Mes premières amours (partie 6 - FIN) - histoire érotique

Nuit de folie

Mathieu me prend dans ses bras, m’embrasse avec passion. Il me demande ce que je veux faire : rentrer chez moi ou rester dormir ici. Je l’embrasse et me lève. Je lui souris et lui prends la main pour l’entraîner à ma suite dans la chambre d’amis. Je prends mon téléphone et appelle mes parents qui comprennent et acceptent que nous ne prenions pas le risque de rentrer cette nuit si nous avons beaucoup bu. Rassurés, ils iront se couchés tranquilles. Mathieu a lui aussi appelé ses parents. Eux aussi ont accepté que nous ne prenions aucun risque inutile. Sur ces entrefaites, nous enlevons nos affaires qui étaient posées sur le lit pour nous faire notre place.
Mathieu qui a pris de l’assurance, ferme la porte à clé et vient doucement vers moi. Nous sommes tous les deux debout au milieu de la pièce. Quelques rayons de lumière filtrent depuis la rue au travers des volets de la chambre. Nos yeux s’habituent peu à peu à la pénombre. Mathieu m’enlève mon chemisier doucement puis il libère ma poitrine de mon soutien-gorge. Il caresse mon buste, embrasse mes seins l’un après l’autre, les lèches doucement et joue avec mes tétons en les faisant rouler entre ses doigts. Peu à peu, mes tétons durcissent, mes seins se gonflent légèrement après quelques minutes de ce traitement. Je me sens si bien. Je veux lui donner aussi du plaisir et je lui enlève son pull et son t-shirt. Enfin, je découvre son torse. Je remarque (mais ne lui dis rien) qu’il a rasé les quelques poils de son torse depuis notre séance à la piscine. Je l’embrasse et le caresse avec sensualité. Ses tétons commencent à pointer avant même que je les touche. Sa respiration s’accélère comme la mienne. Nous sommes presque en rythme. Je voudrais que ces instants ne s’arrêtent pas. Je lui déboutonne son pantalon et le descend sur ses genoux. Mathieu porte un boxer au travers duquel je devine son sexe qui commence à grossir. Une légère déformation du tissu est déjà visible. Mathieu se penche et finit d’enlever son pantalon et le pose sur la chaise près du bureau. Il est debout en boxer devant moi. Son sexe grossit sous l’effet de mes caresses et de mes baisers sur son corps. Peu à peu il prend de la vigueur. Une petite tache apparaît sur son boxer à l’endroit où pointe son sexe. Le haut de son boxer se soulève de son bas ventre sous l’effet de son sexe dont l’érection grossit et grandit. Je le laisse ainsi quelques secondes, le temps d’enlever ma jupe. Mathieu se rapproche de moi et m’enlève ma culotte déjà très humide et fort trempée. Une odeur forte se dégage de nos corps et emplit la chambre. Je suis nue au milieu de la chambre face à mon amour en boxer. Je lui enlève ce dernier rempart de tissu qui nous sépare de l’instant tant redouté par chacun de nous : passer enfin à l’acte, avoir notre premier rapport sexuel ensemble. Nous sommes alors face à face, nus et nous nous regardons en nous caressant l’un l’autre. Mathieu pose ses mains sur ma poitrine, mes seins et descend doucement vers mon bas ventre puis mon sexe déjà fort humide. De mon côté, je passe mes mains sur son torse, ses pectoraux légèrement marqués et aussi je descends vers son sexe et le caresse doucement. Il m’embrasse avec fougue et puis vient déposer des petits baisers le long de mon corps. Il descend jusqu’à mon sexe où il glisse sa langue dans le moindre recoin. Je fonds littéralement sous ses coups de langue et je me sens défaillir. Je l’attire avec moi vers le lit où je m’assieds au bord. Mathieu se met à genou parterre, entre me jambes et continue de me lécher le sexe, me procurant un plaisir grandissant. Je me sens peu à peu partir, me raidir et basculer