Mes monstres de Cúcuta 11/12

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Mes monstres de Cúcuta 11/12 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes monstres de Cúcuta 11/12
Nous sommes rentrés dans une petite chambre meublée comme dans un film, que des choses qui ne semblaient servir à rien, que du décor.
On était nu tous les deux, les bites qui bandaient à moitié mais je me souviens de son regard lorsqu'il m'a pris dans ses bras, collant son front au mien, yeux dans les yeux.
J'attendais… il ne disait rien, me regardait et ses yeux disaient mille choses.
Je voyais un mec content, heureux.
Nos nez se touchaient et il m'a fait un bisou sur les lèvres comme un amoureux qui dit "je t'aime".
Il m'a entraîné vers le lit où nous avons basculé lentement, lui au dessus de moi, m'écrasant de tout son corps, sa queue, nos queues bandaient et étaient collées l'une à l'autre.

Il me regardait toujours et sa main est venue me caresser le visage passant son pouce sur ma joue, mes lèvres, les forçant pour que je laisse entrer son pouce que j'ai caressé avec ma langue arrondissant mes lèvres dessus et j'ai tété son pouce qu'il bougeait sur ma langue.
Il souriait ce coquin.
Il est venu me faire des bisous juste à côté de son pouce, léchant mes lèvres, les forçant encore.
-tu es beau le français! alors c'est vrai que si je te dis que je viens te voir tu pourras, toi et Louis bien sûr, vous occupez de moi ?
J'ai fait oui des yeux, prenant mes yeux les plus doux.
Il a retiré son pouce.
-je te l'ai dit Léonardo tu viens quand tu veux et tu restes le temps que tu veux. Ce sera un plaisir de te recevoir et de te faire découvrir la France.
-alors je vais venir bientôt Fabrice, je te le promets.

Je l'ai attiré à moi et nos lèvres se sont rencontrées, nos langues ont joué ensemble doucement, se savourant, les salives changeaient de bouches.
Il soupirait en m'embrassant dans le cou que je lui offrais.
-pour garder un souvenir de toi Fabrice, ici à Cúcuta je veux te déguster une dernière fois. J'adore ton corps, ta queue et ton cul que ma queue ne visitera jamais mais j'ai vu que Javier avait bien apprécié et il va faire le fanfaron maintenant en disant qu'il est le seul à t'avoir fait ça.
-et moi ? tu veux que je te fasses quoi ?
-toi? mon beau français tu peux me faire tout ce que tu veux. J'accepte tout avec toi.
-alors comme toi je veux te déguster, ton corps, ta queue et ton petit cul serré mais bien profond et te laisser un souvenir au fond si tu le désires monsieur le Chef des latinos de Cúcuta chef des Monstres.
Il rigole et l'on reparle en se faisant des bisous, des caresses, de l'article de la revue de Louis.

Et le silence se fait, quand Léonardo tourne son corps pour me sucer et me donner son monstre à déguster.
J'ai adoré encore une fois sa bouche, sa langue, ses doigts sur ma queue, mes couilles et les doigts coquins qui venaient s'enfoncer dans mon cul.
J'ai joué longuement avec son mandrin, m'étouffant à vouloir en prendre le plus en bouche, pleurant, toussant et me venger sur les couilles que je pouvais prendre en bouche, les faire rouler dans ma salive et l'entendre geindre en lâchant ma queue.

Avec ma langue j'ai été chercher son anus. Il a soulevé ses jambes pour me faciliter la tâche.
C'est un vrai coquin Léonardo, avec son mandrin il est vraiment le chef et il sait s'en servir. J'en avais encore eu la démonstration ce soir là mais quand on s'occupait de son cul, s'il voulait bien l'offrir il devenait femelle et se donnait.
On se léchait le cul tous les deux en cadence. Je sentais sa langue entrer en moi, me forer au plus profond qu'il pouvait.
J'essayais de lui en faire autant, mais ma langue n'était pas assez longue et avec l'inondation son petit cul s'ouvrait bien quand j'ai mis deux doigts il délirait en espagnol, me claquant les fesses pour finir par me demander de le baiser, juste au moment où j'avais envie de lui.

Je n'en ai pas cru mes yeux quand j'ai vu ma queue entrer en lui comme dans du beurre. Ses jambes m'avaient pris comme dans un étau, il me tenait serré contre lui.
-je voudrais t'avoir souvent comme ça le français!
Je pouvais à peine remuer, c'est lui qui faisait bouger son cul sur ma queue, il m'a retourné et s'est baisé dessus me serrant les tétons, m'embrassant à la va vite, criant, il montait et descendait sur ma queue à grands coups de reins. Puis il m'a fait revenir sur lui ses jambes bien écartées je me suis appuyé sur les cuisses et je l'ai besogné en le fixant. Le voir se mordre la lèvre, la sueur couler de son front j'accélérais mes coups de reins de plus en plus secs et profonds. J'étais bien à le baiser comme ça.

Quand je me penchais sur lui, je sentais sa queue entre nous, son gros machin qui coulait en permanence.
Plus j'allais vite et sèchement, plus il geignait, couinait comme la dernière des salopes mais ses yeux étaient pleins de reconnaissance et disaient qu'il était encore le chef!
Quand j'ai joui en lui, au plus profond que je pouvais j'ai dû décharger au moins six ou sept giclées. Je crois que c'est moi qui criait le plus fort et lui faisait l'écho me serrant contre lui et j'ai senti la chaleur envahir nos ventres. Il a joui en même temps que moi en me serrant contre lui et quand on a eu fini de crier, j'ai reçu un de ses meilleurs baisers.

