Mes vacances au Maroc
Récit érotique écrit par Douceurdivine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2008 dans la catégorie Plus on est
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Mes vacances au Maroc
<p>C’était au mois d’août. Nous projetions, mon chéri et moi de partir quelques jours au Maroc.
-Pourquoi ne pas partir à Agadir, lui dis-je, une amie m’a dit que c’est très joli.
Alors, nous partîmes au Maroc. Là-bas, il faisait très chaud mais la fraîcheur de l’océan tout proche rendait l’air plus respirable.
Nous avons loué une chambre dans un très bel hôtel quatre étoiles. Piscines, jacuzzi… Nous avions tout pour passer d’agréables vacances. Farniente sur la plage, visite de la médina, du souk… Nous vivions un moment formidable de dépaysement et de magie.
Mais les vacances passèrent vite. Il nous restait un jour à vivre ici, avant le départ pour l’aéroport.
Marc me regardait. Nous étions dans la chambre.
-Dommage que nous n’ayons pas fait de rencontres, lui dis-je.
-Dommage ?
Ses yeux se sont illuminés.
-Oui, nous avons rencontrés beaucoup de gens mais au fond, nous n’avons pas lié de relations. Alors qu’il y a tant de marocains charmants.
Marc sourit. Je n’avais pas besoin d’en dire plus pour lui ma petite frustration.
24 heures. Il nous restait 24 heures. Je le mettais à défi en lui disant sans prononcer les paroles : « fais quelque chose, j’ai trop envie ».
Marc s’éclipsa.
-je reviens dans une minute. Attends-moi là, dit-il.
Je le regardai quitter la chambre avec un grand sourire. J’étais allongée sur le lit, en nuisette, la tête posée sur mes épaules. Je contemplais mes jambes, vérifiant du bout de mes doigts qu’elles étaient lisses et douces. J’imaginais, je pensais. J’attendais.
J’avais envie de désirs.
***
Trois quarts d’heures avaient passé. Je m’étais endormie sur le lit quand un bruit me réveilla. C’était Marc qui rentrait.
-Alors ? Lui dis-je.
-Si nous allions faire un tour sur la plage.
-Maintenant ?
-Oui, maintenant. Le soleil se couche. Il y a une très belle lumière.
-Bon d’accord.
J’accordais à Marc sa promenade, mais j’étais un peu déçu. Je pensais qu’il serait revenu avec un beau garçon au regard charmeur. Mais non, il n’en était rien.
Il est vrai que la plage d’Agadir est magnifique le soir.
Nous rencontrâmes beaucoup de gens. Je contemplai le paysage dans les bras de mon chéri. Le désir charnel qui s’emparait de moi s’estompait. Je ne pensais plus à…
-Si nous rentions, lui di-je. Je me sens fatiguée.
Marc était serein, presque zen. Nous rentrâmes ainsi à l’hôtel. Notre chambre donnait vue sur la mer.
***
Minuit. C’est l’heure à laquelle nous nous couchions. Nous nous apprêtâmes à dormir. Je posais mon peignoir, me glissais sous les draps. Soudain, on frappe à la porte.
Je regarde Marc avec interrogation.
-Qui c’est ? Lui fis-je avec stupeur.
Une voix s’éleva :
-Madame, c’est la réception. Votre mari m’a commandé une bouteille de Champagne.
Je regarde Marc. Il me regarde en souriant et me fait un clin d’œil.
-Vas voir, je crois que c’est pour toi, me dit-il.
Je le regarde. Je me lève, et vais ouvrir à la voix derrière la porte. Je commence à sentir le coup monté.
J’ouvre. C’est un jeune marocain qui se présente, bien habillé. Il a effectivement une bouteille de Champagne à la main.
Il entre en s’excusant et pose la bouteille de Champagne sur la console près de la porte.
Mon mari se lève à ce moment là :
-Chérie, tu vois bien que Monsieur attend son pourboire. Me dis-t-il.
Je le regardai, amusée, en concevant, maintenant, le " piège " qui se refermait sur moi.
-Donne le pourboire au Monsieur, répéta mon mari.
***
C’était notre dernière nuit à Agadir, en août dernier.
L’homme qui est venu était une connaissance de mon chéri. Je ne sais comment ils se connaissaient et ne l’ai appris que plus tard dans la nuit. Nous avons veillé jusqu’ au matin.
