metro 5
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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metro 5
J’étais enfin libre et j’ai repris le train prenant en passant un journal du jour. Je l’ai lu dans le train. Pas beaucoup de bonnes nouvelles comme tous les jours. Manifs, meurtre, histoires de cul de petites starlettes. Enfin la page des mots croisés ma préférée. Mon portable sonnait mais personne ne connaissait ce numéro sauf mon ex-travail. Je l’ai mis en spam. Je n’avais pas fini la page que ma gare était là.
Deux gendarmes étaient là et m’ont arrêté.
-Bonjour, vous êtes monsieur Luc ?
Tout à fait et si vous m’apportez un message la réponse est non !
-Mais. Il provient de nos supérieurs !
Ma réponse reste claire c’est non. Vous permettez que je rentre chez moi ? Ma voiture est là. Si vous cherchez à me joindre j’ai une alarme périmétrique. Approchez-vous du portail, ça suffira.
Ils se sont écartés et une fois la ceinture mise bien en évidence j’ai démarré et suis rentré à la maison, accueilli par les sauts de joies de Rex.
Trois heures après, deux motards faisaient sonner l’alarme. Je suis allé voir et après le salut l’un d’eux m’a tendu une lettre assez épaisse. J’allais la prendre quand il m’a averti attendre une réponse qu’il communiquera par son réseau sécurisé.
Je l’ai donc ouverte devant eux et j’ai lu à haute voix.
« Monsieur Luc, votre lettre de démission est déjà à la poubelle et je pense que nous nous y sommes très mal pris. J’en suis désolé croyez-moi. Je peux soit vous envoyer la carte par le même moyen ou si vous pensez que le jeune Hervé peut vous être utile il vous l’apportera lui-même. Il n’a jamais été comme vous l’avez qualifié (notre pute) mais était sous ordres. En attendant considérez-vous soit en vacances soit démissionné comme vous le disiez mais ce serait regrettable pour le service et vos compétences assez spéciales. J’ai également relevé votre salaire deux niveaux sous le mien Hervé aura un chèque à votre ordre. Confiez votre réponse aux deux motards qui sont des hommes de confiance et qui ont un réseau protégé ».
Signé : Général de gendarmerie (X).
Messieurs vous avez entendu comme moi et vous répondrez que j’accepte la proposition des vacances pour un mois, et comme le dit « Hervé » a surement le permis et une voiture qu’il revienne, lui aussi en vacances pour le mois. Moi je serais de retour au service dans un mois. Inutile de l’écrire puisque le général vous fait confiance.
L’un d’eux à béquillé sa moto et a sélectionné un réseau. Transmettant avec pratiquement les mêmes mots que j’avis utilisés ma réponse.
Sur son visage j’avais noté le changement de respect entre lui et moi.
-J’ai eu la réponse immédiate du général monsieur, il vous remercie et mets Hervé en route.
Si par hasard vous passez par ici, venez avec une voiture banalisée. Merci et bonne route.
Enfin tranquille j’ai joué un moment avec Rex avant d’aller m’installer sous la véranda. Rex à mes pieds.
Je somnolais quand l’alarme a retentie. Je suis allé voir, dans une Clio flambant neuve était Hervé. Alarme désactivée j’ai ouvert la barrière le temps qu’il passe et refermé et mis l’alarme.
Sa voiture garée il est sorti et m’a sauté au cou.
-Pardonne moi mais j’obéissais à des ordres venus des hauteurs.
Alors reprenons, et dis-moi cette fois la vérité.
-Bon, Je suis gay depuis toujours, je fais le même métier que toi mais pour le moment je ne m’occupe que des mineurs tireurs de sac ou autre. Ils sont rapides et regroupés pour la plupart en bande. Une fois le sac ou le portefeuille parti c’est à moi de suivre en notant chaque passage de relais la tête et le suivant jusqu’au partage ou je n’interviens pas mais laisse ceux en tenues le faire. Hier soir j’ai découvert grâce à toi une nouvelle façon d’aimer. Car j’ai vu que tu as aimé me traiter comme tu l’a fait. De mon côté j’aimais même aux moments les plus durs pour moi. Que veux-tu savoir de plus ?
J’ai eu un sourire à certains de ses mots.
Tu serais près à assister à la domination ou à être dominé avec un autre mec qui assiste et participe en même temps ?
Il a pris un air canaille.
-Pourquoi pas, je marche au feeling et mon sexe me dis qu’il est prés. En fait, tout mon corps en a besoin je pense. Aussi bien du côté passif qu’actif tant que toi tu restes LE maître dans ce cas.
Ok on va pouvoir au moins le temps des vacances travailler ce thème. Comme j’avais envoyé ma démission un mec doit attendre un appel de ma part. Tu vas te mettre à l’aise, donc nu, totalement sous contrôle et nous faire à manger. Après ce sera selon mon envie, tu le verras ou pas.
