MESSAGE SURPRISE - 2
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MESSAGE SURPRISE - 2
La réunion s’est achevée et Robert Gaillard resta immobile pendant quelques brèves secondes, puis rassembla ses affaires pour retourner dans son bureau.
"Tout va bien ?" lui a demandé son collègue.
"Bien. Très bien. Pourquoi ?"
"Tu semblais un peu…"
"Un peu quoi ?"
Le gars haussa les épaules : "Un peu contrarié. Je t'ai vu regarder ton téléphone. As-tu reçu une mauvaise nouvelle? Quelqu'un est mort ?"
"Non. Personne n'est mort. Et tout va bien !"
Et bien, personne n'est mort, pas vraiment. Son mariage n’était pas «quelqu'un». Biologiquement, ni sa femme, ni lui n’étaient morts. Psychologiquement ? Était-il psychologiquement mort ? Pas encore. C'était seulement un ressenti.
"Bon, je ne voudrais pas être impoli, mais j’ai quand même du boulot ..."
"Ouais, je vois que tu es pressé, nous parlerons de tout ça plus tard."
"Ouais, à plus tard."
Le couloir. Au bout du couloir, l'ascenseur. Attendre l'ascenseur, debout, là, comptant chaque seconde angoissante ...
Robert Gaillard réalise qu'il respire fortement et que son cœur bat la chamade. Cet ascenseur est d’une lenteur désespérante. Un autre couloir. Finalement, son bureau. Il entre et referme la porte. Enfin seul. Il n’allume pas la lumière. La lumière crépusculaire de cette fin de journée lui suffit.
Machinalement, il s’installe à son bureau et range ses papiers, ses dossiers. Voilà, il a fini ce qu’il avait à faire. Plus rien ne l’empêche de regarder une nouvelle fois cette putain de vidéo. Il regarde son putain de téléphone comme si c’était lui le coupable. Aura-t-il le courage de regarder une nouvelle fois les turpitudes de sa femme ? La première fois, c’était comme s’il recevait un coup de poignard en plein cœur. Mais la deuxième ?
Après quelques profondes respirations, il appuya sur «lecture». C'était pire que la première fois. Des détails, négligés lors de la première visualisation, lui sautaient au yeux. Les bijoux de sa femme, qu’il lui avait offerts. La chaîne, autour de son cou, avec sa croix, ses boucles d’oreille, ses bracelets. Incroyable. Elle a tout quitté pour sucer la bite de son amant noir. Mais elle a gardé son alliance. Que son alliance. Pourquoi cette mise en scène ?
Il a vérifié l’identifiant de l’appareil qui lui avait envoyé ce fichier vidéo. Numéro inconnu. Ni sa femme, ni son patron. Qui lui avait envoyé cette merde ? Qui voulait qu'il sache ? Pourquoi ? Sa femme ? Voulait-elle qu'il sache ? Serait-elle là, quand il rentrerait chez lui ? Lui en parlerait-elle ? Osera t-il lui montrer la vidéo ? Osera-t-il lui dire qu’il sait qu'elle suçait son patron ... son amant noir ?
Toutes ces questions tournaient dans sa tête. Il a pris une profonde inspiration.
"Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? C'est elle qui m’a trompé. C'est elle la salope qui a des relations sexuelles avec mon patron. C'est elle qui commet l'adultère. Pourquoi ai-je peur d'être découvert ? Pourquoi ai-je peur qu'elle sache que je sais ? Elle devrait trembler devant moi, pas moi devant elle. Quel est mon problème ?"
Il a regardé une nouvelle fois cette putain de vidéo. Espérant quoi ? Qu’il s’était trompé, que ce n’était pas sa femme, pas son patron, pas sa maison ? Il a examiné chaque détail. C’était elle. Définitivement elle. Son visage, ses cheveux, son rouge à lèvres, son alliance. C’était sa maison, chez lui, dans son bureau C’était son patron qui était assis là, dans son fauteuil, tandis que sa femme, entièrement nue, agenouillée, le suçait voluptueusement.
Il a regardé la vidéo une sixième fois ... ou était-ce la dixième fois ? Il avait perdu le compte. Il perdait la tête. Sa gorge était sèche, douloureusement sèche. Il sortit une bouteille d'eau du tiroir de son bureau et bu une gorgée.
