Mets moi la au cul
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2008 dans la catégorie A dormir debout
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Mets moi la au cul
<p>Dans ce couple madame est réservée mais sensuelle. Monsieur lui est sensuel aussi mais exubérant Durant leur première années de mariage ils sont restés sans trop de soucis pour faire l'amour, mais ils baisaient à la papa, sans grande fantaisie : madame couchée sur le dos et monsieur sur elle qui la baisait. Leurs plaisirs n'étaient pas très variés, mais finalement ils s'en contentaient. Invités un jour chez des amis proches, leurs hôtes leur proposèrent de regarde un D V D porno. Notre couple regardait les scènes hards avec de grands yeux un peu surpris. Mais surtout madame était très intéressée. Ce qui lui plaisait c'était les séances de sodomie. Leurs amis auraient bien voulu que le couple reste avec eux pour donner un tour très sexe au reste de la soirée. Mais madame a refusé.
Rentrant chez eux le mari disait à son épouse quelle avait eu tord de ne pas rester. J'ai mes raisons, disait-elle.
A peine rentré, le couple se prépare à aller faire l'amour. Madame prend les devants en se déshabillant dès l'entrée de l'appartement ; Monsieur étonné la regarde faire avec un intérêt certain. Son épouse est très bien faite avec sa poitrine ferme aux aréoles larges attirant les baisers. Il ne se prive pas de lui embrasser les seins. Elle aime bien cette caresse. Mais aujourd'hui elle veut autre chose qu'ils n'ont jamais pratiqué. Elle murmure dans l'oreille de son époux :
- METS LA MOI AU CUL.
L'époux n'osait pas lui proposer une telle façon de faire qu'il avait oublié de le lui demander à nouveau depuis leur mariage. Il lui demande comment brusquement elle a envie de se faire mettre dans le cul. C'est depuis qu'elle a vu ce D V D où les filles semblaient avoir pris beaucoup de jouissance avec un sexe masculin dans leurs fesses. C'était peut être du cinéma, mais elle en voulait à l'instant.
Ce sujet excitait le couple et le mari bandait tellement qu'il s'est déshabillé lui aussi, sa bite était dressée et sa femme se mettait à la branler. Lui il rendait la pareille et mettant une main au con et en la branlant. Jusque là c’était pour eux la normalité. Ils jouissaient presque ensemble. Comme souvent l'épouse en voulait encore : ils allaient se coucher et là elle lui caressait les couilles et lui suçait le bout des seins qu'il avait très sensible. Il bandait à nouveau.
Il voulait la baiser encore, mais elle insistait : Mets moi la au cul. Et pour faciliter les choses elle faisait ce qu'elle avait vu : elle prenait de sa mouille pour l'étendre largement sur son anus. Comme c'était la première fois pour elle, elle répétait ce qu'elle avant observé : elle se mettait en levrette et ouvrait avec ses mains au maximum ses fesses. Lui ne pouvait pas refuser une telle offrande.
Il se mettait à genoux à son tour, son bas ventre collé contre le postérieur de son épouse qui répétait encore un fois : mets moi la au cul. Il n'avait pas à chercher beaucoup l'entrée : madame le guidait. Il avait peur de lui faire mal. Elle insistait encore : mets moi la au cul. Son gland posé sur le cul est rentré très lentement. Madame avait mal mais elle ne le disait. Pourtant après un court instant la douleur faisait place d'abord à un bien être puis carrément à un très grand plaisir différent que celui qu'elle avait dans son con mais très agréable. Elle demandait un son mari s'il aimait : évidemment qu'il aimait.
Les mouvement de vas et viens s'accéléraient jusqu'au moment où madame poussait un grand cri : elle jouissait. La sentant jouir, lui aussi jouit dans son cul.
Ils étaient heureux de s'être donné un plaisir différent.
Mais encore une fois madame voulait jouir : elle demandait à son mari de la prendre par le con mais dans une position différente. Elle demandait à son homme de se mettre contre le mur et de la prendre dans ses bras pour qu'elle puisse se hisser jusqu'à lui. Avec quelques difficultés il pouvait la soulever et d'elle même elle s'enfila sur la bite dressée. C'est elle qui donnait la cadence et monsieur qui ne servait plus que de godemiché évolué. Elle jouissait encore, mais lui pas encore. Alors elle faisait une chose qu'elle n'avait jamais faite mais qu'elle avait vue dans ce D V D. Elle prenait la bite dans sa bouche et se mettait à le pomper tant et si bien qu'il éjaculait. Elle prenait tout le sperme et après l'avoir goûté avalait tout.
Ils étaient rompus. Mais l'adage se révélait exact : ce que femme veut.......
Les choses auraient du en rester là, mais madame avait découvert d'autres horizons dans l'érotisme. Elle demandait toujours à son mari : mets moi la au cul, mais de plus elle aurait aimé essayer de faire l'amour avec une tierce personne. Elle n'avait pas à chercher bien loin. Elle savait que sa voisine de palier avait la réputation d'aimer les autres femmes.
C'est ainsi qu'un jour elle prenait son courage à deux mains et sous prétexte d'aller demander du sel elle frappait à la porte de la voisine. Mais une fois à l'intérieur elle demandait directement si cette fille voulait d'elle. Surprise la fille répondait que finalement comme elle l'avait déjà remarquée elle aimerait bien passer un moment avec elle. Et avec mon mari. Pourquoi pas mais d'abord il faut voir si tu serais capable de me faire jouir.
