metro 8
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 310 923 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 194 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
metro 8
Mettez vos tennis on va faire un tour dans la forêt en trottinant. Nu comme eux, je leur ai fait faire un tour et revenant prés de ma maison j’avais pris de l’avance et eu le temps de couper une branche de noisetier.
Quand Pascal est arrivé en premier je lui ai fait tourner et présenter les fesses que j’ai cinglé de façon à voir les zébrures sur sa peau. A la fin il a gémi entre ses dents. Je me suis redressé et lui penché en avant me remerciait en me suçant.
Hervé arrivait en marchant ayant vu la scène il hésitait à s’approcher.
J’ai éloigné Pascal et fait signe à Hervé de s’approcher a reculons. Une fois à bonne distance j’ai donné le premier coup. Il a sursauté et protégé ses fesses de la main. D’un signe Pascal a attrapé ses poignets pour les placer devant me permettant de continuer. Les marques sur ses fesses étaient magnifiques. Je continue ou tu me remercie en suçant ?
Il s’est laissé tomber à genoux.
-Merci maître et il a tété comme un veau ma queue.
J’ai fait signe à Pascal de lécher mes couilles et quand Hervé était à court de souffle de le remplacer. Ils se sont presque battus quand j’ai eu des soignes proche de la jouissance pour recevoir ma semence. Une fois le sexe propre on est tous entrés dans la cuisine déguster les derniers petits sandwichs préparés. Moi dans le fauteuil. Eux hésitaient à s’asseoir.
Allons les garçons, c’est fini pour cette nuit. Détachez-vous l’un l’autre. Pour les couilles pas de problèmes mais les pinces ont fait crier Hervé quand Pascal les a retirées.
Tu pourras t’asseoir pour conduire Pascal ?
-Oui, je pense j’avais prévu une peau de chamois sur le siège mais la séance était sympa à deux et je suis content de voir que vous avez trouvé un autre maso docile.
Alors habille toi et va te reposer je désactive l’alarme le temps que tu partes et je la remettrais après.
Une fois parti après une bise sur ma queue et remis l’alarme, Hervé toujours debout m’a regardé les yeux humides.
-Je peux rester avec vous ? Malgré mes mensonges du départ ?
Quels mensonges ? Des ordres stupides qui ne venaient pas de toi que j’ai oublié. C’est aussi à toi de choisir. Tu connais une partie de mes plaisirs que je renouvelle de temps en temps. Une fois ton choix fait, soit tu rendras ta voiture soit tu partiras après et ceci sera oublié mais j’ai aimé ton obéissance. On va se reposer un moment au lit, le jour va se lever et au réveil tu me donneras ta décision. Comme moi, habitué à profiter du moment de repos, à peine au lit sur le ventre pour ne pas frotter son dos il a basculé dans le sommeil entrecoupé de gémissements et de petits cris venant de ses rêves. J’ai fait de même, basculant dans un repos bienfaiteur.
J’ai par habitude une faculté de récupération assez rapide et sans le réveiller quatre heures plus tard je me suis levé prendre une douche m’essuyer et faire du café. Il avait du se réveiller aussi j’ai entendu la douche couler.
-Bonjour monsieur, j’ai rêvé mais aussi réfléchi et serais ravi de vivre avec vous le temps que vous le souhaiterez.
-Bonne décision. Assieds-toi bois du café et on ira rendre ta voiture.
Il s’est assis lentement, raide sur les fesses pour ne pas s’appuyer au dossier.
Encore mal ?
-Oui, lancinant mais je m’habituerais. Il faudra bien.
J’ai regardé ton contrat et il y a une agence pour rendre ta bagnole à Beauvais. Autant le faire au plus vite. J’ai mis un tee-shirt au frigo il fait chaud mais tu pourras t’appuyer pour conduire. Je te suivrais, t’as un GPS alors enregistre le nom de l’agence si tu t’égares je t’attendrais dehors. Le tee-shirt et le short en lycra suffiront avec tes tennis. Prends tes papiers. Je me change et on y va. Un jean et une chemisette plus tard tennis aux pieds. Lui au soleil près de sa voiture je devinais tout à travers son short. Passe la barrière et je réactive l’alarme.
