Michel 2
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Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Michel 2
Michel 2
Michel regardait Elisabeth avec étonnement. Il n’aurait jamais pensé que cette femme de 60 ans allait se jeter sur lui pour lui faire une fellation digne d’une pute. Il n’avait pu résister longtemps à ce traitement avant de jouir.
- Alors jeune homme, que penses-tu de ta propriétaire ?
- Ah ben je suis agréablement surpris. C’est la plus belle fellation que je n’ai jamais eue.
- Bon on va diner si tu veux bien ? j’ai fait un gratin dauphinois avec un rôti de porc.
- Hummm, j’adore le gratin dauphinois.
- Tant mieux.
Elisabeth et Michel dinèrent à la cuisine. Michel trouvait le repas succulent. Après le repas, Michel proposa de faire la vaisselle.
- Merci Michel, avec plaisir. Moi je vais débarrasser la table.
- Ok on fait comme ça.
Michel se trouvait devant l’évier. Elisabeth desservie la table tout en regardant Michel de dos. Elle se dit que l’étudiant avait un joli petit cul. Elle s’approcha de Michel par derrière pour lui caresser les fesses à travers le tissu. Sa main glissa entre les cuisses du jeune homme. Michel se cambra, il était pris au dépourvu. Il sentait que son sexe réagissait dans son pantalon.
- Et bien on dirait que tu reprends du poil de la bête.
- Ben à me caresser comme ça, c’est sûr que je ne peux pas rester de marbre.
- Hummm tu aimes ça dis donc.
- Oui mais j’ai peur de casser la vaisselle.
- Je te laisse tranquille alors, je vais prendre ma douche.
- D’accord.
Michel finit de faire la vaisselle et s’installa dans le canapé du salon. Elisabeth se séchait dans la salle de bains. Elle enfila son peignoir avant de rejoindre Michel au salon.
- Tu ne m’en veux pas, mais je me suis changée pour la nuit.
- Tu es chez toi Elisabeth.
- Merci.
Elle vint s’assoir à côté de Michel. En s’asseyant, le peignoir remontait sur ses cuisses et le haut bayait découvrant le début de sa poitrine.
Michel devinait une poitrine lourde et assez fournie. Il sentait la main d’Elisabeth sur sa cuisse.
Michel caressa un sein d’Elisabeth à travers le tissu puis passa sa main à l’intérieur du peignoir.
Elisabeth poussa un petit soupir voulant dire à Michel son accord pour continuer.
Il trouva le mamelon qu’il commença à rouler entre ses doigts.
Elisabeth se laissait faire, trop contente de sentir de nouveau une main d’homme sur son corps.
Michel dénoua son peignoir et l’écarta, découvrant la poitrine et le ventre d’Elisabeth.
Il vit deux gros tétons qui pointaient. Il se mit à les téter et les mordiller.
Elisabeth fermait les yeux.
- Oh Michel, c’est bon ce que tu me fais là. Il y a si longtemps que je n’ai pas ressenti ça
- Profite Elisabeth, je suis là pour te tenir compagnie.
- Oh oui, j’adore ta compagnie.
Michel descendit sa main sur le ventre d’Elisabeth qui d’instinct ouvrit légèrement ses cuisses.
Elle était aux anges, elle sentait les doigts de son amant qui fouillait son intimité. Sa vulve devenait humide. Elle ouvrait d’avantage ses cuisses, comme pour inviter son amant à aller plus loin.
Michel allongea Elisabeth sur le dos et posa sa bouche sur la vulve de sa propriétaire.
Il saisit le clito d’Elisabeth qui était assez développé. Il l’aspira et le mordilla ce qui fît gémir Elisabeth.
- Oh oui, bouffe le moi, mords le.
- Hummmmm.
- Mais que c’est bon.
Le volcan d’Elisabeth qui sommeillait depuis le décès de son mari entrait de nouveau en éruption.
Elisabeth sentait sa chatte qui coulait de plus en plus. Sa lave de plaisir dévalait les parois de sa chatte.
Elle gémissait plus fort. Sa voix devenait rauque.
- Prends moi Michel, je n’en peux plus.
Michel se le va et se déshabilla. Son sexe était tendu à l’extrême.