-Ok pour moi, j’ai encore le string que tu avais acheté sur moi mais je cuisinerais, nu comme tu l’as décidé. Tu pourras constater des moments où je me sens excité et d’autres ou je n’y pense pas. Il faudra que je rende la voiture qui n’est que de location, je n’en ai pas de personnelle.
On verra ça demain tu as du payer pour une journée et donc tu as jusqu’à demain. Pendant que je parlais il se dévêtait et ses formes se dévoilant, aimant ce que je voyais je bandais tranquille. J’ai vu qu’il l’avait remarqué mais docile n’esquissais pas un geste vers mon sexe.
-Je dépose mes affaires dans l’armoire et je reviens.
Le déhanchement de son bassin était affolant de dos. La raie des fesses montant haut vers les hanches, c’était un spectacle à damner. Le retour était aussi beau, exhibant son sexe gorgé de sang dressé devant lui.
-Un pur malt pour attendre que j’aie tout préparé ?
Oui et ne fait pas trop de cuisine, on peut manger froid. Nos thermomètres sont au rouge.
Il a souri.
-Je pense à ce que tu vas décider pour ce soir, enfin j‘imagine.
Fais-nous quelque chose d’épicé on en aura besoin. Je téléphone.
Oui salut. Prêt à prendre ton pied comme une lopette dressée ?
Ok Alors tu mets un jockstrap sous un vieux short et un tee-shirt qui finira comme le short aux déchets et mets d’autres fringues dans un sac. Tu bandes ? Eh bien ne te touche pas je vais m’occuper de ça. On t’attend dans une demi-heure.
Non je ne serais pas seul mais avec un autre soumis de ton âge. L’alarme sera désactivée et Rex me préviendra. A tout à l’heure. Attends-moi sous le perron.
Bon tu as entendu, c’est près ? Tu nous a fait quoi ?
-Des petits sandwichs saumon citron et piment.
Génial. Tu vas être dans un sale état à la fin. Donne m’en un. Avec le malt ça doit déménager. Mange aussi, laisses en deux pour Pascal.
Bon tu va descendre que je te prépare avant de débuter.
Je suis descendu derrière lui l’amenant sous la partie du bâtiment ou la cave était la plus haute et je lui ai passé un masque da cabine noir et une cagoule noire opaque trouée à la bouche avant de lui attacher les mains à un fléau de balance pendant du plafond.
-Je ne verrais pas Pascal ?
Non et lui non plus, au moins au début. Il flippait et sa queue avait des sursauts quand je le frôlais. Je remonte il ne devrait pas tarder. Ne te touche pas non plus.
Deux gendarmes étaient là et m’ont arrêté.
-Bonjour, vous êtes monsieur Luc ?
Tout à fait et si vous m’apportez un message la réponse est non !
-Mais. Il provient de nos supérieurs !
Ma réponse reste claire c’est non. Vous permettez que je rentre chez moi ? Ma voiture est là. Si vous cherchez à me joindre j’ai une alarme périmétrique. Approchez-vous du portail, ça suffira.
Ils se sont écartés et une fois la ceinture mise bien en évidence j’ai démarré et suis rentré à la maison, accueilli par les sauts de joies de Rex.
Trois heures après, deux motards faisaient sonner l’alarme. Je suis allé voir et après le salut l’un d’eux m’a tendu une lettre assez épaisse. J’allais la prendre quand il m’a averti attendre une réponse qu’il communiquera par son réseau sécurisé.
Je l’ai donc ouverte devant eux et j’ai lu à haute voix.
« Monsieur Luc, votre lettre de démission est déjà à la poubelle et je pense que nous nous y sommes très mal pris. J’en suis désolé croyez-moi. Je peux soit vous envoyer la carte par le même moyen ou si vous pensez que le jeune Hervé peut vous être utile il vous l’apportera lui-même. Il n’a jamais été comme vous l’avez qualifié (notre pute) mais était sous ordres. En attendant considérez-vous soit en vacances soit démissionné comme vous le disiez mais ce serait regrettable pour le service et vos compétences assez spéciales. J’ai également relevé votre salaire deux niveaux sous le mien Hervé aura un chèque à votre ordre. Confiez votre réponse aux deux motards qui sont des hommes de confiance et qui ont un réseau protégé ».
Signé : Général de gendarmerie (X).
Messieurs vous avez entendu comme moi et vous répondrez que j’accepte la proposition des vacances pour un mois, et comme le dit « Hervé » a surement le permis et une voiture qu’il revienne, lui aussi en vacances pour le mois. Moi je serais de retour au service dans un mois. Inutile de l’écrire puisque le général vous fait confiance.
L’un d’eux à béquillé sa moto et a sélectionné un réseau. Transmettant avec pratiquement les mêmes mots que j’avis utilisés ma réponse.
