Mia,,la femme de ma vie - histoire érotique

Je m'appelle Christophe, j avais 20 ans au moment où l’histoire que je vais vous conter a eu lieu.

Mes parents avaient divorcés 5 ans auparavant.

Le fait de les avoir vu se déchirer avait causé en moi comme un blocage concernant les relations avec des personnes du sexe opposé. Une part de moi ne voulait pas s'engager dans une relation qui pouvait à tout moment se terminer. C'est pour cela, que je n'avais jamais osé sortir avec une fille. À 20 ans, j’étais donc encore puceau. Je n'avais, de plus, jamais embrassé une fille.

Ma vie sexuelle ne se résumait qu’au visionnage de films pornos et de branlettes.

Tout avait commencé à changer lors que j’avais vu mes parents se remettre en couple.

Mon père, Éric, avait noué une relation avec une ancienne amie de la fac. De son côté, ma mère avait rencontré un homme sur son lieu de travail.

La nouvelle amie de mon père avait eu déjà une fille lors de son premier mariage. Et c’était sa fille, Mia, qui avait chamboulé ma vie à jamais.

Mia avait des origines asiatiques du côté de sa mère. C’était une jeune femme de 23 ans, mince, plus petite que moi avec de légères formes. Elle était l’archétype de mon type de femme et accessoirement mon type d’actrice porno.

La première fois que mon père m’avait présenté sa nouvelle amie, Yumi, ainsi que sa fille Mia, j’étais tombé sous le charme instantanément de cette dernière.

Lors de notre première rencontre, j’avais eu du mal à lui faire la bise sans me mettre à rougir.

Mia était de tempérament plus extraverti que moi. Pendant que mon père et Yumi étaient sortis dans le jardin pour se partager une cigarette, Mia était venue s’assoir près de moi dans le canapé. Ce jour-là, elle portait une robe courte bleu ciel légèrement ample.

- Ça va, Chris ? On dirait que ma présence et celle de ma mère te dérange ?
- Euh… non … si un petit peu. C’est la première fois que je vois mon père être amoureux d’une autre personne que ma mère.
- Je peux comprendre ton point de vue. Mais le plus important c’est qu’ils se sentent bien ensemble, non ?
- Tu as raison, Mia. Mais je crois qu’il y a autre chose qui te gêne, Chris ?
- De quoi tu parles ?
- A chaque fois que je croise ton regard, tu ne peux pas t’empêcher de rougir.
- Tu te trompes , Mia. C’est juste la couleur rouge de mon t-shirt qui se reflète sur mon visage.
- Si tu le dis.

Mia avait posé une main sur ma cuisse tout prés de mon sexe.

- Ne me dit pas que c’est ton t-shirt qui fait qui fait réagir ton sexe comme çà.

Elle s’était donc aperçu que j’avais un début d’érection.

- Mia, arrêtes, ça me gêne.
- Pardon, Chris. Peut-être que c’est la première fois que tu as une femme aussi proche de toi ?

Je n’avais pas répondu à sa question et je m’étais levé pour aller m’installer dans un fauteuil.

Mia semblait vraiment intriguée de ma réaction. Elle devait se poser de nombreuses questions à mon sujet.

Nos parents étaient revenus dans le salon après leur petite pose clope. Ils nous avaient rejoint dans le salon pour boire l’apéritif ensemble.

Nous avions mangé ensemble et nous avions parlé un peu de nos vies sans vraiment entrer dans le détail.

Nos invités étaient rentrées chez elles peu avant 18 heures. Mia m’avait fait la bise en me faisant un sourire discret.

- J’espère qu’on aura la chance de se revoir bientôt, Chris ?
- Oui, Mia. Je n’en doute pas.

J’avais vu dans le regard de nos parents respectifs comme un petit regard désapprobateur concernant une possible rencontre entre elle et moi.

Après nous être quitté, j’étais allé directement dans ma chambre pour aller me branler. Mia ne me laissait vraiment pas insensible mais je ne pouvais pas assumer mes sentiments naissants pour elle. Je l’avais imaginé nue sous la robe et que je m’étais mis entre ses cuisses pour la baiser sauvagement sur le canapé.

Je m’étais vidé les couilles en pensant à elle. Le soir même, je m’étais donné à nouveau du plaisir en imaginant Mia dans les diverses positions que je pouvais voir dans certains films pornos.

