Michel part à l’armée, 1er partie l’apprentissage
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 278 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.2
- • L'ensemble des récits érotiques de Romainro ont reçu un total de 2 627 908 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 095 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Michel part à l’armée, 1er partie l’apprentissage
Après la publication de « Invité chez des apprentis candauliste », j’ai reçu un mail de Michel qui m’a demandé de raconter son histoire. Nous avons pas mal échangé par mail, Il a aujourd’hui 62 ans il est marié à Emilie depuis plus de 30 ans et ensemble ils élèvent des animaux mais voila comment tout a commencé pour lui (comme pour les histoires d’Albert je vais utiliser le « Je » même si contrairement à lui je suis plutôt dominateur):
Depuis tout jeune je suis habitué à être travesti, humilié, soumis…Ca a commencé avec ma cousine qui s’amuser à me travestir et se moquait de moi, elle prenait un malin plaisir à m’humilier en me montrant à ses copines. Puis ça a continué avec mon professeur de mathématiques qui non seulement nous fessait régulièrement la culotte baissée mais aussi en cours particulier il me forçait à me déshabille devant lui et à porter une robe.
Au lycée ça a été plus calme bien que les garçons se moquer de mes manières très féminines. Sous la douche je me caché parce que j’avais honte de mon petit sexe presque imberbe alors qu’eux étaient poilu avec des sexes de toutes tailles mais toujours bien plus grand et gros que la mienne.
Pendant toute cette période j’ai caché mon attirance pour les garçons, d’abord parce que j’avais honte, ça ne se faisait pas mais aussi parce que les rares qui s’affirmaient été considérés comme des fous par la société.
Comme tout le monde je suis appelé sous les drapeaux, les 3 jours à Limoges, qui en fait n’ont duré qu’une journée, ont était difficile pour moi. On nous a très rapidement regroupé après l’appel pour nous emmener dans un vestiaire. Un gradé nous demande de nous déshabiller entièrement et de nous ranger devant la porte. 3 minutes après il réapparaît par les portes devant lesquelles nous attendons et il nous dit de rentrer, ça pousse de partout c’est très désagréable.
Une fois à l’intérieur de l’eau coule du plafond, on est serré les uns contre les autres. Je fais mon maximum pour cacher ma nudité mais je sens quand même des regards sur moi.
Nous passons dans la salle suivante, on doit passer d’un stand d’infirmier à un autre. Nous sommes toujours nus et même si une main me suffit à me cacher, j’ai les deux coller à mon entre jambe. Je suis mesuré et pesé puis je passe un test de vue, d’ouïe et de lecture toujours à poil.
Puis un infirmier, inspecte mon sexe quand il le voit il ne peut s’empêcher de dire « tu devrais contacter le livre des records! », les autres derrière moi rigolent. Il tâte mes couilles, me demande de tousser puis à deux doigts il attrape mon zizi il a du mal à me décalotter. Il me tripote dans tous les sens pendant plusieurs minutes et me libère. Immédiatement il me rappelle et dégage mes mains qui sont revenu me cacher, il colle son petit doigt à mon sexe et je ne suis pas étonné de voir que je suis bien plus court, lui rigole.
En milieu de journée je suis déclarer apte, on me propose de faire parti des parachutiste mais comme je refuse on m’envoie en Allemagne. Ma date t’intégration est dans 4 mois.
Je rentre donc chez mes parents et en attendant de démarrer mon service militaire je les aide à la ferme. C’est comme ça que j’ai rencontré Jacqueline avec qui j’ai commencé à sortir 2 semaines avant mon service. A cette époque on ne faisait pas grand chose avant le mariage alors nous nous contentions au flirt.
Une fois arrivé à la base dans laquelle nous allons faire nos classes on nous envoi directement nous doucher, se sont encore une fois seulement des tuyaux d’eau froide et comme pendant les 3 jours je me cache au maximum alors que d’autres s’exhibent. J’entends des rires et des chuchotements autour de moi, je suis sûr que c’est à propos de mon petit zizi.
Ensuite on passe une nouvelle visite médicale mais cette fois on est derrière un rideau avec l’infirmier. A nouveau inspection complète du sexe et des testicules, j’ai extrêmement honte par contre cette fois pas de mesure avec le petit doigt mais l’infirmier me fait me retourner, me pencher en avant et il me demande d’écarter les fesses. Je suis choqué et j’ai encore plus honte mais je dois obéir. L’homme me tâte le petit trou avec sa main gantée, je suis tellement gêné que je me contracte encore plus et il me fait mal quand il appuie. Une fois qu’il a finit je lui demande pourquoi il a fait ça et il me réponds« Pour vérifier et que tu es un vrai homme et pas une tapette. C’est un crime pour un militaire de se faire sodomiser donc pas de ça ici ».