Elisabeth était hypnotisée par ce sexe d’homme qui était beaucoup plus grand et large que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent.
Michel se positionna entre les cuisses d’Elisabeth en guidant son sexe à l’entrée du vagin d’Elisabeth, puis poussa pour la pénétrer.
- Oh mon dieu, tu me remplis la chatte.
- Hummm, ça glisse tout seul, tu es tellement mouillée.
- Oh vas-y, prends moi fort.
Ah ces mots, Michel se mit à pénétrer Elisabeth comme une bête.
Elisabeth commença à crier à chaque poussée de Michel. Ses seins bougeaient dans tous les sens.
Elisabeth plia ses jambes dans le dos de Michel ce qui permit à ce dernier de rentrer plus profondément en elle.
Elle poussa un cri rauque et profond. Sa chatte éjacula de la cyprine sur le sexe de son amant.
- Tu va me faire mourir, oh mon dieu.
- Tu vas rattraper le temps perdu.
- Oh oui, tu es un amant délicieux….
- Et toi une amante vraiment top.
- Si tu continues comme ça, les parents n’auront pas à payer grand-chose.
- Ah oui ?
- Oh oui, oh mon chériiiiiii, je vais jouirrrr encoree
- Vas-y, lâche toi.
Elisabeth se cabra et poussa un cri qui remplissait le salon. Elle s’effondra sur le canapé, ses jambes libérèrent son amant.
Michel qui bandait toujours, approcha son sexe de la bouche d’Elisabeth qui le suça de toutes ses forces.
Michel appuya sur la tête de sa maitresse et lui envoya dans la gorge une énorme giclée de sperme.
Elisabeth essaya de tout avaler mais une partie du sperme coula sur son cou.
Les deux amants se séparèrent.
- Bonne nuit Elisabeth, demain je fais ma rentrée.
- Bonne nuit Michel, si tu as le temps demain soir, tu peux passer.
- D’accord, j’essayerai.
- J’espère.
Michel regardait Elisabeth avec étonnement. Il n’aurait jamais pensé que cette femme de 60 ans allait se jeter sur lui pour lui faire une fellation digne d’une pute. Il n’avait pu résister longtemps à ce traitement avant de jouir.
- Alors jeune homme, que penses-tu de ta propriétaire ?
- Ah ben je suis agréablement surpris. C’est la plus belle fellation que je n’ai jamais eue.
- Bon on va diner si tu veux bien ? j’ai fait un gratin dauphinois avec un rôti de porc.
- Hummm, j’adore le gratin dauphinois.
- Tant mieux.
Elisabeth et Michel dinèrent à la cuisine. Michel trouvait le repas succulent. Après le repas, Michel proposa de faire la vaisselle.
- Merci Michel, avec plaisir. Moi je vais débarrasser la table.
- Ok on fait comme ça.
Michel se trouvait devant l’évier. Elisabeth desservie la table tout en regardant Michel de dos. Elle se dit que l’étudiant avait un joli petit cul. Elle s’approcha de Michel par derrière pour lui caresser les fesses à travers le tissu. Sa main glissa entre les cuisses du jeune homme. Michel se cambra, il était pris au dépourvu. Il sentait que son sexe réagissait dans son pantalon.
- Et bien on dirait que tu reprends du poil de la bête.
- Ben à me caresser comme ça, c’est sûr que je ne peux pas rester de marbre.
- Hummm tu aimes ça dis donc.
- Oui mais j’ai peur de casser la vaisselle.
- Je te laisse tranquille alors, je vais prendre ma douche.
- D’accord.
Michel finit de faire la vaisselle et s’installa dans le canapé du salon. Elisabeth se séchait dans la salle de bains. Elle enfila son peignoir avant de rejoindre Michel au salon.
- Tu ne m’en veux pas, mais je me suis changée pour la nuit.
- Tu es chez toi Elisabeth.
- Merci.
Elle vint s’assoir à côté de Michel. En s’asseyant, le peignoir remontait sur ses cuisses et le haut bayait découvrant le début de sa poitrine.
Michel devinait une poitrine lourde et assez fournie. Il sentait la main d’Elisabeth sur sa cuisse.