Il s’était passé près d’une semaine sans que je ne revois Mia, mais tous les soirs j’avais toujours une pensée pour elle lors de mes branlettes. Cela en devait presque obsessionnel.

Yumi était passée à la maison quelques fois pour voir mon père mais toujours sans Mia.

Un soir, j’avais reçu un MMS de la part de Mia. C’était une compilation de photos d’elle dans le plus simple appareil. Elle me montrait ainsi sa petite poitrine ainsi de sa vulve totalement épilée. Je n’avais pas pu me retenir de me masturber en admirant ses photos.

Quelques minutes plus tard, mon téléphone s’était mis à vibrer. C’était Mia à l’autre bout du fil.

- J’espère que je ne te dérange pas en pleine action, Chris ?

Je m’étais mis à bégayer.

- Euh, Mia, tu ne devrais pas m’envoyer de telles photos si tu ne voulais pas que je me branle.
- Je savais que je te plaisais, Chris. Il faudrait qu’on se voit un jour pour faire plus ample connaissance.

Je pouvais deviner son sourire à l’autre bout du téléphone.

- Euh.. oui… mais pas chez moi, Mia.
- OK. On pourrait se voir à mon appartement. Je t’envoie l’adresse.
Entendre sa voix douce accroissait encore plus mon érection. Sans le lui dire je me masturbais en lui parlant.

- Je te souhaite une bonne nuit … et une bonne branlette, Chris. Gros bisous.

Juste après avoir raccroché avec Mia, j’avais recouvert mon ventre de sperme.

Cette fille m’excitait et me mettait mal à l’aise à la fois.

Après avoir nettoyé mon ventre avec un mouchoir en papier, j’avais répondu à son dernier message en lui proposant une date pour se revoir.

On devait se voir, le mercredi après-midi suivant.

Grâce à ses photos, je pouvais avoir plus d’inspiration pour mes branlettes. J’en abusais même lors de mes pauses au boulot.

Le fameux mercredi après-midi était vite arrivé. J’avais mis une chemise blanche ainsi qu’un pantalon noir pour me rendre chez elle.

Même si je m’étais branlé avant d’aller la rejoindre, j’étais passablement excité.

Mia habitait au troisième étage d’un immeuble. J’avais sonné à son interphone pour la prévenir de mon arrivée. Elle avait déverrouillé la porte d’entrée afin que je puisse entrer dans le hall. J’avais pris l’ascenseur. Je sentais mon cœur battre à toute à l’allure. C’était pour moi la première fois que j’allais chez une fille. Je redoutais le moment de me retrouver seule avec elle mais aussi je trouvais ça terriblement excitant.

J’avais toqué à sa porte. Mia m’avait ouvert dans la même tenue qu’elle portait lors de notre première rencontre.

Elle m’avait fait entrer et m’avait fait la bise dans la foulée.

- Tu as pris les escaliers, Chris ? Tu es tout rouge et un peu en sueur.
- Oui,, Mia.

Je ne voulais pas lui dire que j’avais pris l’ascenseur.

- J’ espère que les photos que je t’ai envoyé la dernière fois n’ont pas fait le tour de tes collègues de bureau.
- Non, Mia, je les ai précieusement gardé pour moi.
- J’espère que tu en as fais bon usage.
- Euh.. oui.. tu t’en doute bien, Mia.
- Par contre, j’ai été un peu déçue de ne pas recevoir une photo de ta queue toute dure en retour des miennes. Mais ce n’est si grave que çà. Je compte bien la voir en vrai.

Cette petite discussion avait eu un effet sur ma queue. Je la sentais doucement se gorger de sang.

Mia m’avait fait assoir dans son canapé. Elle s’était mise debout devant moi et elle avait commencé un délicieux strip-tease. Elle avait déboutonné peu à peu sa robe, me laissant voir l’un après l’autre ses seins. Je ne pouvais pas m’empêcher de me rincer l’œil devant un tel spectacle. Ma queue se sentait de plus en plus à l’étroit dans mon pantalon.

Elle avait continué à déboutonner sa robe jusqu’à ce que celle-ci ne tombe à ses pieds. Elle ne portait plus qu’un string en dentelle rose sur elle.

- Tu peux sortir ta queue pour te mettre à l’aise , Chris.