Ca y est les classes commencent, c’est 2 mois où on n’arrête pas de nous faire courir, ramper, grimper, porter des trucs lourd… Mais ce n’est pas ça le plus dur pour moi, dès le début j’ai eu un problème pendant les douches.
Il n’y a aucune séparation entre les pommeaux qui sortent du mur donc on est les uns à côté des autres. La plupart des autres mecs n’ont aucune gêne (vu comme ils sont montés moi non plus je ne serai pas gêné), il y en a même qui se branle alors que tout le monde les voit. Je passe mon temps à cacher au maximum mon ridicule sexe mais ce n’est pas toujours possible donc mes camarades de douche remarque très rapidement mon « handicape » et tout le monde commence à le savoir et se moquer de moi.
La nuit aussi est un moment difficile d’abord parce que au début dès le premier soir j'entends des sommiers en metal qui grincent pendant que les mecs se masturbent mais ça c’est compliqué pour moi à partir de la 3 ème semaine.
Je suis tranquillement dans mon lit sur le point de m’endormir quand je sens ma couverture et mon drap glisser. Je les retiens mais il ne tombent pas c’est quelqu’un qui tire dessus, je n’ose ni bouger ni réagir j’ai trop peur des conséquences. Malgré l’obscurité je sens qu’un personne se tient debout à côté de moi et bouge. Une main se pose sur moi et rentre dans mon caleçon pour me tripoter, je suis tétanisé. Rapidement je sens quelque chose couler sur mon torse, le mec ne bougeait pas mais il se branlait sur moi, j’ai tout de suite reconnu l’odeur du sperme!
Une fois qu’il a finit, il disparait alors je pars à la recherche de mon drap mais deux mains me plaquent et m’allongent et je sens à nouveaux des mouvements mais cette fois de chaque côté de mon lit. Eux aussi m’ont tripoté et m’ont éjaculé dessus ensuite j’ai enfin été tranquille.
Le problème c’est que ces séances sont devenues quotidienne et chaque soir j’ai l’impression qu’ils sont de plus en plus nombreux à me tripoter et me recouvrir de leur sperme. Ce qui me dérange c’est que je prends du plaisir dans ces moments mémé si je ne me branle pas. Ca m’a aussi permis de sympathiser avec Martin, souvent la nuit il subit la même chose que moi mais lui participe activement et se masturbe en même temps. Par contre personne ne se moque de son sexe parce qu’il sacrement bien monté (je l’ai remarqué sous la douche).
Nous discutons beaucoup ensemble et il m’avoue qu’il est attiré par les hommes depuis toujours, je prends du temps mais je lui avoue que moi aussi. Déjà avant l’armée il se faisait sucer et était sucé par des mecs.
Les classes touchent enfin à leur fin, avant de nous envoyer en Allemagne on nous donne 10 jours de permissions, Martin me propose de venir chez lui à Marseille. J’hésite un moment mais j’accepte après avoir prévenu mes parents et ma copine que je ne pourrai pas venir les voir avant de partir en Allemagne. Pour toute réponse je reçois une lettre de rupture de la part de Jacqueline. Ce n’est pas grave, moi le fils d’agriculteur qui n’a presque rien connu d’autre que ma campagne je pars 10 jours à Marseille chez mon seul vrai ami.
Nous arrivons chez lui, il a un petit studio dans un quartier très animé de Marseille, en fin d’après midi et nous passons les 36 heures suivantes à dormir et manger. Le deuxième soir alors que nous avons repris des forces, Martin me propose de l’accompagné dans une boite de transformiste où il lui arrivait de travailler avant de partir à l’armée. Je suis très intrigué par ce monde que je ne connais pas du tout alors j’accepte.
Dès que nous arrivons, il est tout de suite reconnu et le patron vient nous voir, nous discutons tous les 3 un moment et le patron nos propose de nous faire un peu de sous pendant notre permission en poussant la clientèle à boire, pour chaque boisson commandée nous touchons quelques pièces. J’accepte après que Martin me dit l’avoir très souvent fait et que je vais beaucoup aimer.
