Mes voisins de pallier épisode 1
Récit érotique écrit par Namtam [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2003 dans la catégorie En solitaire
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Couleur du fond :
Mes voisins de pallier épisode 1
« hummm…AaaHhh..oui comme ça, met ta langue maintenant, Ohh ouii… »
Les murs qui séparent mon appartement de celui d’à côté sont épais comme du papier de riz, et mes voisins ne se soucient guère du dérangement qu’ils peuvent occasionner autour d’eux. Quand ils font l’amour, parfois plusieurs fois dans une même journée, ils ne retiennent rien de leurs cris de jouissance. C’est elle surtout que j’entends au cours de leurs ébats, lui est un peu moins bruyant, il lance parfois à sa partenaire quelques
« Humm, ton jus » ou encore « tu aimes mes coups de queue »,
mais il reste le plus souvent silencieux jusqu’au moment de l’orgasme. Je sais toujours quand il éjacule, un long râle traverse la paroi qui sépare nos deux appartements. J’ai parfois l’impression que nous sommes dans la même pièce. Au début, lorsqu’ils ont aménagé, je me sentais plutôt gênée par la situation. Après quelques jours, j’étais bien décidée de leur demander de faire moins de bruit, mais je ne l’ai finalement jamais fait. Lorsque nous nous croisons parfois sur le pallier de la porte, nous échangeons quelques mots sur le temps qu’il fait, le plus souvent nous n’échangeons qu’un courtois « bonjour ». Elle, c’est une jolie fille, brune avec de grands yeux noisette. Son visage aux traits fins affiche toujours un sourire généreux. Elle a de petits seins, plus petits que les miens, et de longues jambes merveilleusement galbées qu’elle sait mettre en valeur. Elle est consciente de la beauté de son corps et elle en joue avec subtilité, ça se voit. Elle porte toujours des bas noirs, unis ou ornés de motifs, sous des jupes courtes, parfois même très courtes, flottantes ou moulantes, toujours sexy mais jamais vulgaire. Sa démarche chaloupée et fluide atteste de sa sensualité. Lui est un homme au physique plutôt commun. Nous nous croisons parfois sur le pallier. Un jour, alors qu’il m’aidait à monter une bouteille de gaz jusque dans ma cuisine, je lui ai proposé de boire un café avant de partir. Il a refusé en prétextant qu’il avait des choses urgentes à traiter pour son travail. Il m’a invité à ne pas hésiter à faire appel à lui en cas de besoin. Puis il m’a serré la main. Au contact de cette main chaude et puissante, une onde étrange a parcouru mon corps tout entier. Son regard lumineux et fixant a provoqué en moi une deuxième onde plus puissante encore, dressant instantanément le bout de mes seins, parcourant l’intérieur de mes cuisses pour remonter jusqu’à mon sexe subitement gonflé d’excitation. Je sentais en quelques fractions de seconde ma culotte se tremper. Terriblement gênée, je retirais brusquement ma main de la sienne. Il m'adressa alors un sourire amusé, comme s’il avait compris ce qui venait de se produire en moi, comme si la vibration qui venait de traverser mon corps de part en part était remontée jusqu’à lui, jusqu’à cette main que je venais de lâcher. Il m’a répété que je ne devais pas hésiter à faire appel à lui au besoin. Je l’ai remercié et je n’ai pu m’empêcher de jeter un œil furtif sur la bosse que son sexe formait sous son pantalon en toile, avant qu’il ne disparaisse dans son appartement. Je ne savais comment interpréter cette dernière phrase. Je m’imposais d’oublier cette scène en me plongeant dans mon livre, je m’installais confortablement dans mon canapé. A peine trois minutes écoulées, des gémissements provenant des chez mes voisins commencèrent à se faire entendre. Je devinais qu’il avait remonté la jupe de sa partenaire et la léchait déjà gouluement. Elle lui criait bientôt :
« lèche-moi bien de bas en haut, lèche-moi, continue, je veux jouir comme ça, lèche-moi jusqu’à l’orgasme, Humm, Ouiii… ».
L’excitation qui avait envahit mon corps n’avait pas eu le temps de s’éteindre et les gémissements de mes voisins déclenchaient à nouveau cette onde sensuelle que je sentais grandir dans mon corps. Instinctivement, j’écartais les jambes, je soulevais ma jupe et je posais doucement mes doigts sur le tissu fin qui cachait mon sexe. Je constatais que ma petite culotte de dentelles bleues était totalement trempée. Comme perdant le contrôle de mes gestes, une force irrésistible me poussait à écarter ce petit bout d’étoffe sur le côté. Je glissais deux doigts entre mes grandes lèvres brûlantes, je commençais à masser délicatement mon clitoris. De l’autre main, je caressais du bout des doigts mon ventre avec sensualité, puis, je remontais lentement sous mon chemisier par atteindre mes seins durcis et érigés par l’excitation. J’entendais toujours les cris de jouissance de ma voisine qui allaient en s’intensifiant :
« lèche, lèche encOoore, je vais veniiir, je vais venir sur ta bouche, Aahh… ».