Je me suis docilement exécuté en déboutonnant mon pantalon et en sortant ma queue de mon boxer. Je m’étais mis à me masturber lentement. Ma queue était déjà bien dure.

- Arrêtes de te toucher, Chris. Tu as une belle queue en tout cas. Tu te l’ai même rasée. Tu as bien fait, Chris.

Elle s’était retournée pour enlever délicatement son string. Elle s’était penchée en avant pour que je puisse avoir une belle vue sur les lèvres de sa chatte totalement lisse. Mon sexe était aussi dur que de la pierre. Cela me faisait presque mal. Elle s’était à nouveau retournée pour voir ma queue qui pointait vers le ciel.

- On dirait que ça te plaît de voir une fille entièrement nue, Chris.
- Tu es si belle, Mia. C’est difficile de ne pas bander devant ton corps sublime.
- Merci pour ton compliment. Moi, je trouve mes seins trop petits. Ils te plaisent à toi, Chris ?
- Oui, au contraire, j’adore les petits seins.

Mon gland était presque devenu violet. Mon regard s’était porté sur sa petite fente au creux de son bas-ventre.

- Je me doute que tu es encore puceau, Chris. Ce n’est pas grave, tu sais.
- Merci de me rassurer, Mia.
- Tu seras mon premier puceau. Mais je compte bien qu’avant la fin de cet après-midi tu ne le sois plus.

Je trouvais son comportement digne d’une salope mais je ne lui avais pas dit ses mots-là au risque qu’elle ne s’arrête et me laisse dans mon état.

Elle s’était mise à genoux pour m’enlever mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon et enfin mon boxer. Je ne portais plus que ma chemise. Elle s’était relevée pour s’assoir sur mes genoux afin de déboutonner ma chemise pour que je me trouve nu.

- La nature t’a gâté, Chris. Tu es bien foutu de partout. Je vais te faire une petite gâterie, Chris. Crois-moi tu vas aimer çà.

Mia s’était à nouveau agenouillée devant moi. Elle avait écarté légèrement mes cuisses pour avoir un bon accès à mon sexe. Elle avait commencé par lécher mes boules. Je n’avais pu retenir un petit gémissement. Mia souriait. Elle s’était mise à gober mes boules l’une après l’autre en les aspirant dans sa bouche. J’avais fermé les yeux et j’avais basculé ma tête en arrière. C’était vraiment trop bon.

Mia avait relâché son emprise sur mes boules et elle avait léché ma queue jusqu’à atteindre mon gland. Ce qui je ne voyais pas, c’est qu’elle avait glissé 2 de ses doigts dans sa chatte pour se faire mouiller.

J’avais rouvert les yeux pour profiter du spectacle de ma première pipe. Mia me fixait de son regard que je trouvais tellement excitant. Je sentais sa langue faire plusieurs tours autour de mon gland. Je gémissais à chaque fois un peu plus fort. Elle avait pincé mon gland entre ses lèvres. Elle le titillait du bout de sa langue. Elle avait ensuite fait bouger sa tête sur ma queue pour la faire peu à peu disparaître dans sa bouche. Le plaisir que je ressentait était à 100 000 lieux de celui que je pouvais me donner tout seul le soir.

Je sentais sa langue sous ma queue. Elle avait ressorti légèrement ma queue de sa bouche pour n’y laisser que mon gland. Sa langue léchait soigneusement le dessous de mon gland. Je m’étais crispé de plaisir en ressentant cette nouvelle sensation intense. Je sentais peu à peu le moment ou j’allais craquer.

- Ah, c’est trop bon, Mia. Mmm continues. Ça me fait du bien.

Elle s’était mise à me masturber pour faire venir mon plaisir. Je voyais son bassin se balancer sans vraiment comprendre pourquoi. Elle se doigtait tout en me suçant.

Tout mon corps s’était subitement tendu. Je savais que j’étais sur le point d’avoir un orgasme. Mia s’en était rendu compte et elle avait accéléré les mouvements de sa main sur ma queue tout en gardant mon gland prisonnier de ses lèvres.

- Je vais jouir, Mia. Oooh mmm

Mia avait toujours ses yeux plongés dans les miens. J’avais atteint le point de non-retour et mon gland avait expulsé mon sperme au fond de sa bouche par saccades.

