et débardeur sans manche, et sans soutien-gorge. En le voyant, mes tétons se sont érigés instantanément. Ses yeux ont parcourus mon corps, s’attardant sur mes nichons parfaitement visibles. J’étais horriblement gênée, surtout par son sourire carnassier et son regard lourd de sous-entendus.

Pendant le reste de l'été, j'ai prêté une attention particulière aux visites que recevait ma jeune voisine. Lorsque la voiture verte de son mari n’était pas là, elle recevait des hommes. Parfois seuls, parfois en groupe, 2 ou 3 jeunes hommes.

Même lorsqu’ils venaient en couple, le week-end, ils se mélangeaient joyeusement.
Il est devenu évident pour moi que ces jeunes couples étaient des partenaires en cheville à chacun de ces "barbecues". Quelquefois, rarement, en l’absence de la voiture verte, ces messieurs restaient la nuit.

Pour une vieille femme comme moi, j’ai passé un bel été.

Un soir, à l’automne, ma jeune voisine est venue toquer à ma porte. Elle attendait un colis, le lendemain, un truc lourd et encombrant. Le livreur ne pouvait pas attendre qu’elle soit présente. Elle avait peur de se le faire voler.

«Puisque vous êtes à la retraite, si vous êtes disponible, en début d’après-midi, et je passerai le prendre en soirée.»
Nous avons bavardé aimablement pendant un moment, elle était charmante, jamais je n’aurais pu me douter, en la voyant si distinguée, que c’était une salope qui s’offrait à tous les hommes.

Le gars est venu en début d’après-midi, comme convenu. Un grand black séduisant dans une camionnette bleue.
Jamais je n’aurais pu me douter. Je n’avais fait aucun effort de toilette. Tenue décontractée, short et T-shirt.

En le voyant, mes tétons se sont dressés instantanément, essayant de traverser le fin tissu. Ses yeux étaient sur moi, il me déshabillait du regard. J’ai rougi. J’ai baissé mon regard, pucelle effarouchée. Il a déposé le colis dans le garage.

J’étais horriblement mal à l’aise devant ce beau jeune homme si séduisant. Pour rompre l’enchantement, je lui ai demandé s’il désirait boire quelque chose. Un verre d’eau serait le bien venu, paraît-il. Il m’a suivie dans ma cuisine.

Quand je lui ai tendu le verre, sa main a effleuré la mienne, nos yeux se sont croisés, un peu trop longtemps avant qu'il ne saisisse le verre.

J’ai reculé devant son regard de prédateur, jusqu’à heurter le canapé avec mes fesses, ses yeux examinaient mon corps, détaillant, soupesant, estimant. Satisfait par cette rapide inspection, son sourire de jeune loup illumina son visage.

Depuis des années, et la disparition brutale de mon mari, j’étais en jachère. Il se tenait maintenant entre moi et la porte. Ses yeux me parcouraient : «Vous êtres très belle» Il s'approchait de moi, je n’avais nulle part où fuir.

Il déposa son verre sur la commode, son regard de jeune loup, ses mains sur mon corps. Je frissonnais, la crainte, le désir, l’attente. Ses mains enveloppaient mes seins. Je n’ai pas essayé de protester. Je ne me suis pas débattue. Je ne l’ai pas repoussé en hurlant :  «ça suffit» 
Je restais figée, tremblante de désir. J’étais sa proie, prête à succomber à son assaut, tandis qu'il m’ôtait mon T-shirt pour dénuder mes seins. «Ils sont gentils» sourit-il. Il les palpe, les soupèse, pince les tétons. Docile, je me laisse tripoter.

Quand il m'a embrassée, j'ai rendu son baiser, bouche ouverte. Mon short baissé sur mes chevilles, je l’ai enjambé. Je suis entièrement nue devant lui, il est habillé, très classe dans son beau costume.

Embrassée, caressée, ses doigts dans ma chatte, totale soumission, les mains noires ont exploré mon corps jusqu'à ce qu’il me fasse pivoter et basculer par-dessus le dossier du canapé. Les mains en appui sur l’assise, le cul soulevé, j’entendis le zip de sa braguette et le contact de sa verge dans les plis de ma chatte.