Nous allons dans les coulisses où je vois les mecs prendre l’apparence de chanteuses célèbres et le patron nous laisse devant une loge, il nous dit que sur le portant il y a des uniformes de différentes tailles et qu’on a qu’à choisir. On rentre et on découvre plein de jupes de différentes tailles, couleurs et formes mais toutes courtes et des t-shirt tous blancs et tous moulants. Martin prend une jupe rose et un haut à bretelles et moi je prends une jupe bleue, peut être que j’assume pas assez. Il se déshabille entièrement, j’admire son corps et je jalouse sa queue, puis il sort de sa veste une culotte en dentelle blanche qu’il l’enfile avant de s’habiller. Je crois halluciner mais c’est vrai puisque je sens que je bande. Je me tourne et je m’habille à mon tour mais je garde mon slip de garçon.
Nous allons au bar, je reste avec lui pour qu’il me montre comment faire. Il branche le premier client pour moi et nous laisse, mais j’apprends vite parce que j’arrive à lui faire nous recommander 2 fois des verres. Martin lui discute avec deux hommes, ils boivent puis je les vois disparaitre derrière un rideau. Le mec avec qui je discute pose sa main sur ma cuisse, je suis tétanisé j’ai l’impression de me retrouver dans le dortoir à l’armée, et me dit« Et si nous aussi on aller derrière un rideau? », je ne sais pas quoi répondre d’autre que oui mais mon problème c’est que je ne sais pas du tout ce qui se passe derrière ces rideaux.
Il se lève mais je reste assis alors il attrape ma main et me fait le suivre. Il se dirige vers un rideau à moitié ouvert, une fois à l’intérieur il ferme le rideau.
Dans la pièce il y a 2 canapés, un lampadaire et rien d’autre. Il me fait assoir sur un des canapés et se tient debout devant moi, il ouvre son pantalon le baisse en même temps que son slip et me présente sa queue qui est à demi dure et me dit« Branle moi »Une de mes mains se pose sur ses couilles et je lèche la deuxième avant d’attraper sa bite et de commencer à le caresser. Très rapidement son sexe grossit encore maintenant mes doigts ne font plus le tour, je ne préfère pas le comparer au mieux. Mes mains savent ce que je dois faire, mon prof de mathématiques m’a appris.
De temps en temps mon pouce s’arrête sur son frein et j’insiste bien, il adore ça, je m’occupe encore plus régulièrement de son gland et sinon je le branle à différents rythme et avec des pressions différentes. Je sens mon petit zizi très gonflé. Je m’occupe de son sexe pendant plus de 10 minutes quand il me prévient qu’il va jouir du coup je crache sur sa queue je serre mes doigts encore plus fort jusqu’a ce qu’il éclabousse mon visage avec 4 grosses giclées de son jus.
Je lâche son sexe, j’attrape une boite de mouchoirs qui est par terre il en prend deux et pendant qu’il s’essuie le sexe il me remercie mais je ne sais pas si c’est pour la masturbation ou les mouchoirs. Je me nettoies le visage alors que l’homme, dont je ne connais toujours pas le prénom, se rhabille. Il sort sont porte monnaie et me dit« Si tu me montres ta bite je te donne 10 francs! » pour n’importe qui à cette époque c’est énorme 10 francs alors pour un petit gars de la campagne comme moi je ne vous dit pas. Mais j’ai honte de mon zizi et d’un autre côté je suis très excité par tout ça. J’hésite encore un moment et sans soulever ma jupe je baisse mon slip qui a une petite tache de mouille.
L’homme écarte mes jambes, s’agenouille entre mes cuisses et glisse sa main vers mon sexe. J’ai très peur de ce qui va se passer, sa main est sur ma bite, heureusement que je bande, je le vois sourire pendant qu’il me tripote. Je m’attends à ce qu’il éclate de rire et se moque de moi mais pas du tout. En fait avec 3 doigts il me branle de son autre main il soulève ma jupe, découvre complètement mon zizi et me dit« J’adore! Je peux continuer? ».
Je réponds oui du coup il me caresse aussi les couilles et en moins d’une minute je me vide entre ses doigts mais mes 2 petites giclées ne font même pas une des siennes. Il passe sa langue sur mon gland couvert de sperme, c’était juste à temps avant car mon sexe disparait entre mes cuisses. Il se lève avec un grand sourire et me tend la boite de mouchoirs, il se rhabille et me donne 15 francs juste avant de disparaitre derrière le rideau.