Les mouvements de ma main sur mon sexe s’accéléraient maintenant, mon corps se relâchait et mes reins se cambraient avec frénésie, mes doigts courraient, tout au long de mon entre jambes, de mon clitoris à mon anus, étalant mon jus sur toute la longueur du vallon que forme l’intérieur de mes fesses, deux doigts plongeant tantôt dans ma chatte, tantôt dans mon anus. J’avais envie de me laisser totalement transporter par le plaisir, de crier aussi fort qu’eux. J’avais envie de sentir la langue de cet homme qui m’avait tant troublé quelques instants auparavant, courir sur mon sexe à la place de mes mains, comme il était en train de le faire sur celui de sa compagne. Je parvenais à réfréner mes soupirs, tout au moins de manière à ce qu’ils ne puissent pas m’entendre. Soudain, j’entendais un long râle puissant
« Ouiii, là, j’y suiiiis, AaaaHhhh… »
je comprenais qu’elle était en train d’atteindre le septième ciel, le timbre de sa voix laissait croire qu’elle frôlait le nirvana, l’extase absolue. Je continuais à me masturber énergiquement, malaxant mes seins, mon ventre, mes fesses tour à tour. Soudain, mes libidineux voisins redevenaient silencieux. Deux choix s’offraient alors à moi : soit j’allais jusqu’au bout et je savais que ne pourrais retenir mes cris de jouissance, mes voisins devineraient alors aisément ce que je suis en train de faire ; soit j’en restais là, sans atteindre l’orgasme. J’optais sagement pour le second choix et décidais de laisser l’excitation se dissiper de mon corps. C’était mieux ainsi, je ne voulais pas éveiller les soupçons. Troublée, dans une sorte d’état second, je revenais progressivement à la réalité avant de reprendre le cours normal de ma vie.
Les murs qui séparent mon appartement de celui d’à côté sont épais comme du papier de riz, et mes voisins ne se soucient guère du dérangement qu’ils peuvent occasionner autour d’eux. Quand ils font l’amour, parfois plusieurs fois dans une même journée, ils ne retiennent rien de leurs cris de jouissance. C’est elle surtout que j’entends au cours de leurs ébats, lui est un peu moins bruyant, il lance parfois à sa partenaire quelques
« Humm, ton jus » ou encore « tu aimes mes coups de queue »,
mais il reste le plus souvent silencieux jusqu’au moment de l’orgasme. Je sais toujours quand il éjacule, un long râle traverse la paroi qui sépare nos deux appartements. J’ai parfois l’impression que nous sommes dans la même pièce. Au début, lorsqu’ils ont aménagé, je me sentais plutôt gênée par la situation. Après quelques jours, j’étais bien décidée de leur demander de faire moins de bruit, mais je ne l’ai finalement jamais fait. Lorsque nous nous croisons parfois sur le pallier de la porte, nous échangeons quelques mots sur le temps qu’il fait, le plus souvent nous n’échangeons qu’un courtois « bonjour ». Elle, c’est une jolie fille, brune avec de grands yeux noisette. Son visage aux traits fins affiche toujours un sourire généreux. Elle a de petits seins, plus petits que les miens, et de longues jambes merveilleusement galbées qu’elle sait mettre en valeur. Elle est consciente de la beauté de son corps et elle en joue avec subtilité, ça se voit. Elle porte toujours des bas noirs, unis ou ornés de motifs, sous des jupes courtes, parfois même très courtes, flottantes ou moulantes, toujours sexy mais jamais vulgaire. Sa démarche chaloupée et fluide atteste de sa sensualité. Lui est un homme au physique plutôt commun. Nous nous croisons parfois sur le pallier. Un jour, alors qu’il m’aidait à monter une bouteille de gaz jusque dans ma cuisine, je lui ai proposé de boire un café avant de partir. Il a refusé en prétextant qu’il avait des choses urgentes à traiter pour son travail. Il m’a invité à ne pas hésiter à faire appel à lui en cas de besoin. Puis il m’a serré la main. Au contact de cette main chaude et puissante, une onde étrange a parcouru mon corps tout entier. Son regard lumineux et fixant a provoqué en moi une deuxième onde plus puissante encore, dressant instantanément le bout de mes seins, parcourant l’intérieur de mes cuisses pour remonter jusqu’à mon sexe subitement gonflé d’excitation. Je