Michel 6

- Par l'auteur HDS Mimi68 -
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Récit libertin : Michel 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Tags : Gros sexe
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Michel 6
Michel en avait fini avec Isabelle. Celle-ci dormait dans son lit. Michel vit un post-it sur la porte d’Elisabeth en rentrant chez lui.
En s’approchant du post-it, il put lire ces lignes.

« Mon chéri, si ma fille ne t’a pas épuisé, je suis dans mon lit, les cuisses ouvertes. »

- La mère est pire que la fille.

Michel décidait qu’il allait se payer la mère après la fille. Il ouvrait la porte et se dirigeait vars la chambre d’Elisabeth. La porte était ouverte, il vit Elisabeth sur le lit en bas, porte-jarretelles les cuisses écartées.
Il se déshabilla et s’approcha du lit. Elisabeth ouvrit les yeux.

- Ça y est, ma fille est comblée ?
- Tu lui demanderas demain. Suce-moi salope.
- Tu sais à qui tu parles ?
- Oui à une vielle salope qui en a engendré une autre.
- Qui ça ? Ma fille ?
- Oh oui, une folle de sexe.
- Isabelle ? Mais elle est coincée.
- Ah ben, je l’ai décoincée alors.
- Tu lui as fait quoi ?
- Elle t’expliquera.
- Occupe-toi de moi maintenant, j’ai envie de ta grosse queue.
- A cette heure-ci, je vais te demander un petit supplément.
- Quoi !!! Mais je te rappelle que dois t’occuper de moi pour ne pas payer de loyer.
- Oui, mais je me suis déjà occupé de toi ce matin. Là ce n’est pas prévu au contrat. Mais si tu ne veux pas, je peux aller me coucher.
- Bon d’accord. Pour 100 euros, j’ai le droit à quoi ?
- Tu me suces.
- Hein, c’est tout ?
- Oui.
- Et pour la totale ?
- Disons 1 mois de loyer.
- La vache, 600 euros ?
- Oui.
- Ok. Au fait j’ai une cliente pour toi.
- Qui ?
- Une amie. 1000 euros pour un week-end en Normandie.
- 2000.
- C’est cher.
- Elle se passera de moi.
- Bon je lui dirai.
- Suce-moi.

Elisabeth s’occupa du sexe de Michel. Comme celui-ci s’était vidé plus sieurs fois dans Isabelle, il pouvait bander de nouveau sans gicler avant longtemps.
Il allongea Elisabeth sur le dos, lui remonta les jambes sur ses épaules et la prit d’un coup de rein violent pour l’embrocher au plus profond de sa chatte.
Elisabeth poussa un cri rauque en se cabrant. Elle avait l’impression que son vagin allait se déchirer.
Michel la prit comme une bête pendant un long moment.
Elisabeth avait orgasme sur orgasme. Elle criait sans arrêt. Le sexe de Michel restait droit comme i.
Il la fit mettre en levrette et lui planta son sexe dans le cul d’un coup. Elisabeth hurla comme une bête. Il lui défonça le cul, ne tenant pas compte des cris d’Elisabeth.
Après un long traitement inhumain, elle poussa un cri énorme. Michel se planta au fond du cul de sa maitresse avant de déchargea un énorme jet de sperme en grognant comme une bête sauvage.
Elisabeth s’effondra sur le lit laissant échapper le sexe de Michel.
Du sperme s’écoulait sur ses cuisses.
Michel se rhabilla et rentra chez lui.
Elisabeth plongea dans un sommeil profond.

Le lendemain matin, Isabelle passe devant chez sa mère en partant au travail. Il vit les volets fermés. Trouvant cela étrange, elle entra dans le hall. Elle vit le post-it sur la porte de sa mère qui était restée en place.
Isabelle n’en croyait pas ses yeux. Sa mère se donnait aussi à Michel.
Elle décida d’entrer quand même.
Elle fit le tour de l’appartement. En s’approchant de la chambre, elle vit sa mère dormir les cuisses ouvertes avec du sperme séché sur ses fesses.
Des odeurs de mouilles et de spermes envahissaient la chambre.
Isabelle fit ½ tour discrètement.
En sortant, elle enleva le post-it et le mit dans son sac à main.
Elle allait descendre quand Michel arrivait de l’étage supérieur.