Michel caressa un sein d’Elisabeth à travers le tissu puis passa sa main à l’intérieur du peignoir.
Elisabeth poussa un petit soupir voulant dire à Michel son accord pour continuer.
Il trouva le mamelon qu’il commença à rouler entre ses doigts.
Elisabeth se laissait faire, trop contente de sentir de nouveau une main d’homme sur son corps.
Michel dénoua son peignoir et l’écarta, découvrant la poitrine et le ventre d’Elisabeth.
Il vit deux gros tétons qui pointaient. Il se mit à les téter et les mordiller.
Elisabeth fermait les yeux.
- Oh Michel, c’est bon ce que tu me fais là. Il y a si longtemps que je n’ai pas ressenti ça
- Profite Elisabeth, je suis là pour te tenir compagnie.
- Oh oui, j’adore ta compagnie.
Michel descendit sa main sur le ventre d’Elisabeth qui d’instinct ouvrit légèrement ses cuisses.
Elle était aux anges, elle sentait les doigts de son amant qui fouillait son intimité. Sa vulve devenait humide. Elle ouvrait d’avantage ses cuisses, comme pour inviter son amant à aller plus loin.
Michel allongea Elisabeth sur le dos et posa sa bouche sur la vulve de sa propriétaire.
Il saisit le clito d’Elisabeth qui était assez développé. Il l’aspira et le mordilla ce qui fît gémir Elisabeth.
- Oh oui, bouffe le moi, mords le.
- Hummmmm.
- Mais que c’est bon.
Le volcan d’Elisabeth qui sommeillait depuis le décès de son mari entrait de nouveau en éruption.
Elisabeth sentait sa chatte qui coulait de plus en plus. Sa lave de plaisir dévalait les parois de sa chatte.
Elle gémissait plus fort. Sa voix devenait rauque.
- Prends moi Michel, je n’en peux plus.
Michel se le va et se déshabilla. Son sexe était tendu à l’extrême.
Elisabeth était hypnotisée par ce sexe d’homme qui était beaucoup plus grand et large que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent.
Michel se positionna entre les cuisses d’Elisabeth en guidant son sexe à l’entrée du vagin d’Elisabeth, puis poussa pour la pénétrer.
- Oh mon dieu, tu me remplis la chatte.
- Hummm, ça glisse tout seul, tu es tellement mouillée.
- Oh vas-y, prends moi fort.
Ah ces mots, Michel se mit à pénétrer Elisabeth comme une bête.
Elisabeth commença à crier à chaque poussée de Michel. Ses seins bougeaient dans tous les sens.
Elisabeth plia ses jambes dans le dos de Michel ce qui permit à ce dernier de rentrer plus profondément en elle.
Elle poussa un cri rauque et profond. Sa chatte éjacula de la cyprine sur le sexe de son amant.
- Tu va me faire mourir, oh mon dieu.
- Tu vas rattraper le temps perdu.
- Oh oui, tu es un amant délicieux….
- Et toi une amante vraiment top.
- Si tu continues comme ça, les parents n’auront pas à payer grand-chose.
- Ah oui ?
- Oh oui, oh mon chériiiiiii, je vais jouirrrr encoree
- Vas-y, lâche toi.
Elisabeth se cabra et poussa un cri qui remplissait le salon. Elle s’effondra sur le canapé, ses jambes libérèrent son amant.
Michel qui bandait toujours, approcha son sexe de la bouche d’Elisabeth qui le suça de toutes ses forces.
Michel appuya sur la tête de sa maitresse et lui envoya dans la gorge une énorme giclée de sperme.
Elisabeth essaya de tout avaler mais une partie du sperme coula sur son cou.
Les deux amants se séparèrent.
- Bonne nuit Elisabeth, demain je fais ma rentrée.
- Bonne nuit Michel, si tu as le temps demain soir, tu peux passer.
- D’accord, j’essayerai.
- J’espère.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
comment dialoguer avec Anne
Belle histoire bien écrite. J'aimerais bien dialoguer avec vous. Ecrivez moi. Merci
anne
anne
Très réussi, je crois que j’aime les femmes mures…
Jef
Jef
Toujours agréable à lire c’est une bonne suite et on attend les prochains chapitres Daniel

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