Messieurs, occupez-vous bien d’elle ! - histoire érotique

Depuis notre séjour en Sologne (voir « ma femme, cette grosse cochonne insoupçonnée), nos relations entre Val et moi on bien évoluées. Les soirée sont plus coquines, plus sexy, tout cela depuis que je l’ai vu se faire prendre par deux gars dans le salon de la maison d’hôte. Nous avons même regardé un petit film X afin d’aiguiser nos sens et nous donner des idées, ainsi qu’acheté quelques sex-toys et huiles diverses.
Un soir nous revenons sur cette aventure où je l’ai regardée se faire prendre, et elle me demande si j’aimerais renouveler l’expérience, pour moi, et également pour elle.

« Tu sais, autant j’ai aimé me faire prendre et que tu regardes pour m’exciter encore plus, autant j’aimerai que tu baises d’autres filles devant moi, je crois que cela m’exciterai également pas mal. Qu’en dis-tu ? »« Tu sais me prendre par les sentiments toi. Oui, même si c’est bizarre, je pense que j’aimerai de nouveau te voir te faire prendre dans tous les sens. Et bien évidemment, c’est le rêve de tout homme que de faire l’amour à d’autres femmes ».
« Tu connais un club, où nous pourrions réaliser cela ? »« Nous sommes à Paris, je ne connais pas ce genre de club, mais je pense que si l’on cherche un peu cela de devrait pas poser de problème. Je m’en occupe, laisse-moi faire ».

Quelques instant plus tard je suis sur internet à la recherche d’un club échangiste parisien. Je fais le tri, il y en a des dizaines, et je recherche un truc simple, pas trop grosse boite, plutôt « cosi » pas beaucoup de monde, avec quelques photos des salles dans lesquelles tous ces couples illégitimes se donnent à 100% pour du pur plaisir.
Je trouve quelque chose de pas mal, je prends mon téléphone pour des renseignements et pourquoi pas un rendez-vous.
« Bonjour, j’appelle car c’est pour la première fois dans un établissement de club échangiste. J’aimerai savoir comment cela se déroule, ce qu’il faut emmener etc ».
« Bonjour Monsieur, et bien venez accompagné d’une femme, car il doit y avoir autant d’hommes de femmes, il y a un droit d’entré de 50€ par personne puis douche obligatoire à l’entrée pour tout le monde. Ensuite nous avons des « rooms » où les gens discutent un peu de ce qu’ils recherchent avec d’autres couples et c’est tout. vous restez le temps que vous souhaitez, avec qui vous souhaitez. Nous avons en prêt de la lingerie, des sex-toys et autres accessoires ».
« Serait-il possible de faire une réservation pour jeudi soir ? ».

Voilà, c’est fait, nous avons notre réservation sur une péniche des quais de Seine jeudi dans 5 jours. Je tiens informé Val, qui prend l’information et me dit OK. Je suis un peu déçu, je pensais qu’elle aurait été un peu plus emballée. Bref, on verra.

Le fameux jeudi soir arrive, je me prépare, bien rasé, coiffé, je m’habille bien. Val, elle, porte un pantalon noir tout simple, avec un chemisier noir également, et des ballerines. Bref, pas super sexy, je ne sais pas si elle va attirer grand monde comme cela. Dans la voiture, nous abordons un peu le sujet, l’appréhension pour elle et moi, mais tout va bien. Je gare la voiture à quelques rues de la péniche et nous dirigeons vers celle-ci à pied où nous croisons un couple qui vient également dans ce temple du plaisir. Nous nous dévisageons tous les quatre, et j’imagine que chacun pense à ce qu’il ferait aux autres.

«  Madame, Monsieur bonjour, ah oui, j’ai votre réservation, c’est votre première fois c’est bien cela ? »« Oui » annonce Val d’une voix franche et assurée. « Pourriez-vous nous donner quelques détails sur l’organisation s’il vous plait ».
« Et bien c’est très simple, vous avez la « rooms » N°3, c’est une petite alcôve avec quelques canapés et une table basse et un voile pour un peu d’intimité. Si le voile est ouvert, alors vous acceptez des gens, si le voile est tiré, personne ne rentre. Mais avant de prendre possession de votre salle, douche obligatoire pour tout le monde. Des préservatifs et du lubrifiant se trouvent dans les salles et en sorti de douche, des accessoires diverses si vous le souhaitez ainsi que de la lingerie ».

