Mes petits boulots d’étudiante - 1
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mes petits boulots d’étudiante - 1
Je m’appelle Camille, j’ai 22 ans, je suis étudiante en architecture à Paris depuis trois ans. Originaire du centre de la France, j’ai dû louer un studio pour mes études. Mes parents ne sont pas particulièrement aisés, donc je me trouve régulièrement des petits boulots pour améliorer mon ordinaire.
Peu de temps après mon arrivée, à la boulangerie en bas de chez moi, j’ai vu une annonce d’un couple recherchant une baby-sitter.
J’ai appelé, et après nous être mis d’accord, je savais que j’aurais à garder leur nourrisson tous les jeudis soirs, et parfois le samedi. Tout se passait très simplement, jusqu’à un samedi soir.
Je suis arrivée comme d’habitude, vers 19h30. Le bébé dormait tranquillement.
Le couple est parti, je me suis plongée dans mes cours.
Vers 22h30, j’ai entendu la porte s’ouvrir et j’ai vu le père, Monsieur LETOU, rentrer seul. Il m’a expliqué que pendant la soirée, sa belle-mère avait appelé Madame LETOU pour un petit problème et que celle-ci s’était rendue chez elle directement.
- Elle va y passer la nuit, cela arrive de temps en temps, sa maman est âgée.
Puis il m’a proposé de boire un verre avant que je ne parte.
- Ce sera l’occasion de mieux faire connaissance. Parlez-moi un peu de votre vie parisienne m’a-t-il dit en me servant une vodka orange.
J’ai commencé à lui parler de ma vie somme toute banale d’étudiante, de mes rares sorties au cinéma ou au théâtre. Comme je lui disais ingénument que j’étais souvent seule, il m’a dit :
- Comment, pas de petit ami, vous qui êtes si mignonne ?
- Non, pas en ce moment, mais cela viendra en son temps, je ne suis là que depuis deux mois !
- Ce n’est pas bon d’être seule, non ? Il y a forcément des moments où l’on aimerait un peu de chaleur humaine.
J’ai sûrement un peu rougi, parce que c’est vrai que pendant ces deux mois, je n’avais eu que mes masturbations pour soulager mes envies. Mais j’ai compris qu’il m’emmenait sur un terrain glissant, et trouvé qu’il allait vite en besogne. J’ai décidé de résister un peu, tout en commençant à le regarder avec un œil nouveau : il est plutôt beau ce mec.
- Oh, vous savez, la chaleur humaine est importante, mais mes études sont difficiles et comblent mes soirées.
- Oui, c’est bien d’être travailleuse, mais un peu de fantaisie c’est important aussi.
- Il y a le cinéma et le théâtre, ou je vais parfois avec une copine.
Je le voyais qui me mangeait des yeux, tout en sirotant son alcool. Et j’ai commencé à avoir des picotements dans le ventre, signe annonciateur d’une envie de sexe.
- Je suis sûr que cela ne vous suffit pas, vous êtes jolie, jeune, pleine de vie, et je ne peux croire que les garçons ne vous intéressent pas.
- Ils m’intéressent, mais pas au point de tout oublier pour eux ! Vous, vous avez une femme très belle et très aimante, un bon boulot, et un bébé adorable, je suis sure que vous vous consacrez bien à eux.
- Bien sûr, mais vous savez, la vie de couple à ses hauts et ses bas…
- Ah, et vous êtes en train de me dire qu’en ce moment c’est plutôt bas ?
- Euuuh, en quelque sorte.
- Et c’est pour cela que vous me faites un brin de cour.
- Je vous trouve vraiment jolie depuis que vous faites le baby-sitting, c’est l’occasion de vous le dire.
Là, j’ai décidé de franchir le pas, et de le bousculer.
- Si j’en juge par l’érection qui soulève votre pantalon, vous ne me voyez pas seulement de manière platonique, vous en voulez plus ! Alors, montrez-moi un peu ce que vous cachez là-dedans.
Je pensais le déstabiliser ? Raté !
Il a éclaté de rire, s’est levé, a enlevé ses chaussures, ôté son froc et son caleçon, et s’est avancé vers moi, la bite tendue.
- Petite gourgandine, je vois que je ne m’étais pas trompé, tu es une petite coquine en manque de sexe. En voilà un beau, suce-le.
Prise à mon propre piège, j’ai souri, j’ai avancé la tête. C’est vrai qu’il avait une queue superbe, bien droite, assez épaisse, pas très longue mais suffisamment, je l’ai constaté ensuite, pour qu’il s’enfonce bien dans ma chatte.
J’ai léché son méat, le tour de son gland, le long de sa queue jusqu’à son pubis qui était à moitié rasé, puis, en le regardant droit dans les yeux, j’ai embouché son sexe.