Par la quatre voies Beauvais n’était pas loin et je l’ai attendu dans la voiture.
-Impeccable monsieur j’avais pris l’assurance en plus et je n’ai rien payé.
Tant mieux car on part tout de suite en vacances il fait beau et les plages ne sont pas loin. Mets ta ceinture mais baisse le short sous ton sexe.
J’avais déjà eu des mecs soumis mais obéissant comme lui rarement d’autant qu’on était en vacances ensemble. J’ai pris l’autoroute direction Dunkerque.
-On va dormir à l’hôtel ?
Tu verras bien repose toi, fais comme moi profite des moments où tu peux le faire. Il avait basculé le siège en arrière et short baissé il a relevé son tee-shirt.
-Je suis bien comme ça au soleil.
Habitué à rouler vite en convoi j’ai pris l’allure pépère ralentissant à hauteur des cabines de routier et recevant des coups d’avertisseurs quand ils voyaient ma main sur le sexe raide de Pascal. J’en riais mais lui moins. Je suis sorti au Touquet prenant de petites routes qui longeaient la côte. Enfin un petit chemin de terre m’a amené devant une ferme que quelques initiés utilisaient. Pascal était tout étonné.
-C’est là qu’on va passer les vacances ?
Tu te tais tu sors de la voiture et tu te mets nu !
-Ici devant la ferme ?
Oui ici. Aucun soumis n’est rentré vêtu.
Une fois ses affaires dans la voiture je l’ai fait attendre devant la porte pour entrer la voiture dans la grange et désactiver l‘alarme. Pousse la porte ce n’est jamais fermé.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
Quand Pascal est arrivé en premier je lui ai fait tourner et présenter les fesses que j’ai cinglé de façon à voir les zébrures sur sa peau. A la fin il a gémi entre ses dents. Je me suis redressé et lui penché en avant me remerciait en me suçant.
Hervé arrivait en marchant ayant vu la scène il hésitait à s’approcher.
J’ai éloigné Pascal et fait signe à Hervé de s’approcher a reculons. Une fois à bonne distance j’ai donné le premier coup. Il a sursauté et protégé ses fesses de la main. D’un signe Pascal a attrapé ses poignets pour les placer devant me permettant de continuer. Les marques sur ses fesses étaient magnifiques. Je continue ou tu me remercie en suçant ?
Il s’est laissé tomber à genoux.
-Merci maître et il a tété comme un veau ma queue.
J’ai fait signe à Pascal de lécher mes couilles et quand Hervé était à court de souffle de le remplacer. Ils se sont presque battus quand j’ai eu des soignes proche de la jouissance pour recevoir ma semence. Une fois le sexe propre on est tous entrés dans la cuisine déguster les derniers petits sandwichs préparés. Moi dans le fauteuil. Eux hésitaient à s’asseoir.
Allons les garçons, c’est fini pour cette nuit. Détachez-vous l’un l’autre. Pour les couilles pas de problèmes mais les pinces ont fait crier Hervé quand Pascal les a retirées.
Tu pourras t’asseoir pour conduire Pascal ?
-Oui, je pense j’avais prévu une peau de chamois sur le siège mais la séance était sympa à deux et je suis content de voir que vous avez trouvé un autre maso docile.
Alors habille toi et va te reposer je désactive l’alarme le temps que tu partes et je la remettrais après.
Une fois parti après une bise sur ma queue et remis l’alarme, Hervé toujours debout m’a regardé les yeux humides.
-Je peux rester avec vous ? Malgré mes mensonges du départ ?
