Métro 3
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Métro 3
Heureusement j’avais une fausse carte handicapée et il fallait aller vite j’ai garé la tire et juste attrapé le train pour la banlieue nord ou j’ai signalé ma présence. C’était chaud mais j’étais à l’heure pour le boulot. Le matin ce ne sont pas des pros qui arnaquent et j’en avais chopé cinq avant midi. Tout en matant je cherchais une solution pour qu’Hervé ai au moins une carte d’identité. Je pense qu’en ayant l’adresse des endroits où il avait bossé je pourrais avoir des preuves et au moins des traces.
Je mangeais un sandwich appuyé aux carreaux de la station St Denis quand un gamin a jeté à terre un portefeuille au moment où les portes se refermaient. Je n’ai eu qu’à choper le mec qui le ramassait et l’emmener aux vigiles en tenue. La journée s’est passée à trainer de stations en stations, surveillant tout du coin de l’œil. A Trocadéro autre attrape touristes j’en ai chopé un autre mais j’ai dû courir et revenir vers le mec qui avait son porte-carte à la main.
Je ne vous demande pas si c’est lui mais je l’ai vu jeter votre porte-carte et courir. Vous le signalez au poste ? C’est l’affaire de cinq minutes.
-Ok man, tank you i’m going.
Je les ai accompagnés et laissés là je pouvais laisser mon job, j’étais même un peu en retard mais j’ai attrapé mon train. Je ruminais sur ce môme et ses derniers mots quand j’étais parti.
J’ai failli rater la descente, ce train continuait vers Beauvais. La voiture était là, bardée de pub cachant à moitié ma carte et j’ai filé vers chez moi.
Il attendait au salon devant la télé. Au premier coup d’œil j’ai remarqué le changement. Rien ne trainait à part son slip sur le radiateur de la salle de bain.
Salut toi !
Il s’est levé pour cette fois me tendre les lèvres.
-Je ne sais même pas votre nom. Je n’ai cessé de penser à vous, votre gentillesse et … il a rougi, votre sexe.
Tom ira très bien. Je vais me doucher, je sens encore le métro.
Il m’a suivi ramassant mes fringues dès que je les ôtais. J’allais fermer la porte quand il l’a retenu.
-Je vous laisse les toilettes mais ouvrez pour vous doucher j’aime voir votre corps.
A ce propos tu te mettras nu quand j’arrive. J’aime aussi voir des choses agréables en arrivant. J’ai reniflé, tu as fait de la cuisine ?
-Oui ça mijote, mais allez aux toilettes, je vous attends pour la douche. J’ai vidé mes boyaux et ma vessie, m’essuyant avant de sortir. Il attendait devant la douche, nu.
-C’est cette tenue pour vous accueillir ?
En effet c’est plaisant. Je suis entré sous la douche Il m’a suivi, collé à moi.
-Laisse-moi faire, c’est la première fois que je fais ça et j’en ai très envie. Ferme les yeux je fais le shampoing.
Putain que ce mec était doux et affolant !
-Le temps qu’il fasse effet je vais te savonner, partout évidement. Je dois tout connaître de l’homme auquel je me donne.
Pour savonner partout, ça a été partout, même entre les fesses il est passé.
-Tu as de grosses couilles, j’aime bien. Plus grosses que les miennes mais ton anus est plus détendu que le mien je pense.
Tu auras le temps de tout savoir. Rince-moi je bande comme un fou !
-Oui j’ai vu je ne peux pas ne pas le voir. Il me remplit bien ce paf !
Une fois les cheveux rincés j’ai pu ouvrir les yeux. Toujours aussi beau, fin et rebondi là où il faut.
-Que vais-je faire de toi ! Te ramener pour aller sucer d’autres mecs ? Te laisser à la gendarmerie est un peu tard, j’aurais dû le faire hier. Tu me poses un gros problème !
-Viens t’installer au salon dans ton fauteuil on parlera un peu.
J’ai fini de me sécher et l’ai suivi, il tortillait des fesses de façon peut être involontaire mais affolante.
Tu n’aurais pas fait un peu de ménage ici toi ?
-Il fallait bien que je m’occupe et je voulais te faire plaisir.
Je me suis assis. Le salon avait dû être dépoussiéré ce que je fais que rarement et le tapis disposé différemment changeait la pièce.
Il m’a tendu un verre.
-Pur malt ? J’ai vu qu’il te plaisait, il y a plusieurs distilleries dans ton bar.
Tu as nettoyé toute la maison ?
-Non j’ai fait deux pas dans l’escalier de ta cave et je ne suis pas rentré, ce doit être ton coin privé.
Il s’était assis sur le tapis, la tête entre mes cuisses, appuyé sur le côté il me regardait, souriant. Je sentais ma queue se déployer contre sa joue.