Joignant les gestes à la parole la voisine prenait dans ses bras cette conquête tombée du ciel pour l'embrasser à pleine bouche. La femme rendait le baiser pendant que sa voisine lui mettait déjà la main au panier. Elle écartait instinctivement les jambes et se faisait branler : elle en jouissait.
La suite bientôt
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Rentrant chez eux le mari disait à son épouse quelle avait eu tord de ne pas rester. J'ai mes raisons, disait-elle.
A peine rentré, le couple se prépare à aller faire l'amour. Madame prend les devants en se déshabillant dès l'entrée de l'appartement ; Monsieur étonné la regarde faire avec un intérêt certain. Son épouse est très bien faite avec sa poitrine ferme aux aréoles larges attirant les baisers. Il ne se prive pas de lui embrasser les seins. Elle aime bien cette caresse. Mais aujourd'hui elle veut autre chose qu'ils n'ont jamais pratiqué. Elle murmure dans l'oreille de son époux :
- METS LA MOI AU CUL.
L'époux n'osait pas lui proposer une telle façon de faire qu'il avait oublié de le lui demander à nouveau depuis leur mariage. Il lui demande comment brusquement elle a envie de se faire mettre dans le cul. C'est depuis qu'elle a vu ce D V D où les filles semblaient avoir pris beaucoup de jouissance avec un sexe masculin dans leurs fesses. C'était peut être du cinéma, mais elle en voulait à l'instant.
Ce sujet excitait le couple et le mari bandait tellement qu'il s'est déshabillé lui aussi, sa bite était dressée et sa femme se mettait à la branler. Lui il rendait la pareille et mettant une main au con et en la branlant. Jusque là c’était pour eux la normalité. Ils jouissaient presque ensemble. Comme souvent l'épouse en voulait encore : ils allaient se coucher et là elle lui caressait les couilles et lui suçait le bout des seins qu'il avait très sensible. Il bandait à nouveau.
Il voulait la baiser encore, mais elle insistait : Mets moi la au cul. Et pour faciliter les choses elle faisait ce qu'elle avait vu : elle prenait de sa mouille pour l'étendre largement sur son anus. Comme c'était la première fois pour elle, elle répétait ce qu'elle avant observé : elle se mettait en levrette et ouvrait avec ses mains au maximum ses fesses. Lui ne pouvait pas refuser une telle offrande.
Il se mettait à genoux à son tour, son bas ventre collé contre le postérieur de son épouse qui répétait encore un fois : mets moi la au cul. Il n'avait pas à chercher beaucoup l'entrée : madame le guidait. Il avait peur de lui faire mal. Elle insistait encore : mets moi la au cul. Son gland posé sur le cul est rentré très lentement. Madame avait mal mais elle ne le disait. Pourtant après un court instant la douleur faisait place d'abord à un bien être puis carrément à un très grand plaisir différent que celui qu'elle avait dans son con mais très agréable. Elle demandait un son mari s'il aimait : évidemment qu'il aimait.
Les mouvement de vas et viens s'accéléraient jusqu'au moment où madame poussait un grand cri : elle jouissait. La sentant jouir, lui aussi jouit dans son cul.
Ils étaient heureux de s'être donné un plaisir différent.
Mais encore une fois madame voulait jouir : elle demandait à son mari de la prendre par le con mais dans une position différente. Elle demandait à son homme de se mettre contre le mur et de la prendre dans ses bras pour qu'elle puisse se hisser jusqu'à lui. Avec quelques difficultés il pouvait la soulever et d'elle même elle s'enfila sur la bite dressée. C'est elle qui donnait la cadence et monsieur qui ne servait plus que de godemiché évolué. Elle jouissait encore, mais lui pas encore. Alors elle faisait une chose qu'elle n'avait jamais faite mais qu'elle avait vue dans ce D V D. Elle prenait la bite dans sa bouche et se mettait à le pomper tant et si bien qu'il éjaculait. Elle prenait tout le sperme et après l'avoir goûté avalait tout.
Ils étaient rompus. Mais l'adage se révélait exact : ce que femme veut.......
Les choses auraient du en rester là, mais madame avait découvert d'autres horizons dans l'érotisme. Elle demandait toujours à son mari : mets moi la au cul, mais de plus elle aurait aimé essayer de faire l'amour avec une tierce personne. Elle n'avait pas à chercher bien loin. Elle savait que sa voisine de palier avait la réputation d'aimer les autres femmes.
C'est ainsi qu'un jour elle prenait son courage à deux mains et sous prétexte d'aller demander du sel elle frappait à la porte de la voisine. Mais une fois à l'intérieur elle demandait directement si cette fille voulait d'elle. Surprise la fille répondait que finalement comme elle l'avait déjà remarquée elle aimerait bien passer un moment avec elle. Et avec mon mari. Pourquoi pas mais d'abord il faut voir si tu serais capable de me faire jouir.
Joignant les gestes à la parole la voisine prenait dans ses bras cette conquête tombée du ciel pour l'embrasser à pleine bouche. La femme rendait le baiser pendant que sa voisine lui mettait déjà la main au panier. Elle écartait instinctivement les jambes et se faisait branler : elle en jouissait.
La suite bientôt
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