Je reste là un moment, la jupe relevée et le slip baissé avec mes 15 francs en main. Je suis heureux parce que j’ai gagné des sous mais aussi parce que j’ai pris beaucoup de plaisir. Pendant la suite de la soirée je suis retourné 2 fois derrière le rideau et dans la soirée je me suis fait 43 francs.
Si ca vous a plu dites le moi avec vos commentaires ou par mail et je vous raconterai la suite des histoires de Michel
Depuis tout jeune je suis habitué à être travesti, humilié, soumis…Ca a commencé avec ma cousine qui s’amuser à me travestir et se moquait de moi, elle prenait un malin plaisir à m’humilier en me montrant à ses copines. Puis ça a continué avec mon professeur de mathématiques qui non seulement nous fessait régulièrement la culotte baissée mais aussi en cours particulier il me forçait à me déshabille devant lui et à porter une robe.
Au lycée ça a été plus calme bien que les garçons se moquer de mes manières très féminines. Sous la douche je me caché parce que j’avais honte de mon petit sexe presque imberbe alors qu’eux étaient poilu avec des sexes de toutes tailles mais toujours bien plus grand et gros que la mienne.
Pendant toute cette période j’ai caché mon attirance pour les garçons, d’abord parce que j’avais honte, ça ne se faisait pas mais aussi parce que les rares qui s’affirmaient été considérés comme des fous par la société.
Comme tout le monde je suis appelé sous les drapeaux, les 3 jours à Limoges, qui en fait n’ont duré qu’une journée, ont était difficile pour moi. On nous a très rapidement regroupé après l’appel pour nous emmener dans un vestiaire. Un gradé nous demande de nous déshabiller entièrement et de nous ranger devant la porte. 3 minutes après il réapparaît par les portes devant lesquelles nous attendons et il nous dit de rentrer, ça pousse de partout c’est très désagréable.
Une fois à l’intérieur de l’eau coule du plafond, on est serré les uns contre les autres. Je fais mon maximum pour cacher ma nudité mais je sens quand même des regards sur moi.
Nous passons dans la salle suivante, on doit passer d’un stand d’infirmier à un autre. Nous sommes toujours nus et même si une main me suffit à me cacher, j’ai les deux coller à mon entre jambe. Je suis mesuré et pesé puis je passe un test de vue, d’ouïe et de lecture toujours à poil.
Puis un infirmier, inspecte mon sexe quand il le voit il ne peut s’empêcher de dire « tu devrais contacter le livre des records! », les autres derrière moi rigolent. Il tâte mes couilles, me demande de tousser puis à deux doigts il attrape mon zizi il a du mal à me décalotter. Il me tripote dans tous les sens pendant plusieurs minutes et me libère. Immédiatement il me rappelle et dégage mes mains qui sont revenu me cacher, il colle son petit doigt à mon sexe et je ne suis pas étonné de voir que je suis bien plus court, lui rigole.
En milieu de journée je suis déclarer apte, on me propose de faire parti des parachutiste mais comme je refuse on m’envoie en Allemagne. Ma date t’intégration est dans 4 mois.
Je rentre donc chez mes parents et en attendant de démarrer mon service militaire je les aide à la ferme. C’est comme ça que j’ai rencontré Jacqueline avec qui j’ai commencé à sortir 2 semaines avant mon service. A cette époque on ne faisait pas grand chose avant le mariage alors nous nous contentions au flirt.
Une fois arrivé à la base dans laquelle nous allons faire nos classes on nous envoi directement nous doucher, se sont encore une fois seulement des tuyaux d’eau froide et comme pendant les 3 jours je me cache au maximum alors que d’autres s’exhibent. J’entends des rires et des chuchotements autour de moi, je suis sûr que c’est à propos de mon petit zizi.
Ensuite on passe une nouvelle visite médicale mais cette fois on est derrière un rideau avec l’infirmier. A nouveau inspection complète du sexe et des testicules, j’ai extrêmement honte par contre cette fois pas de mesure avec le petit doigt mais l’infirmier me fait me retourner, me pencher en avant et il me demande d’écarter les fesses. Je suis choqué et j’ai encore plus honte mais je dois obéir. L’homme me tâte le petit trou avec sa main gantée, je suis tellement gêné que je me contracte encore plus et il me fait mal quand il appuie. Une fois qu’il a finit je lui demande pourquoi il a fait ça et il me réponds« Pour vérifier et que tu es un vrai homme et pas une tapette. C’est un crime pour un militaire de se faire sodomiser donc pas de ça ici ».
