Michel 5 - histoire érotique

Pendant les ébats de Michel et d’Isabelle, Elisabeth, la mère d’Isabelle se rendait chez son amie. Elle mouillait depuis son départ, en pensant au sexe de Michel.
Arriverait-il à décoincer sa fille qui était au bord de la dépression, négligée par son mari.

- Bonjour Catherine.
- Bonjour ma belle, comment ça va ?
- Très bien, est-ce que je peux aller aux toilettes ? je ne tiens plus.
- Mais oui, tu sais ou c’est.
- Oui merci.

Elisabeth, aussitôt rentrée dans les toilettes, baissa sa culotte pour s’assoir sur la cuvette mais pas seulement pour uriner, avant tout pour se frotter le clito à toute vitesse pour avoir un orgasme rapide.
Elle se mordait la main pour ne pas crier.
Elle vit que sa culotte était trempée.
(Oh Michel, baise Isabelle, vas-y fais la jouir).
Elisabeth avait honte de penser à des choses comme ça, mais depuis qu’elle avait rencontré Michel, sa vie sexuelle reprenait ses droits.
Son volcan s’était réveillé.

- Et bien dis donc, tu avais un gros besoin.
- Si tu savais, il faut que je te parle d’un truc Catherine.
- Ah bon, mais de quoi ? C’est grave ?
- Tu te rappelles quand on avait 25 ans ?
- Si je me rappelle ? Bien sûr que je me rappelle. Je me rappelle surtout de ma copine Elisabeth qui avait le feu au cul dès qu’elle voyait un beau garçon.
- Oui c’est à peu près ça.
- Mais c’est complètement ça voyons. On te suivait à l’odeur quand tu étais excitée par un mec.
- Bon d’accord. Mais tu ne crachais pas dessus non plus.
- Oui mais toi tu étais hors concours. Heureusement nous avons rencontré nos futurs maris respectifs qui étaient pleins au as et qui nous offert une vie plus que confortable.
- Et bien figure toi, que j’ai rencontré un beau jeune homme.
- Quoi ? Toi ?
- Oui, moi.
- Mais attends ma chérie, tu as vu ton âge ?
- Oui je sais, mais si tu savais comme il me fait grimper aux rideaux.
- Elisabeth, tu t’écoutes parler ?
- Oui et j’ai honte, mais quand il est là je ne tiens plus. Rien que de penser à lui je mouille ma culotte.
- Hein ? mais enfin, il a quel âge ?
- Je n’ose pas te le dire
- Arrête, tu sais que ça restera entre nous.
- 20 ans
- Quoi ?
- Oui je sais, ça pourrait être mon petit-fils, mais je n’en ai pas.
- C’est dingue, mais tu es pire que quand tu avais son âge.
- Quand je l’ai vu la première fois, j’ai eu comme une décharge électrique dans mon ventre. Je me suis réfugiée aux toilettes pour me masturber tellement je mouillais. Et tout à l’heure quand je suis arrivée chez toi, j’ai fait pareil.
- Approche Elisabeth.
- Oui

Elisabeth s’approcha de Catherine qui la prit dans ses bras. Elles s’embrassèrent sur la bouche. Catherine caressa son amie tendrement tout en l’amenant sur le canapé du salon.