-Tu veux un peu de suite et tout ce soir ?
Attend. Pour demain j’ai besoin des adresses où tu as travaillé et été enregistré, je pourrais retrouver de quoi déclarer la perte de ta pièce d’identité. C’est important pour toi et moi. Je pourrais commencer les démarches et récupérer un certificat de ta carte verte pour la sécu et tu ne payeras pas l’examen de sang. Ne réponds pas la bouche pleine petite salope.
Il s’est dégagé de ma queue.
Tu n’aimes ça en buvant ton verre ?
Son petit air mutin m’a poussé à le remettre sur ma bite. Suce et tais-toi.
Les deux plaisirs, du malt tourbé et de sa bouche sur mon sexe qui activait je montais au ciel. Je l’ai tenu de la main sur mon gland et j’ai joui en avalant le reste du verre.
-Toi tu bois ton malt et-moi ton jus de mec. Cette vie-là me plait bien. Attend que je nettoie bien.
Ce petit con m’aurait asséché ! Bon ça suffit. On mange ?
-Oui donne-moi ton verre. Il est passé pendant que je me levais et il a été nettoyer mon verre pendant que je m’asseyais. La table était mise, nappe blanc immaculé, assiettes de mes grands-parents, il avait même sorti les couverts en argent et de beaux verres sorti de je ne sais où.
Tu as fait des frais !
-Non mais c’est un de mes métiers alors il faut que ça serve.
En cuisine aussi tu as du bien apprendre à sentir l’odeur.
-J’ai fait avec ce que tu avais au congélateur et au frigo c’est simple.
Il a placé un fait-tout entre nos deux places et ôté le couvercle, c’était bien ce que j’avais senti une blanquette de veau et qui sentait très bon !
Si tu restes il faudra te payer pour faire la cuisine et le ménage.
-Tu sais bien comment me payer et ça me convient tout à fait.
Ses yeux brillaient et ses lèvres avaient le sourire. Tu sais que je peux être violent en amour !
-Entre traîner dans les rues sans savoir qui, quand, comment et où je vais dormir, vaut bien des sacrifices. Alors je comprendrais qu’avec ton métier tu aies besoin de te défouler. Mais mangeons pendant que c’est chaud.
Il a servi à la louche, sortant les meilleurs morceaux pour mon assiette avec les pommes de terre et s’est servi ensuite.
Il avait dégotté dans la cave à vin un Brouilly et tout était bon.
Demain je bosse mais pas vendredi en revanche le samedi c’est la journée la pire pour mon travail. Les gens sont moins attentifs en faisant leurs achats je n’arrête pas entre les quartiers de touristes et argentés.
On a mangé de bon appétit et c’est avec une mousse au chocolat et un verre de cognac que j’ai fini. Soigneux il lavait la vaisselle.
-J’avais eu la même idée et j’ai déjà écrit une liste des postes que j’ai occupées. Tu pourras la prendre demain et peut être trouver de quoi faire une déclaration de vol ou perte de papiers.
Là non, je ne peux pas mais je t’emmènerais porter plainte à la gendarmerie. Ne t’inquiète pas je resterais avec toi. Ils me connaissent.
-T’es vraiment fou. Tu me chopes la main dans ta poche et au lieu de m’amener chez les flics tu me gardes chez toi. Je te pose un problème ?
Pas vraiment un problème mais t’es mignon et pas encore marqué par la vie alors, si j’ajoute que ton petit corps m’aide autant que ton petit cul. Disons que je te garde.
-C’est une vraie déclaration d’homme ça ! Il a laissé ma vaisselle en plan pour se pencher sur moi et coller ses lèvres aux miennes.
Le patin a duré et je le pelotais partout. Le chatouillant à certains endroits sensibles. J’ai posé mon verre et on n’a pas eu à aller dans la chambre. Une fois dans le salon je lui ai fourré ma queue dans la bouche lui sur un tabouret et assez vite je l’ai soulevé par l’arrière des genoux et cuisses ouvertes pendant qu’il me pompait j’ai léché son trou du cul.
Branle toi petite lopette. Envoie ton jus sur ta tronche et ma queue. Tu nettoieras tout après.
Ses couilles s’agitaient et il a joui presque en même temps que moi. Il s’aspergeait de son sperme tout en avalant le mien. Renversé comme il était, cuisses ouvertes j’ai dû me maitriser pour ne pas le prendre comme ça.
-Waouh comme dessert j’adore. Mes fesses devront attendre je suppose ?
Ce n’est pas l’envie qui m’en manque ! Je me rattraperais après le test. Donc vendredi il va avoir chaud. Fini ton boulot je regarde la télé un moment sur le canapé. Pendant qu’il s’activait je réfléchissais. Pas question de le remettre au taf mais si je faisais marcher les gens du coin je pouvais lui trouver une place de barman dans un des nombreux châteaux-hôtels du coin. J’avais un peu d’argent de côté pour le fringuer plus correct mais il devait passer le test et être négatif. Une fois ces conditions réunies pourquoi ne pas envisager une vie à deux au moins un moment.