Sur son visage j’avais noté le changement de respect entre lui et moi.
-J’ai eu la réponse immédiate du général monsieur, il vous remercie et mets Hervé en route.
Si par hasard vous passez par ici, venez avec une voiture banalisée. Merci et bonne route.
Enfin tranquille j’ai joué un moment avec Rex avant d’aller m’installer sous la véranda. Rex à mes pieds.
Je somnolais quand l’alarme a retentie. Je suis allé voir, dans une Clio flambant neuve était Hervé. Alarme désactivée j’ai ouvert la barrière le temps qu’il passe et refermé et mis l’alarme.
Sa voiture garée il est sorti et m’a sauté au cou.
-Pardonne moi mais j’obéissais à des ordres venus des hauteurs.
Alors reprenons, et dis-moi cette fois la vérité.
-Bon, Je suis gay depuis toujours, je fais le même métier que toi mais pour le moment je ne m’occupe que des mineurs tireurs de sac ou autre. Ils sont rapides et regroupés pour la plupart en bande. Une fois le sac ou le portefeuille parti c’est à moi de suivre en notant chaque passage de relais la tête et le suivant jusqu’au partage ou je n’interviens pas mais laisse ceux en tenues le faire. Hier soir j’ai découvert grâce à toi une nouvelle façon d’aimer. Car j’ai vu que tu as aimé me traiter comme tu l’a fait. De mon côté j’aimais même aux moments les plus durs pour moi. Que veux-tu savoir de plus ?
J’ai eu un sourire à certains de ses mots.
Tu serais près à assister à la domination ou à être dominé avec un autre mec qui assiste et participe en même temps ?
Il a pris un air canaille.
-Pourquoi pas, je marche au feeling et mon sexe me dis qu’il est prés. En fait, tout mon corps en a besoin je pense. Aussi bien du côté passif qu’actif tant que toi tu restes LE maître dans ce cas.
Ok on va pouvoir au moins le temps des vacances travailler ce thème. Comme j’avais envoyé ma démission un mec doit attendre un appel de ma part. Tu vas te mettre à l’aise, donc nu, totalement sous contrôle et nous faire à manger. Après ce sera selon mon envie, tu le verras ou pas.
-Ok pour moi, j’ai encore le string que tu avais acheté sur moi mais je cuisinerais, nu comme tu l’as décidé. Tu pourras constater des moments où je me sens excité et d’autres ou je n’y pense pas. Il faudra que je rende la voiture qui n’est que de location, je n’en ai pas de personnelle.
On verra ça demain tu as du payer pour une journée et donc tu as jusqu’à demain. Pendant que je parlais il se dévêtait et ses formes se dévoilant, aimant ce que je voyais je bandais tranquille. J’ai vu qu’il l’avait remarqué mais docile n’esquissais pas un geste vers mon sexe.
-Je dépose mes affaires dans l’armoire et je reviens.
Le déhanchement de son bassin était affolant de dos. La raie des fesses montant haut vers les hanches, c’était un spectacle à damner. Le retour était aussi beau, exhibant son sexe gorgé de sang dressé devant lui.
-Un pur malt pour attendre que j’aie tout préparé ?
Oui et ne fait pas trop de cuisine, on peut manger froid. Nos thermomètres sont au rouge.
Il a souri.
-Je pense à ce que tu vas décider pour ce soir, enfin j‘imagine.
Fais-nous quelque chose d’épicé on en aura besoin. Je téléphone.
Oui salut. Prêt à prendre ton pied comme une lopette dressée ?
Ok Alors tu mets un jockstrap sous un vieux short et un tee-shirt qui finira comme le short aux déchets et mets d’autres fringues dans un sac. Tu bandes ? Eh bien ne te touche pas je vais m’occuper de ça. On t’attend dans une demi-heure.
Non je ne serais pas seul mais avec un autre soumis de ton âge. L’alarme sera désactivée et Rex me préviendra. A tout à l’heure. Attends-moi sous le perron.
Bon tu as entendu, c’est près ? Tu nous a fait quoi ?
-Des petits sandwichs saumon citron et piment.
Génial. Tu vas être dans un sale état à la fin. Donne m’en un. Avec le malt ça doit déménager. Mange aussi, laisses en deux pour Pascal.
Bon tu va descendre que je te prépare avant de débuter.
Je suis descendu derrière lui l’amenant sous la partie du bâtiment ou la cave était la plus haute et je lui ai passé un masque da cabine noir et une cagoule noire opaque trouée à la bouche avant de lui attacher les mains à un fléau de balance pendant du plafond.
-Je ne verrais pas Pascal ?
Non et lui non plus, au moins au début. Il flippait et sa queue avait des sursauts quand je le frôlais. Je remonte il ne devrait pas tarder. Ne te touche pas non plus.
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