Ca y est les classes commencent, c’est 2 mois où on n’arrête pas de nous faire courir, ramper, grimper, porter des trucs lourd… Mais ce n’est pas ça le plus dur pour moi, dès le début j’ai eu un problème pendant les douches.
Il n’y a aucune séparation entre les pommeaux qui sortent du mur donc on est les uns à côté des autres. La plupart des autres mecs n’ont aucune gêne (vu comme ils sont montés moi non plus je ne serai pas gêné), il y en a même qui se branle alors que tout le monde les voit. Je passe mon temps à cacher au maximum mon ridicule sexe mais ce n’est pas toujours possible donc mes camarades de douche remarque très rapidement mon « handicape » et tout le monde commence à le savoir et se moquer de moi.
La nuit aussi est un moment difficile d’abord parce que au début dès le premier soir j'entends des sommiers en metal qui grincent pendant que les mecs se masturbent mais ça c’est compliqué pour moi à partir de la 3 ème semaine.
Je suis tranquillement dans mon lit sur le point de m’endormir quand je sens ma couverture et mon drap glisser. Je les retiens mais il ne tombent pas c’est quelqu’un qui tire dessus, je n’ose ni bouger ni réagir j’ai trop peur des conséquences. Malgré l’obscurité je sens qu’un personne se tient debout à côté de moi et bouge. Une main se pose sur moi et rentre dans mon caleçon pour me tripoter, je suis tétanisé. Rapidement je sens quelque chose couler sur mon torse, le mec ne bougeait pas mais il se branlait sur moi, j’ai tout de suite reconnu l’odeur du sperme!
Une fois qu’il a finit, il disparait alors je pars à la recherche de mon drap mais deux mains me plaquent et m’allongent et je sens à nouveaux des mouvements mais cette fois de chaque côté de mon lit. Eux aussi m’ont tripoté et m’ont éjaculé dessus ensuite j’ai enfin été tranquille.
Le problème c’est que ces séances sont devenues quotidienne et chaque soir j’ai l’impression qu’ils sont de plus en plus nombreux à me tripoter et me recouvrir de leur sperme. Ce qui me dérange c’est que je prends du plaisir dans ces moments mémé si je ne me branle pas. Ca m’a aussi permis de sympathiser avec Martin, souvent la nuit il subit la même chose que moi mais lui participe activement et se masturbe en même temps. Par contre personne ne se moque de son sexe parce qu’il sacrement bien monté (je l’ai remarqué sous la douche).
Nous discutons beaucoup ensemble et il m’avoue qu’il est attiré par les hommes depuis toujours, je prends du temps mais je lui avoue que moi aussi. Déjà avant l’armée il se faisait sucer et était sucé par des mecs.
Les classes touchent enfin à leur fin, avant de nous envoyer en Allemagne on nous donne 10 jours de permissions, Martin me propose de venir chez lui à Marseille. J’hésite un moment mais j’accepte après avoir prévenu mes parents et ma copine que je ne pourrai pas venir les voir avant de partir en Allemagne. Pour toute réponse je reçois une lettre de rupture de la part de Jacqueline. Ce n’est pas grave, moi le fils d’agriculteur qui n’a presque rien connu d’autre que ma campagne je pars 10 jours à Marseille chez mon seul vrai ami.
Nous arrivons chez lui, il a un petit studio dans un quartier très animé de Marseille, en fin d’après midi et nous passons les 36 heures suivantes à dormir et manger. Le deuxième soir alors que nous avons repris des forces, Martin me propose de l’accompagné dans une boite de transformiste où il lui arrivait de travailler avant de partir à l’armée. Je suis très intrigué par ce monde que je ne connais pas du tout alors j’accepte.
Dès que nous arrivons, il est tout de suite reconnu et le patron vient nous voir, nous discutons tous les 3 un moment et le patron nos propose de nous faire un peu de sous pendant notre permission en poussant la clientèle à boire, pour chaque boisson commandée nous touchons quelques pièces. J’accepte après que Martin me dit l’avoir très souvent fait et que je vais beaucoup aimer.
Nous allons dans les coulisses où je vois les mecs prendre l’apparence de chanteuses célèbres et le patron nous laisse devant une loge, il nous dit que sur le portant il y a des uniformes de différentes tailles et qu’on a qu’à choisir. On rentre et on découvre plein de jupes de différentes tailles, couleurs et formes mais toutes courtes et des t-shirt tous blancs et tous moulants. Martin prend une jupe rose et un haut à bretelles et moi je prends une jupe bleue, peut être que j’assume pas assez. Il se déshabille entièrement, j’admire son corps et je jalouse sa queue, puis il sort de sa veste une culotte en dentelle blanche qu’il l’enfile avant de s’habiller. Je crois halluciner mais c’est vrai puisque je sens que je bande. Je me tourne et je m’habille à mon tour mais je garde mon slip de garçon.