Hervé, tu comptes faire quoi après le test ?
Je mangeais un sandwich appuyé aux carreaux de la station St Denis quand un gamin a jeté à terre un portefeuille au moment où les portes se refermaient. Je n’ai eu qu’à choper le mec qui le ramassait et l’emmener aux vigiles en tenue. La journée s’est passée à trainer de stations en stations, surveillant tout du coin de l’œil. A Trocadéro autre attrape touristes j’en ai chopé un autre mais j’ai dû courir et revenir vers le mec qui avait son porte-carte à la main.
Je ne vous demande pas si c’est lui mais je l’ai vu jeter votre porte-carte et courir. Vous le signalez au poste ? C’est l’affaire de cinq minutes.
-Ok man, tank you i’m going.
Je les ai accompagnés et laissés là je pouvais laisser mon job, j’étais même un peu en retard mais j’ai attrapé mon train. Je ruminais sur ce môme et ses derniers mots quand j’étais parti.
J’ai failli rater la descente, ce train continuait vers Beauvais. La voiture était là, bardée de pub cachant à moitié ma carte et j’ai filé vers chez moi.
Il attendait au salon devant la télé. Au premier coup d’œil j’ai remarqué le changement. Rien ne trainait à part son slip sur le radiateur de la salle de bain.
Salut toi !
Il s’est levé pour cette fois me tendre les lèvres.
-Je ne sais même pas votre nom. Je n’ai cessé de penser à vous, votre gentillesse et … il a rougi, votre sexe.
Tom ira très bien. Je vais me doucher, je sens encore le métro.
Il m’a suivi ramassant mes fringues dès que je les ôtais. J’allais fermer la porte quand il l’a retenu.
-Je vous laisse les toilettes mais ouvrez pour vous doucher j’aime voir votre corps.
A ce propos tu te mettras nu quand j’arrive. J’aime aussi voir des choses agréables en arrivant. J’ai reniflé, tu as fait de la cuisine ?
-Oui ça mijote, mais allez aux toilettes, je vous attends pour la douche. J’ai vidé mes boyaux et ma vessie, m’essuyant avant de sortir. Il attendait devant la douche, nu.
-C’est cette tenue pour vous accueillir ?
En effet c’est plaisant. Je suis entré sous la douche Il m’a suivi, collé à moi.
-Laisse-moi faire, c’est la première fois que je fais ça et j’en ai très envie. Ferme les yeux je fais le shampoing.
Putain que ce mec était doux et affolant !
-Le temps qu’il fasse effet je vais te savonner, partout évidement. Je dois tout connaître de l’homme auquel je me donne.
Pour savonner partout, ça a été partout, même entre les fesses il est passé.
-Tu as de grosses couilles, j’aime bien. Plus grosses que les miennes mais ton anus est plus détendu que le mien je pense.
Tu auras le temps de tout savoir. Rince-moi je bande comme un fou !
-Oui j’ai vu je ne peux pas ne pas le voir. Il me remplit bien ce paf !
Une fois les cheveux rincés j’ai pu ouvrir les yeux. Toujours aussi beau, fin et rebondi là où il faut.
-Que vais-je faire de toi ! Te ramener pour aller sucer d’autres mecs ? Te laisser à la gendarmerie est un peu tard, j’aurais dû le faire hier. Tu me poses un gros problème !
-Viens t’installer au salon dans ton fauteuil on parlera un peu.
J’ai fini de me sécher et l’ai suivi, il tortillait des fesses de façon peut être involontaire mais affolante.
Tu n’aurais pas fait un peu de ménage ici toi ?
-Il fallait bien que je m’occupe et je voulais te faire plaisir.
Je me suis assis. Le salon avait dû être dépoussiéré ce que je fais que rarement et le tapis disposé différemment changeait la pièce.
Il m’a tendu un verre.
-Pur malt ? J’ai vu qu’il te plaisait, il y a plusieurs distilleries dans ton bar.
Tu as nettoyé toute la maison ?
-Non j’ai fait deux pas dans l’escalier de ta cave et je ne suis pas rentré, ce doit être ton coin privé.
Il s’était assis sur le tapis, la tête entre mes cuisses, appuyé sur le côté il me regardait, souriant. Je sentais ma queue se déployer contre sa joue.
-Tu veux un peu de suite et tout ce soir ?
Attend. Pour demain j’ai besoin des adresses où tu as travaillé et été enregistré, je pourrais retrouver de quoi déclarer la perte de ta pièce d’identité. C’est important pour toi et moi. Je pourrais commencer les démarches et récupérer un certificat de ta carte verte pour la sécu et tu ne payeras pas l’examen de sang. Ne réponds pas la bouche pleine petite salope.