Que s'est-il passé après qu’ils aient tourné cette vidéo, se demandait-il. Ont-ils baisé ? Dans son lit? Pourquoi l’a-t-elle sucé dans le bureau ? Pourquoi sucer dans le bureau, si la chambre à coucher est disponible ? Pourquoi reçoit-elle son amant chez elle, dans sa maison? Son patron pouvait s'offrir une chambre d'hôtel. Il pouvait se permettre une dépense minime pour baiser la femme d’un employé, sans craindre d’être surpris, découvert, dérangé …
Il s'en fichait d’être démasqué. Peut-être que le but de cette vidéo, c’était de lui révéler son infortune.
"Hé, connard, je baise te femme. Ta bourgeoise s’est déshabillée, elle sucé ma bite, et je l’ai baisée. Chez toi, dans ta maison, dans ton fauteuil. Si ça ne te plaît pas, va te faire foutre."
Était-ce cela, le but ? Qu'est-ce qu’il voulait ? Pour avoir le droit de le piétiner ?
Les lois sur le harcèlement sexuel lui sont venues à l'esprit. Son patron ne pouvait même pas féliciter une collaboratrice dans l’entreprise parce que c'était du «harcèlement». Mais qu'en est-il de cela? Le patron qui baise la femme d'un employé ? Était-ce du harcèlement si sa propre femme suçait la bite de son patron ?
Quand cette vidéo a-t-elle été tournée ? Il l’avait reçue tout à l’heure. D’un numéro inconnu. Appeler ce numéro ? Osera-t-il ? Cette vidéo a-t-elle été envoyée accidentellement ? Intentionnellement ? Il appellera le numéro. Pas maintenant. Plus tard. Il l’appellera d’un autre téléphone pour que son numéro ne soit pas identifié.
Encore une fois, il a regardé la vidéo, à la recherche d'indices. À quel moment ? Quand a-t-elle été tournée ? Tout était actuel, pour autant qu'il sache. La coiffure de sa femme était actuelle. Aucun vêtement sur elle. Le bureau n’avait pas de modifications récentes. N’importe quand, aujourd’hui, cette semaine, au cours des derniers mois.
Il a interrompu la lecture. Sa femme était figée dans le mouvement. Elle était poignardée par la bite de son patron ... jusqu'au bout. La totalité de cet énorme pieu de chair était dans sa bouche. Sa main était sur la cuisse de son patron. Sa petite main blanche, avec l'alliance qui brillait.
Pourquoi n'avait-elle pas ôté son alliance ? Elle avait tout enlevé. Ses vêtements, ses bijoux. C'était pour afficher son infidélité, sa trahison ? Exhiber son alliance, pour le blesser plus profondément ? Étrange, non ?
La porte de son bureau s'est ouverte. C'était sa secrétaire : "M. Gaillard ? Tout va bien ?"
"Ouais. Tout va bien. Qu'est-ce que vous voulez ?"
"Je me demandais si vous étiez encore là. Pourquoi restez-vous assis dans le noir ?"
"Il ne fait pas encore nuit. Il y a encore assez de lumière qui entre par la baie vitrée."
Ses yeux se posèrent sur son bureau, sur son téléphone. Rapidement, il l'a recouvert d'un dossier.
"Qu'est-ce que vous vouliez ?"
"J'ai terminé tout le travail que vous m'aviez donné."
"Génial. Merci. Autre chose ?"
"Non. Rien d'autre. Pourrais-je partir un peu plus tôt aujourd'hui, si vous n’avez rien d’autre ?"
"C'est d’accord. À demain."
"Génial ! À demain !"
La porte se referma. Dieu merci. Seul. Seul avec sa rage. Sa douleur. Sa peur. Rien ne sera plus jamais pareil. Sa vie ne sera plus jamais pareille. Il voulait rentrer à la maison, mais une partie de son esprit voulait qu’il se ressaisisse et qu’il réfléchisse.
Peut-être qu'il devrait appeler le portable de sa femme. Faire un test. Voir comment elle réagit. Va-t-elle lui demander, d’un air ironique, s’il avait apprécié la qualité de sa prestation ? Que répondra-t-il?
"Oui, ma chérie, tu étais sensationnelle !"