Nous allons au bar, je reste avec lui pour qu’il me montre comment faire. Il branche le premier client pour moi et nous laisse, mais j’apprends vite parce que j’arrive à lui faire nous recommander 2 fois des verres. Martin lui discute avec deux hommes, ils boivent puis je les vois disparaitre derrière un rideau. Le mec avec qui je discute pose sa main sur ma cuisse, je suis tétanisé j’ai l’impression de me retrouver dans le dortoir à l’armée, et me dit« Et si nous aussi on aller derrière un rideau? », je ne sais pas quoi répondre d’autre que oui mais mon problème c’est que je ne sais pas du tout ce qui se passe derrière ces rideaux.
Il se lève mais je reste assis alors il attrape ma main et me fait le suivre. Il se dirige vers un rideau à moitié ouvert, une fois à l’intérieur il ferme le rideau.
Dans la pièce il y a 2 canapés, un lampadaire et rien d’autre. Il me fait assoir sur un des canapés et se tient debout devant moi, il ouvre son pantalon le baisse en même temps que son slip et me présente sa queue qui est à demi dure et me dit« Branle moi »Une de mes mains se pose sur ses couilles et je lèche la deuxième avant d’attraper sa bite et de commencer à le caresser. Très rapidement son sexe grossit encore maintenant mes doigts ne font plus le tour, je ne préfère pas le comparer au mieux. Mes mains savent ce que je dois faire, mon prof de mathématiques m’a appris.
De temps en temps mon pouce s’arrête sur son frein et j’insiste bien, il adore ça, je m’occupe encore plus régulièrement de son gland et sinon je le branle à différents rythme et avec des pressions différentes. Je sens mon petit zizi très gonflé. Je m’occupe de son sexe pendant plus de 10 minutes quand il me prévient qu’il va jouir du coup je crache sur sa queue je serre mes doigts encore plus fort jusqu’a ce qu’il éclabousse mon visage avec 4 grosses giclées de son jus.
Je lâche son sexe, j’attrape une boite de mouchoirs qui est par terre il en prend deux et pendant qu’il s’essuie le sexe il me remercie mais je ne sais pas si c’est pour la masturbation ou les mouchoirs. Je me nettoies le visage alors que l’homme, dont je ne connais toujours pas le prénom, se rhabille. Il sort sont porte monnaie et me dit« Si tu me montres ta bite je te donne 10 francs! » pour n’importe qui à cette époque c’est énorme 10 francs alors pour un petit gars de la campagne comme moi je ne vous dit pas. Mais j’ai honte de mon zizi et d’un autre côté je suis très excité par tout ça. J’hésite encore un moment et sans soulever ma jupe je baisse mon slip qui a une petite tache de mouille.
L’homme écarte mes jambes, s’agenouille entre mes cuisses et glisse sa main vers mon sexe. J’ai très peur de ce qui va se passer, sa main est sur ma bite, heureusement que je bande, je le vois sourire pendant qu’il me tripote. Je m’attends à ce qu’il éclate de rire et se moque de moi mais pas du tout. En fait avec 3 doigts il me branle de son autre main il soulève ma jupe, découvre complètement mon zizi et me dit« J’adore! Je peux continuer? ».
Je réponds oui du coup il me caresse aussi les couilles et en moins d’une minute je me vide entre ses doigts mais mes 2 petites giclées ne font même pas une des siennes. Il passe sa langue sur mon gland couvert de sperme, c’était juste à temps avant car mon sexe disparait entre mes cuisses. Il se lève avec un grand sourire et me tend la boite de mouchoirs, il se rhabille et me donne 15 francs juste avant de disparaitre derrière le rideau.
Je reste là un moment, la jupe relevée et le slip baissé avec mes 15 francs en main. Je suis heureux parce que j’ai gagné des sous mais aussi parce que j’ai pris beaucoup de plaisir. Pendant la suite de la soirée je suis retourné 2 fois derrière le rideau et dans la soirée je me suis fait 43 francs.
Si ca vous a plu dites le moi avec vos commentaires ou par mail et je vous raconterai la suite des histoires de Michel
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Romainro
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...