Quels mensonges ? Des ordres stupides qui ne venaient pas de toi que j’ai oublié. C’est aussi à toi de choisir. Tu connais une partie de mes plaisirs que je renouvelle de temps en temps. Une fois ton choix fait, soit tu rendras ta voiture soit tu partiras après et ceci sera oublié mais j’ai aimé ton obéissance. On va se reposer un moment au lit, le jour va se lever et au réveil tu me donneras ta décision. Comme moi, habitué à profiter du moment de repos, à peine au lit sur le ventre pour ne pas frotter son dos il a basculé dans le sommeil entrecoupé de gémissements et de petits cris venant de ses rêves. J’ai fait de même, basculant dans un repos bienfaiteur.
J’ai par habitude une faculté de récupération assez rapide et sans le réveiller quatre heures plus tard je me suis levé prendre une douche m’essuyer et faire du café. Il avait du se réveiller aussi j’ai entendu la douche couler.
-Bonjour monsieur, j’ai rêvé mais aussi réfléchi et serais ravi de vivre avec vous le temps que vous le souhaiterez.
-Bonne décision. Assieds-toi bois du café et on ira rendre ta voiture.
Il s’est assis lentement, raide sur les fesses pour ne pas s’appuyer au dossier.
Encore mal ?
-Oui, lancinant mais je m’habituerais. Il faudra bien.
J’ai regardé ton contrat et il y a une agence pour rendre ta bagnole à Beauvais. Autant le faire au plus vite. J’ai mis un tee-shirt au frigo il fait chaud mais tu pourras t’appuyer pour conduire. Je te suivrais, t’as un GPS alors enregistre le nom de l’agence si tu t’égares je t’attendrais dehors. Le tee-shirt et le short en lycra suffiront avec tes tennis. Prends tes papiers. Je me change et on y va. Un jean et une chemisette plus tard tennis aux pieds. Lui au soleil près de sa voiture je devinais tout à travers son short. Passe la barrière et je réactive l’alarme.
Par la quatre voies Beauvais n’était pas loin et je l’ai attendu dans la voiture.
-Impeccable monsieur j’avais pris l’assurance en plus et je n’ai rien payé.
Tant mieux car on part tout de suite en vacances il fait beau et les plages ne sont pas loin. Mets ta ceinture mais baisse le short sous ton sexe.
J’avais déjà eu des mecs soumis mais obéissant comme lui rarement d’autant qu’on était en vacances ensemble. J’ai pris l’autoroute direction Dunkerque.
-On va dormir à l’hôtel ?
Tu verras bien repose toi, fais comme moi profite des moments où tu peux le faire. Il avait basculé le siège en arrière et short baissé il a relevé son tee-shirt.
-Je suis bien comme ça au soleil.
Habitué à rouler vite en convoi j’ai pris l’allure pépère ralentissant à hauteur des cabines de routier et recevant des coups d’avertisseurs quand ils voyaient ma main sur le sexe raide de Pascal. J’en riais mais lui moins. Je suis sorti au Touquet prenant de petites routes qui longeaient la côte. Enfin un petit chemin de terre m’a amené devant une ferme que quelques initiés utilisaient. Pascal était tout étonné.
-C’est là qu’on va passer les vacances ?
Tu te tais tu sors de la voiture et tu te mets nu !
-Ici devant la ferme ?
Oui ici. Aucun soumis n’est rentré vêtu.
Une fois ses affaires dans la voiture je l’ai fait attendre devant la porte pour entrer la voiture dans la grange et désactiver l‘alarme. Pousse la porte ce n’est jamais fermé.
Il a poussé la porte et pénétré. Ouvre les volets et la fenêtre vers le chemin et allume le feu qu’on sache la maison habitée. Je branche l’électricité et vais m’allonger un moment. Regarde dans le congélateur ce que tu trouves et prépare un truc rapide pour ce soir. Je suis monté le laissant seul.
Je me doutais bien que le jeune Bruno le serveur de l’hôtel du bas viendrais voir. Il surveillait régulièrement la ferme. Toutes les caméras extérieures allumées j’ai surveillé je connaissais ses heures de coupure dans son service.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...