Le reconnaîtra-t-il? Ou est-ce qu'il jouera l'idiot en prétendant qu’il avait eu beaucoup de travail, et qu'il n'avait pas vérifié ses messages dans sa boîte de réception ?
Il prit une autre profonde inspiration et jeta un regard sur sa montre. Il était trop tôt, mais il pouvait partir tôt. Il avait ce pouvoir, cette latitude. Et s'il rentrait chez lui maintenant, et les trouvait au lit ? Vous l'avez surprise nue, agenouillée, en train de sucer sa bite? Dans le lit conjugal ? Cette putain de salope ?
Il secoua négativement la tête. Ce scénario ne lui convenait pas. Peut-être devrait-il d'abord appeler son patron. Il voulait désespérément appeler quelqu'un, pour comprendre, pour agir. Mais faire quoi ?
Encore et encore, l'image de cette énorme bite s’imprimait dans son esprit. Encore et encore, la passion et l'enthousiasme de sa femme. Une bite deux fois plus grosse que la sienne, peut-être plus. Plus que la taille ... c'était ... la puissance. Le pouvoir. Et elle parvenait à enfourner la totalité de cette monstruosité dans sa bouche, dans sa gorge. Puis, elle suçait ses couilles. Énormes. Gonflées de sperme. Elle les soupesait dans sa petite main blanche.
Bien évidemment, elle était hypnotisée par la taille disproportionnée de ses couilles et de sa queue. Lisse, luisante, les veines saillantes, le gland circoncis. C'était une œuvre d'art. Son patron était relativement costaud, et cela le faisait paraître encore plus grand, encore plus puissant, encore plus dominant.
L'image finale le hantait. L'image finale de cet homme déchargeant son sperme dans sa bouche. Elle le recevait, puis elle ouvrait sa bouche pour bien montrer cette énorme paquet de crème blanche sur sa langue. Puis elle fermait la bouche pour déglutir. Elle a avalé tout son sperme ... souriante, heureuse de s’abaisser, de s’avilir. Et elle regardait la caméra, pleinement consciente d’être enregistrée, pour être montrée, pour l’éternité.
Pourquoi ? Pourquoi diable faisait-elle cela ? Ce consentement, pour être enregistrée ? Ce n’était plus une aventure, c'était autre chose. Mais, pourquoi l’enregistrer ? L’enregistrer pour le conserver ? Pour le montrer ? Pour être mis en ligne, transmis Dieu sait où, à Dieu sait qui. C'était si bon ?
Il frissonna. Apparemment, oui, c'était si bon. Cette énorme bite. Il ne pouvait pas sortir cela de son esprit. Le plaisir de sa femme. Son enthousiasme. Comment pouvait-il rivaliser avec cela, avec cet engin monstrueux ?
Il l'a regardée ... une fois de plus. Les images, maintenant familières, il découvrait de nouveaux détails qu’il avait négligés auparavant. La lampe. Chaque détail, c’était comme un coup de couteau dans le cœur. Chaque détail.
Mais surtout, chaque fois qu'elle plongeait, engloutissant toute la longueur de cette bite. Comment était-ce possible ? Anatomiquement possible ? Pour sa femme, une bite aussi grande ?
Bien sûr, il avait entendu parler de gorge profonde. Comme tout le monde. Mais ça restait un truc de spécialiste. D’actrices pornos. Qui avaient subies un entraînement spécial … une opération ?
Son cœur se serra. Comment avait-elle découvert qu’elle avait ce don ? Pas avec lui, en tout cas. C'était sa petite femme blanche qui l'abandonnait pour la grosse bite de son amant noir, son propre patron.
Il ne pouvait plus se retenir. Il éteignit son portable et composa le numéro du portable de sa femme sur son téléphone de bureau. De cette façon, elle pourrait ne pas savoir, s'il avait vu la vidéo. Ça sonnait dans le vide ... il essayait de penser à ce qu’il allait dire quand elle décrocherait ... si elle décrochait.
"Tout va bien ?" lui a demandé son collègue.
"Bien. Très bien. Pourquoi ?"
"Tu semblais un peu…"
"Un peu quoi ?"
Le gars haussa les épaules : "Un peu contrarié. Je t'ai vu regarder ton téléphone. As-tu reçu une mauvaise nouvelle? Quelqu'un est mort ?"