Mia avait pincé mon gland entre ses lèvres pour en extraire mes dernières gouttes de sperme. Mon sexe était à nouveau à l’air libre. Mia avait gardé un instant mon sperme dans sa bouche avant de l'avaler d’un trait.

- C’était génial, Mia. Tu es vraiment douée.
- Merci, Chris. Mais j’en suis loin d’en avoir fini avec toi.

Elle s’était remise debout. Je pouvais voir sa fente qui luisait légèrement. C’était à ce moment-là que j’avais compris qu’elle s’était donnée du plaisir pendant qu’elle me suçait.

Elle m'avait aidé de me relever. Mes jambes tremblaient encore un peu. On s’était dirigé vers sa chambre pour continuer. J’étais devancé par ma queue qui était encore légèrement dressée.

- Tu es encore puceau à ce stade, Chris.

On s’était allongé sur son lit, face à face. Ma queue était devenue à moitié molle entre temps. Nous nous étions embrassés à pleine bouche pendant que Mia essayait de remettre un peu de vie à ma queue en la caressant.

Mia avait plié une jambe et posait un pied sur son lit afin de me laisser voir sa vulve qui brillait. Elle avait guidé ma main vers son bas-ventre pour que je puisse découvrir son intimité qui m’était encore inconnue. Elle avait guidé mes doigts, dans un premier temps, sur son clitoris. Je découvrais pour la première fois l’anatomie intime d’une femme. Elle semblait apprécier mes petits mouvements sur son bouton de plaisir.

Elle avait dirigé ensuite mes doigts vers sa fente lisse et l’entrée chaude de son vagin humide. Entre les douces caresses que je prodiguais à Mia et sa main qui caressait ma queue, cette dernière avait repris toute sa vigueur.

- Il est temps de passer aux choses sérieuses, Chris. Je vais m’empaler sur ta queue.
- J’ai tellement rêvé de ce moment, Mia. J’ai hâte d’être en toi.

Mia s’était donc mise à cheval sur moi. Elle avait basculé son torse vers ma tête. Ma langue s’était mise à lécher ses tétons. Cela avait fait gémir doucement Mia.

Elle avait reculé un peu jusqu’à ce que mon gland entre en contact avec sa fente. Elle savait saisi ma queue pour frotter mon gland le long de sa fente. Elle avait guidé ensuite mon gland à l’entrée de son vagin. Il ne m’avait fallu peu de temps avant que mon gland ne se glisse en elle. Cette nouvelle sensation était extraordinaire.

Mia s’était redressée. Elle faisait entrer mon gland puis ma queue en elle grâce de doux mouvement de bassin. J’étais enfin dans le vagin d’une femme. Mia avait posé ses mains sur mon torse pour y prendre appui.

Je pouvais ressentir les contractions de son vagin sur ma queue. Cela n’avait rien à voir avec mes branlettes. Son bassin coulissait sur ma queue au rythme qu’elle m’imposait. Au fur et à mesure, ses gémissements devaient de plus en plus fort. Elle avaient même planté ses ongles sur mon torse. Ce moment était vraiment magique. Nous ne nous lâchions pas du regard. Ses yeux légèrement bridés étaient envoûtants.

Mia s’était mise à sautiller plus rapidement sur ma queue.

- Mmm, Chris, je vais jouir. Oooh je sens que ça vient.
- Ooh, Mia je ne vais pas tarder à jouir aussi mmm

Mia avait fermé les yeux et avait basculé sa tête en arrière. Je sentais son vagin se contracter sur ma queue. Quasiment en même temps, nos corps s’étaient raidi et nous avions eu un orgasme. Ma semence s’était répandue dans son vagin. J’avais saisi ses petits seins au creux de mes mains. Elle s’était ensuite allongée sur moi pour m’embrasser. J’étais toujours en elle.

Nous avions laissé nos rythmes cardiaques ralentir avant de s’allonger côte à côte. Un petit filet de sperme s’était écoulé de son vagin que je venais juste de quitter.

- Voilà, Chris, tu es devenu un homme.
- Merci, Mia. C’était vraiment génial.

On était resté là enlacé l’un contre l’autre encore quelques minutes. Nous nous étions ensuite levés pour prendre une douche ensemble. Nous avions échangé quelques baisers et quelques caresses sous la douche. Mia était sortie la première et avait enfilé un peignoir en satin rose. J’étais sorti à mon tour pour aller récupérer mes affaires dans le salon pour me rhabiller.