C’est bon, un sexe de garçon. Je trouve que la mollesse des tissus quand on pose la bouche dessus est bien compensée par la rigidité de l’ensemble quand il est tendu.
Et moi, j’adore sucer.
Je l’ai pompé, pompé, allant du bord des lèvres au fond de la gorge, sans les mains. Celles-ci ont vite été lui câliner les boules rasées.
- Tu suces divinement, Camille, je dois le dire. Il y a longtemps que je n’ai pas eu une telle fellation, et pourtant ma femme est bonne à ce jeu aussi !
- MMeeuuurrrcccci, ai-je réussi à répondre, la bouche pleine.
J’aime aller et venir le long d’une tige bien raide, saliver autour de ce membre qui palpite, le sentir appuyer sur ma glotte, faire tourner ma langue autour. Je ne sais pas d’où me vient ce plaisir, mais déjà petite je suçais longuement des objets divers.
- Attends, m’a-t-dit, je veux aussi te faire plaisir.
Il s’est mis nu, s’est approché de moi, m’a enlevé mon tee-shirt, a libéré mes seins, puis m’a ôté pantalon et culotte.
- Tu es magnifique, un amour de jeune fille. Tes seins sont ronds et fermes, ton cul est petit, mais pas trop, et tu as des formes appétissantes sans être grosse. Je ne comprends pas que tu n’aies pas un copain.
- Plus besoin, j’ai un employeur à disposition, lui ai-je souri. Même si c’est occasionnel !
- Et vive, en plus, un vrai bonheur. Assieds-toi dans le fauteuil, écarte tes cuisses, je vais te lécher.
J’aime sucer, c’est sûr, mais être léchée, c’est encore mieux. Surtout par un homme qui a un peu d’expérience. Et lui a su s’approcher, découvrir le goût de mes lèvres mouillées avec délicatesse, puis m’écarter les lèvres de bas en haut du bout de la langue, avant de venir, entre ses lèvres, me prendre le clitoris tendrement. J’ai fondu, écarté encore plus les jambes, et me suis laissée aller à la douceur de sa caresse. Puis sa langue est venue en entier laper ma fente, s’insinuer parfois dans mon con qui s’ouvrait de plus en plus, venir tourner autour de mon bouton décapuchonné, puis repartir vers ma fente offerte.
Les bras passés sous mes jambes pour les relever, il me caressait les seins en même temps, les malaxant avec douceur, titillant mes tétons, les pinçant sans douleur par moment. Et j’ai joui, comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps, lui envoyant un petit jet de cyprine sur le museau.
Il a relevé la tête, l’air ravi de m’avoir donné du plaisir.
- Je veux te prendre en levrette, tu veux bien ? m’a-t-il demandé, soudain un peu timide.
Je me suis agenouillée sur le fauteuil, ai présenté mon fessier. Debout derrière moi, il a posé sa queue à l’orée de mon vagin et s’est enfoncé dedans, en soupirant d’aise.
Et moi, j’avais enfin une queue pour me prendre, enfin je sentais un mâle qui me pénétrait de toute sa vaillance, et la largeur de sa queue m’élargissait le con de divine manière.
Il a commencé à me limer, et très vite il a accéléré, me tenant les hanches pour mieux aller au fond des choses. Moi, dans ces moments-là, je peux me lâcher :
- Mm, j’aime ta queue en moi, je la sens bien. Vas, vas-y, prends-moi, je suis à toi ce soir, profite de ma chatte, admire mon cul.
- Ouh là, tu te trémousses comme une damnée, comme c’est beau ce cul qui danse. Je te prends bien, je te sens bien, j’aime te baiser Camille.
- Encore, Monsieur mon patron, encore, je veux sentir votre queue au fond de moi, je veux jouir de vos assauts.
Nous avons continué ainsi, nous encourageant. Mais les meilleures choses ont une fin. Il a fini par se retirer, juste au moment idoine pour qu’un beau jet crémeux vienne finir sa course dans mon dos.
Nous nous sommes assis par terre, il m’a pris dans ses bras.
- Merci pour ce joli moment, Camille, j’avais vraiment envie de toi.
- Merci aussi, tu m’as redonné envie de baiser. J’avoue que je me contentais de mes doigts depuis mon arrivée à Paris, mais un homme, c’est quand même autre chose !
- Alors, peut-être une autre fois, si ma femme va chez sa mère ?
- C’est vous le patron, Monsieur, ai-je répondu comme une soubrette soumise en riant.
- Je m’en souviendrai, jeune fille ! En attendant, rentre vite chez toi, et à jeudi prochain.
Vite rhabillée, je suis partie. Sur le chemin vers mon appartement, je me suis dit que la vie est pleine de surprises. Et qu’il y a des patrons qui savent donner de leur personne !
Mais je ne savais pas encore que cet appartement me réservait d’autres découvertes.