Il s’est dégagé de ma queue.
Tu n’aimes ça en buvant ton verre ?
Son petit air mutin m’a poussé à le remettre sur ma bite. Suce et tais-toi.
Les deux plaisirs, du malt tourbé et de sa bouche sur mon sexe qui activait je montais au ciel. Je l’ai tenu de la main sur mon gland et j’ai joui en avalant le reste du verre.
-Toi tu bois ton malt et-moi ton jus de mec. Cette vie-là me plait bien. Attend que je nettoie bien.
Ce petit con m’aurait asséché ! Bon ça suffit. On mange ?
-Oui donne-moi ton verre. Il est passé pendant que je me levais et il a été nettoyer mon verre pendant que je m’asseyais. La table était mise, nappe blanc immaculé, assiettes de mes grands-parents, il avait même sorti les couverts en argent et de beaux verres sorti de je ne sais où.
Tu as fait des frais !
-Non mais c’est un de mes métiers alors il faut que ça serve.
En cuisine aussi tu as du bien apprendre à sentir l’odeur.
-J’ai fait avec ce que tu avais au congélateur et au frigo c’est simple.
Il a placé un fait-tout entre nos deux places et ôté le couvercle, c’était bien ce que j’avais senti une blanquette de veau et qui sentait très bon !
Si tu restes il faudra te payer pour faire la cuisine et le ménage.
-Tu sais bien comment me payer et ça me convient tout à fait.
Ses yeux brillaient et ses lèvres avaient le sourire. Tu sais que je peux être violent en amour !
-Entre traîner dans les rues sans savoir qui, quand, comment et où je vais dormir, vaut bien des sacrifices. Alors je comprendrais qu’avec ton métier tu aies besoin de te défouler. Mais mangeons pendant que c’est chaud.
Il a servi à la louche, sortant les meilleurs morceaux pour mon assiette avec les pommes de terre et s’est servi ensuite.
Il avait dégotté dans la cave à vin un Brouilly et tout était bon.
Demain je bosse mais pas vendredi en revanche le samedi c’est la journée la pire pour mon travail. Les gens sont moins attentifs en faisant leurs achats je n’arrête pas entre les quartiers de touristes et argentés.
On a mangé de bon appétit et c’est avec une mousse au chocolat et un verre de cognac que j’ai fini. Soigneux il lavait la vaisselle.
-J’avais eu la même idée et j’ai déjà écrit une liste des postes que j’ai occupées. Tu pourras la prendre demain et peut être trouver de quoi faire une déclaration de vol ou perte de papiers.
Là non, je ne peux pas mais je t’emmènerais porter plainte à la gendarmerie. Ne t’inquiète pas je resterais avec toi. Ils me connaissent.
-T’es vraiment fou. Tu me chopes la main dans ta poche et au lieu de m’amener chez les flics tu me gardes chez toi. Je te pose un problème ?
Pas vraiment un problème mais t’es mignon et pas encore marqué par la vie alors, si j’ajoute que ton petit corps m’aide autant que ton petit cul. Disons que je te garde.
-C’est une vraie déclaration d’homme ça ! Il a laissé ma vaisselle en plan pour se pencher sur moi et coller ses lèvres aux miennes.
Le patin a duré et je le pelotais partout. Le chatouillant à certains endroits sensibles. J’ai posé mon verre et on n’a pas eu à aller dans la chambre. Une fois dans le salon je lui ai fourré ma queue dans la bouche lui sur un tabouret et assez vite je l’ai soulevé par l’arrière des genoux et cuisses ouvertes pendant qu’il me pompait j’ai léché son trou du cul.
Branle toi petite lopette. Envoie ton jus sur ta tronche et ma queue. Tu nettoieras tout après.
Ses couilles s’agitaient et il a joui presque en même temps que moi. Il s’aspergeait de son sperme tout en avalant le mien. Renversé comme il était, cuisses ouvertes j’ai dû me maitriser pour ne pas le prendre comme ça.
-Waouh comme dessert j’adore. Mes fesses devront attendre je suppose ?
Ce n’est pas l’envie qui m’en manque ! Je me rattraperais après le test. Donc vendredi il va avoir chaud. Fini ton boulot je regarde la télé un moment sur le canapé. Pendant qu’il s’activait je réfléchissais. Pas question de le remettre au taf mais si je faisais marcher les gens du coin je pouvais lui trouver une place de barman dans un des nombreux châteaux-hôtels du coin. J’avais un peu d’argent de côté pour le fringuer plus correct mais il devait passer le test et être négatif. Une fois ces conditions réunies pourquoi ne pas envisager une vie à deux au moins un moment.
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