- J’espère que ta première expérience c’est bien passée, Chris ?
- Oui et c’était grâce à toi ma belle Mia.
- On devrait se revoir régulièrement pour que je t’aide à avoir plus d’expériences.
- Je suis totalement d’accord.
- On aura qu’à s’envoyer des textos pour se planifier tout ça.
- Avec plaisir, Chris.

J’avais quitté Mia en l’embrassant passionnément.

Entre chacun de nos rendez-vous, nous avions planifié de petits moments coquins au travers de nos écrans de téléphone ou d’ordinateurs. J’aimais la voir se caresser la poitrine ou la chatte pendant que je me branlais derrière mon écran.

A chaque rendez-vous, nous avions changé de positions pour faire l’amour. Nous avions même essayé la sodomie mais comme j’en étais pas fan, je me contentais de sa chatte ou de sa douche.

Quand Mia venait avec sa mère chez nous, nous essayions à chaque fois de nous trouver un coin tranquille pour échanger quelques baisers.

Nous vivions cette relation depuis presque 7 mois déjà lorsque Mia m’avait appelé.

- Salut, mon amour, ça va ?
- Oui et toi, mon ange ?
- Je ne sais pas.
- Qu’est ce qui t’arrives ? Je te sens préoccupée.
- J’ai 2 semaines de retard.
- Tu crois que tu es enceinte, mon cœur ?
- Peut-être, Chris.
- Tu devrais faire un test pour en avoir le cœur net, ma chérie.
- Je vais passer à la pharmacie avant de rentrer chez moi.
- Tu veux que je vienne chez toi pour lire le résultat ensemble ?
- Je veux bien, mon amour. Ça me rassurerait.
- Je sors du boulot dans 1 heure et je te rejoins chez toi, après.
- D’accord, Chris. Je t’aime.
- Je t’aime aussi mon cœur. A toute.
- Gros bisous.

J’avais pensé l’ombre d’un instant que je me trouvais trop jeune, à presque 21 ans, pour devenir papa. Mais l’amour qu’on se portait mutuellement avec Mia était nôtre plus grande force.

Comme convenu, je m’étais rendu chez Mia après mon boulot. Elle m’avait donné un double des clefs depuis quelques mois. J’étais donc entré sans frapper.

- Tu es où mon amour ?
- Je fais pipi.
- On va vite savoir, alors.
- On devrait le savoir dans 5 minutes.

Mia était sortie des toilettes avec sur elle simplement un string et un t-shirt. Dans sa main se trouvait la réponse à ce qui allait changer notre vie à jamais.
- Si je suis vraiment enceinte, tu te sens capable de devenir papa, Chris ?
- Oui, mon cœur. Notre amour est indestructible. Je t’aime tant.

Je la serrais fort dans mes bras pendant que nos yeux étaient braqués sur son test de grossesse. Mia avait pris le test pour lire le résultat une fois les 5 minutes passées.

Elle avait lu le résultat. Tout de suite après, elle s’était jetée dans mes bras en sanglots.
- Tu vas être papa, Chris.
On s’était embrassé encore plus passionnément que d’habitude.
- Je t’aime, ma chérie.
- Je t’aime, mon amour.
- Il va falloir l’annoncer à nos parents.
- Je sais, Chris.
- Ils habitent déjà ensemble depuis 3 mois dans leur nouvel appartement. On a qu’a aller chez eux pour le leur annoncer ce week-end.
- J’ai hâte de l’annoncer à ma mère.
- Oui mamie Yumi va être contente !
- Ne te moques du prénom de ta future belle-mère.
- Je ne sais pas toutefois comment ils vont le prendre.
- On a aucun lien de sang donc il n’y a aucun problème, mon cœur.
- On pourrait même se marier le même jour.
- Oui, Chris. Ça serait même marrant.
- Il faudra que tu arrêtes boire de l’alcool maintenant.
- Je pourrais quand même boire ton jus à toi, mon cœur ?
- Celui-là tu pourras l’avaler autant de fois que tu voudras.
- J’en connais un qui a envie de se faire sucer pour fêter çà !
- C’est vrai que je n’aurais rien contre.
- Viens ici, papa !!