Peu de temps après mon arrivée, à la boulangerie en bas de chez moi, j’ai vu une annonce d’un couple recherchant une baby-sitter.
J’ai appelé, et après nous être mis d’accord, je savais que j’aurais à garder leur nourrisson tous les jeudis soirs, et parfois le samedi. Tout se passait très simplement, jusqu’à un samedi soir.
Je suis arrivée comme d’habitude, vers 19h30. Le bébé dormait tranquillement.
Le couple est parti, je me suis plongée dans mes cours.
Vers 22h30, j’ai entendu la porte s’ouvrir et j’ai vu le père, Monsieur LETOU, rentrer seul. Il m’a expliqué que pendant la soirée, sa belle-mère avait appelé Madame LETOU pour un petit problème et que celle-ci s’était rendue chez elle directement.
- Elle va y passer la nuit, cela arrive de temps en temps, sa maman est âgée.
Puis il m’a proposé de boire un verre avant que je ne parte.
- Ce sera l’occasion de mieux faire connaissance. Parlez-moi un peu de votre vie parisienne m’a-t-il dit en me servant une vodka orange.
J’ai commencé à lui parler de ma vie somme toute banale d’étudiante, de mes rares sorties au cinéma ou au théâtre. Comme je lui disais ingénument que j’étais souvent seule, il m’a dit :
- Comment, pas de petit ami, vous qui êtes si mignonne ?
- Non, pas en ce moment, mais cela viendra en son temps, je ne suis là que depuis deux mois !
- Ce n’est pas bon d’être seule, non ? Il y a forcément des moments où l’on aimerait un peu de chaleur humaine.
J’ai sûrement un peu rougi, parce que c’est vrai que pendant ces deux mois, je n’avais eu que mes masturbations pour soulager mes envies. Mais j’ai compris qu’il m’emmenait sur un terrain glissant, et trouvé qu’il allait vite en besogne. J’ai décidé de résister un peu, tout en commençant à le regarder avec un œil nouveau : il est plutôt beau ce mec.
- Oh, vous savez, la chaleur humaine est importante, mais mes études sont difficiles et comblent mes soirées.
- Oui, c’est bien d’être travailleuse, mais un peu de fantaisie c’est important aussi.
- Il y a le cinéma et le théâtre, ou je vais parfois avec une copine.
Je le voyais qui me mangeait des yeux, tout en sirotant son alcool. Et j’ai commencé à avoir des picotements dans le ventre, signe annonciateur d’une envie de sexe.
- Je suis sûr que cela ne vous suffit pas, vous êtes jolie, jeune, pleine de vie, et je ne peux croire que les garçons ne vous intéressent pas.
- Ils m’intéressent, mais pas au point de tout oublier pour eux ! Vous, vous avez une femme très belle et très aimante, un bon boulot, et un bébé adorable, je suis sure que vous vous consacrez bien à eux.
- Bien sûr, mais vous savez, la vie de couple à ses hauts et ses bas…
- Ah, et vous êtes en train de me dire qu’en ce moment c’est plutôt bas ?
- Euuuh, en quelque sorte.
- Et c’est pour cela que vous me faites un brin de cour.
- Je vous trouve vraiment jolie depuis que vous faites le baby-sitting, c’est l’occasion de vous le dire.
Là, j’ai décidé de franchir le pas, et de le bousculer.
- Si j’en juge par l’érection qui soulève votre pantalon, vous ne me voyez pas seulement de manière platonique, vous en voulez plus ! Alors, montrez-moi un peu ce que vous cachez là-dedans.
Je pensais le déstabiliser ? Raté !
Il a éclaté de rire, s’est levé, a enlevé ses chaussures, ôté son froc et son caleçon, et s’est avancé vers moi, la bite tendue.
- Petite gourgandine, je vois que je ne m’étais pas trompé, tu es une petite coquine en manque de sexe. En voilà un beau, suce-le.
Prise à mon propre piège, j’ai souri, j’ai avancé la tête. C’est vrai qu’il avait une queue superbe, bien droite, assez épaisse, pas très longue mais suffisamment, je l’ai constaté ensuite, pour qu’il s’enfonce bien dans ma chatte.
J’ai léché son méat, le tour de son gland, le long de sa queue jusqu’à son pubis qui était à moitié rasé, puis, en le regardant droit dans les yeux, j’ai embouché son sexe.
C’est bon, un sexe de garçon. Je trouve que la mollesse des tissus quand on pose la bouche dessus est bien compensée par la rigidité de l’ensemble quand il est tendu.
Et moi, j’adore sucer.
Je l’ai pompé, pompé, allant du bord des lèvres au fond de la gorge, sans les mains. Celles-ci ont vite été lui câliner les boules rasées.