- J’ai envie de toi Elisabeth.
- Moi aussi, je t’aime Catherine.
- Tu l’aimes ?
- Non non, c’est purement sexuel.
- Qu’est-ce qu’un jeune de 20 ans peut trouver à une femme de notre âge ?
- L’expérience peut-être ?
- Tu ne me cacherais pas quelque chose ?
- Moi ? pourquoi ?
- Tu croise un jeune, et comme ça vous baisez ensemble ? Tu me prends pour une conne ?
- C’est mon locataire.
- Voyez-vous ça !!! Et tu lui as promis quoi en échange de vos ébats ?
- Pfffff, une remise sur son loyer.
- Ben voyons. C’est de la prostitution dissimulée.
- Quoi ? Mais ça ne va pas non ?
- Il baise avec toi en échange d’argent. Tu le paye en quelque sorte.
- Je l’aide, il n’a pas beaucoup de moyens.
- Ah c’est sûr « Sœur Elisabeth, vient en aide aux pauvres… ».
- Oh ça va, n’exagère pas.
- Et il coûte combien ?
- Comment ça ?
- Si je veux acheter ses faveurs.
- Ça va pas non ? Tu me prends pour qui ?
- Pour une salope. Tu l’as toujours été. Alors combien ?
- Mais je ne sais pas, je n’ai pas pensé à ça.
- Tu voulais te le garder ?
- Mais je ne sais pas. C’est tout frais.
- Combien ?
- Tu proposes quoi ?
- 500€ pour un week-end en Normandie.
- 1000€
- Ok

Elisabeth descendit entre les cuisses de Catherine et lécha sa vulve. Catherine commença à gémir.

Pendant ce temps, le repas était terminé chez Isabelle. Ils avaient diné au salon, complètement nus. Isabelle était aux anges, son vagin laissait couler le sperme de Michel sur le carrelage. Elle n’avait jamais joui comme ça. Elle regardait le sexe de Michel qui était retombé et qui malgré tout avait des proportions incroyables.
Elle se leva et tendit la main à Michel pour l’emmener dans sa chambre.
Elle voulait se faire prendre dans son lit comme pour mieux tromper son mari qui la délaissait depuis quelques années. Elle voulait se donner entièrement à ce jeune homme.

Elle s’allongea sur le lit conjugal et écarta en grand les cuisses.

- Michel, je veux que tu me défonce la chatte sur mon lit. Fais moi crier, j’ai envie de ta grosse queue.
- Hummmm Isabelle, tu es belle comme ça, regarde ma queue se redresse, tu vas recevoir ce que tu attends. Tu vas couiner comme une chienne.
- Oh oui mon chéri je suis ta chienne, ta salope.
- Hummm j’aime ça, baiser une belle salope comme toi.

Michel présenta son sexe à l’entrée du sexe d’Isabelle et poussa d’un coup pour la prendre violemment.
Isabelle poussa un cri, comme si son vagin était déchiré.
Michel la baisa comme une chienne pendant un long moment. Isabelle se cramponnait à son amant. Elle avait orgasme sur orgasme. Elle criait sans cesse. Ses seins bougeaient dans tous les sens.
Elle était comme un pantin.
Michel ne tenais pas compte des orgasmes d’Isabelle, il l’a baisait encore et encore comme un soudard.
Tard dans la soirée, Isabelle demanda grâce, mais Michel lui leva les jambes pour les mettre sur ses épaules et d’un coup il força l’anus d’Isabelle qui était vierge du cul. Elle hurla de douleur, les yeux exorbités.

- Oh non, stp, j’ai trop mal.
- Tu vas recevoir salope. Je vais te défoncer le cul.
- Nonnnnnnnn

Michel lui lima le cul. La douleur laissa place au plaisir. Isabelle commença à gémir. Elle n’avait jamais été prise par le cul. Elle commençait à mouiller par l’anus.
Michel se cambra et resta au fond du cul d’Isabelle pour cracher son sperme.
Isabelle sentit le sperme chaud qui remplissait ses entrailles.
Elisabeth rentrait de chez son amie où elle avait fait l’amour et avait eu beaucoup de jouissance.
Elle aperçut de la lumière dans la chambre d’Isabelle.
Elle se dit que sa fille devait être honorée par Michel.
Elle sentit sa chatte qui recommençait à mouiller. Aussitôt le moteur arrêté, elle remonta sa robe dans la voiture et se mit à branler son clito avec violence jusqu’à jouir violemment.

Catherine avait raison, Elisabeth était vraiment comme quand elle était jeune, une accroc au sexe…