sentais en quelques fractions de seconde ma culotte se tremper. Terriblement gênée, je retirais brusquement ma main de la sienne. Il m'adressa alors un sourire amusé, comme s’il avait compris ce qui venait de se produire en moi, comme si la vibration qui venait de traverser mon corps de part en part était remontée jusqu’à lui, jusqu’à cette main que je venais de lâcher. Il m’a répété que je ne devais pas hésiter à faire appel à lui au besoin. Je l’ai remercié et je n’ai pu m’empêcher de jeter un œil furtif sur la bosse que son sexe formait sous son pantalon en toile, avant qu’il ne disparaisse dans son appartement. Je ne savais comment interpréter cette dernière phrase. Je m’imposais d’oublier cette scène en me plongeant dans mon livre, je m’installais confortablement dans mon canapé. A peine trois minutes écoulées, des gémissements provenant des chez mes voisins commencèrent à se faire entendre. Je devinais qu’il avait remonté la jupe de sa partenaire et la léchait déjà gouluement. Elle lui criait bientôt :
« lèche-moi bien de bas en haut, lèche-moi, continue, je veux jouir comme ça, lèche-moi jusqu’à l’orgasme, Humm, Ouiii… ».
L’excitation qui avait envahit mon corps n’avait pas eu le temps de s’éteindre et les gémissements de mes voisins déclenchaient à nouveau cette onde sensuelle que je sentais grandir dans mon corps. Instinctivement, j’écartais les jambes, je soulevais ma jupe et je posais doucement mes doigts sur le tissu fin qui cachait mon sexe. Je constatais que ma petite culotte de dentelles bleues était totalement trempée. Comme perdant le contrôle de mes gestes, une force irrésistible me poussait à écarter ce petit bout d’étoffe sur le côté. Je glissais deux doigts entre mes grandes lèvres brûlantes, je commençais à masser délicatement mon clitoris. De l’autre main, je caressais du bout des doigts mon ventre avec sensualité, puis, je remontais lentement sous mon chemisier par atteindre mes seins durcis et érigés par l’excitation. J’entendais toujours les cris de jouissance de ma voisine qui allaient en s’intensifiant :
« lèche, lèche encOoore, je vais veniiir, je vais venir sur ta bouche, Aahh… ».
Les mouvements de ma main sur mon sexe s’accéléraient maintenant, mon corps se relâchait et mes reins se cambraient avec frénésie, mes doigts courraient, tout au long de mon entre jambes, de mon clitoris à mon anus, étalant mon jus sur toute la longueur du vallon que forme l’intérieur de mes fesses, deux doigts plongeant tantôt dans ma chatte, tantôt dans mon anus. J’avais envie de me laisser totalement transporter par le plaisir, de crier aussi fort qu’eux. J’avais envie de sentir la langue de cet homme qui m’avait tant troublé quelques instants auparavant, courir sur mon sexe à la place de mes mains, comme il était en train de le faire sur celui de sa compagne. Je parvenais à réfréner mes soupirs, tout au moins de manière à ce qu’ils ne puissent pas m’entendre. Soudain, j’entendais un long râle puissant
« Ouiii, là, j’y suiiiis, AaaaHhhh… »
je comprenais qu’elle était en train d’atteindre le septième ciel, le timbre de sa voix laissait croire qu’elle frôlait le nirvana, l’extase absolue. Je continuais à me masturber énergiquement, malaxant mes seins, mon ventre, mes fesses tour à tour. Soudain, mes libidineux voisins redevenaient silencieux. Deux choix s’offraient alors à moi : soit j’allais jusqu’au bout et je savais que ne pourrais retenir mes cris de jouissance, mes voisins devineraient alors aisément ce que je suis en train de faire ; soit j’en restais là, sans atteindre l’orgasme. J’optais sagement pour le second choix et décidais de laisser l’excitation se dissiper de mon corps. C’était mieux ainsi, je ne voulais pas éveiller les soupçons. Troublée, dans une sorte d’état second, je revenais progressivement à la réalité avant de reprendre le cours normal de ma vie.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Frustrant au max mais efficace pour se préparer à plus....
Très bien écrit,j'aurais pas pu mieux faire.
Même courte,cette histoire fait suinter ma verge.merci
Je reve de voisins comme ceux-là
Tu aurais du te faire jouir....