Michel 1 - histoire érotique

Michel a 18 ans. Il vient d’avoir son bac avec mention. Il habite en province et a été admit dans un lycée de la région parisienne à Enghien les bains.
Il va au Lycée pour valider son inscription et pour trouver un logement car l’internat s’arrête à la terminale.
Après avoir remis son diplôme au secrétariat, il demande une liste d’adresses pour pouvoir se loger.
La secrétaire lui conseil une adresse qui est située à 50 mètres du lycée. Elle sait qu’il y a une chambre d’étudiant et que la propriétaire est très sympa. Après avoir remercié la secrétaire, Michel se dépêche de se rendre à cette adresse.
Il arrive devant une très grande propriété avec parc maison et maison de gardien.
Il sonne à l’interphone.


- Oui qui est là ?
- Bonjour madame, je suis un étudiant qui cherche une location pour la rentrée.
- Ah ok, j’arrive.

Michel patiente 5 minutes avant qu’une dame âgée d’une soixantaine d’années arrive à la porte.

- Entrez Jeune homme.
- Merci madame.
- Je m’appelle Elisabeth.
- Moi c’est Michel, je suis enchanté de faire votre connaissance.
- Moi aussi, venez suivez-moi.

Michel suit Elisabeth qui rentre dans la maison du gardien.

- J’habite dans cette maison car j’ai donné la grande maison à ma fille et mon gendre. La chambre d’étudiant est au premier étage, moi je suis au rez de chausée.
- D’accord. Je peux visiter ?
- Bien sûr suivez-moi.

Elisabeth suivi de Michel emprunta un grand escalier en marbre.

- C’est super beau chez vous.
- Oui n’est-ce pas ?

Michel commençait à s’inquiéter du prix de la location. En observant Elisabeth, il la trouvait charmante. Assez grande, très élégante.
Le premier étage comprenait la chambre, une petite cuisine, une salle d’eau avec wc.

- Voilà, ça a été refait l’année dernière.
- C’est vraiment bien. Mais le prix de la location est de combien ?
- Normalement 600 € par mois.
- Ah oui quand même, je n’ai pas les moyens.
- J’ai dit normalement.
- C’est-à-dire ?
- ET bien disons que je peux vous faire un prix.
- En échange de quoi ?
- Et bien en échange de quelques petits services.
- Quels genre der- services ?
- Voilà, je suis seule, si vous acceptez de passer un peu de temps avec moi, je peux vous faire un prix. Bien sûr la remise sera proportionnelle au temps que vous me consacrerez.
- Je vois. Il faut que je puisse annoncer un prix à mes parents, car ce sont eux qui payent.
- On peut partir sur 300 € au début, on affinera en fonction votre attitude si je peux dire.
- Bon c’est surprenant comme proposition, mais je suis prêt à essayer.
- Très bien.
- Vous venez boire quelque chose, je vais vous donner le bail à signer.
- D’accord.

Michel et Elisabeth descendirent au rez-de-chaussée pour remplir les papiers.

Michel regardait Elisabeth du coin de l’œil et voyait qu’elle détaillait l’apparence de Michel. Il sentit que ça lui faisait quelque chose. Or il était sacrément équipé et avait peur qu’Elisabeth s’aperçoive de ce qui se tramait dans son pantalon.

Bien sûr elle s’aperçut tout de suite de la bosse présente entre les cuisses de Michel et en déduisit que celui-ci était monté comme un âne. Mais elle se garda bien de tout commentaire.

Une fois les papiers remplis, Michel avait retrouvé ses esprits et pu prendre congé d’Elisabeth en disant :

- Je vous remercie Elisabeth pour votre accueil. J’arriverai le 25 Aout si c’est possible pour vous.
- Oui pas de soucis, je vous attendrai. Ah j’oubliai, je souhaite qu’il n’y ait pas de filles qui viennent. Je ne voudrais pas que ma maison soit un lieu de débauche.
- Oui bien sûr je comprends. Je suis ici pour travailler car mes parents font des efforts pour moi.
- Et bien c’est parfait. Passez de bonnes vacances Michel.
- Merci, vous aussi Elisabeth.

L’été se passa bien pour Michel. Elisabeth avait hâte d’être à la rentrée. Elle avait déjà quelques idées d’activité en compagnie de Michel.
Le 25 Aout arriva, Michel prit le train puis le train de banlieue et sonna à la grille de la propriété.

- Allo qui est-ce ?
- C’est Michel.
- J’arrive.

Elisabeth s’était habillée en jupe mi-cuisses, chemisier légèrement transparent qui laissait entrevoir un soutien-gorge en dentelle couvrant que la moitié de ses aréoles. Elle portait des bas qui tenaient par des porte jarretelles assortis à sa culotte et son soutien-gorge ainsi que des talons.
Michel eu le temps d’apercevoir ce changement vestimentaire par rapport à leur précédente rencontre.

- Alors comment ça va Michel ? vous avez passé de bonnes vacances ?
- Oui oui, très bien, et vous ?
- Oui bien. Entrez.

Elisabeth remis les clés de la maison à Michel.

- Vous voulez diner avec moi ce soir ?
- Je veux bien, je n’ai pas eu le temps de faire des courses.
- 19 heures ça va ?
- Très bien, je peux vous aider pour faire quelque chose ?
- Non ça ira, mais merci.
- Bon et bien je vais ranger mes affaires. Je voulais vous dire, vous êtes très élégante.
- Merci, c’est gentil, je voulais vous faire bonne impression.
- Ah ben c’est réussi.