- Tu suces divinement, Camille, je dois le dire. Il y a longtemps que je n’ai pas eu une telle fellation, et pourtant ma femme est bonne à ce jeu aussi !
- MMeeuuurrrcccci, ai-je réussi à répondre, la bouche pleine.
J’aime aller et venir le long d’une tige bien raide, saliver autour de ce membre qui palpite, le sentir appuyer sur ma glotte, faire tourner ma langue autour. Je ne sais pas d’où me vient ce plaisir, mais déjà petite je suçais longuement des objets divers.
- Attends, m’a-t-dit, je veux aussi te faire plaisir.
Il s’est mis nu, s’est approché de moi, m’a enlevé mon tee-shirt, a libéré mes seins, puis m’a ôté pantalon et culotte.
- Tu es magnifique, un amour de jeune fille. Tes seins sont ronds et fermes, ton cul est petit, mais pas trop, et tu as des formes appétissantes sans être grosse. Je ne comprends pas que tu n’aies pas un copain.
- Plus besoin, j’ai un employeur à disposition, lui ai-je souri. Même si c’est occasionnel !
- Et vive, en plus, un vrai bonheur. Assieds-toi dans le fauteuil, écarte tes cuisses, je vais te lécher.
J’aime sucer, c’est sûr, mais être léchée, c’est encore mieux. Surtout par un homme qui a un peu d’expérience. Et lui a su s’approcher, découvrir le goût de mes lèvres mouillées avec délicatesse, puis m’écarter les lèvres de bas en haut du bout de la langue, avant de venir, entre ses lèvres, me prendre le clitoris tendrement. J’ai fondu, écarté encore plus les jambes, et me suis laissée aller à la douceur de sa caresse. Puis sa langue est venue en entier laper ma fente, s’insinuer parfois dans mon con qui s’ouvrait de plus en plus, venir tourner autour de mon bouton décapuchonné, puis repartir vers ma fente offerte.
Les bras passés sous mes jambes pour les relever, il me caressait les seins en même temps, les malaxant avec douceur, titillant mes tétons, les pinçant sans douleur par moment. Et j’ai joui, comme je ne l’avais pas fait depuis longtemps, lui envoyant un petit jet de cyprine sur le museau.
Il a relevé la tête, l’air ravi de m’avoir donné du plaisir.
- Je veux te prendre en levrette, tu veux bien ? m’a-t-il demandé, soudain un peu timide.
Je me suis agenouillée sur le fauteuil, ai présenté mon fessier. Debout derrière moi, il a posé sa queue à l’orée de mon vagin et s’est enfoncé dedans, en soupirant d’aise.
Et moi, j’avais enfin une queue pour me prendre, enfin je sentais un mâle qui me pénétrait de toute sa vaillance, et la largeur de sa queue m’élargissait le con de divine manière.
Il a commencé à me limer, et très vite il a accéléré, me tenant les hanches pour mieux aller au fond des choses. Moi, dans ces moments-là, je peux me lâcher :
- Mm, j’aime ta queue en moi, je la sens bien. Vas, vas-y, prends-moi, je suis à toi ce soir, profite de ma chatte, admire mon cul.
- Ouh là, tu te trémousses comme une damnée, comme c’est beau ce cul qui danse. Je te prends bien, je te sens bien, j’aime te baiser Camille.
- Encore, Monsieur mon patron, encore, je veux sentir votre queue au fond de moi, je veux jouir de vos assauts.
Nous avons continué ainsi, nous encourageant. Mais les meilleures choses ont une fin. Il a fini par se retirer, juste au moment idoine pour qu’un beau jet crémeux vienne finir sa course dans mon dos.
Nous nous sommes assis par terre, il m’a pris dans ses bras.
- Merci pour ce joli moment, Camille, j’avais vraiment envie de toi.
- Merci aussi, tu m’as redonné envie de baiser. J’avoue que je me contentais de mes doigts depuis mon arrivée à Paris, mais un homme, c’est quand même autre chose !
- Alors, peut-être une autre fois, si ma femme va chez sa mère ?
- C’est vous le patron, Monsieur, ai-je répondu comme une soubrette soumise en riant.
- Je m’en souviendrai, jeune fille ! En attendant, rentre vite chez toi, et à jeudi prochain.
Vite rhabillée, je suis partie. Sur le chemin vers mon appartement, je me suis dit que la vie est pleine de surprises. Et qu’il y a des patrons qui savent donner de leur personne !
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très amusante, j'espère que Madame entrera en scène. En revanche la fin semble introduire un brin de domination ce que je n'aime pas. Je verrai en lisant la suite.....
Je sens qu'il va l'initier a la sodomie,MIAM!!!!
on ne peut pas plaire à tout le monde !
Zootman
Zootman
nulle
vraiment coquine cette histoire j'adore bien ce genre d'histoires cela me procures assez de bonheur. vivement que tu publie le reste!!!