"Non. Personne n'est mort. Et tout va bien !"
Et bien, personne n'est mort, pas vraiment. Son mariage n’était pas «quelqu'un». Biologiquement, ni sa femme, ni lui n’étaient morts. Psychologiquement ? Était-il psychologiquement mort ? Pas encore. C'était seulement un ressenti.
"Bon, je ne voudrais pas être impoli, mais j’ai quand même du boulot ..."
"Ouais, je vois que tu es pressé, nous parlerons de tout ça plus tard."
"Ouais, à plus tard."
Le couloir. Au bout du couloir, l'ascenseur. Attendre l'ascenseur, debout, là, comptant chaque seconde angoissante ...
Robert Gaillard réalise qu'il respire fortement et que son cœur bat la chamade. Cet ascenseur est d’une lenteur désespérante. Un autre couloir. Finalement, son bureau. Il entre et referme la porte. Enfin seul. Il n’allume pas la lumière. La lumière crépusculaire de cette fin de journée lui suffit.
Machinalement, il s’installe à son bureau et range ses papiers, ses dossiers. Voilà, il a fini ce qu’il avait à faire. Plus rien ne l’empêche de regarder une nouvelle fois cette putain de vidéo. Il regarde son putain de téléphone comme si c’était lui le coupable. Aura-t-il le courage de regarder une nouvelle fois les turpitudes de sa femme ? La première fois, c’était comme s’il recevait un coup de poignard en plein cœur. Mais la deuxième ?
Après quelques profondes respirations, il appuya sur «lecture». C'était pire que la première fois. Des détails, négligés lors de la première visualisation, lui sautaient au yeux. Les bijoux de sa femme, qu’il lui avait offerts. La chaîne, autour de son cou, avec sa croix, ses boucles d’oreille, ses bracelets. Incroyable. Elle a tout quitté pour sucer la bite de son amant noir. Mais elle a gardé son alliance. Que son alliance. Pourquoi cette mise en scène ?
Il a vérifié l’identifiant de l’appareil qui lui avait envoyé ce fichier vidéo. Numéro inconnu. Ni sa femme, ni son patron. Qui lui avait envoyé cette merde ? Qui voulait qu'il sache ? Pourquoi ? Sa femme ? Voulait-elle qu'il sache ? Serait-elle là, quand il rentrerait chez lui ? Lui en parlerait-elle ? Osera t-il lui montrer la vidéo ? Osera-t-il lui dire qu’il sait qu'elle suçait son patron ... son amant noir ?
Toutes ces questions tournaient dans sa tête. Il a pris une profonde inspiration.
"Qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? C'est elle qui m’a trompé. C'est elle la salope qui a des relations sexuelles avec mon patron. C'est elle qui commet l'adultère. Pourquoi ai-je peur d'être découvert ? Pourquoi ai-je peur qu'elle sache que je sais ? Elle devrait trembler devant moi, pas moi devant elle. Quel est mon problème ?"
Il a regardé une nouvelle fois cette putain de vidéo. Espérant quoi ? Qu’il s’était trompé, que ce n’était pas sa femme, pas son patron, pas sa maison ? Il a examiné chaque détail. C’était elle. Définitivement elle. Son visage, ses cheveux, son rouge à lèvres, son alliance. C’était sa maison, chez lui, dans son bureau C’était son patron qui était assis là, dans son fauteuil, tandis que sa femme, entièrement nue, agenouillée, le suçait voluptueusement.
Il a regardé la vidéo une sixième fois ... ou était-ce la dixième fois ? Il avait perdu le compte. Il perdait la tête. Sa gorge était sèche, douloureusement sèche. Il sortit une bouteille d'eau du tiroir de son bureau et bu une gorgée.
Que s'est-il passé après qu’ils aient tourné cette vidéo, se demandait-il. Ont-ils baisé ? Dans son lit? Pourquoi l’a-t-elle sucé dans le bureau ? Pourquoi sucer dans le bureau, si la chambre à coucher est disponible ? Pourquoi reçoit-elle son amant chez elle, dans sa maison? Son patron pouvait s'offrir une chambre d'hôtel. Il pouvait se permettre une dépense minime pour baiser la femme d’un employé, sans craindre d’être surpris, découvert, dérangé …
Il s'en fichait d’être démasqué. Peut-être que le but de cette vidéo, c’était de lui révéler son infortune.