sur le lit et puis…je jouis. Mathieu garde sa bouche collée à mon sexe et reçoit un jeu plus important de mon liquide et il s’en abreuve, s’en délecte. Il passe ses mains sur mon sexe trempé, puis il me caresse doucement les jambes, remonte vers mes cuisses en effleurant ma peau. Ses doigts humides glissent lentement vers mon sexe. Mathieu revient à la charge, il veut me donner plus de plaisir avant d’aller encore plus loin. Il insinue un doigt puis deux à l’intérieur de mon sexe, titillant mon clitoris également : il commence à me masturber doucement puis accélère progressivement…quel plaisir ! J’ai l’impression d’être dans un autre monde, je me sens à nouveau bouillonner de l’intérieur et j’ai un nouvel orgasme… quel pied ! Mathieu reste là, entre mes jambes, les mains sur mon sexe, recueillant mon liquide et l’étalant sur mes cuisses, mon bas ventre tandis qu’il me caresse. Je reprends un peu mes esprits et, j’attrape Mathieu par les épaules et l’attire vers moi, sur le lit. Son corps remonte sur le mien, je sens sa chaleur. Quand il arrive à ma hauteur, je l’embrasse, je tends une main vers son sexe que j’ai senti dur lorsque je l’ai attiré à moi. J’ai envie que ce baiser dure longtemps…nous roulons sur le lit. Je m’assoie à califourchon sur Mathieu à hauteur de son bassin. Je me redresse et nous nous regardons. Mathieu se redresse pour m’embrasser mais je le repousse énergiquement sur le lit lui faisant comprendre que maintenant je prends les rênes de nos ébats torrides. Je caresse son torse doucement et y déposes des petits baisers. Ses tétons durcissent à nouveau et entre mes jambes, je sens son sexe grossir et durcir. Je descends sur son bas ventre, Mathieu commence à pousser de petits gémissements. Je commence à lui faire de l’effet et il prend progressivement du plaisir. Après ce qu’il m’a fait connaître, je dois bien lui donner autant de plaisir. Je me courbe sur son torse, je le lèche en descendant doucement vers son sexe. Mes cheveux effleurent son corps et lui donnent des petits frissons au fur et à mesure que je me rapproche du but. Je me détache de son bassin, descends le long de ses jambes et m’allonge entre ses jambes, ses cuisses. Mes mains parcourent son corps. J’arrive à son sexe, dur, tendu droit comme un i vers le ciel. Mathieu se met sur les coudes et me regarde avec tendresse et amour. Il me demande de prendre un préservatif dans sa veste. Mais il n’a pas le temps de finir sa phrase. Je le regarde et alors que mes mains caressent ses testicules, le bas de son sexe, je commence à le masturber sans le décalotter et je le vois sombrer dans le plaisir. Son regard change, Mathieu comprend que je ne vais pas m’arrêter tout de suite pour prendre une capote et, se laissant faire, il se rallonge sur le lit en gémissant de plaisir. Sa respiration augmente, s’accélère doucement au gré de mes caresses. Je m’arrête un peu, le temps de regarder son sexe de plus près, de mieux le découvrir. Depuis notre petite aventure à la piscine, c’est la première fois que nous nous retrouvons ainsi seuls, nus, l’un avec l’autre. Mathieu retrouve son calme, sa respiration redevient normale. Il s’est accoudé sur le lit et me regarde. Je regarde son sexe, il l’a rasé. J’y passe mes doigts doucement dessus. La peau est douce. Mathieu gémit. Son sexe se dresse de plus belle. Du liquide apparaît au sommet du gland de son sexe. J’approche mes mains pour reprendre ma masturbation et cette fois je décalotte son sexe. Il prend encore de la vigueur, il durcit et rougit sous l’afflux de sang dans son sexe. D’abord doucement, mes gestes s’accélèrent au même rythme que Mathieu accélère sa respiration. Dans mes mains, je sens son sexe se durcir, se raidir. Mathieu