Marc et Youcef m’ont prise toute la nuit. J’étais comblée engendrant par la même le plaisir de mes partenaires.
Douceurdivine
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-Pourquoi ne pas partir à Agadir, lui dis-je, une amie m’a dit que c’est très joli.
Alors, nous partîmes au Maroc. Là-bas, il faisait très chaud mais la fraîcheur de l’océan tout proche rendait l’air plus respirable.
Nous avons loué une chambre dans un très bel hôtel quatre étoiles. Piscines, jacuzzi… Nous avions tout pour passer d’agréables vacances. Farniente sur la plage, visite de la médina, du souk… Nous vivions un moment formidable de dépaysement et de magie.
Mais les vacances passèrent vite. Il nous restait un jour à vivre ici, avant le départ pour l’aéroport.
Marc me regardait. Nous étions dans la chambre.
-Dommage que nous n’ayons pas fait de rencontres, lui dis-je.
-Dommage ?
Ses yeux se sont illuminés.
-Oui, nous avons rencontrés beaucoup de gens mais au fond, nous n’avons pas lié de relations. Alors qu’il y a tant de marocains charmants.
Marc sourit. Je n’avais pas besoin d’en dire plus pour lui ma petite frustration.
24 heures. Il nous restait 24 heures. Je le mettais à défi en lui disant sans prononcer les paroles : « fais quelque chose, j’ai trop envie ».
Marc s’éclipsa.
-je reviens dans une minute. Attends-moi là, dit-il.
Je le regardai quitter la chambre avec un grand sourire. J’étais allongée sur le lit, en nuisette, la tête posée sur mes épaules. Je contemplais mes jambes, vérifiant du bout de mes doigts qu’elles étaient lisses et douces. J’imaginais, je pensais. J’attendais.
J’avais envie de désirs.
***
Trois quarts d’heures avaient passé. Je m’étais endormie sur le lit quand un bruit me réveilla. C’était Marc qui rentrait.
-Alors ? Lui dis-je.
-Si nous allions faire un tour sur la plage.
-Maintenant ?
-Oui, maintenant. Le soleil se couche. Il y a une très belle lumière.
-Bon d’accord.
J’accordais à Marc sa promenade, mais j’étais un peu déçu. Je pensais qu’il serait revenu avec un beau garçon au regard charmeur. Mais non, il n’en était rien.
Il est vrai que la plage d’Agadir est magnifique le soir.
Nous rencontrâmes beaucoup de gens. Je contemplai le paysage dans les bras de mon chéri. Le désir charnel qui s’emparait de moi s’estompait. Je ne pensais plus à…
-Si nous rentions, lui di-je. Je me sens fatiguée.
Marc était serein, presque zen. Nous rentrâmes ainsi à l’hôtel. Notre chambre donnait vue sur la mer.
***
Minuit. C’est l’heure à laquelle nous nous couchions. Nous nous apprêtâmes à dormir. Je posais mon peignoir, me glissais sous les draps. Soudain, on frappe à la porte.
Je regarde Marc avec interrogation.
-Qui c’est ? Lui fis-je avec stupeur.
Une voix s’éleva :
-Madame, c’est la réception. Votre mari m’a commandé une bouteille de Champagne.
Je regarde Marc. Il me regarde en souriant et me fait un clin d’œil.
-Vas voir, je crois que c’est pour toi, me dit-il.
Je le regarde. Je me lève, et vais ouvrir à la voix derrière la porte. Je commence à sentir le coup monté.
J’ouvre. C’est un jeune marocain qui se présente, bien habillé. Il a effectivement une bouteille de Champagne à la main.
Il entre en s’excusant et pose la bouteille de Champagne sur la console près de la porte.
Mon mari se lève à ce moment là :
-Chérie, tu vois bien que Monsieur attend son pourboire. Me dis-t-il.
Je le regardai, amusée, en concevant, maintenant, le " piège " qui se refermait sur moi.
-Donne le pourboire au Monsieur, répéta mon mari.
***
C’était notre dernière nuit à Agadir, en août dernier.
L’homme qui est venu était une connaissance de mon chéri. Je ne sais comment ils se connaissaient et ne l’ai appris que plus tard dans la nuit. Nous avons veillé jusqu’ au matin.
Marc et Youcef m’ont prise toute la nuit. J’étais comblée engendrant par la même le plaisir de mes partenaires.
Douceurdivine
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