"Hé, connard, je baise te femme. Ta bourgeoise s’est déshabillée, elle sucé ma bite, et je l’ai baisée. Chez toi, dans ta maison, dans ton fauteuil. Si ça ne te plaît pas, va te faire foutre."
Était-ce cela, le but ? Qu'est-ce qu’il voulait ? Pour avoir le droit de le piétiner ?
Les lois sur le harcèlement sexuel lui sont venues à l'esprit. Son patron ne pouvait même pas féliciter une collaboratrice dans l’entreprise parce que c'était du «harcèlement». Mais qu'en est-il de cela? Le patron qui baise la femme d'un employé ? Était-ce du harcèlement si sa propre femme suçait la bite de son patron ?
Quand cette vidéo a-t-elle été tournée ? Il l’avait reçue tout à l’heure. D’un numéro inconnu. Appeler ce numéro ? Osera-t-il ? Cette vidéo a-t-elle été envoyée accidentellement ? Intentionnellement ? Il appellera le numéro. Pas maintenant. Plus tard. Il l’appellera d’un autre téléphone pour que son numéro ne soit pas identifié.
Encore une fois, il a regardé la vidéo, à la recherche d'indices. À quel moment ? Quand a-t-elle été tournée ? Tout était actuel, pour autant qu'il sache. La coiffure de sa femme était actuelle. Aucun vêtement sur elle. Le bureau n’avait pas de modifications récentes. N’importe quand, aujourd’hui, cette semaine, au cours des derniers mois.
Il a interrompu la lecture. Sa femme était figée dans le mouvement. Elle était poignardée par la bite de son patron ... jusqu'au bout. La totalité de cet énorme pieu de chair était dans sa bouche. Sa main était sur la cuisse de son patron. Sa petite main blanche, avec l'alliance qui brillait.
Pourquoi n'avait-elle pas ôté son alliance ? Elle avait tout enlevé. Ses vêtements, ses bijoux. C'était pour afficher son infidélité, sa trahison ? Exhiber son alliance, pour le blesser plus profondément ? Étrange, non ?
La porte de son bureau s'est ouverte. C'était sa secrétaire : "M. Gaillard ? Tout va bien ?"
"Ouais. Tout va bien. Qu'est-ce que vous voulez ?"
"Je me demandais si vous étiez encore là. Pourquoi restez-vous assis dans le noir ?"
"Il ne fait pas encore nuit. Il y a encore assez de lumière qui entre par la baie vitrée."
Ses yeux se posèrent sur son bureau, sur son téléphone. Rapidement, il l'a recouvert d'un dossier.
"Qu'est-ce que vous vouliez ?"
"J'ai terminé tout le travail que vous m'aviez donné."
"Génial. Merci. Autre chose ?"
"Non. Rien d'autre. Pourrais-je partir un peu plus tôt aujourd'hui, si vous n’avez rien d’autre ?"
"C'est d’accord. À demain."
"Génial ! À demain !"
La porte se referma. Dieu merci. Seul. Seul avec sa rage. Sa douleur. Sa peur. Rien ne sera plus jamais pareil. Sa vie ne sera plus jamais pareille. Il voulait rentrer à la maison, mais une partie de son esprit voulait qu’il se ressaisisse et qu’il réfléchisse.
Peut-être qu'il devrait appeler le portable de sa femme. Faire un test. Voir comment elle réagit. Va-t-elle lui demander, d’un air ironique, s’il avait apprécié la qualité de sa prestation ? Que répondra-t-il?
"Oui, ma chérie, tu étais sensationnelle !"
Le reconnaîtra-t-il? Ou est-ce qu'il jouera l'idiot en prétendant qu’il avait eu beaucoup de travail, et qu'il n'avait pas vérifié ses messages dans sa boîte de réception ?
Il prit une autre profonde inspiration et jeta un regard sur sa montre. Il était trop tôt, mais il pouvait partir tôt. Il avait ce pouvoir, cette latitude. Et s'il rentrait chez lui maintenant, et les trouvait au lit ? Vous l'avez surprise nue, agenouillée, en train de sucer sa bite? Dans le lit conjugal ? Cette putain de salope ?