Nous déposons nos affaires dans l’alcôve qui nous est réservée, où une 1/2 bouteille de champagne nous attend. On bois un coup et nous nous dirigeons vers les douches. Rapide et efficace, nous nous retrouvons pour nous sécher devant quelques accessoires et de la lingerie.
« Val, tu veux qu’on essaie quelques trucs ? »« Oui, prend un cork Ring, j’aime bien cela, et habille toi avec ce string en cuir, ce tee-shirt transparent, ça va m’exciter de te voir comme cela ».
« Et moi, j’aimerai que tu prennes ce gode tout simple, et tu veux bien que je t’habille ? j’ai quelques idées ».
« Et bien vas-y, on est là pour cela ».

Je trouve une sorte de bustier semi-transparent que je lui donne, ainsi qu’une paire de bas noirs et des bottines à talons aiguilles. Elle se prépare…. j’ajoute une paire de gants qui remontent jusqu’aux coudes et un masque en dentelle. Nous retournons dans notre salle, je m’assieds sur le canapé et je la détaille de la tête aux pieds pendant qu’elle nous verse un verre de champagne.
Le masque noir en dentelle qui cache une partie de son visage, le bustier qui laisse pendre joliment ses seins, son cul et sa touffe épilée ainsi que les bas noirs qui se terminent par des jolies bottines pointues.
Elle boit un coup de champagne et se met à genoux sur la table basse me montrant son cul. Elle se baisse un peu, laissant sa croupe remonter et s’ouvrant encore plus. Elle se caresse la chatte et vient titiller un peu son anus.
« Passe moi le gode que j’excite un peu ces messieurs de passage » me dit-elle.
Je m’exécute, non sans lui donner un bon coup de langue sur ses parties. Je prends un peu de lubrifiant que je mets sur ses entrées et sur le gode que doucement je lui enfonce dans le sexe. Cette petite cérémonie attire déjà un couple qui regarde dans notre antre. Je les invite à s’assoir s’ils le souhaitent, ils doivent avoir la quarantaine, comme nous. Le type s’installe sur le fauteuil en face de Val et sa femme vient à coté de moi. Elle est assez mignonne, porte un jolie soutient-gorge rouge avec le string assorti ainsi que des longues bottes noires. Le mec, quant à lui est en boxer et je vois qu’il bande déjà comme un fou en matant Val qui se trémousse en s’enfonçant le gode doucement tout en gémissant un peu.
«  Fermons-nous le rideau de la salle ? » lance le gars.
« Non, pas encore, nous souhaiterions deux ou trois hommes pour ma femme, et j’aimerai la regarder, puis ensuite, lorsque cela sera terminé, je m’occuperai des femmes présentes, c’est ce que nous souhaitions faire ».
« Et bien cela me convient. Ça te va chérie ? » dit-il à sa compagne.
Elle rétorque que oui, tout en me caressant le sexe qui est déjà bien gonflé de désir, et d’images de ce qu’il va bientôt se dérouler.

Val pose le gode et descend de la table, s’assied à coté du mec. Elle a les jambes croisées, embrasse le gars tout en lui caressant la bite qui forme un pic dans son boxer. Il retire son boxer pour se mettre à l’aise, et Val s’agenouille entre ses cuisses pour le prendre en bouche. Il est aux anges et soupire de plaisir. Elle le pompe et lui malaxe les couilles en même temps.

Un autre couple passe intrigué que le rideau ne soit toujours pas tiré.
« Pouvons nous entrer et en profiter dit la jeune femme ? » Val se retourne, scrute nos nouveaux participants de haut en bas. L’homme est en tee shirt noir transparent, il doit assurément faire de la musculation étant donné sa carrure et porte un string en cuir. La femme, quant à elle en uniforme d’infirmière se caresse le sexe tout en regardant Val sucer le premier type.
« Bien entendu, venez nous rejoindre ».
Le second mec s’installe confortablement sur le canapé à coté du premier qui se fait toujours sucer, tandis qu’il caresse en même temps d’arrière train de ma petite femme. Il pose son regard sur le gode qu’il prend.
« Je peux te caresser avec cela ? »« Oui mon grand c’est fait pour cela ! vas-y doucement ».