- Bonjour Isabelle.
- Bonjour Michel.
- Bien dormie ? moi oui. Mais toi, tu as joué les prolongations ?
- Oui, j’ai baisé ta mère. Elle était en manque.
- Quoi ? mais tu es un monstre.
- Pourquoi ?
- Tu as baisé avec ma mère après m’avoir baisée ?
- Oui, ce n’est pas interdit.
- Mais comment tu peux ?
- Arrange-toi avec elle, c’est elle qui voulait que je te saute.
- Ne dis pas des mensonges, Michel.
- Vois avec elle. Moi je vais en cours.
- Non, attends.
- Je suis en retard, bises.

Michel sorti de la maison. Isabelle était sonnée. Elle se sentait trahie par sa mère. Elle voulait avoir une explication sérieuse avec elle.

Elle vit la lumière de la cuisine de sa mère qui était allumée.
Elle retourna chez sa mère.

Elle vit sa mère en nuisette plus que courte et transparente qui se préparait un café.
En baissant les yeux, elle vit que sa mère s’était rasé les poils pubiens.

- Bonjour Maman.
- Bonjour ma chérie, comment tu vas ?
- Et toi ?
- Oh très bien, j’ai dormi comme un bébé.
- Tu ne pourrais pas mettre un peignoir maman ?
- Pourquoi ?
- On voit tes seins, ton pubis, tes fesses.
- Je suis chez moi.
- Ça pourrait être Michel qui soit rentré.
- Oh tu sais, il en déjà vu beaucoup plus.
- Comment ça ?
- On a déjà baisé tous les deux. C’est un amant hors pairs.
- Quoi ?
- Oh ne fais pas ta sainte nitouche. D’ailleurs, hier soir il était chez toi.
- Et alors ? je l’avais invité à diner.
- Dans ta chambre ?
- Mais pas du tout.
- J’ai vu de la lumière en rentrant, et je l’ai entendu rentrer deux heures après que je sois rentrée.
- D’ailleurs il est venu te voir hier soir en rentrant.
- Oui je confirme et il m’a donné énormément de plaisir, comme à toi d’ailleurs.
- Mais arrête, voyons.
- Il t’a baisé comme une chienne.
- Maman, ça suffit, tu t’entends parler ?
- Oui, je m’entends, et ça me fait plaisir, qu’il t’ait décoincée sexuellement.
- Oui c’est vrai, il m’a fait jouir comme une folle.


Isabelle se sentait mouillée rien qu’en repensant à ce qu’elle avait vécu la veille. Elisabeth se mit à couler en entendant sa fille avouer sa jouissance.

- Approche Isabelle, viens me faire un bisou.

Isabelle s’approcha de sa mère. Elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre.

- Oh ma petite, je suis si contente pour toi.
- Merci maman.
- Je suis trempée tu sais.
- Oh non, maman, stp, pas ça.
- Bon d’accord, tu as raison. Mais on continue à se partager Michel.
- Oui, d’accord.
- Tu veux un café.
- Oui.

Isabelle regardait sa mère. Elle voyait les seins de celle-ci qui pointaient sous le satin, preuve que sa mère était excitée. Elle sentait aussi son bas ventre qui était en ébullition. Elle voulait résister à son envie. Elle avait honte d’elle.

Elle prit le café avec sa mère et parti au travail complètement déboussolée.

Elisabeth, attendit que la porte d’entrée soit fermée avant de se masturber comme une malade sur sa chaise dans la cuisine, jusqu’à pousser un cri rauque.

Elle commençait bien sa journée.

Elle allait téléphoner à Catherine…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très sexuel un peu brutal le jeune étudiant en profite et devient gigolo.
Daniel

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