Nos cœurs battaient la chamade, je sentais le sien contre ma poitrine.
On transpirait tous les deux, on s'est léché la sueur en riant.

Et, c'est là que son odeur de latino est entrée dans mes narines. Je n'avais encore pas remarqué cette odeur peut être la sueur l'avait elle amplifiée mais cette odeur m'a excité et de sentir sa langue me lécher le visage…
Je suis sorti de lui, pour venir mettre mes jambes autour de sa tête lui donner mes couilles à lécher.
Il n'a rien dit et s'est exécuté, ma queue a repris sa forme.

Je me suis mis à genoux et j'ai passé mon gland sur ses lèvres.
-ta bouche ne veut pas garder un souvenir de ma queue ?
Il a rigolé en ouvrant sa bouche et je me suis fait un plaisir de la lui baiser, l'entendre râler, haleter, voir ses yeux pleurer mais il me tenait aux hanches et aurait pu à tout moment me bloquer. Mais non tant que son nez n'était pas dans mes poils pubiens il avalait tout ce que je lui offrais.
Il me tenait par les fesses pour me téter la queue au fond de sa gorge chaude et humide.
Il a eu droit au souvenir, moins de giclées que dans son beau cul mais il a pu se désaltérer pour ensuite me lécher la queue comme une glace.

Mais il s'est vengé de suite, s'est vengé sur une victime consentante.
Il m'a retourné sur le lit, la tête dans le vide et il est venu me baiser la bouche. Oh avec douceur, tendresse. Quand je tapais sur ses cuisses, il arrêtait. J'avais ses couilles sur les yeux et le nez et là je l'avais encore la bonne odeur du latino en rut. Quand il a compris que je ne pouvais avaler toute sa queue il s'est contenté de ce que je pouvais faire mais j'ai eu droit à une dose de cheval!!
La puissance des giclées que j'ai reçu, l'abondance également était au rendez vous. J'étais fier de mes six giclées mais lui, il en a eu plus, ça pour en avaler j'en ai avalé, mais ça me coulait partout de la bouche.
Il s'est affalé sur moi pour venir me lécher la queue comme un chiot qui lèche les doigts de son maître.
Quand il est sorti de ma bouche, il m'a tenu la tête, s'est agenouillé et m'a léché pour enlever tout son sperme qui coulait partout.

On s'est installé sur le lit dans les bras l'un de l'autre. J'étais bien le long de ce beau corps chaud sentir ce mâle me serrer contre lui, me caresser doucement.
-si tu restais ici je te prends comme compagnon, comme ami, comme amant et je serais jaloux de tous les mecs qui viendront te draguer.
-même si on les baise tous les deux après ?
-tous les français sont aussi vicieux ? dit il en riant.
-faut venir pour le savoir Léonardo mais je peux te garantir que des salopes françaises qui voudront que tu les baises eh bien ça manquent pas!
On a parlé longuement et je me suis endormi.

C'est le bruit de la douche qui m'a réveillé.
Je suis allé voir le beau Léonardo se laver et admirer encore une fois ce beau mâle quand il m'a vu, son sourire a éclairé son visage et il m'a fait signe de venir avec lui.
On bandait comme des malades tous les deux.
-on a le temps de ne rien faire Fabrice, il faut qu'on rentre car il faut que vous partiez en début d'après midi pour ne pas arriver trop tard chez Diego.
C'est la dernière fois que j'ai senti ses mains sur mon corps nu.

Il était midi quand on est arrivé à Cúcuta où un repas nous attendait.
Le temps de récupérer nos affaires à l'hôtel où nous n'avions pas beaucoup dormi et nous retrouver chez Léonardo où les boys nous attendaient, ainsi que Javier et Diego qui avaient leur baluchon.
Les adieux furent quand même tristes. Ils avaient bien tous le sourire mais je voyais dans le regard de Léonardo qu'il était triste.

C'est à lui à qui j'ai fait mon plus gros baiser, l'écartant du groupe.
-merci pour la nuit dernière, je ne t'oublierais jamais mon beau latino roi de Cúcuta et je compte sur toi pour venir rapidement à Paris. Je veux te baiser à Paris! dis je en l'embrassant dans le cou.
-et si c'était moi qui te baisais à Paris ?
-euh.. je sais pas!
On a rigolé en se serrant l'un contre l'autre.

Louis avait tenu à conduire, j'étais à côté de lui et nous avions les "enfants" derrière.
Le voyage s'est bien passé, ça on avait le temps de regarder le paysage.
Diego avait appelé sa mère et un repas nous attendait à l'arrivée.
Javier est resté dormir, soit disant sur un matelas dans la chambre de Diego et nous sommes retournés au même hôtel.

Après une bonne douche, on était dans les bras l'un de l'autre.
-t'as des cernes bébé me dit Louis.
-je crois que je vaux guère mieux que toi dis je en riant, c'est quand même fatigant leurs routes! enfin si on peut appeler ça des routes.
-et demain on en a autant!
-les vacances se terminent mon chéri. Alors heureux d'avoir pu vérifier que les Monstres de Cúcuta existent bien ?
-à partir de maintenant, j'aimerais bien que tu me crois quand je dis quelque chose mon amour!
On s'est chamaillé en riant, les queues n'étaient pas vaillantes ce soir là et on n'a pas cherché à les exciter.

La bonne nuit réparatrice fût la bienvenue.

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