Il se positionne derrière Val qui est a genoux entre les cuisses du premier mec et lui lèche la chatte bien humide avant d’y introduire doucement le gode et y faire quelques aller-retours. Il prend le lubrifiant et en répand sur les fesses et le petit trou de Val qui sent une sensation froide au niveau de l’anus car elle relève la tête et le regarde. Elle replonge la tête et avale goulument la tige du premier tandis qu’avec ses deux mains gantées, elle écarte doucement ses fesses, signe flagrant qu’elle n’attend qu’une seule chose. Durant qu’il continue ses aller-retours avec le gode dans le vagin de ma femme, de son autre main, il vient titiller l’anus de Val qui s’ouvre doucement.

Je bande comme un fou, les deux femmes sont à mes cotés et me caressent doucement la bite tandis que je les doigte doucement. Je sens qu’elles mouillent déjà en regardant leur jule se faire pomper et l’autre doucement sodomiser une belle inconnue de son doigt avant qu’y mettre le principal.

Le mec de derrière enfonce doucement le gode, mais un peu plus loin de d’habitude, Val émet un petit gémissement qui lui fait arrêter sa fellation. Un long filet de bave la relie au pieux du gars en transe sur le point d’éjaculer. Il décide de passer aux choses sérieuse, car le trou de Val s’est bien ouvert et il est prêt à recevoir la grosse bite de ce monsieur de passage. Il se lève doucement et vient poser son gland sur l’anus de Val qui s’ouvre doucement elle se laisse pénétrer sans peine. Val s’arrête et se lève, elle fait s’assoir celui qui veut la prendre par derrière, mais à sa déception, elle le suce, mais laisse grand ouvert son trou au premier gars, qui peu à présent la sodomiser à souhait et surtout cracher son foutre prêt à exploser. Les choses s’enchaînent, le rythme commence à s’accélérer. Les gémissements des uns et des autres attirent un autre couple, plutôt dans la cinquantaine. Val les invites à entrer.
La femme un peu grassouillette porte une guêpière et des cuissardes à talon aiguilles. Ses seins lourds pendent mais doivent être bons et délicieux à malaxer. Elle ne demande rien et vient à cheval face à moi et me fait littéralement téter ses seins tandis que je vois mes deux copines, ne sachant que faire, commencent à s’embrasser.

Son mari, quant à lui, s’approche de Val et lui caresse la tête. Elle s’arrête de sucer le second type et se lève, arrêtant du coup la sodomie du premier juste avant qu’il ne jute partout. Elle se met debout. Je sens que les éléments se précipitent.

Je me lance : « Et bien messieurs, occupez-vous de ma femme, léchez-la, sucez-la !! »
Le vieux s’installe à genoux devant et goute la touffe de Val lui caressant les cuisses gainées de bas noirs, tandis que le premier reste sur le cul de Val et introduit sa langue dans le cul en s’accrochant aux bottines à talons aiguilles. Tandis que le second lui lèche les seins. Je sens qu’elle part, elle est en transe, elle crie, elle jouit !!
« oh oui, !! encore ! encore, pénétrez moi, je sens vos langues me pénétrer ! c’est bon allez….. »
Les gars sont comme des fous. Le vieux s’assied sur le canapé, Val se met à califourchon dessus et se laisse prendre la fente humide. Le premier gars arrive doucement par derrière et la sodomise d’un seul coup.

« Une double, c’est bon les gars, allez-y pénétrez moi, prenez moi… Vient toi, que je te suce pendant que tu regardes les deux autres me prendre, vient que je te fasse jouir. Tu veux jouir sur moi hein, tu veux ton sperme sur mes seins, sur mon visage, tu veux peut être même que j’avale tout ça hein ! »« Oh oui, ça m’excite ma belle, vas-y suce moi comme jamais ».

Le second gars se positionne devant Val qui le pompe. Elle n’a plus grand chose à faire, il explose en elle. Elle en a plein la bouche et d’un seul coup. Tellement que Val recrache le tout sur le vieux. La vache, elle a failli s’étrangler avec le sperme du gars. Elle accélère le va et vient qui la prend par tous les trous. Les mecs accélèrent et ils éjaculent les uns après les autres. Je peux les entendre et les voir jouir dans un râle de plaisir .

Une fois terminé, ils se reposent tous sur le canapé où Val leur donne un dernier coup de langue afin de les nettoyer. Ils sont aux anges, Val aussi et moi … et bien moi aussi. Il ne me reste plus qu’à m’occuper de ces dames, mais c’est une autre histoire.