Je l’ai senti presser mes seins par derrière. Mes tétons étaient durs comme de la pierre et il a commencé à les pincer, me faisant haleter. Il a passé sa main sur ma chatte et j'ai entendu un son humide lorsqu'il poussa un doigt en moi. 
J’ai senti le contact de sa bite contre mon ouverture. C’était gros, très gros, trop gros. Il a frotté sa bite contre les lèvres de ma chatte plusieurs fois puis s'est glissé directement en moi. Le gland m’a pénétrée. J’ai l’impression d’un accouchement à l’envers. Étirée, distendue, envahie, je gémissais en haletant.

Malgré mon humidité, sa bite était énorme et serrée dans ma chatte alors qu'il commençait à me besogner, doucement, progressivement, il s’est enfoncé dans ma chatte avec précaution, conscient du volume de son engin de reproduction.

Il m’a traitée comme une chose fragile jusqu’à ce qu’il soit parvenu au fond de mon vagin. Ensuite, il a pris un rythme régulier, confortable. Je m’attendais à ce que ça dure longtemps, je profitais parce que je n’ai jamais rien connu de semblable, jusqu’à ce qu’un orgasme aussi inattendu que fougueux me fasse crier ma joie. J’ai faillis m'évanouir alors que son ventre cognait contre moi.

Aussitôt, j’ai reçu une claque violente sur les fesses : «ta gueule». Ah, oui, c’est vrai, j’oubliais, il n’aime pas les manifestations exubérantes.

Il m’a baisée longtemps, toujours sur le même rythme tranquille, pas d’affolement. J’ai joui plusieurs fois. Mes entrailles commençaient à être meurtries. J’ai adopté la technique de ma jeune voisine. J’ai attrapé un coussin qui traînait, et j’ai enfoui mon visage dedans.

Poliment, il m’a demandé s’il pouvait finir en moi. Troublée, pantelante, je n’ai même pas répondu. Il s’est répandu en moi, grognant, les doigts crispés sur mes hanches.

Lorsqu’il a commencé à dégonfler, il s’est retiré, et j’ai eu le sentiment d’un grand vide en moi. Il s’est essuyé en frottant sa bite contre mes fesses, puis il s’est rajusté et il est parti. Sans un mot.

Je suis restée en position, le cul en l’air, la chatte ruisselante, essayant de reprendre mon souffle et mes esprits.

Finalement, j’ai ramassé mes affaires, et je suis montée prendre un bain brûlant.

J’étais furieuse. Contre moi, contre lui, contre la terre entière. Mon comportement ? Une vieille pute, qui se laisse baiser par le premier venu. Il n’a pas eu besoin de demander, c’était clair dans mon attitude, je n’espérais que ça.

Son comportement ? J’étais juste une conquête pour lui. Baiser une femme blanche en l’humiliant, c’est comme se venger de siècles d’esclavage. Un peu. Un petit moment de plaisir.

Jamais je n’aurais dû accepter de me laisser faire ainsi. Mon mari m’avait fait la cour pendant des mois avant de pouvoir mettre sa langue dans ma bouche. Et il avait dû me passer la bague au doigt avant de me pénétrer.

J’étais honteuse. Honteuse et ravie. Jamais je n’aurais pu espérer connaître ces sensations enivrantes. Depuis des semaines, je pense à lui en train de me baiser, comme il l'a fait, mais je n’oserai jamais demander plus.
 Les jeunes d'aujourd'hui n'y pensent pas, c’est juste du sexe, mais moi je pense à lui. Je veux bien être la cerise sur le gâteau pour lui. Juste une vieille pute qu’il pourrait baiser quand il en aurait envie.

Je pourrais l’attendre patiemment, si je savais qu’il viendrait. Il vient de temps en temps visiter ma jeune voisine. Oh, combien de fois j’ai pensé à lui demander plus. 
Il m'a emmené dans des endroits où mon mari ne m'a jamais emmenée. Je me suis acheté un gros gode, noir, je m’allonge sur mon lit, jambes écartées, et je l’imagine. J’ai honte.

Oui, s’il passe ma porte, je serai à lui. Totalement, définitivement, prête à céder à toutes ses exigences.

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