Il secoua négativement la tête. Ce scénario ne lui convenait pas. Peut-être devrait-il d'abord appeler son patron. Il voulait désespérément appeler quelqu'un, pour comprendre, pour agir. Mais faire quoi ?
Encore et encore, l'image de cette énorme bite s’imprimait dans son esprit. Encore et encore, la passion et l'enthousiasme de sa femme. Une bite deux fois plus grosse que la sienne, peut-être plus. Plus que la taille ... c'était ... la puissance. Le pouvoir. Et elle parvenait à enfourner la totalité de cette monstruosité dans sa bouche, dans sa gorge. Puis, elle suçait ses couilles. Énormes. Gonflées de sperme. Elle les soupesait dans sa petite main blanche.
Bien évidemment, elle était hypnotisée par la taille disproportionnée de ses couilles et de sa queue. Lisse, luisante, les veines saillantes, le gland circoncis. C'était une œuvre d'art. Son patron était relativement costaud, et cela le faisait paraître encore plus grand, encore plus puissant, encore plus dominant.
L'image finale le hantait. L'image finale de cet homme déchargeant son sperme dans sa bouche. Elle le recevait, puis elle ouvrait sa bouche pour bien montrer cette énorme paquet de crème blanche sur sa langue. Puis elle fermait la bouche pour déglutir. Elle a avalé tout son sperme ... souriante, heureuse de s’abaisser, de s’avilir. Et elle regardait la caméra, pleinement consciente d’être enregistrée, pour être montrée, pour l’éternité.
Pourquoi ? Pourquoi diable faisait-elle cela ? Ce consentement, pour être enregistrée ? Ce n’était plus une aventure, c'était autre chose. Mais, pourquoi l’enregistrer ? L’enregistrer pour le conserver ? Pour le montrer ? Pour être mis en ligne, transmis Dieu sait où, à Dieu sait qui. C'était si bon ?
Il frissonna. Apparemment, oui, c'était si bon. Cette énorme bite. Il ne pouvait pas sortir cela de son esprit. Le plaisir de sa femme. Son enthousiasme. Comment pouvait-il rivaliser avec cela, avec cet engin monstrueux ?
Il l'a regardée ... une fois de plus. Les images, maintenant familières, il découvrait de nouveaux détails qu’il avait négligés auparavant. La lampe. Chaque détail, c’était comme un coup de couteau dans le cœur. Chaque détail.
Mais surtout, chaque fois qu'elle plongeait, engloutissant toute la longueur de cette bite. Comment était-ce possible ? Anatomiquement possible ? Pour sa femme, une bite aussi grande ?
Bien sûr, il avait entendu parler de gorge profonde. Comme tout le monde. Mais ça restait un truc de spécialiste. D’actrices pornos. Qui avaient subies un entraînement spécial … une opération ?
Son cœur se serra. Comment avait-elle découvert qu’elle avait ce don ? Pas avec lui, en tout cas. C'était sa petite femme blanche qui l'abandonnait pour la grosse bite de son amant noir, son propre patron.
Il ne pouvait plus se retenir. Il éteignit son portable et composa le numéro du portable de sa femme sur son téléphone de bureau. De cette façon, elle pourrait ne pas savoir, s'il avait vu la vidéo. Ça sonnait dans le vide ... il essayait de penser à ce qu’il allait dire quand elle décrocherait ... si elle décrochait.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est vrai qu'on reste sur notre faim
Une suite prometteuse, vive les prochains épisodes
Magnifique !
Impatient de voir la suite.
Merci.
Impatient de voir la suite.
Merci.
Je suis resté sur ma faim avec des sentiments mitigés en lisant la première partie de
votre récit, mais là ça promet.....
Très bien écrit avec une description quasi psychologique des sentiments et des craintes
de notre héros.
Un grand bravo Tamalou.
Vivement une suite aussi grandiose que la trahison est insupportable.
Xav.
votre récit, mais là ça promet.....
Très bien écrit avec une description quasi psychologique des sentiments et des craintes
de notre héros.
Un grand bravo Tamalou.
Vivement une suite aussi grandiose que la trahison est insupportable.
Xav.