Michel monta dans sa chambre pour ranger ses affaires. Puis il prit une douche et s’habilla avec un pantalon et une chemise.
Elisabeth, une fois rentrée chez elle, était en ébullition.
Elle avait fait de l’effet à un jeune étudiant de 18 ans qui était beau comme un cœur. Elle alla dans sa chambre, remonta sa jupe baissa sa culotte et se mit à frotter son clito avec une force inouïe. Elle avait envie de décharger toute la tension qui avait en elle.
Elle mordit sa main pour ne pas crier. Elle se cabra et eut un orgasme incroyable. Elle tomba sur son lit les cuisses ouvertes.
Elle respirait comme une bête blessée. Son vagin laissait sortir un flot de cyprine qui inondait son dessus de lit.
Elisabeth se releva, remis sa culotte en place ainsi que sa jupe. Elle alla préparer le repas.
A 19 heures, Michel toqua à la porte de l’appartement d’Elisabeth. Il entendit de loin :

- Entrez Michel, mettez vous à l’aise au salon, j’arrive dans 5 minutes.

Michel alla s’installer. Il appréhendait un peu ce diner car il ne savait pas trop ce qu’Elisabeth attendait de lui.
Il entendit le bruis des talons sur le parquet.

- Voilà j’arrive.

Michel se leva à l’arrivée d’Elisabeth.
- Restez assis Michel, c’est à la bonne franquette.
- Quand même, on m’a appris à me lever quand une femme arrive.
- C’est bien. On pourrait se tutoyer.
- Si tu veux oui.
- Ah cool, c’est plus sympa comme ça.
- Tu veux boire quelque chose ?
- Oui si tu veux.
- J’ai mis du champagne au frais pour fêter ton arrivée.
- Ah ben avec plaisir. Tu veux que je fasse le service ?
- Avec plaisir. Les flutes sont sur la table de la cuisine.
- Ok je m’en occupe.

Michel se leva et passa devant Elisabeth qui ne le quittait pas des yeux. Elle sentit le parfum que Michel avait mis et détailla sa morphologie.
Elle ne put que constater que ce gosse était superbe et qu’elle ferait tout. Son possible pour le mettre dans on lit, quitte à faire un loyer gratuit. Elle avait largement les moyens de vivre sans ce loyer suite au décès de son mari et à la rente qu’il lui avait laissé.
Michel revient avec la bouteille débouchée et les deux flutes.


- Voilà, on peut trinquer. A ton arrivée Michel.
- A votre accueil Elisabeth, j’espère que nous nous entendrons bien tous les deux.
- Je n’en doute pas. Tu as l’air charmant comme garçon.
- Merci, tu as l’air sympa aussi.

Ils étaient assis l’un à côté l’un de l’autre sur le canapé. Elisabeth mourrait d’envie de poser sa main sur la cuisse de Michel, mais elle avait peur de le braquer.
Michel sentait qu’Elisabeth le dévorait des yeux. Étant beaucoup plus jeune, il n’osait faire quelque chose qui choque Elisabeth.
Elisabeth, n’y tenant plus fini par poser sa main sur la cuisse de Michel.

- Michel, tu es beau comme un cœur.
- Merci Elisabeth, mais tu fais quoi ?
- Tu sais que tu dois me tenir compagnie ?
- Oui oui, mais…
- Oui mais quoi ? je suis trop vieille pour toi. C’est ça ?
- Non pas du tout, mais je ne sais pas…

La main d’Elisabeth continue à monter le long de la cuisse de Michel. Celui-ci eut un début d’érection. Elisabeth posa sa main sur la bosse qui apparaissait dans le pantalon de Michel. Elle ne la quittait plus des yeux, elle était hypnotisée. Elle caressait le sexe de Michel à travers le tissu. Le pénis de Michel se créa un chemin dans la manche de son pantalon jusqu’à la moitié de sa cuisse.
Elisabeth se rua sur le bouton du pantalon puis le zip. Elle descendit le pantalon et le caleçon de Michel ce qui eut pour effet de libérer le sexe de Michel tel un ressort.

- Au mon dieu !!!!! quel engin !!!
- Oui, je suis assez fournit.
Elisabeth fixait ce sexe avec envie. Elle sentait sa culotte devenir humide. Elle saisit le sexe de Michel et le branla doucement comme pour mieux l’admirer.
Elle n’avait jamais eu un sexe de cette taille dans la main. Ses doigts n’arrivaient pas à faire le tour du pénis.
Elle regarda Michel avec des yeux brillants comme pour demander l’autorisation de le prendre en bouche.
Michel lui fit signe que oui.
Elle se jeta sur son sexe comme une affamée.
Elle donnait des coups de langues sur le dessous du gland de l’autre main elle caressait les couilles de Michel. Elle prit le sexe de Michel en bouche et commença à le pomper.
Michel gémissait. A ce rythme il allait envoyer la sauce rapidement. Elisabeth cachait bien son jeu. Elle descendait sa bouche sur ce sexe. Il bitait sur sa gorge, mais elle avait une telle envie quelle insista jusqu’à forcer sa luette. Elle eut un haut le cœur mais continua.
Michel se cabra et grogna comme une bête sauvage et envoya des jets de spermes en grandes quantité.
Elisabeth fut obligée de se dégager si elle ne voulait pas mourir étouffée. Elle ferma la bouche et avala tout le sperme.
Elle se dit que l’année scolaire à venir allait être une belle année.