J’avais eu droit à ma petite pipe ce jour-là et j’avais passé la nuit chez Mia.

2 jours plus tard, nous nous étions rendus ensemble chez nos parents.

Je m’étais garé dans l’allée. J’avais embrassé Mia avant de sortir de la voiture. J’étais rentré le premier dans la maison. Mia était juste derrière moi.

- Salut, fiston, ça va ?
- Oui, papa. Très bien même.
- Salut, Mia. Tu vas bien ?
- Oui, Éric. Salut maman ?
- Chris est venu te chercher à ton appartement ?
- Euh… oui c’est çà, maman.
- Bonjour, Yumi. Vous allez bien ?
- Je t’ai dit que tu pouvais me tutoyer depuis longtemps, Chris ?
- Oui, pardon. Ça va ?
- Tout ce passe bien avec Éric.

Après les salutations d’usage, nous avions pris l’apéritif ensemble sur la terrasse.
- Je veux bien une bière, papa.
- Tu veux aussi une bière, Mia ?
- Oui mais sans alcool, s’il te plaît ?
- OK.
- Depuis quand tu ne bois plus d’alcool, ma chérie ?
- J’ai quand même le droit de changer mes habitudes, maman, non ?
- Si, bien sûr, ma fille.
- Santé à tout le monde !!!
- Santé !

Pendant le repas, je n’avais pu m’empêcher de passer une main discrètement sur la cuisse de Mia.
Yumi et mon père avait fumé une clope non loin de Mia.
- Vous ne pouvez pas aller fumer votre clope puis loin ?
- Qu’est ce qui t’arrive ma fille ? Je te sens tendue depuis ton arrivée.
- On doit vous dire un truc avec Chris ?
- C’est quoi, ma fille ?
- Je suis enceinte et c’est Chris le papa.

Yumi et mon père étaient restés sans voix comme si le temps s’était soudainement arrêté.

- Mais, mais, Mia dis-moi que ce n’est pas vrai ?
- Si c’est la vérité, maman.
- Chris est ton demi-frère !!!
- Pas vraiment. Tu n’es pas encore marié avec Éric que je sache ?

Yumi s’était retournée vers mon père avec un visage livide.

- Il a un truc que vous ne savez pas tous les 2.
- Vas-y , papa. Je t’écoute.
- J’avais rencontré Yumi à la fac…
- Oui, ça je sais.
- … c’était il y a … 24 ans.

On s’était regardé avec Mia. On avait tout de suite compris que nous avions le même père tous les 2.

- Attends, papa. Si je comprends bien, tu es le père de Mia ?
- Oui, Chris, c’est ça.

Mia avait regardé vers sa mère. Cette dernière avait le regard baissé.

- Regardes-moi, maman ! Tu confirmes ce que vient de dire Éric ?
- Oui. Mia. Toi et Chris avez le même père.
Il s’ensuivait une discussion plutôt houleuse entre nous 4.

Quand Yumi et Mia s’étaient mis à pleurer dans les bras l'une de l’autre, les tensions avaient vite disparu. Mon père avait pris Yumi dans ses bras et j’en avais fait de même avec Mia.

- De toute façon et quoi que vous en pensiez, on veut garder nôtre bébé.
- Je comprends ma chérie mais saches qu’il pourrait y avoir des complications.
- Je sais que c’est possible, mais avec l’amour que nous nous portons avec Chris, nous serons capable de faire face.

À partir de ce moment-là, Mia et moi ne nous cachions plus vis-à-vis de nos parents respectifs.

Nous avions déménagé dans un appartement plus grand afin d’accueillir notre enfant.

Lors de sa première échographie, nous avions découvert que Mia n’attendait pas un bébé mais 2, 2 jumelles.

8 mois plus tard, nos 2 anges avaient vu le jour. Nous leurs avions donnés des prénoms d’origine vietnamienne : Mai, qui est le nom de la fleur d’abricot et Tham, qui veut dire grâce.

Nos parents avaient accepté nôtre union et 2 ans plus tard, mon père avait d’ailleurs amené sa fille à l’autel le jour de nôtre mariage.

Et maintenant près de 20 ans plus tard, nos 2 anges Mai et Tham sont en parfaite santé ainsi que leur petit frère Trung (fidélité en vietnamien) qui va vers ses 15 ans.