se rallonge sur le lit, profitant à fond du plaisir que je lui procure. Il se raidit progressivement et d’un coup, des jets de sperme partent et sortent de son sexe dans les airs pour venir s’écraser sur son sexe, son bas ventre et mes mains posées sur son sexe. J’ai envie d’aller plus loin ce soir avec lui…Je me lève et prend mon sac. J’en sors les deux capotes qui y étaient et reviens me positionner entre les jambes de Mathieu. Mathieu me regarde, me sourit, me prend la tête entre ses mains et la guide vers son sexe. Je résiste et lui dit que je veux bien mais s’il met une capote…Mathieu accepte et me dit vas-y ! De mes mains, je branle doucement son sexe qui reprend suffisamment de vigueur pour y déposer une capote. Je découpe l’emballage, en sors la capote et la pose sur son sexe bandé. Puis, je le prends en bouche, guidée par ses mains et à son rythme, je l’amène à un nouvel orgasme. Son sperme se déverse cette fois dans le préservatif…Quel pied ! Je me hisse à sa hauteur et l’embrasse et lui dis que cette nuit je veux le sentir en moi, je veux que nous couchions ensemble, je veux aller plus loin avec lui. Nous nous embrassons avec passion. Il se redresse, il se lève, il enlève la capote usagée, il attrape la deuxième capote et la met sur son sexe. Mathieu se rallonge alors entre mes jambes et vient progressivement le long de mon corps. Quand son sexe revient à la hauteur du mien, je le sens se frotter au mien. Le bout se sexe touche mon clitoris, il joue avec. Nous nous embrassons. Je lui souris et lui dis qu’il peut y aller. Il semble hésitant. Mathieu me regarde et me susurre que c’est sa première fois. Timide, ayant peur de mal faire, il hésite. Je le rassure, lui dis que je l’aime et que moi aussi c’est ma première fois. Puis, je le guide en moi. Il entre doucement et s’arrête, attendant ma réaction. Je lui dis que ça va, qu’il peut continuer. Il commence alors des va-et-vient, lents puis plus rapides. Je sens son sexe chaud en moi me remplir, chaque coup me propulse vers un immense plaisir. Mathieu, entré en moi, il ressent aussi beaucoup de plaisir (ses gémissements tendent à me le confirmer). Il découvre d’autres sensations d’être à l’intérieur de mon sexe. Nos corps sont en osmose. Nous roulons sur le lit, essayant plusieurs postures tout en restant ainsi soudés par nos sexes. Mon plaisir augmente peu à peu (j’apprécie encore plus que dans la soirée avec Nicolas…) : Mathieu me caresse, m’embrasse, me lèche tandis que son sexe entre et bouge en moi. Je suis au bord de l’extase, du plaisir suprême. Mathieu gémit de plus en plus, son souffle s’accélère. Moi aussi, je le caresse, l’embrasse et l’étreint. Nos corps sont si proches que nous semblons n’en former qu’un. Nous suons un peu, nos transpirations se mélangent à chacun de nos contacts. Je sens mon corps se raidir à l’approche de l’orgasme. Mathieu repasse au-dessus de moi, son rythme s’accélère, il se raidit. Son sexe devenu plus gros et dur entre au plus profond de mon sexe : cela augmente notre plaisir et nous procurent un immense spasme au moment où nous jouissons ensemble. Je sens des jets de sperme se déverser dans mon sexe, une nouvelle chaleur m’envahit de l’intérieur. Mathieu se rapproche
pour m’embrasser : nos bouches se trouvent, nos langues se cherchent, se trouvent et se mêlent, nos salives aussi se mélangent. Quel baiser ! Mathieu me dit combien il m’aime et combien cette nuit lui a donné du plaisir. Il est aux anges. Je passe ma main dans ses cheveux, le regarde dans yeux et lui dis également que je l’aime énormément, que pour moi, cette soirée restera inoubliable. Nous nous enlaçons et dormons ainsi nus dans les bras l’un de l’autre.

FIN de cette série