Mes Samedis au cinéma ATLAS métro Pigalle.

Récit érotique écrit par Bigtravlopetournante [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mes Samedis au cinéma ATLAS métro Pigalle.
Je me présente Trav mur babtou encore consommable se déplaçant tous les samedis de 12H à 22H au cinéma ATLAS métro Pigalle. Sait un cinéma glauque fréquentés par des africains et autre hétéros en manquent de femmes tous en en ruts (la plupart sans capote venant se vider dans un cul ou une bouche de trav vite fait, longuement, à répétition). Ils sont très chaud et quand une travesti leur plait (ca déballe direct le morceau en s'exprimant vulgairement "salope, chienne, putain etc...). Sait un lieu unique dont je raffole (no blablas, no fakes, no virtuel, no perte de temps) et drague à l'ancienne (ca insulte, ca touche, ca baise, ca se fait pomper racler en salle debout assis ou à genoux). le weekend (il y a du monde rebeu black étranger et choix divers de travesti potable sexy), en semaine (j'ai testé et déçu "vieux mou et trav clown"). Je ne me prend plus le cerveau et quand je passes des annonces ou active sur les réseaux sociaux, je donne RDV aux mecs le Samedi pour ceux qui kiffent enculer sauvagement une chatte anale juteuse et se faire pomper (pas rare de lécher karchériser leurs culs leurs fions leurs cuisses leurs anatomies de beaux males installés en pacha sur le fauteuil quand sait ordonné moi sur les fesses au sol bossant avec ma gueule ma bouche ma langue de trav en buccal). Peu de JH H qui me contactent par phone (réseaux sociaux, sites) viennent !!! Probablement des masturbateurs ou des mythos (rien à foutre). Il y a sur place ce qu'il faut et je commence à avoir des habitués blacks qui adorent patauger dans mon cul bien dégoulinant plus ma langue fouilleuse vorace accros à leurs peaux (d'ébène ou mate) propre nature, qu'importe du moment que sont corps m'excite (je le sniff, je le bouffe). Evidement, il y à des mecs lourds (petite bite, très ager mole, du blanc non circoncis) mais je les rejettes intelligemment avec politesse et gentillesse (tout se passe bien). Je repart généralement au minimum avec une trentaine de doses dans le cul et avec une bouche imprégnée des odeurs intimes euphorisantes des africains heureuse mais épuisée.
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